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Le MAÎTRE et la soumise

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
J’ai commencé dans un premier chapitre de vous raconter comment moi, Marie-Claire, épouse fidèle, mère et grand-mère accomplie, j’en suis arrivée à me soumettre à un Maître pour mon plus grand plaisir aujourd’hui. Mon Maître a accepté que je décrive mon parcours avec lui à condition qu’il puisse lui-même intervenir dans le récit chaque fois qu’il est concerné.
Dans les deux chapitres suivants, j’ai exposé avec mon maître la progression de ma soumission plus en détail avant de dévoiler l’identité de mon MAÎTRE et découvrir que je ne suis pas la seule soumise de mon entourage.
Dans ce quatrième chapitre, les différents protagonistes vont ensemble ou séparément être soumis à leur maître, le mien en l’occurrence. Pour ma part, je vais prendre de plus en plus cher, mais non sans en jouir de plus en plus fort dans ma déchéance assumée pour devenir la vraie chienne de mon MAÎTRE !
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Je suis une femme accomplie de 58 ans avec un mari de 60. Nous avons deux filles mariées de 32 et 34 ans. Je suis une femme au foyer, mais j’ai des activités caritatives et en particulier une association locale d’une dizaine de membres dont je suis responsable et qui donc se réunit souvent chez nous. Côté sexe, j’étais très classique jusqu’à la rencontre avec mon Maître n’ayant jusque-là jamais dévoilé mon corps à d’autres que mon mari, ni pratiqué la fellation ou la sodomie au grand dam de mon époux. Il ne cessait régulièrement en effet depuis nos premières années de mariage de m’y convaincre, voire même de me pousser à aller m’envoyer en l’air avec un autre, mais je n’ai jamais donné suite à ses nombreuses demandes jusqu’à ce que je succombe à mon Maître.
Tout a commencé il y a deux ans, après plusieurs échanges sur le Net avec un certain ‘JP’, alors que j’avais pris ‘Jade’ pour pseudo. Je me suis sentie si bien dans ce dialogue de plus en plus sexuel que j’ai fini par répondre à toutes ses demandes jusqu’à accepter de me soumettre totalement à mon MAÎTRE ou aux dominants désignés par lui dont mon mari Claude !
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Depuis ma punition d’une journée entière passée à poil à l’extérieur en me faisant tripoter à l’occasion pour finir par me faire fourrer par deux chasseurs en forêt, mon Maître multiplie les défis où je dois m’accoupler avec des inconnus, voire même un jour avec un chien, me dit-il, lorsque je serai devenue une chienne en chaleur bien dressée.
Ainsi pour les jours prochains, ‘JP’ exige que je me rende dans un sex-shop pour me faire baiser par tous les mecs présents et qu’il est hors de question que je me débine. Pour s’en assurer, il me demande de me faire filmer pendant tous les actes que je subirais avec les hommes présents.
Avant de m’y rendre, j’informe mon maître que je vais lui envoyer une photo de ma tenue, pour qu’il la valide. Je me prépare donc minutieusement. Après la douche, je mets des Dim’ up couleur chair, une jupe courte, un chemisier bien ouvert sur mes seins nus, une veste et un manteau. Je ne mets aucune culotte bien sûr, sachant que ‘JP’ l’exige désormais quand on se rencontre ou pour effectuer un défi.
J’envoie deux photos, une où l’on voit bien ma chatte nue, une seconde en pied où il peut me voir entièrement. Dès le message de validation de ma tenue, je me rends aussitôt au sex-shop.
En marchant, je ressens comme une boule au ventre en même temps que ma mouille commence à pointer son nez. J’ai une trouille monstre. Pas moyen de reculer au risque de décevoir mon maître qui ne manquera pas alors de m’infliger une punition monumentale. J’imagine en chemin plusieurs scénarios. Plus je tente de visualiser ce qui risque de se passer, plus ma boule au ventre augmente, et plus ma cyprine inonde ma chatte. Arrivée devant le sex-shop, je constate qu’il n’est pas encore ouvert. Je me décontracte alors en pensant naïvement y échapper, mais en contact permanent avec le maître par SMS, je dois le prévenir de cette fermeture. Il m’intime l’ordre d’attendre. Lorsque le sex-shop est enfin ouvert par une vendeuse, deux hommes y pénètrent avant moi. Je me dis alors : « Deux, ce n’est pas la mer à boire ». Je prends alors mon courage à deux mains et entre le rouge aux joues en déclarant :
— Je suis une soumise. Sur ordre de mon maître, je dois me faire baiser par tous les mecs ici présents.

Surpris, les deux hommes se regardent, l’un me répond qu’il n’a pas le temps, sinon cela aurait été avec plaisir qu’il satisfasse ma demande. Le second qui accepte est de petite taille, un peu rond, plus vieux que moi, mais pas désagréable.
Il m’explique qu’il ne bande plus, mais qu’il veut bien me baiser à coups de gode qu’il va m’acheter. Je me surprends à être excitée par sa proposition. Le client achète néanmoins du lubrifiant en plus du gode et des préservatifs. La vendeuse tout sourire nous accompagne ensuite dans une cabine privée.
