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Le maître du jeu

Chapitre 12

Hétéro
Dimanche
Je me réveille plutôt en forme vers 9h30. Clément est déjà réveillé et est sagement allongé à côté de moi. Il est occupé avec son téléphone. Je l’embrasse et pose ma main sur son sexe.
— Pas ce matin Julia, je n’ai pas envie.— D’accord pas de souci mon amour. Quand tu voudras.
Je lui fais un clin d’œil.
— C’est quoi le programme de la journée ?— Je crois que mes parents ont prévu d’aller à la plage cet aprem. — Ok ça me va. Ce matin ce sera repos alors.
Je me lève et m’habille. Je mets un short en jean, un soutif et un t-shirt noir. Je me dirige vers la porte.
— Je te prépare un café mon amour ?— Oui s’il te plait. Tu ne veux pas remettre une robe comme quand on est sorti plutôt que ce short ?— Euh… c’est plus confortable le short tu sais.
Je me rappelle qu’il m’a demandé de faire des efforts.
— D’accord Julia je comprends. Avant de partir à la plage change toi et sois sexy s’il te plait.
Je le trouve très bien ce short pourtant. Je ferai bander pas mal de mecs avec ! Il aime vraiment qu’on me mate on dirait. Ca sent mauvais pour la suite… Je descends pour lui préparer son café. Je croise Franck dans la cuisine qui se fait couler un café.
— Bonjour Franck vous allez bien ? Isabelle est avec vous ?— Bonjour Julia. Ca va et toi ? Elle est dehors.— Ca va ! Clément va descendre d’une minute à l’autre.
Je m’approche et l’embrasse amoureusement mais ne fait pas durer le plaisir.
— Cet aprem en rentrant de la plage, il faut qu’on se débrouille pour rester plus longtemps et rentrer seuls tous les deux. Si vous le voulez bien évidement.
Je m’approche de son oreille et je murmure :
— Et mon cul et ma bouche seront tout à vous Franck.— On va bien trouver quelque chose ne t’en fais pas.
Franck me fait un clin d’œil et sort avec son café. Je prépare le café de Clément et le mien. La matinée se passe tranquillement ainsi que le repas. Je fais quelques signes très clairs à Clément pour lui montrer que je suis open pour une partie de jambes en l’air s’il le souhaite. Mais il m’envoie balader ou m’ignore à chaque fois. Je finis par abdiquer et je me réserve pour mon amant. Tant pis pour lui ! J’ai pris confiance en moi depuis le début des vacances. Je sais très bien que je peux satisfaire sexuellement les deux aujourd’hui.
Le temps passe et l’heure de partir pour la plage approche.
— Tu viens te changer Julia ?— J’arrive mon amour.
On monte dans la chambre. Je mets mon bikini et prend une robe légère que j’enfile par-dessus.
— Non ma chérie enlève cette robe.
Il fouille dans mes affaires et me tend une mini-jupe noir ultra courte que j’ai achetée avec Franck.
— Et rien d’autre ?— Non rien d’autre. Ca suffira.
Elle ne cache rien, c’est juste un détail d’apparence. En gros je vais me balader en bikini. Ce n‘est pas trop mon style mais bon c’est moi qui l’ai acheté après tout et je fais les efforts qu’il m’a demandé. Je me sens très pute avec. L’attitude de Clément m’agace, qu’il me dise clairement qu’il veut que j’allume les autres mecs ! De toute façon c’est mon amant qui va bien se faire plaisir avec la marchandise et la tenue va bien l’exciter. On descend rejoindre ses parents et on part pour la plage.
Je peux discuter assez rapidement avec Franck sur le trajet.
— C’est Clément qui a insisté pour la tenue.— Tu comptes aller jusqu’où concernant ses envies par rapport à toi ?— Je ne sais pas. Enfin si, je ne coucherai pas avec un inconnu pour lui.— D’accord, c’est toi qui décide. Tu le sais.
