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Le MAÎTRE et la soumise

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
J’ai commencé dans un premier chapitre de vous raconter comment moi, Marie-Claire, épouse fidèle, mère et grand-mère accomplie, j’en suis arrivée à me soumettre à un Maître pour mon plus grand plaisir aujourd’hui. Mon Maître a accepté que je décrive mon parcours avec lui, à condition qu’il puisse lui-même intervenir dans le récit chaque fois qu’il est concerné.
Dans ce deuxième chapitre, nous allons, mon maître et moi, exposer la progression de ma soumission beaucoup plus en détail.
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Je suis une femme accomplie de 58 ans avec un mari de 60. Nous avons deux filles mariées de 32 et 34 ans. Je suis une femme au foyer, mais j’ai des activités caritatives et en particulier une association locale d’une dizaine de membres dont je suis responsable, et qui, donc, se réunit souvent chez nous. Côté sexe, j’étais très classique jusqu’à la rencontre avec mon Maître, n’ayant jusque-là jamais dévoilé mon corps à d’autres que mon mari, ni pratiqué la fellation ou la sodomie au grand dam de mon époux. Il ne cessait régulièrement en effet depuis nos premières années de mariage de m’y convaincre, voire même de me pousser à aller m’envoyer en l’air avec un autre, mais je n’ai jamais donné suite à ses nombreuses demandes jusqu’à ce que je succombe à mon Maître.
Tout a commencé il y a deux ans, après plusieurs échanges sur le Net, avec un certain ‘JP’; alors que j’avais pris ‘Jade’ pour pseudo. Je me suis sentie si bien dans ce dialogue de plus en plus sexuel, que j’ai fini par répondre à toutes ses demandes, jusqu’à accepter d’inviter, le vendredi suivant, nos voisins d’en face, qui avaient pris du plaisir, les jours précédents, à nous mater en train de baiser avec mon mari.
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Le vendredi soir est enfin arrivé. J’accueille mon mari, déjà à poil, en l’invitant à m’imiter. Il m’aide ensuite à préparer le repas, tout en me caressant à l’occasion, et finit par me prendre en levrette, en appui sur la table de cuisine avec la fenêtre ouverte par laquelle je peux apercevoir nos invités qui nous matent déjà avec leurs jumelles en nous faisant un petit coucou de connivence.
C’est une heure plus tard qu’ils sonnent à la porte. Ils sont surpris par notre tenue, mais en sourient. C’est Madame qui entre la première en faisant carrément la bise à mon mari, tout en touchant par inadvertance son sexe avec sa cuisse. Elle lui remet un paquet cadeau tandis que son mari s’avance vers moi avec des fleurs, et me claque à son tour la bise, en appuyant sa main sur mon épaule ; son avant-bras venant alors naturellement s’appuyer sur mon sein gauche. Cette sensation provoque une érection de mon téton qui le fait sourire.
Pendant que je vais chercher un vase, je les invite à prendre place au salon :
— Faites comme chez vous ; mettez-vous à l’aise.— Nous allons vous imiter, car comme vous, nous avons l’habitude de vaquer à nos occupations à poil. C’est beaucoup plus agréable, j’en conviens, me répond la voisine.
Nous nous retrouvons rapidement, tous les quatre, nus ; les maris occupent chacun un fauteuil et les femmes le canapé, côte à côte. Nous faisons alors de plus amples connaissances, les uns des autres. Ma voisine, Sylvie est de l’âge de notre aînée, tandis que son mari Marc approche déjà la quarantaine. Nous nous dévisageons un moment toutes les deux. Elle est blonde, un peu plus grande que moi, je dirais 1m70, de petits seins en forme de poire, 85b à vue d’œil, un beau fessier bien rebondi, une belle femme qui doit faire retourner plus d’une tête d’homme, et même de femme ; rien qu’en la regardant, et sachant que je vais devoir la caresser, ma cyprine pointe son nez.
Les hommes ne sont pas en reste, tous les deux ont la queue qui commence à se redresser. Marc, le mari de Sylvie est bel homme, malgré la petite bedaine certainement due à l’âge. Il a une calvitie, moi qui fantasme sur les hommes chauves, je suis servi. Mon mari est un peu plus petit que Marc, moins bedonnant, certainement dû à ses activités physiques.
Mon mari, Claude, commence d’ouvrir son paquet, et là, surprise : c’est une jumelle. Sylvie ne peut s’empêcher d’ajouter lorsqu’il lui fait la bise pour la remercier tout en posant sa main sur le haut de sa poitrine :
— Il n’y avait pas de raison que nous soyons les seuls à profiter du spectacle offert. Vous savez, nous aussi, aimons l’exhibition..
