Je suis pieds nus et je descends les escaliers le plus silencieusement possible. La porte en bas des escaliers grince beaucoup. Je l’ouvre lentement. J’ai l’impression de faire un boucan d’enfer. La porte enfin refermée je me dirige à tâtons vers la cuisine. Je vois que la lumière est allumée. J’espère que c’est Franck. Je m’approche lentement et passe la tête dans l’ouverture. Franck est là, habillé de seulement un caleçon. Il est contre l’ilot central et boit un verre de whisky. Il me voit et me sourit. — Entre Julia, ne fais pas ta timide. J’entre lentement. J’ai attaché mon peignoir qui cache tout ce que je porte en dessous. Il doit penser que je suis peut-être nue en dessous. L’idée m’amuse. — Qu’est-ce que tu fais ici à cette heure ?— Je suis venue chercher ma culotte, celle que vous m’avez prise.— Je ne t’ai rien pris du tout. C’est toi qui me l’as donnée.— C’est vrai mais vous m’avez proposé de venir la récupérer. Alors me voilà.— Tu y tiens vraiment à cette culotte ? Tu sais elle ne sent pas très bon. Il expose son trophée fièrement. — J’aime bien son odeur moi. Et je pensais que vous aussi. Il sourit et me dévore du regard. — Je peux te l’échanger contre celle que tu portes actuellement si tu veux. — Et qu’est-ce qui vous dit que je porte une culotte ? Je suis peut-être nue sous ce peignoir. — Te connaissant tu n’aurais pas osé venir sans culotte, tu es trop pudique. Il me scanne de haut en bas plusieurs fois. — Tu es super bien maquillée et coiffée, tu as mis du vernis sur les mains et les pieds. Je suis impatient de voir le reste.
Je reste figée. Je tremble légèrement et surtout mon string est déjà trempé. — Fais tomber ce peignoir Julia. Je le détache et le fait glisser lentement sur le sol. Je me retrouve en nuisette et string devant Franck. Il mate chaque centimètre de mon corps et ne dit rien pendant quelques secondes. — Très joli et très bon choix de tenue. Pourquoi viens-tu me voir habillée ainsi ?— J’ai envie de vous plaire, tout simplement.— C’est tout ? tu sais que tu me plais au naturel Julia. C’est ta tenue naturelle ça ?— Non.— Alors pourquoi cette tenue ? — Je veux vous donner envie de moi. — Ah. Tu es donc une allumeuse. Je rougis et je baisse les yeux. — Ça fonctionne en tout cas, j’ai envie de toi. Maintenant quoi ? Je ne comprends pas où il veut en venir. Il attend quoi ? Il a envie de moi il vient de le dire. Pourquoi il ne fait rien. Il veut que je fasse le premier pas ? Même pas en rêve ! Je réfléchis un instant et je commence à paniquer. — J’ai envie de vous moi aussi. — Ah ben enfin nous y voilà. Il me fait signe d’avancer un peu. Je me rapproche de quelques pas. — Enlève ta nuisette Julia. Je m’exécute et la laisse tomber sur le sol. Je suis maintenant à moins de 2 mètres de lui et seulement vêtue d’un string noir trempé. Je vois que son regard me parcourt le corps et s’arrête avec admiration à plusieurs endroits. Mes tétons pointent mais pas à cause du froid. J’ai extrêmement chaud dans le bas ventre et j’ai du mal à rester en place. Je me tortille sur place. Et je ne fais rien pour cacher tous ces éléments révélateurs. — Tu es vraiment magnifique tu sais Julia. Je rougis encore plus. — Fais glisser ton string lentement jusqu’au sol maintenant. Je saisis les deux ficelles sur mes hanches avec chacune de mes mains et lentement je le fais glisser et rouler le long de mes cuisses. Mon sexe intégralement épilé apparait. Il doit être bien luisant. En tout cas je confirme que le string lui est bien mouillé. Au moment où j’arrive juste au-dessus des genoux je le lâche et il tombe à mes pieds. Je le retire complètement et le pousse dans sa direction avec mon pied. Il le ramasse et le porte à son nez. Il s’amuse à le renifler en me regardant. — J’adore ton odeur Julia.— Merci Franck. Je ne peux guère enchainer plus de mots. L’excitation, l’envie, le trac et le stress de la suite me paralysent de plus en plus. — Petite question pour toi Julia. Tu m’as dit que tu n’as jamais pratiqué le sexe oral. Mais quelqu’un a-t-il déjà eu la chance de bouffer ton adorable petite chatte que je vois là ?— Non Franck, personne. — Souhaites-tu que je sois l’heureux élu pour ta première fois ?