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Le maître des fouets

Chapitre 5

les oubliettes

SM / Fétichisme
Les clientes suivantes sont encore plus spéciales que les précédentes. Pour Alice et Clara, il n’est pas question d’avoir un lit : elles ont expressément demandé à dormir à même le sol dans les oubliettes du château.Outre de multiples sévices corporels, Antoine et Maxime ont prévu de réaliser leurs fantasmes les plus inavouables : pour Clara, il s’agira de subir des attouchements pendant un examen médical tandis qu’Alice a souhaité avoir des relations sexuelles en public.
Ainsi donc, de bon matin, Alice est la première à se présenter à l’entrée du château. Antoine lui ouvre la porte et lui dit :
— Sois la bienvenue ! Mets-toi à ton aise !
Alice ne semble pas intimidée, car sans attendre, elle remet son manteau à Antoine. Comme c’était son seul vêtement, elle se retrouve entièrement nue devant Antoine qui la scrute très attentivement : elle assez jeune, plutôt grande et maigre. Deux mamelles imposantes font face à Antoine, mais il n’est pas impressionné.Suivant scrupuleusement les demandes écrites d’Alice, il lui pose des bracelets en métal aux chevilles et aux poignets.Alice se laisse faire très docilement ; Antoine lui passe un collier autour du cou et il y fixe une longue laisse.
— Suis-moi !— A tes ordres !
Alice suit Antoine sans broncher jusqu’à la porte du bureau de Maxime. Il frappe et il attend la réponse.
— Entrez ! dit la voix de Maxime.
Antoine rentre suivi d’Alice ; Maxime la scrute attentivement avant de lui lancer :
— Bienvenue au château !— Merci, maître !— Tu devras être entièrement dénudée pendant toute la durée de ton séjour ! C’est compris ?— Oui, maître !
— Tu te soumettras entièrement à ma volonté ! Peux-tu me le promettre ?— Je jure que je t’obéirai en tout point !— C’est bien ! Tu vas maintenant suivre Antoine. Il a toute ma confiance. Il t’a préparé quelques épreuves qui me permettront de juger de ta soumission pleine et entière !
Antoine ressort du bureau suivi d’Alice toujours enchaînée.
Ils se dirigent vers une salle où Antoine a installé un fauteuil et une table d’examen.
— Assieds-toi ici, dit Antoine.
La jeune femme obéit tandis qu’Antoine se munit d’une paire de ciseaux, puis il tranche sa longue chevelure.Antoine commence alors à raser complètement le crâne d’Alice. La jeune femme reste stoïque pendant toute la procédure.Puis Antoine lui demande de s’allonger sur la table, les jambes écartées : muni d’un épilateur électrique, il élimine les quelques poils pubiens qui subsistent encore.Ceci étant fait, Antoine fait descendre quelques marches à la soumise en direction des souterrains.Alice se retrouve enfermée dans une cage en fer. Avec des menottes, Antoine l’enchaîne aux barreaux puis il repart.
Quelques heures plus tard, c’est le tour de Clara de se présenter à l’entrée du château. Elle remet tous ses vêtements à Antoine.Il remarque que la jeune femme est plutôt petite, mais bien faite. Elle se laisse faire quand Antoine lui passe un collier autour du cou, avant de l’emmener dans le bureau du directeur. A son tour, Clara lui jure pleine obéissance et après un rasage intégral, Clara vient rejoindre Alice dans sa cage.Clara et Alice sont enchaînées à deux côtés opposés de la cage, si bien qu’elles ne peuvent pas se toucher. Elles ne sont pas autorisées à se parler.Malgré leur tempérament endurant, les heures leur paraissent fort longues. Le froid pèse sur les deux soumises qui ne parviennent pas à fermer l’œil de la nuit.Au petit matin, Antoine les découvre transies et pour seul réconfort, il leur propose un crouton de pain et un peu d’eau ; les deux soumises semblent retrouver un semblant d’énergie.
Une heure plus tard, Antoine revient : il ouvre la cage et il détache les deux femmes.La tête haute malgré la faim, le froid et la fatigue, elles marchent l’une derrière l’autre, entièrement nues dans les couloirs obscurs du château.Antoine les emmène dans une salle qui a servi de salle de torture il y a des siècles. Deux piloris ont été conservés en parfait état de marche.Une fois arrivé devant le premier pilori, Antoine soulève la partie mobile. D’elle-même, Alice vient placer sa tête et ses poignets sur les encoches, et Antoine referme le dispositif.Docilement, Clara se laisse enfermer de la même manière. Les deux soumises semblent se résigner au sort qui les guette et ne manifestent aucune peur.Antoine se saisit alors d’un grand fouet avant de frapper les postérieurs des deux soumises avec une violence inouïe.La douleur est intense, et malgré leur courage, Alice et Clara ne peuvent retenir des hurlements sonores, mais Antoine n’en tient pas compte : il poursuit ses sévices pendant plusieurs minutes avant de les abandonner au pilori jusqu’au soir.
A la tombée de la nuit, Antoine ramène les deux femmes dans leur cage. Par négligence (ou par compassion ?), il les place côte à côte cette fois-ci.Alice et Clara s’aperçoivent assez vite qu’elles peuvent s’approcher l’une de l’autre. Sans un bruit, sans un mot, elles viennent au contact l’une de l’autre. Elles se câlinent comme pour se consoler de leur condition, puis elles s’affalent sur le sol inégal du cachot, en s’observant du coin de l’œil.Soudain, Clara tressaille : elle a senti les mains d’Alice posées sur ses épaules. Comme en réponse, les mains de Clara viennent toucher le corps d’Alice. Dans l’obscurité, Clara tente de repérer la poitrine de sa camarade, elle la caresse puis elle descend le long de son ventre et parvient à glisser sa main entre les cuisses d’Alice, jusqu’à l’entrée de la caverne du plaisir.Alice est légèrement surprise, Clara est trop rapide à son goût !La réaction d’Alice ne se fait pas attendre : elle vient doucement pincer les tétons de Clara.