Mon mari s’occupe de l’apéro pendant que nous papotons avec Sylvie. Elle est très à l’aise et n’hésite pas dans le feu de notre discussion à poser sa main sur ma cuisse tout naturellement comme deux amies de longue date. Je lui rends alors la pareille. Elle prend mon geste pour un encouragement et approche sa tête de la mienne en plongeant son regard bleu dans mes yeux tout en remontant sa main sur le haut de ma cuisse. Pour toute réponse, ayant en tête le défi de mon interlocuteur du Net (voir le chapitre précédent), j’écarte mes jambes offrant ainsi la vue de mes lèvres entrouvertes et légèrement humides à Marc qui se met à bander !
Le baiser que nous échangeons alors en prenant possession chacune de la poitrine de l’autre pour en apprécier la fermeté finit par faire bander mon mari à son tour. C’est Marc qui intervient le premier à voix basse pour ne pas nous déranger et glisser à l’oreille de mon mari :
— C’est très touchant comme tableau, n’est-ce pas ? Je vois que cela vous fait bander également !— Tu sais Marc, on peut se tutoyer. C’est vrai ; elles me font bander aussi, d’autant que je pense que c’est la première fois que Marie-Claire roule une pelle à une femme.— Sylvie n’en est, bien sûr, pas à son coup d’essai ; tu penses, puisque nous sommes un couple libertin, et qu’elle a flashé sur toi en te matant avec les jumelles, appréciant la manière dont tu t’occupes de ta femme pour la corriger quand elle ne fait pas ce que tu lui demandes, je suppose ?— Ces séances de correction sont très récentes, tu sais. Mais Marie-Claire jouit, me dit-elle, malgré la douleur endurée à chaque coup donné. Je la soupçonne même de faire exprès d’être punie !— Moi, je crois que je serai incapable de frapper ma femme, même avec une cordelette, et en particulier sur son sexe ou ses seins à la peau si fragile !— Tu me laisses entendre que ta femme a accepté l’invitation avec le secret espoir que je la punisse ?— Tu as tout compris.— Mais toi qui n’oserais jamais porter la main sur elle, tu serais prêt à laisser un inconnu la frapper ?— La frapper est un mot un peu fort, mais lui zébrer les fesses comme je t’ai vu le faire avec Marie-Claire ne me déplairait pas, si comme tu dis, elles en jouissent à la fin !
Nous avons progressé pendant ce temps dans la découverte du corps de l’autre. J’ai commencé par sucer les mamelons de Sylvie, qui ont réagi à la caresse en se pointant. Sylvie m’a rendu la pareille, étant très sensible des tétons, je ne l’ai pas laissée faire, ne voulant pas jouir tout de suite. Oui, en jouant avec les hommes du sex-shop, je me suis rendu compte que je pouvais jouir des tétons quand l’homme s’y prenait bien. Elle est donc tout naturellement descendue vers mon minou et m’a prodigué un cunnilingus comme jamais je n’en ai eu. Avant de tomber dans l’orgasme, j’ai voulu lui en faire autant, étant novice en la matière, je me suis laissée guider par Sylvie qui a su me diriger directement sur son clito pour que je l’aspire, le mordille ; puis, je suis allée lécher l’entrée de son vagin.
Nous avons complètement fait abstraction de la présence de nos maris pendant un bon quart d’heure tant et si bien qu’au moment où Sylvie s’est mise à jouer avec mon plug, je me suis soudain souvenue que je devais offrir mon dépucelage anal à mon mari :
— Chéri, tu serais mignon de venir nous rejoindre ; Sylvie aimerait voir de près comment tu m’encules !— Alors là ! Je vois que vous avez plus que fait connaissance toutes les deux pour en arriver à parler aussi crûment entre vous et dévoiler vos secrets intimes mutuels.— Oh, tu sais Claude, il faut bien appeler un minou, une chatte et une paire de fesses, un cul, non ? Et à ce propos, comment tu trouves le mien ?— Je vois quand tu écartes tes fesses que ton œillet est déjà bien ouvert et strié, preuve qu’il est souvent mis à contribution !— Oh oui ! Je vois qu’il te plaît. Aussi, si cela ne te dérange pas, j’aimerais que tu m’encules à mon tour après. J’adore ta queue et surtout, comment tu maltraites parfois ta femme. Tu sais, je mérite une bonne fessée aussi, et Marc se refuse à me corriger quand je lui désobéis !— Quand tu nous auras enculées, toutes les deux, pendant que Marc nous baise en double, tu pourras nous punir pour notre débauche ; nous l’aurons méritée, tu sais je m’entends ajouter comme par provocation..