— Oui. Il marque une pause. — Alors demande le moi Julia. Il sait comment me perturber et me faire rougir. Il me comprend vraiment bien et j’ai l’impression qu’il lit en moi et s’amuse avec moi. — Je veux que ce soit vous Franck.— Tu veux que ce soit moi qui fasse quoi Julia ? Je déglutis et prends mon courage à deux mains. Après tout j’en meure d’envie. — J’aimerai beaucoup que vous me bouffiez la chatte Franck. Il sourit à nouveau. — Ce sera avec plaisir jeune demoiselle. Tu progresses bien petite coquine. Viens par là. Il ouvre ses bras m’invitant à aller contre lui, ce que j’ai fait sans hésiter une seule seconde. Je me retrouve nue contre lui la tête blotti dans son torse poilu. Sa main posée au creux de mon dos remonte le long ma colonne, elle arrive au niveau de mon cou. Il me caresse la joue avec son pouce, saisi mon menton et le relève. Nos regards se croisent. Je suis noyée dans ses yeux gris qui me regardent avec envie. Ses lèvres s’approchent des miennes. Je sens sa respiration sur mon visage. J’entrouvre les lèvres. Mon souffle s’accélère légèrement. Nous sommes à deux doigts de faire la jonction. Je ne tiens plus. Je me mets sur la pointe des pieds. Les quelques centimètres gagnés me permettent enfin de toucher au but. Nous échangeons un baiser plein de passion. Sa langue vient fouiller ma bouche. Je passe mes bras autour de son cou et m’accroche à lui. Tout en continuant à m’embrasser il me soulève sans effort et vient m’asseoir sur le plan de travail de l’ilot. Il enlève tout ce qui traine dessus et me fait basculer en arrière. Mes épaules se posent délicatement sur le plan de travail qui est bien frais. Mes fesses arrivent tout pile à l’autre bout. Je replis les jambes pour prendre appui avec mes pieds sur les côtés de l’ilot. Je dois ressembler à une grenouille prête à être dégustée. — On dirait que le repas est servi. Garde les cuisses bien écartées petite coquine. Il se met sur le sur le côté et tout en m’embrassant il caresse mes cheveux d’une main et mes seins de l’autre. Il descend et commence à m’embrasser le cou. Il continue sa progression jusqu’à mes seins. Il passe un moment à jouer avec sa langue sur mes tétons. Il les suce, les lèche. il les prend à pleine main aussi et en profite pour bien les palper. Je suis aux anges et je suis déjà sur le point de jouir. Il enchaine avec mon ventre puis mes hanches. Il me mord les cuisses. Je gémis de plus en plus fort. Cette fois il se positionne entre mes cuisses. Il dépose un baiser juste au-dessus de mes lèvres. Par réflexe je tends mon bassin vers l’avant, ce qui traduit mon impatience et mon envie. Soudain je sens sa langue se poser sur mes lèvres tout en bas. Il remonte lentement en appuyant légèrement jusqu’à mon clito. Je sens comme une décharge électrique me parcourir le corps. Je ne tiens déjà plus en place et je me retiens de crier mon plaisir. Il recommence la même chose plusieurs fois et très lentement. C’est une vraie torture de plaisir. Je sens sa langue appuyer et me pénétrer. Il fait des mouvements de va et viens avec sa langue. Je me cambre. C’est trop bon. Je ne sais pas pendant combien de temps il m’inflige cette délicieuse torture. — Tu apprécies Julia ?— Hmmmm oui… oui… oui… Continuez s’il vous plait Franck ! Il vient caresser mes lèvres avec deux doigts. Je dégouline je le sens. Il les introduit lentement dans ma chatte. Il commence à me baiser avec ses doigts. Je n’en peux plus je vais exploser. Au moment où je m’y attends le moins je sens sa langue se poser sur mon clito qu’il titille avec énergie et sans interruption. Ses doigts continuent leur travail de plus en plus en profondeur. Impossible de me retenir je gémis de plaisir. — Aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh Ouuuiiiiiiiiiiiiiiii. Encore !!! C’est trop bon ! Je ne résiste pas longtemps au traitement qu’il m’inflige et un orgasme comme je n’en ai jamais eu jusqu’à maintenant se répand dans tout mon corps qui convulse. J’ai du mal à garder les yeux ouverts, mon cœur bat à mille à l’heure, mes mains, mes bras et mes jambes tremblent et je ne les contrôle plus. J’ai des papillons dans le ventre et j’ai l’impression d’avoir inondé le plan de travail. Franck s’est redressé et me regarde me débattre avec mes sensations. Je reprends petit à petit mon souffle. Franck saisit mes cuisses et me tire vers lui. Mes fesses sont limites dans le vide et j’entoure sa taille avec mes jambes. Je sens quelque chose frotter contre mon sexe. Je vois ses deux mains sur mes cuisses, j’en déduis que c’est sa queue. Il s’amuse à la frotter en me regardant fixement avec ses yeux gris et avec un sourire vicieux. — Baisez-moi s’il vous plait Franck.