On arrive à la plage et on s’installe. Je décide de bronzer tranquillement. J’ai juste à enlever la mini-jupe. Il y a un peu de monde aujourd’hui mais ça va il reste de la place. Je bronze depuis un petit moment quand Clément s’approche de moi.
— Enlève le haut Julia.— Quoi pourquoi ? Je ne fais pas de bronzage intégral tu le sais. Et il y a trop de monde !
Je fais une pause et je reprends.
— C’est ça qui t’intéresse pas vrai ?— Oui, je vois qu’il y a deux ou trois voyeurs qui te matent déjà. Donnes leur en plus à se mettre sous la dent.— Je n’en ai pas envie, ça me gêne Clément !— Ok d’accord, comme tu veux. Tu voulais qu’on communique alors je te dis ce qui me fait envie et ce que j’aimerai. C’est ce que j’essaye de faire là !
Il retourne sur sa serviette. Il a réussi à me faire culpabiliser. Non non non Julia, ne sois pas aussi conne ! Bon il ne me demande pas de baiser des inconnus non plus là.
— Ok Clément, je le fais pour toi.
Je retire mon haut et libère ma poitrine. Je sens de plus en plus de regards sur moi. J’aperçois Franck également qui me fait les gros yeux et secoue la tête de droite à gauche en signe de désapprobation. Il sait que ce n’est pas ce que je veux. Clément me demande de rester un maximum sur le dos afin que ma poitrine reste bien à la vue de tout le monde. Ce petit jeu dure une bonne heure. J’ai super chaud et je commence à bien cramer. Je bois ma bouteille d’eau cul sec tellement j’ai soif. Je finis par me rhabiller pour aller me baigner. Quand je reviens je vois Isabelle commencer à remballer ses affaires.
— Vous partez ?— Oui il est déjà 17h30 et comme on a décidé de faire un barbecue ce soir il faut rentrer pour tout préparer. J’ai demandé à Clément de m’aider.— D’accord, ça ne vous dérange pas si je reste le temps de sécher un peu ? — Non pas de soucis prends ton temps. Franck reste aussi. Ne tardez pas trop quand même.— D’accord Isabelle, à tout à l’heure.
Apparemment Franck a bien tout prévu. Je commence même déjà à mouiller en pensant à ce qu’il m’attend. Je les regarde partir et une fois qu’ils se sont bien éloignés je vais voir Franck.
— Je vais rapidement aux toilettes et on y va comme prévu ?— Tu as besoin de faire quoi aux toilettes ?
Son visage est fermé et il ne semble pas du tout de bonne humeur. Depuis mon petit jeu topless avec Clément je sens que son regard est rempli de colère quand il me regarde.
— J’ai beaucoup bu et j’ai envie de faire pipi.— Tu peux te retenir ! On y va, prends tes affaires.
Je rassemble mes affaires, je prends mon sac et on part en direction de la villa. Le début du trajet et très silencieux. Je n’ose rien dire. Je me tortille dans tous les sens, j’ai vraiment très envie de soulager ma vessie. On arrive bientôt à proximité du petit coin secret. J’ai très envie d’y aller avec Franck alors je le sonde pour voir s’il a bien la même chose que moi en tête.
— Vous voulez toujours vous arrêter avec moi Franck ?— Apparemment peu importe avec qui tu t’arrêtes tant que tu t’arrêtes non ? Petite pute !
Bon il est vraiment énervé. Pourtant je n’ai pas fait grand-chose je trouve.
— Pourquoi vous dites cela ?— Je vois que finalement tu acceptes de faire la pute pour ton copain alors que je croyais que tu ne voulais pas.— Mais je ne veux pas ! C’était juste pour lui faire plaisir, personne ne m’a touché !— Pour le moment ! Qu’est-ce que tu crois qu’il t’attend pour la suite ? Tu penses vraiment qu’il va se contenter de te faire reluquer par des voyeurs sur la plage ?