Mon mari s’approche alors de moi, et me retourne brutalement pour me mettre en position de levrette. Il extrait mon plug avant de rentrer sèchement et durement sa queue dans mon cul, qu’il défonce pour la première fois. Je pousse un léger cri de douleur, une grande gifle sur mes fesses vient aussitôt me rappeler à l’ordre. Après m’avoir labouré le cul un moment, mon mari m’attrape par les seins tout en maintenant sa bite dans mes entrailles et s’assoie sur le canapé à côté de Sylvie. Il lève ensuite mes cuisses en me tenant sous les genoux pour offrir mon minou à Marc qui ne se fait pas prier pour me pénétrer à son tour. Les deux queues entament alors des mouvements alternatifs de va-et-vient, dans l’un et l’autre de mes trous. Je grimace d’abord de douleur, puis me laissant aller, l’excitation prend petit à petit le dessus. Pendant que leurs deux bites continuent leur mouvement, un doigt masse et titille mon clitoris, certainement celui de Sylvie qui ne veut pas être en reste.
Je finis par clore ce moment très excitant par mon habituel cri de jouissance, l’orgasme étant monté très haut. Enfin, les deux queues sortent de leur orifice et laissent jaillir leur semence sur mon visage.
Pour redonner de la vigueur à nos deux hommes, Sylvie et moi, nous entamons une fellation, chacune s’occupant du mari de l’autre. Une fois les queues de nos hommes bien redressées, ils se tournent vers Sylvie pour lui prodiguer à son tour une double pénétration, pendant que je m’occupe de lui titiller le clito. Les deux hommes, cette fois, déversent leur semence en elle.
Mon mari nous entraîne ensuite toutes les deux dans la chambre. Il me fait allonger sur le dos, bras et jambes en croix, en prenant soin de dire à Sylvie de bien regarder ce qu’il va m’infliger, car ensuite, ce sera son tour. Il m’écarte les jambes au maximum pour les attacher aux pieds du lit, dans cette position, ma chatte est à disposition. Il commence doucement à la fouetter, puis accélère le rythme et frappe plus fort. Ce ne sont pas mes cris qui font qu’il appuie les coups, mais les zébrures que cela procure sur mon minou. Une fois qu’il a jugé le châtiment suffisant, il glisse son doigt dans ma chatte, avant de le ressortir couvert de cyprine qu’il fait sucer à Sylvie.
Lorsque Sylvie prend ma place, Claude n’ose pas frapper aussi fort que sur moi. Mais elle le supplie d’y aller franco, car elle le mérite autant que moi, lui dit-elle. La séance dure cependant moins longtemps, puisque Marc demande à mon mari d’arrêter, ne supportant pas de voir sa femme ainsi maltraitée. Sylvie, toujours attachée, les membres écartés, et les seins zébrés de rouge, nous dit qu’elle a quand même apprécié cette séance, la meilleure preuve en est sa chatte toute mouillée.
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Il me tardait de retrouver ma petite Jade sur le Net pour qu’elle me décrive en détail la venue de ses voisins d’en face. Ponctuelle, elle a ouvert la séance en me montrant son corps zébré de toutes parts et a fait aller sans difficulté son plug, en se branlant l’anus en guise d’accueil. Ma première question fut :
— Tu as l’air détendue aujourd’hui, ma petite Jade ? — Oui, et comme vous pouvez le constater, ma rondelle aussi ! — Elle a été mise à rude épreuve à ce que je vois pour ta première sodomie ? — Oui, même si le port successif des deux plugs, pour habituer ma petite porte, a quand même facilité cette première intromission.— Tu parles très chastement de ton enculage, dis donc ! — Je ne voulais pas vous choquer. — Tu peux te lâcher, tu sais, à condition que cela ne t’excite pas. Zoome un peu sur tes lèvres que je vois si tu mouilles pendant que tu me racontes tout ça en détail.— Après l’introduction en force de la bite de mon mari dans mon cul, j’ai pris cher, car le voisin Marc m’a investi le vagin en même temps avec un mandrin si large que j’ai bien cru qu’ils allaient à deux me déchirer la cloison ! — Tu as joui quand même ? — Oui, et je m’en excuse. J’ai demandé à mon mari de me fouetter en conséquence pour ne pas avoir su me retenir sans votre accord, Monsieur ! — Tu es parfaite ma petite Jade, mais dorénavant, tu m’appelleras MAÎTRE.