Peu après, les deux jeunes femmes sont enlacées, leurs seins se touchent et leurs langues se mêlent dans un baiser langoureux.Alice vient à son tour caresser le ventre de Clara, son index s’invite dans la grotte d’amour de Clara, palpant au passage sa mignardise ; Clara réagit en poussant de petits cris aigus.Alice vient alors lécher le mille-feuille de Clara à grands coups de langue, en se mettant tête-bêche au-dessus d’elle, ce qui permet à Clara de gamahucher Alice.Alice et Clara s’acharnent à se donner le maximum de plaisir et le tableau est très touchant !C’était sans compter sur Antoine et sa ronde nocturne : il découvre les deux jeunes femmes enlacées à la lueur de sa torche.Très remonté, il décide de leur infliger une méchante correction. Après avoir séparé les deux soumises, il accable leurs postérieurs de multiples coups de cravaches avant de les amener au pilori pour une nouvelle séance de fouet.Antoine les détache ensuite avant de les emmener devant Maxime, courroucé :
— Vous saviez qu’il était strictement interdit de se toucher ! Si vous voulez vous faire pardonner vos coupables agissements, prosternez-vous !
Les deux jeunes femmes obtempèrent tandis que Maxime laisse tomber son pantalon. Alice et Clara découvrent avec stupeur des attributs virils d’une taille peu ordinaire.
— Alice ! Viens me faire une petite gâterie ! dit Maxime.
Alice s’approche doucement, et vient lécher l’extrémité de la bête. Elle s’y connaît en la matière et Maxime apprécie la façon dont sa langue s’enroule autour de sa tige. Puis c’est son engin tout entier qui s’engouffre dans le gosier de la jeune femme, et Maxime semble parcouru de sensations enivrantes.Quand Alice se retire, Maxime vocifère :
— Maintenant, Clara !
Clara s’approche à son tour. Elle vient lécher l’auguste membre avant de le gober en une bouchée, contentant pleinement son propriétaire.
Les deux soumises sont alors reconduites dans leur cage ; Antoine prend garde à ne pas les attacher trop près l’une de l’autre cette fois-ci. Elles passent ainsi plusieurs nuits dans la cage tandis que dans la journée, elles sont clouées au pilori.
Après quelques jours, Maxime est satisfait de leur comportement : leur soumission est totale et sans ambages, dès lors, avec Antoine il va tenter de réaliser leurs fantasmes.Antoine détache Clara et il la fait allonger sur sa table d’examen, les pieds dans les étriers, les poignets attachés par des menottes. Il porte une blouse blanche et des gants comme un vrai docteur. Il commence par un examen approfondi de l’appareil génital de Clara. Il y introduit un spéculum, et vérifie scrupuleusement son col de l’utérus.
Puis, muni de gants, Antoine pratique un toucher vaginal très poussé, qui fait soupirer Clara. Soulevant le capuchon, il découvre son petit gland de chair ; il lui suffit de l’effleurer pour provoquer chez la patiente une réaction démesurée. En pinçant la friandise, Antoine fait rapidement grandir l’excitation de Clara.
Bientôt, elle atteint l’état de jouissance absolue, se trémoussant comme une folle et poussant des hurlements stridents.Antoine ne s’arrête pas en si bon chemin : il s’acharne sur elle, il lui fait subir une série d’orgasmes intenses et douloureux. Clara le supplie de cesser les attouchements, mais rien n’y fait, Antoine demeure intraitable. Il la libère enfin, et Clara lui adresse des remerciements pour cette séance fort intense !
Pendant ce temps, c’est Maxime qui se charge d’assouvir le fantasme d’Alice. Pour cela, il lui demande de revêtir une brassière et une jupette. Ainsi attifée, Alice est conduite en voiture dans une ville voisine. Sa tenue minimaliste suscite de nombreux regards réprobateurs.Maxime lui désigne un bar et lui donne une série d’instructions : Alice devra simplement s’asseoir au comptoir et commander un demi. Les clients, tous des hommes d’âge moyen, la regardent, interloqués.Quelques minutes plus tard, Maxime entre à son tour dans le bar en vociférant :
— Qu’est-ce que tu fais là ? Tu traînes encore ici, salope !
Sans lui laisser le temps de répondre, Maxime lui assène une gifle magistrale qui la déséquilibre et la fait s’étaler au sol ainsi que son verre. D’un geste brusque, Maxime arrache sa minijupe et il lui assène une fessée d’une rare violence. Les clients du bar regardent sans rien y comprendre. Tout est allé très vite, ils n’ont même pas eu le temps d’intervenir pour défendre la jeune femme.Maxime pose les mains sur la croupe de la soumise, puis, écartant les deux globes, il plonge derechef son dard dans la rondelle d’Alice.D’où ils sont placés, les clients ne voient pas tout, la plupart pensent qu’ils simulent, mais l’engin acéré laboure en profondeur le fondement d’Alice, allant et venant avec application. Maxime aimerait continuer, mais il craint la réaction des autres clients. Il la bourre fortement une ou deux fois de plus avant de déguerpir.
Alice se relève péniblement, se rhabille tant bien que mal. Elle refuse l’aide que veulent lui apporter certains clients et elle quitte les lieux en boitillant, puis elle rejoint Maxime au point de rendez-vous quelques rues plus loin.
— Alors ? dit Maxime.— Parfait ! Violent et brutal comme j’aime !
Maxime lui sourit sans dire un mot, puis il la ramène au château.
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