— Tu en es certaine ?— Oui je n’attends que ça ! Il m’empale et reste au plus profond de moi. J’ai presque joui rien qu’avec l’introduction de sa queue. Il commence de très lents va-et-vient tout en me maintenant les cuisses bien écartées. Il accélère petit à petit et me fait l’amour pendant de longues minutes dans cette position avec tendresse et envie. Je sens que je vais jouir à nouveau. — Aaaaaaaaaaaahhhhhhhh. Ouiiiiiiiii ! Mon corps se cambre à nouveau et je jouis alors que son sexe est bien ancré profondément en moi.Il me libère et me fait descendre de l’ilot. Je me retrouve contre lui et le bas de mon dos contre le plan de travail. Il m’embrasse et je lui rends son baiser. Il en profite pour m’attraper les fesses et les palper. Je sens que mon corps lui plait et j’adore ça. — Tout va bien Julia ?— Oui tout va bien, tout est parfait. Je souris et j’en profite pour admirer sa queue pour la première fois. Je la trouve très belle. La pilosité est très bien entretenue. Elle est toujours bien dressée et me parait énorme. Son gland me fait très envie. Je trouve son sexe très beau. — Bon maintenant que tu as eu ce que tu voulais c’est à mon tour de prendre mon pied avec toi petite coquine. Il me retourne et me penche sur l’ilot. Je suis en appui sur mes avants bras. Il me claque le cul, pas trop fort pour que ce soit insupportable mais je dois avoir la fesse bien rouge quand même. — Cambre-toi bien et tends-moi ton petit cul salope ! Un frisson parcourt mon corps. Salope ? En temps normal je serai partie au quart de tour. Mais là c’est comme cela que je me sens, comme une salope. Et je veux qu’il me baise comme la salope que je suis. Je ne dis rien et je m’exécute. Je me cambre du mieux que je peux. Il pose les deux mains sur mes hanches et appuie sur mes lèvres avec sa queue. Il entre entièrement en moi et ne bouge plus.Il claque mes fesses avec sa main gauche. — Hmmmmmmmmm Avec sa main droite il remonte sur ma hanche, mon dos puis ma nuque. Il saisit mes cheveux et me tire légèrement la tête en arrière. Je suis cambrée au maximum au point que mes seins pointent fièrement droit devant moi. Il commence à me pilonner. Il fait deux ou trois vas et viens plutôt lents puis lance sa chevauchée endiablée tout en me tenant les cheveux. Son pubis claque contre mon cul à chaque pénétration. Sa main gauche alterne entre des claques sur mes fesses ou des palpations sur mon sein. — Ouiiii. Ouiiiii…. Ouiiiiiiiiiiiii C’est tout ce que je parviens à dire. Je suis au septième ciel. Un troisième orgasme me fait exploser. Cela ne le perturbe pas il continue de plus belle. Je ne suis pas habituée, ni aux préliminaires ni à autant d’endurance de la part d’un homme. Je ne sais pas pendant combien de temps il me baise ainsi. J’ai perdu la notion du temps. Il finit par me libérer. Je reprends mon souffle et me retourne pour lui faire face. Je cherche son regard et lui fait un petit sourire. — Je vois que tu aimes te faire baiser sauvagement Julia.— Oui c’est loin d’être désagréable. Je regarde sa queue toujours bien raide. Combien de temps peut-il encore tenir ? Moi je suis proche de mes limites. — Tu as ce qu’il faut au niveau contraception Julia ?— Oui j’ai un stérilet. Vous pouvez jouir en moi Franck. — C’est ce que tu veux ?— Oui j’en ai très envie. — Ok alors tu vas travailler un peu et me prouver que tu en as vraiment envie. Il va dans le salon. Je le suis. Il s’assoit sur le canapé et étend ses bras sur le dossier de chaque côté. Sa queue est toujours droite comme la tout Effel. — Vient t’empaler sur ma queue et fais-moi jouir en toi Julia. — D’accord ! Je monte sur le canapé à côté de lui et me mets à califourchon face à lui. Je saisis son sexe et le guide vers ma chatte. Une fois son gland rentré en moi, je pose mes mains sur ses épaules et je descends lentement en m’empalant de plus en plus sur sa queue jusqu’à ce que mes fesses se posent sur ses cuisses. — Voilà Franck je suis toute à vous.