Il n’a pas tort. Je sais bien que Clément va m’en demander toujours un peu plus. Je me suis lancé dans son jeu maintenant et je lui ai donné le feu vert en quelque sorte.
— Non je le sais bien. Je poserai les limites et dirai stop quand il le faudra.— Pffff ! Vraiment ? Tu as déjà dépassé tes limites cet aprem et je ne t’ai pas vu dire stop, bien au contraire. Ou alors peut-être que tu avais envie de montrer tes nichons à tout le monde ?— Je… je… je…
Je ne sais pas quoi dire en fait. Il a raison, j’ai merdé. Je sens que je vais me faire engueuler bien comme il faut si je ne me défends pas mieux que ça.
— Ça suffit, tais-toi maintenant. Je n’ai pas envie d’entendre tes excuses bidons.— D’accord. Il faut vraiment que je trouve des toilettes, ça devient très urgent là.
Je lui indique le petit chemin qui mène au petit coin bien isolé. Une fois à l’abri des regards et du passage de la route principale il m’arrête.
— Continue à quatre pattes maintenant.
Je ne pose aucune question et je le fais. Il est déjà assez énervé. J’avance beaucoup moins vite mais on progresse et on s’approche de la fin du chemin.
— Aller viens par-là petite chienne.
Il m’attrape par les cheveux et me tire doucement vers un tout petit coin d’herbe à l’entrée du petit bois.
— C’est bien ! Assis maintenant et fais pipi !
Je suis rouge de honte et je n’ose pas lever les yeux. D’un autre côté j’ai tellement envie que je suis soulagée qu’il me donne cet ordre. Je retire ma mini-jupe et mon bikini très rapidement. Je fais un énorme pipi accroupie devant lui. J’ai l’impression que ça ne va pas s’arrêter mais je ne peux pas me retenir. Je vide ma vessie devant lui. Il prend les vêtements que j’ai retirés. Je n’ai plus que le haut de mon bikini qui recouvre mes seins.
— Et bien ! Il était temps de te sortir. C’est bien, bonne chienne ! Suis-moi maintenant et reste bien aux pieds.
Il avance dans le petit bois et je le suis docilement, toujours à quatre pattes. Les épines, les écorces, les racines et les cailloux me font mal aux mains et aux genoux. Je ne dis rien et je sers les dents. Je comprends assez rapidement qu’il s’amuse à me promener un peu comme cela car je tourne un peu en rond. Je suis toujours aussi rouge et qu’est-ce que j’ai honte…
— Ça te dirait que je te filme ? On pourrait mettre ça sur internet puisque tu aimes te montrer et faire la salope. C’est ça que tu veux ?
Il sait très bien l’effet que me fait sa réflexion et que je n’accepterai jamais. Il sait que j’arrêterai tout à l’instant où il commencera à mettre sa menace à exécution. Il cherche clairement à me faire réagir et il est très en colère, je le ressens même sans le regarder. Je m’effondre et je pleure comme une madeleine.
— Je suis vraiment désolée. Tu as raison j’ai complètement déconné, j’aurai dû dire non et m’y tenir. Je suis trop conne de toujours vouloir faire plaisir aux autres sans penser aux conséquences pour moi. — Tu sais que tu vaux mieux que ça Julia. C’est à toi de faire en sorte que ça change.
Il s’approche de moi et essuie mes larmes avec sa main. Je n’ai pas prononcé le mot « pause » mais il agit comme si je l’avais fait. Il a raison car j’ai complètement craqué et je n’ai même pas pensé à le dire. Il m’aide à me relever et me sert dans ses bras. Il m’embrasse avec une tendresse qui contraste fortement avec sa colère qu’il montre depuis qu’on est seuls tous les deux.
— Je suis vraiment désolée Franck, je te promets que je vais faire des efforts.— Tu crois que ça te suffira comme punition ?— A toi de voir.