— Bien MAÎTRE ! — Tu acceptes ainsi de te soumettre désormais à toutes mes exigences, quelques natures qu’elles soient.— Oui MAÎTRE ! — Tu as invité tes enfants demain dimanche comme je te l’ai demandé ? — Oui MAÎTRE ! J’ai également réussi à faire garder mes petites filles par l’autre grand-mère.— Parfait. Maintenant que tu as réussi à te faire prendre par le voisin en double avec ton mari, tu devines ton prochain challenge, je suppose ? — Oui MAÎTRE, je dois faire en sorte que mes deux gendres me prennent en double sous les yeux de mon mari ! — C’est bien, je vois que tu es capable d’anticiper mes désirs. Je t’autorise à jouir avec eux. Tu les laisseras même se répandre en toi.— Oui MAÎTRE !— Tu es bien consciente, en acceptant ce défi, des conséquences, si tu n’y arrives pas ? — Oui MAÎTRE, vous me punirez.— Mais, sache que la punition sera à la hauteur de la non-exécution de ta tâche. — Je ne vous décevrais pas MAÎTRE.— Ne préjuge pas de tes capacités. Il ne s’agit pas cette fois d’inconnus, mais bien de tes filles ! — Plutôt de mes gendres, non ? — Oui, aussi, je te laisse carte blanche pour t’organiser et mettre ou non tes filles dans la confidence. — Bien MAÎTRE ! — Je vais également te laisser tranquille tout le week-end en famille. Tu ne te reconnecteras que lundi après-midi pour me raconter tout ça. — Merci MAÎTRE.— Je constate que tu n’as pas mouillé durant notre entretien. Je t’autorise donc à jouir comme tu veux à partir de maintenant.— Merci MAÎTRE.— Tu devras également te débrouiller pour je puisse constater l’adultère avec tes gendres en présence de ton mari ! — Je pourrais brancher mon laptop en visio-chat avec vous, en éteignant l’écran, et coupant le son, si vous voulez ? — Parfait. A demain, donc, pour t’espionner, et à lundi, pour le compte-rendu. Sur ce, bonne baise en famille ! — Merci, tout le plaisir sera pour moi, je l’espère. A lundi après-midi, à l’heure habituelle.
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Je me rends compte, une fois mon PC éteint, que je me suis mise effectivement dans une position très inconfortable en acceptant ce dernier défi, prise dans l’euphorie de la discussion et voulant toujours faire un peu plus plaisir à mon MAÎTRE.
Je me concentre pour faire le point et trouver la meilleure stratégie pour parvenir à mes fins sans éveiller de soupçon du côté de mes filles qui ne se doutent absolument pas déjà du changement si brusque de mon comportement côté sexe.
Je décide néanmoins que je ne porterais pas de sous-vêtement pour les accueillir demain dimanche, en prétextant, si l’une d’elles me fait une remarque sur mon absence de soutif, qu’avec la chaleur estivale, je me sens plus à l’aise dans cette tenue. Je m’arrangerai ensuite, durant l’apéro de me mettre face à mes gendres que je ferai asseoir côte à côte sur le canapé en leur faisant face avachie dans le fauteuil pour pouvoir croiser et décroiser mes jambes, tout en leur parlant droit dans les yeux, et en m’assurant qu’aucune de mes filles ne puisse remarquer mon absence de culotte.
Je pourrais ainsi scruter chacune de leur réaction et savoir si je peux aller plus loin pour les aguicher. S’ils ne manifestent ni l’un ni l’autre aucune gêne à mon exhibition grandissante, il me faudra trouver ensuite un stratagème pour les amener dans notre chambre sans éveiller de soupçon de la part de mes filles.
Mon mari étant de fait partie prenante de ce nouveau défi, je n’ai d’autre choix que de le mettre au courant en espérant qu’il prenne bien la chose et surtout qu’il m’aide à monter un scénario crédible pour éloigner nos filles.
Il est justement au téléphone avec notre aînée quand je le retrouve au salon. Nous sommes à poil tous les deux comme nous en avons désormais l’habitude avec les fenêtres grandes ouvertes, pour que nos voisins puissent suivre nos mouvements. Il raccroche pour me dire que les autres grands-parents ne sont pas disponibles, et que donc, nous aurons la chance de voir nos deux petites-filles !