— Fais-moi jouir Julia. Donne tout ce que tu as et je te remplirai la chatte. Il m’embrasse et je commence à bouger mon bassin. J’accélère jusqu’à ce que je trouve que le rythme soit assez élevé et j’essaye de le maintenir. Franck ne reste pas passif et profite de la situation pour attraper mes fesses et littéralement me bouffer les seins. Je ne sais pas s’il va bientôt jouir mais moi en tout cas je suis au bord du précipice. — Ah tu es douée petite salope ! Continue comme ça ! Sa remarque me motive et j’accélère encore plus le rythme. Je ne tiens plus je vais jouir. — Aaaaaaaaaahhhhhhh ouiiiiiiiiiiiii Mes lèvres se contractent et je jouis une quatrième fois. Mon bassin se relève et mes jambes tremblent à nouveau. Franck saisit mes fesses et rentre sa queue brusquement au plus profond de moi et la maintient ainsi. Je sens sa queue se contracter et son sperme chaud me remplir par saccades. Je souris en le regardant et il me sourit en retour. On s’embrasse à nouveau et on reste un petit moment l’un dans l’autre. Je finis par me dégager et me relever. Je glisse une main sur ma chatte pour empêcher le sperme de couler et éviter d’en mettre partout. Je commence à me diriger vers les toilettes mais Franck m’arrête. — Julia, reste ici que je puisse t’admirer encore un peu. Je le maudits, j’ai la main pleine de sperme et ce n’est pas trop confortable. Il le fait exprès. Il se lève et m’embrasse à nouveau. — Tu peux y aller. Dépêche-toi, je t’attends ici. Je cours comme je peux vers les toilettes. J’ai une énorme envie de faire pipi. Je me soulage et j’essuie tout le sperme sur mes cuisses. Une fois que tout est bon je sors et je retourne vers Franck dans le salon. Il est toujours nu et son sexe n’a pas beaucoup débandé. Il veut remettre ça ? J’écarquille les yeux. Il se met à sourire en voyant ma réaction en regardant sa queue. — Ne t’inquiète pas Julia je pense que tu as eu ta dose pour cette fois. Va chercher tes vêtements dans la cuisine s’il te plait. Je reviens avec mon peignoir, ma nuisette et mon string. J’ai récupéré ma culotte de ce matin également. Je pense que je l’ai méritée ! — Approche s’il te plait. Je le rejoins et il me montre sa queue. — Nettoie-la que je puisse remettre mon caleçon. Je lève les yeux avec un regard interrogateur. Il veut que je suce ? — Avec ma bouche ?— J’adorerai mais je préfère garder ce plaisir pour une prochaine fois. Prends ton string et essuies toute ta mouille et mon sperme sur ma queue. Je m’agenouille devant lui, prends mon string et je commence à essuyer délicatement son sexe. Je m’applique et j’en profite pour le regarder en me mordant la lèvre. — Arrête de jouer à ça si tu ne veux pas te refaire baiser encore ! Je sens que sa queue recommence à durcir. J’arrête mes bêtises et je pense qu’elle est bien nettoyée. — Voilà Monsieur, cela vous convient ? — Oui ce n’est pas trop mal. Il va récupérer son caleçon et se rhabille. Il me regarde avec un air interrogateur. — Tu ne t’habilles pas Julia ?— Euh… Je prends ma nuisette et l’enfile et je mets mon peignoir. — Et ton string ? Quoi ? Il est plein de sperme et de mouille. Il m’a fait essuyer sa queue avec et il veut que je le remette ? Encore une fois il avait prévu son coup à l’avance. Je ne me débine pas. Je passe une jambe puis l’autre et le remets comme si rien ne s’était passé. Je lui sors mon plus beau sourire possible. On boit un grand verre d’eau dans la cuisine en restant l’un contre l’autre. — Il est temps d’aller se coucher maintenant Julia. On se dirige vers les escaliers et on s’embrasse une dernière fois. — Tu pues le sexe petite coquine ! Bonne nuit. — Bonne nuit Franck et merci pour ce moment inoubliable. A demain. Je rejoins ma chambre. Clément n’a pas bougé et il ronfle comme quand je l’ai laissé. Je pensais que de revoir Clément aller me faire culpabiliser plus que cela. Je suis juste heureuse à l’instant. Je me couche directement et m’endors presque immédiatement. Je porte encore mon string souillé par nos ébats.
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