Il sourit et me regarde un avec un air vicieux cette fois. Il parle calmement mais je sens qu’il est encore très sérieux et en colère.
— Tu te souviens de la dernière fois ? Juste après ta punition je t’ai épargnée et tu as continué de faire des conneries. Tu as même été très insolente en m’allumant. Je ne ferais pas deux fois la même erreur.— Mais j’ai été punie pour cela et je me suis excusée !— Je veux m’assurer que tu as bien compris cette fois Julia. Je vais faire en sorte que tu t’en souviennes.
Et merde. Je suis déjà émotionnellement au bout du rouleau après ce qu’il vient de me faire subir. J’ai bien compris la leçon mais il ne veut rien savoir apparemment. A quoi bon lutter ? Je le mérite après tout. Je me remets à genoux.
— Qu’attendez-vous de moi Franck ? Je vous promets de bien obéir et de faire de mon mieux pour vous satisfaire.
Il réfléchit quelques instants.
— Déjà tu attendras mon accord pour jouir. Et crois-moi tu ne l’auras pas aujourd’hui.
Je fais la moue, j’étais impatiente de me retrouver en tête à tête avec lui justement pour ça.
— Debout maintenant ! Penche-toi contre cet arbre et cambre-toi bien.
Je m’empresse de le faire et lui tends bien mes fesses. Il s’amuse à les claquer assez fortement.
— Aie ! Ca fait m…
Paf ! Une deuxième grosse claque sur l’autre fesse.
— Ferme là ! je ne veux plus t’entendre jusqu’à ce qu’on soit à la villa. Compris ?— Oui…
Il continue de maltraiter mes fesses qui doivent être bien rouges tellement ça pique et ça brûle au bout d’un moment. J’imagine dans ma tête la scène vu de l’extérieur. Me voir me faire fesser dans cette tenue dans un bois me fait me sentir très humiliée. Et voilà, je mouille. Je dois aimer ça ! Franck s’en rend compte et passe un doigt sur mes lèvres.
— C’est que tu as l’air d’apprécier ce traitement petite salope !
Soudain je l’entends baisser son short et s’approcher de moi. Son gland entre en contact avec mon sexe. Je sursaute. Il le frotte pendant quelques secondes. Je mouille beaucoup et en plus je ne me suis pas essuyée après m’être soulagée tout à l’heure. Il doit y avoir un sacré mélange d’odeur en bas ! Je me cambre au maximum pour lui faciliter l’accès et qu’il me prenne. Mais ce n’est pas son intention on dirait.
— Tu aimerais hein ? Ça te ferait trop plaisir et ce n’est pas l’objectif pour le moment !
Il claque une nouvelle fois mes fesses. Je sers très fort les dents pour ne pas crier. Il les écarte et cale son gland contre mon petit trou. Il ne va pas m’enculer à sec quand même ? Bon il a un peu lubrifié son sexe avec ma mouille mais c’est très léger je trouve. Il accentue la pression de plus en plus. Il force le passage et je sens que mon cul va céder s’il continue. Ça fait vraiment mal. Tout mon cul est en feu, que ce soit mon anus ou mes fesses j’ai vraiment la sensation d’avoir le feu au cul ! Je fais de mon mieux pour tenir le coup et je ne dis rien, je souffre en silence. Il finit par entrer complètement en moi. Contrairement à la dernière fois il ne laisse pas trop le temps à mon corps de s’habituer à cette intrusion. Il commence des vas et viens mais assez lents quand même. Il fait un minimum attention à moi, ça me rassure. Ça fait quand même un mal de chien, surtout au début. Il s’arrête de bouger sans prévenir.
— Travaille un peu salope. Baise-toi bien sur ma queue !
Je remue le bassin pour continuer les mouvements qu’il a initié. J’y vais avec précaution à cause de la douleur. Il claque à nouveau mes fesses.
— Mieux que ça salope. Fais un effort !