Il se rend aussitôt compte à ma mine défaite que je ne saute pas de joie comme habituellement à cette idée. Je suis alors contrainte de tout lui avouer :
— Tu sais combien j’aime nos petites-filles, mais demain, je ne pourrais pas les accueillir aussi bien que j’aurai aimé le faire ; sauf à renoncer de relever le nouveau défi que je viens d’accepter !— Je te sens effectivement très embarrassée. Leur présence pourrait donc compromettre la réalisation de ton challenge. Mais je suppose que tu ne peux rien me dire de plus ?— Je suis coincée, chéri. J’ai en effet accepté de franchir un pas important dans ma dépravation assumée en acceptant de baiser avec mes deux gendres sous tes yeux !— Ah ! Là ! Tu fais vraiment fort, non seulement tes petites-filles vont contrarier tes plans, mais nos deux filles également, non ? Comment comptes-tu t’y prendre ?— Eh bien, je pensais que tu pourrais m’aider à échafauder un plan crédible pour éloigner nos filles pendant que leurs maris me baiseront !— Tu es bien sûre, au fond de toi, de vouloir aller jusque-là ?— C’est un challenge exceptionnel et je veux le relever pour me montrer à moi-même que désormais, plus rien ne m’arrêtera. Et toi, tu serais prêt à assister à ma débauche ?— J’avoue n’avoir jamais pensé à une telle situation, mais je me vois bien finalement me faire sucer pendant qu’ils te prennent en double comme tu l’as déjà expérimenté avec Marc hier.— Tu es encore plus pervers que je le pensais !— Nous pourrions tout simplement convaincre nos filles d’emmener les petites au cinéma, non ?— Ah oui ! Super. Bonne idée. Reste pour moi à exciter suffisamment leur mari pour qu’ils aient envie de moi !— Sur ce dernier point, je te fais confiance.
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C’est en fin de matinée, ce dimanche, que notre fille aînée arrive la première avec son mari et leurs deux filles, toutes heureuses de me voir et découvrir avec étonnement que je ne porte pas de soutien-gorge, me dit la plus grande. Elle trouve mes seins en transparence très jolis à regarder, surtout mes mamelons très larges et foncés qu’elle espère bientôt avoir elle aussi, puisque certaines copines de classe ont déjà leurs règles. La plus jeune, étant partie jouer avec son grand-père, je discute un peu plus avec sa sœur aînée sur les premiers émois qu’une jeune fille ressent. Elle me remercie de la rassurer, car sa mère ne lui parle jamais de tout cela, et à l’école, toutes sortes d’histoires qui circulent la font flipper.
Son oncle et sa tante font alors leur apparition, et nous nous retrouvons bientôt, tous, au salon pour l’apéro. Mes deux gendres s’assoient d’eux-mêmes sur le canapé pour discuter de sport et de bagnoles. Je me mets comme prévu face à eux, et commence à croiser et décroiser mes jambes, en levant bien l’une d’elles à chaque fois, de manière naturelle, pendant que je discute avec mes petites-filles et surveille la réaction des mâles en face.
C’est au coup de coude du père des petites à son beau-frère que je devine qu’il a remarqué la nudité de mon entrejambe. Ce dernier se déplace légèrement pour mieux me mater. Je suis aux anges et commence même de mouiller. Je fais alors en sorte d’un peu plus relever ma jupe pour sortir ma chatte de l’ombre avant d’écarter carrément les cuisses une ou deux fois pour qu’ils n’aient plus aucun doute sur mon manège !
Lorsque nous nous installons ensuite à table, ils se proposent de m’entourer. Nous nous retrouvons ainsi à trois d’un côté et trois de l’autre, avec mon mari entre ses filles, les deux petites ayant pris chacune le bout-de-table.
Je ne les repousse absolument pas quand ils partent tous deux à la découverte tactile de mon entrejambe. Je fais comme si de rien n’était en continuant de répondre à l’un ou à l’autre. Pour leur faciliter la tâche, j’écarte complètement les jambes et je sens bientôt un premier doigt atteindre mon clito pendant qu’un autre s’insinue déjà dans mon vagin détrempé. La discussion s’oriente ensuite petit à petit vers le sexe en baissant d’un ton, pour ne pas éveiller les soupçons de l’autre côté de la table. C’est le papa des petites qui ose le premier me dire :
— Mamie, je ne vous savais pas aussi délurée. Vous, si pudique jusque-là ?— Tu vois, tout vient à point avec l’âge.— Vous avez le sexe glabre alors que votre fille s’y refuse, vous savez ? rétorque l’autre gendre.— Oui, je me doute, j’étais comme elle, il y a peu de temps encore !—, Mais vous êtes consciente que vous me faites bander ? reprend le premier.— Tout comme moi ajoute son beau-frère.— Oui, je l’espère et compte bien le vérifier, si vous me le permettez !
Je passe alors mes mains sous la nappe à la découverte de leur entrejambe. Ils écartent aussitôt leurs cuisses pour me permettre de mieux évaluer la dureté de leur sexe. Mais ma fille cadette intervient alors pour me demander de l’aider à couper le rôti dans la cuisine !
Ce n’est donc que partie remise. Une fois le plat de résistance terminé, je pars machinalement à la recherche des bites familiales et là, stupeur, elles sont toutes les deux à l’air libre ! Je ne me démonte pas et entreprends de les branler l’une après l’autre pour garder au moins une main sur la table pour manger le fromage tout en continuant de discuter le plus naturellement possible.
