Sam et moi, on est dans les chiottes d’un bar miteux. Elle a eu envie d’être un peu sulfureuse. Elle est à genoux devant moi entrain de me sucer. Je sais pas si c’est l’idée de me faire prendre, Sam qui s’y donner à fond ou moi qui suis juste heureux, mais putain sa bouche est délicieuse, elle me masse le torse de ses mains si douce alors que ma queue chatouille l’entrée de sa gorge, ses si douces mains, je les effleures, je suis fou d’elle. Une main derrière sa tête pour lui montrer le rythme, histoire qu’elle veuille pas être trop lente. Maintenant ses doigts magnifiques jouent avec mes couilles, les caresse, les touche. Je retire sa bouche de ma virilité, la relève, et la pousse de l’autre côté des toilettes. « à moi de jouer petite.Vas-y Bohington joue avec ton gros avion. » Elle retire son jean, pas de culotte comme d’habitude. Je lui soulève une jambe et place sa cheville sur mon épaule, alors que je m’introduis en elle, elle pousse un râle de bonheur. Elle continue de prendre son pied. On dirait presque dit qu’elle simule tant c’est gros.Je m’en fous je prends mon pied, elle me fait croire qu’elle aussi, donc. Je lui soulève la seconde jambe et la place sur mon autre épaule. Elle ne tiens plus que par ma queue, et la petite paroi en bois qui sépare les latrines. Je vais de plus en plus vite, je ne veux pas me faire prendre dans cette position. Vous imaginez des mecs à moitié bourré qui voient votre queue dans une gonzesse et qui rigolent pendant que vous vous rhabillez. Bref au bout de cinq minutes je termine et jouis en elle. « Oh ouuuuuuuuuuuui.C’est bon Sally t’as finis.Ça va. C’était marrant. » Alors qu’on sort de notre petite séance intime, un mec, quadragénaire, cheveux grisonnant, nous salue avec une bière. Vu la tête de Sam ça doit pas être joli ce qu’il dit. Je lui colle mon poing dans sa petite tête Je dans un poste de police du Sud de l’Allemagne. Les deux flics ont pas l’air d’un Schultz ou d’un Klink. L’un des deux est un grand sec aux cheveux longs noir corbeau et l’autre est un petit gros blond cheveux courts, il porte des lunettes rondes et heureusement il parle notre langue. « Les gars vous allez devenir des héros.Pourquoi ?Je suis recherché par Interpol et ma copine par le FBI.Ouais et moi je suis la reine d’Angleterre.Faudrait que tu perde un peu de poids pour rentrer dans ses robes. »
Les deux idiots sortent de la pièce. Une connerie de baston avec un mec. Putain Sam c’est pas fait embarquer j’espère que je pourrais sortir assez tôt. J’ai deux ou trois bleu au visage et au torse. Je passe une bonne demi heure à prier pour que Sam vienne me chercher. Devinez qui rentre dans la pièce pour me parler ? Mister Amérique Nathan Stark. « Salut l’ami.— D’habitude c’est mes partenaires qui ont les menottes d’habitude.— C’est vrai que Sam aime bien un peu de violence. Si tu es ici c’est qu’elle y est aussi.— La suisse, l’Allemagne tu nous suis partout c’est ça ?— J’ai mes raisons.— J’aimerais bien les connaître. D’ailleurs comment un mec du FBI a pu rentrer ici aussi facilement.— J’ai mes accès. Mais passons. Je peux t’aider sur ton problème vu que tu apporteras une contribution à l’arrestation d’une fugitive tu pourrais être protégé quelque part vers las vegas ou tu pourras avoir des dizaines de filles prêtes à se faire menotter.— Tu sais je pensais que tu étais comme Marshall Man il s’avère que tu es plus une miss Parker.— Et qui est tu dans ce scénario ?— Moi ? Celui qui va te botter le cul.— Bien sûr. Tu descends de ton petit rêve.— Quoi ?! J’y était là ?!— Le sarcasme. Très bonne arme de repli émotionnelle. Tu sais que je te tiens par les couilles et tu aimes ça petit con.— Tu pourrais me les lécher tant que tu y est.— T’as gagné. Befreien Sie ihn ! » Je ne sais pas ce que le marshall a dit mais je suis libre. Alors que je sors de la salle d’interrogatoire il me chuchote avec son accent dégueulasse « Je vais faire de ta vie un enfer. » Je lui rétorque qu’il est en retard. Il a un petit sourire sadique sur son visage, j’adorerais lui enlever à grand coup de tête. Devant le commissariat je vois ma beauté, la chose que j’aime le plus au monde, mon Impala avec Sam assise sur le capot. « Qui tu as sucé pour sortir si vite.— C’est Nathan qui m’a sorti. T’as trouvé où dormir ?— Non. Je me suis fait du soucis pour toi. Je— Je crois savoir ce que tu vas dire. Je t’en supplie, ne le dit pas, ça ne sera que plus dur.— Quoi ?— Je vais me rendre une fois au Danemark, si Nathan nous suis toujours je ferais exprès de déclencher une bagarre et toi tu fuiras. Je le tiendrais le plus longtemps là bas. À la frontière ça sera nos adieux.Mais— Pas de mais, je te protège, je sais pas ce qui va se passer, je ne veux pas te mettre en danger, plus longtemps. Je » Elle me gifle très fort. Elle pleure, elle respire fortement, son petit nez retroussé est devenu rouge, il coule. Je la trouve encore plus belle, elle est magnifique, mais je ne peux pas m’y résoudre. Mais je le dois. Si Stark a décidé de me faire vivre un enfer, alors je l’y enverrais avec moi. Je le jure. « Lance je t’en supplie dis moi que— Tais toi.— Mais— On roule non stop maintenant. C’est un ordre ! » Samantha prend le premier tour de conduite. Je la remplacerais dans trois heures, à six heures du matin.