J’accélère le rythme comme je le peux. Il me laisse faire et quand il sent que je commence à fatiguer il prend le relais. Il me baise franchement le cul. Je me suis habituée à sa bite dans mon petit trou et je commence à gémir de plaisir. C’est vraiment très bon et j’en oublie même la douleur que je ressentais il y a quelques minutes. Ça valait le coup ! J’essaye de me contrôler pour ne pas jouir. C’est de plus en plus difficile.
— Hmmmm qu’est-ce que j’aime ton cul !
Je le sens se contracter et jouir abondamment et profondément en moi. Il reste un certain temps bien ancré en moi. Quand il me libère il me retourne et j’ose enfin croiser son regard.
— A genoux et nettoie.
Mais elle sort tout juste de mon cul ! Je me mets à genoux mais ne le prend pas en bouche tout de suite. Je reste silencieuse comme il me l’a demandé. Je le supplie du regard.
— Soit tu nettoies soit on arrête le jeu. Dis le mot Julia ou ouvre grand la bouche. Tu l’as mérité et tu le sais.
J’ai fait assez de conneries pour la journée. Je décide d’assumer et de ne pas lui donner le plaisir d’abandonner une seconde fois aujourd’hui. Je sors ma langue et m’applique à faire briller sa queue. C’est l’odeur du sperme qui domine et ce n’est finalement pas si terrible je trouve. Il me laisse faire un long moment. Sa bite commence même à se dresser à nouveau. Quand je suis satisfaite je m’arrête et le regarde à nouveau.
— Bon deuxième round ! Je sens que j’en ai encore en réserve.
Pas le cul s’il vous plait ! Pas le cul ! Tout ce que vous voulez mais pas le cul. Je le supplie dans ma tête.
— Ouvre la bouche petite pute.
J’ouvre grand et il me baise frénétiquement a bouche. Son objectif n’est pas de faire durer le plaisir apparemment. Et tant mieux parce que je suis épuisée et en plus je n’ai pas le droit de jouir. Cette situation m’excite beaucoup pourtant. Il s’arrête et sort de ma bouche.
— Ouvre bien grand, n’avale pas et garde bien tout dans la bouche.
Il jouit dans ma bouche. Je fais le nécessaire pour tout bien prendre dans la bouche en rentrant le bout de son gland entre mes lèvres. Une fois que je sens qu’il a fini je le libère en suçant bien le bout de sa queue pour ne pas laisser tomber une seule goutte. J’attends sagement. Il remonte son short et me tend mon bas de bikini et ma mini-jupe.
— Remets ça et garde la bouche pleine salope !
Je m’habille assez rapidement. Je commence à galérer un peu, j’essaye de bien m’habituer à respirer par le nez. Cette fois je sens bien le goût et l’odeur du sperme. J’ai l’impression d’en avoir partout tellement l’odeur et le goût sont présents.
— Au moins je suis certain que tu vas rester silencieuse ! Aller on rentre et tu attends mon accord pour avaler !
Combien de temps compte-t-il me laisser avec la bouche pleine de son foutre ? Je suis de nouveau toute rouge de honte et complètement humiliée. On croise plusieurs personnes. J’essaye de paraitre normale et je détourne le regard ou me cache derrière Franck. Le point positif c’est que je crois que je me suis plutôt bien habituée à son goût. On arrive à la villa. Je suis devant la porte et je le regarde avec de grands yeux interrogateurs.
— Quoi Julia tu veux dire quelque chose ? On ne parle pas la bouche pleine. Rentre !
J’écarquille grand les yeux. Il est fou ! Il me pousse légèrement à l’intérieur. Je vais me retrouver en face de ma belle-mère ou de mon copain avec la bouche pleine si ça continue. On se dirige vers la cuisine. J’entends du bruit à l’intérieur. J’attrape Franck par le bras tellement je panique. Il me fait signe de me taire et de ne pas faire de bruit. A un mètre de la porte il se place derrière moi et murmure à mon oreille.