L’un d’eux est si excité par la situation qu’il ne peut se retenir. Il a beau mettre sa serviette au-dessus pour limiter les dégâts, ma main se retrouve couverte de son foutre. Je l’essuie tant bien que mal, mais ne peux m’empêcher de sucer ce qui reste en le regardant dans les yeux !
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Tout va pour le mieux, me dis-je, en mon for intérieur. Ils sont tous les deux mûrs à point pour réussir mon défi. C’est à ce moment-là que mes deux petites filles me tannent pour que je les accompagne à l’aquarium comme je leur ai promis depuis si longtemps pour pouvoir passer plus de temps avec elles qui ne viennent pas si souvent ! C’est leur mère qui en rajoute alors :
— Maman, tu ne peux pas les décevoir. Elles étaient si heureuses de venir aujourd’hui à cette idée-là !
Mon mari voyant la situation m’échapper, intervient :
— Vous ne voyez pas que mamie est fatiguée. Je pense qu’elle va préférer aller faire une petite sieste dans la chambre !...— Ah ! Non alors. Allez, mamie, sois gentille. Tu nous la promis !
Je finis par me résoudre à l’inéluctable, de devoir être sévèrement punie par mon MAÎTRE ; mais c’est précisément cette idée qui me fait accepter d’accompagner les petites. J’ai en fait plus hâte sur le moment de me soumettre à une nouvelle punition, même plus dure qu’à baiser avec mes gendres, car l’occasion se représentera forcément une autre fois.
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J’attends en vain tout l’après-midi et la soirée que la connexion se fasse avec la webcam de ‘Jade’. Je suis très déçu et mijote un châtiment à la hauteur de ma frustration. Ce n’est donc qu’à l’heure habituelle, mais le lundi seulement, qu’elle apparaît à poil, le sexe en premier plan. Je ne peux que l’engueuler de m’avoir oublié :
— Tu es consciente de ton attitude et que tu vas prendre cher pour ne pas même t’être excusée hier de n’avoir pas allumé ton PC ? — Oui MAÎTRE. Vous aviez raison ; j’ai présumé de mes capacités et n’ai pas été à la hauteur de vos espérances.— Je n’ai pas encore décidé de ta pénitence, tu ne le sauras que le moment venu de la subir.— Bien MAÎTRE. Je le mérite ! — Ton défi demeure par ailleurs.— Je me doute.— Je te laisse encore une chance d’organiser la partie à trois à ta convenance, mais préviens-moi assez tôt de la date et l’heure où je pourrais te voir à l’œuvre avec tes trois orifices pris en même temps ! — Cette fois, je tiendrai parole MAÎTRE, soyez en assuré ! — J’y compte bien, ma vengeance serait alors terrible ! — En attendant, je suis prête à relever un autre défi, MAÎTRE.— Très bien ma petite Jade, tu te rachètes un peu. Alors, tu vas simplement accueillir les membres de ton groupe chez toi, mais cette fois, comme tu en as maintenant l’habitude, sans sous-vêtement et en t’arrangeant pour que chacun, homme ou femme, puisse, à un moment donné, voir que tu ne portes pas de culotte. Tes seins devront être suffisamment visibles pour qu’il n’y ait pas de doute non plus sur ta nouvelle passion pour l’exhibition ! — Je le ferai MAÎTRE.— J’attends que tu me fixes rendez-vous pour la connexion webcam dans ta chambre avec tes gendres et ton mari.— Je vais essayer de le faire cette semaine, si possible. Mais je vous dirais de toute façon avec deux jours d’avance au moins.— Très bien. J’attends ton message.— Ce sera fait.
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Je fais part à mon mari de la nécessité pour moi d’accomplir à tout prix ce défi et lui demande de réfléchir avec moi à la bonne stratégie pour y arriver. Il me propose alors, pour ne pas éveiller les soupçons de nos filles, de demander à nos deux gendres de nous aider à ranger le grenier pour faire un peu de place pour y déménager les meubles de notre chambre que nous avions, de toute façon, l’intention de changer bientôt. Je le remercie et les appelle l’un après l’autre le soir même. Ils sont d’accord pour le mercredi après-midi suivant, étant justement libres tous les deux, et surtout, se remémorant le repas de dimanche où ils ont, chacun, fait connaissance de mon intimité sous la table.