— Avale maintenant !
Je n’ai pas le temps de terminer ma première gorgée qu’il me pousse à l’intérieur. J’ai failli tout cracher parterre !
— Ah vous êtes rentrés ! C’est presque prêt. Tu peux me donner un petit coup de main Julia s’il te plait ?
Je termine d’avaler en un quart de seconde et je tousse un peu.
— Oui bien sûr. Comment puis-je vous aider ?
J’ai une haleine qui pue le sperme tellement fort que j’ai l’impression d’avoir encore la bouche pleine et de sortir d’un bukkake. Oui oui je connais ce mot et je sais ce que c’est.
— Amène ces assiettes et ces couverts dehors s’il te plait. Clément s’occupe du barbecue et fait cuir la viande.
Impossible, je ne peux pas. Il faut absolument que je me rince. On va se faire griller sinon c’est certain.
— Oui pas de soucis, j’ai une petite urgence à gérer d’abord et je reviens. Rien de grave ne vous inquiétez pas !
Je luis dis ça en me précipitant vers les escaliers pour monter dans la chambre. Quand j’arrive dans la salle de bain je maudis Franck et j’ai envie de le tuer. Je me mets à sa place une seconde, il s’est bien marré je parie l’enfoiré. Je souris en pensant à cela. Je grimpe carrément dans la douche avec ma brosse à dent et mon dentifrice. Je ne dois pas trainer. Il faut que je nettoie mon cul qui dégouline encore de sperme aussi. Qu’est-ce que j’ai pris et quelle salope je fais ! Je suis toujours excitée et je mouille un peu encore lorsque je sors de la douche. J’enfile un short et un t-shirt et je descends pour aider Isabelle.
Je prépare l’apéro et on se retrouve tous à table. On passe une nouvelle fois un excellent moment tous ensemble. Franck ne parait pas du tout en colère pourtant je sais qu’il l’est. Sinon il ne m’aurait pas traité de la sorte. Si j’avais été sage on aurait fait l’amour comme la dernière fois. Qu’est-ce que ça aurait été bon. Je commence à me perdre dans mes fantasmes. Et je mouille. Là il m’a bien puni et baisé. Et j’ai très, mais alors très envie de lui et de jouir. Je pense sans arrêt à ça. De toute façon il suffit qu’il me l’interdise pour que j’en ai envie. Je suis comme une gamine avec lui et il le sait. Il me fait faire des choses que jamais je n’aurai pu imaginer. Qu’est-ce que j’ai mal au cul aussi !
La soirée se passe tranquillement. Clément ne fait pas plus attention que ça à moi. Tant mieux car s’il veut tirer un coup j’aurai du mal à me retenir de jouir. Je me dis que tant qu’il n’a pas de public pour m’exhiber je ne risque rien. Il semble faire une fixette là-dessus depuis notre petite aventure en groupe avec Mia et Marcus. Isabelle nous détaille le programme du lendemain. Elle a très envie de faire des activités en famille et de profiter que l’on soit tous ensemble.
— Demain c’est journée jeux et divertissement. Bowling, karting, restau… On part tout début d’aprem juste après manger. Vous êtes prévenus !
Ah ma belle-mère et la ponctualité. Elle a vraiment un problème avec ça. Je me demande si elle met un minuteur pour Franck quand il la tringle aussi. Bon il faut que j’arrête de penser au sexe une minute là, je commence à délirer un peu trop ! Il est déjà assez tard. J’arrête l’alcool pour ce soir, ça n’arrange pas mes envies bien au contraire. Je décide d’aller me coucher pour calmer mes ardeurs. Clément reste avec ses parents. Je tourne un peu en rond dans le lit et je finis par m’endormir entièrement nue. Je suis toujours autant excitée. Cette nuit-là mes rêves sont très coquins et très cochons.
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