C’est donc nus, tous les deux, avec mon mari, que nous les accueillons en début d’après-midi ce mercredi. J’ai, bien entendu, mis en route la webcam avec le meilleur angle sur notre lit pour permettre à mon MAÎTRE de juger de la réalisation du défi. Ils ne sont pas plus étonnés que cela de nous découvrir à poil, et ne se font pas prier pour nous imiter. Jean-Louis, le papa des petites est le plus entreprenant en mettant directement les pieds dans le plat :
— Mamie, vous avez vraiment besoin de renouveler le mobilier de votre chambre ou vous souhaitez plutôt que l’on vous aide pour votre ménage intérieur ?— Mon petit Jean-Louis, qu’en jolis termes tout cela est dit ! Tu as très bien compris, je vois la raison pour laquelle nous vous avons invité !—, Mais Papy, c’est vous qui avez réussi à convaincre votre femme de se laisser approcher par un autre homme. Il faudra me donner la recette, moi qui en rêve avec votre fille que je n’arrive pas à décoincer côté sexe intervient alors François, marié avec notre cadette.— C’est une longue histoire que je vous raconterais peut-être un jour. Mais le fait est que oui, vous pouvez la caresser comme bon vous semble !
Ils s’approchent alors tous les deux de moi et commencent à me découvrir sous toutes les coutures !...
Jean-Louis est le plus entreprenant, il passe déjà sa main sur mon sexe. C’est mon gendre préféré, brun de taille moyenne, un peu bedonnant, des yeux noirs profonds, une voix suave.
François est le contraire de son beau-frère, grand blond, pas très gros, des yeux bleus à s’y plonger dedans ; lui préfère commencer par mes seins.
Claude les arrête, il m’entraîne brusquement dans notre chambre, ouvre la fenêtre, et fait signe à nos voisins pour qu’ils puissent bénéficier du spectacle. François s’étonne de voir mon mari faire ces gestes.
— Ne vous inquiétez pas ; nous avons l’habitude de nous exhiber devant les voisins depuis le début de la libération sexuelle de Marie-Claire.
Les deux beaux-frères, après s’être concertés du regard, acceptent eux aussi l’exhibition. Claude entreprend donc de m’attacher au lit, jambes passées au-dessus de ma tête, cul et chatte bien mis en vue.
— Je vais lui mettre une correction avant que vous vous occupiez d’elle, cette petite pute en a besoin puisqu’elle mouille déjà d’être prise par ses gendres. Vous verrez, elle mouillera encore plus après, et vous pourrez la fourrer par les deux trous sans problème..
Claude prend donc la cordelette qui lui sert habituellement de fouet, et entreprend de me fouetter la chatte et le cul en appuyant de plus en plus fort ses coups. Jean-Louis, voyant que cela m’excite, commence en même temps que son beau-père à me frapper les seins, de me pincer fort les tétons. Ne sachant pas d’où provient le plus la douleur, de mes seins ou de ma chatte, je sens malgré cela ma cyprine couler.
Tournant ma tête vers la fenêtre, je vois que cela excite Sylvie qui se masturbe tout en me regardant.
Les coups cessent brutalement. Claude met alors sa queue dans ma bouche et amorce un début de fellation. Il finit par me baiser la bouche comme s’il pénétrait mon minou. Ne perdant pas de temps, Jean-Louis entame un cunni puis se met debout pour fourrer ma chatte, pendant que François, après avoir pris ma mouille pour enduire ma rondelle, s’introduit brusquement dans mon petit trou. Je suis fourrée dans les trois trous !!
Ils règlent leur va-et-vient pour être tous les trois en rythme. Je n’en peux plus, car il m’est impossible de m’agiter étant attachée ni de crier non plus ma bouche étant pleine. Ma chatte et mon cul sont en feu, je ne sais pas par quel miracle je ne suis pas déchirée. Les trois compères déchargent chacun à leur tour, leur foutre dans mon cul, dans ma chatte et pour finir, Claude, dans ma bouche. J’avale tout son sperme, après qu’il m’ait fermé la bouche, m’en intimant l’ordre. Une fois ingurgité, je peux enfin crier de jouissance. Les voisins ne sont pas en reste, Sylvie ayant été prise par son mari sur leur balcon et il semble qu’ils ont joui en même temps que nous !!
En allant prendre une douche ensuite tous les quatre, j’éteins discrètement mon PC après avoir fait signe à mon Maître avec le pouce levé.
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Bien que la semaine fût déjà bien chargée côté sexe, je me devais une revanche à moi-même n’ayant pu satisfaire mon MAÎTRE dans les délais exigés. C’est donc avec joie que j’accepte l’invitation en retour de nos voisins d’en face, Sylvie et Marc, pour le samedi soir suivant. Ils confirment que la tenue de soirée exigée sera la même que chez nous !
C’est donc parfaitement détendu que nous sonnons chez les Dubois du 4° de l’immeuble d’en face, vers 19H30. Quelle n’est pas notre surprise de découvrir que nous ne sommes pas les seuls invités ! En effet, deux autres couples de leur tranche d’âge 30-40 ans sont déjà là à papoter et boire l’apéro en tenue de peau. Nous allons donc directement dans la chambre d’amis pour nous changer ou plutôt nous mettre à nu !
Puis, c’est seulement après que nous sommes présentés mutuellement par nos hôtes à leurs amis de soirées libertines, tient à préciser Sylvie. Ce qui est étrange pour moi, c’est de me retrouver nue, au milieu d’inconnus, de la génération de nos filles et de nos gendres, et que je sais que sous peu, je vais m’offrir à eux cette fois, de ma propre initiative. Il faut que j’en fasse part à mon Maître.
Je me retrouve ainsi assise à l’étroit, sur le canapé, entre deux mecs charmants, à la queue déjà levée, sans pudeur, aucune ; celle de Lucien, petite, mais large, contrastant avec la tige longue et fine de Robert. Tandis que Claude en fait de même sur le canapé d’en face entre leurs femmes respectives, une blonde : Annie, cheveux mi-longs, aux petits seins minuscules, mais avec des tétons proéminents, et une brune plantureuse : Sonia, cheveux longs en chignon avec de beaux obus et des aréoles immenses. Seule une légère touffe de poils pubiens taillée en ticket de métro brun pour la blonde et en « V » pour la brune rappelle leur couleur de cheveux d’origine. Sylvie et Marc s’affairent de leur côté pour que chacun ne manque de rien et s’assurent que les verres soient toujours pleins.
Ayant amené mon laptop, je prétexte un besoin urgent pour aller le récupérer dans la chambre d’amis et l’installer discrètement sur la commode, dans l’entrée, pour avoir la vue dégagée sur l’ensemble du salon. Je coupe le son, me connecte avec mon MAÎTRE et éteins l’écran.
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Cette fois, c’est tout surpris, que j’entends la sonnerie de demande de connexion en provenance de ‘Jade’. J’y donne suite, pour bientôt la découvrir, qui me fait un coucou et s’éloigne vers le salon où plusieurs couples prennent l’apéro.
Je sens ma petite soumise qui veut se racheter à mes yeux pour sans doute écoper d’une punition moins lourde. Elle se laisse donc rapidement peloter par ses deux cavaliers assis de part et d’autre en me faisant un clin d’œil complice quand ils investissent ses orifices avec leurs doigts. Elle n’est pas en reste, car elle les branle allègrement avant de se pencher pour les sucer alternativement, puis ensemble dans sa bouche. Son mari Claude fait la découverte intime également de leurs compagnes. Cette mise en bouche, si je puis dire, dure le temps de deux tournées au moins d’apéros.
C’est quand ‘Jade’ se lève en retirant son plug anal avant de s’embrocher le cul sur son partenaire de gauche que je comprends que les choses sérieuses ont commencé. Le partenaire de droite est immédiatement invité par ma soumise à la prendre par-devant. C’est donc tout naturellement que Marc se présente la bite dressée devant la bouche de ‘Jade’ qui lève alors un pouce dans la direction de la webcam. Sylvie s’approche de ce quatuor pour s’occuper du clito de ‘Jade’ qui ne tarde pas à pousser un cri de jouissance pour manifester bruyamment son premier orgasme de la soirée.
Les trois mecs, n’ayant pas encore pu jouir, décident de débarrasser la table basse et d’y allonger ‘Jade’ en lui faisant poser les pieds à plat sur le rebord pour bien dégager son vagin grand ouvert et suintant déjà de beaucoup de cyprine. Ils vont ensuite faire une sorte de chaîne passant d’un branle manuel, à une fellation pour maintenir leur vigueur avant de finir par la baiser sauvagement, et de recommencer le circuit pendant plusieurs tours. Ils ne cesseront ce manège qu’une fois, chacun ayant pu déverser sa dose de foutre dans son vagin. Elle a la mine défaite et les lèvres intimes chiffonnées dégoulinantes de sperme quand elle me fait un petit signe tout en souriant.
Je ne suis pas au bout de mes surprises quand je vois les trois femmes se lever et venir une à une s’abreuver de foutre et de cyprine mélangée, en nettoyant de leur langue sa vulve rougie par les assauts des mâles. Tout ce beau monde semble ensuite se diriger vers la salle de bains en suivant Sylvie et ‘Jade’ qui en profite pour couper la connexion au passage.
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si vous avez de nouveau apprécié ce nouvel épisode de notre saga, nous vous dévoilerons dans le chapitre 3 l’identité du MAÎTRE qui va beaucoup surprendre Marie-Claire, alias ‘Jade’ et lui faire découvrir qu’elle n’est pas la seule soumise de son entourage. Elle ne perd rien pour attendre non plus pour subir la punition exemplaire d’avoir échoué dans la réalisation de l’un de ses défis..
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