Nous nous déshabillons tous les deux, puis le petit vieux commence à me faire un cunnilingus. J’en profite pour installer tant bien que mal mon téléphone en mode vidéo. L’homme poursuit le léchage de ma chatte. Je mouille de plus en plus sous les coups de langue de ce client qui trouve facilement mon clito. Mais avant que je ne jouisse, il me demande de le sucer à son tour.
Je prends son petit vit en bouche. Je n’en avais encore jamais vu d’aussi petit!! Je le suce comme un bonbon, avidement, goulûment. Il me demande de sucer également ses couilles et son anus. Je m’exécute et mouille de plus en plus. Il m’allonge sur la banquette et me gode, ne pouvant pas bander. Il s’y prend tant et si bien que je finis par pousser mon cri de jouissance qui doit résonner dans le magasin.
Une fois rhabillée, j’envoie la vidéo à ‘JP’. Il est très agacé par ma prestation et surtout par la mauvaise qualité du film où il ne voit rien. Il exige alors que je remonte pour sucer un mec en plein magasin.
Je ressens immédiatement une nouvelle boule au ventre. Je déambule entre les rayons à la recherche du chaland qui voudra bien me confier sa bite à sucer. Personne jusqu’à l’entrée de deux hommes à intervalles plus ou moins longs qui malheureusement déclinent tous les deux mon invitation.
Au bout d’une demi-heure, mon maître finit par m’ordonner de me mettre entièrement nue en plein magasin, habillée uniquement de mes Dim’ up. Il me demande de m’asseoir dans le fauteuil d’accueil face à la porte, en écartant les jambes pour les poser sur les deux accoudoirs. Je tends alors mon téléphone à la vendeuse, amusée et intriguée par mon exhibition, en lui demandant de prendre une photo en contrechamp avec ma chatte épilée en premier plan.
Elle me rend l’appareil où l’on voit bien mon sexe encore ouvert par le gode du petit vieux qui continue de sécréter sa cyprine. Je l’envoie à mon maître. Il me répond aussitôt d’attendre un prochain client pour l’accueillir dans cette position et lui demander de bien vouloir me baiser devant tout le monde.
Je reste en place un bon quart d’heure comme ça sans aucun client, la vendeuse venant régulièrement me demander si tout va bien pour finir par m’offrir un café en papotant sur ma situation de soumise. C’est en entendant chanter dans la rue avant qu’une dizaine de mecs n’entrent que je me remets soudain à avoir la boule au ventre.
Ils sont surpris de me découvrir ainsi. L’un d’eux me touche même, pensant à un mannequin bien imité placé là pour attirer le chaland. Ils sont bientôt tous autour de moi à me palper en me disant qu’ils enterrent la vie de garçon de leur copain et qu’ils aimeraient bien que je le laisse me baiser avant qu’il ne soit contraint de remplir ses devoirs conjugaux avec sa femme, la même pendant les années à venir, ajoutent-ils en riant.
Le futur marié est plutôt mignon et je lui demande de s’approcher pour lui défaire sa ceinture et baisser son pantalon. Il est tout rouge de montrer bientôt sa petite queue, lui aussi, même en érection devant ses copains. Je demande à l’un d’entre eux de nous filmer avec mon téléphone.
Une fois raide, la capote en place a du mal d’envelopper correctement sa bite qui semble flotter dedans. Il s’avance et me pénètre sans que je le sente vraiment passer. Il se branle néanmoins dans mon vagin jusqu’à l’éjac. Il ressort, mais la capote reste en moi. J’arrive tant bien que mal à l’extraire et la place devant la cam de mon téléphone pour, j’espère cette fois, montrer à mon maître que j’ai réussi enfin à remplir mon défi du jour.
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Dans les jours qui suivent, je continue de parcourir le site de mon maître pour m’entretenir avec ses autres soumises comme ma copine Muriel de l’association caritative ou plus récemment Sylvie la voisine d’en face et sa copine Sonia qui sont déjà venues baiser à la maison.
Depuis le coming-out du doyen et trésorier de notre association, Jean-Pierre, alias ‘JP’ sur le site, je bavarde de plus en plus souvent avec Muriel, notre secrétaire, sa soumise également. Elle a pour pseudo ‘Mucoquine’ et devient de plus en plus coquine, justement, voire carrément chaude du cul.
C’est en début d’après-midi ce jour-là que nous passons plus d’une heure à échanger nos sensations dans la réalisation des défis qui nous sont imposés. Après lui avoir raconté mon aventure au sex-shop, c’est Mumu qui se lance :
— Il faut que je te dise Marie-Claire !— Oui qu’est-ce que tu as sur le cœur de si important Muriel ?— Eh bien, ce week-end, cette fois ‘JP’ m’a obligée de coucher avec ma sœur et figure-toi que l’on a pris goût toutes les deux à s’enlacer, s’embrasser, se caresser et même se lécher le clito en 69 !— Super Mumu. Bienvenue au club !— Comment ça au club ?— Des ‘gouines’, bien sûr. C’est bon n’est-ce pas la manière dont une fille s’occupe de ta chatte ou de tes seins ?— Oui bien plus douce et envoûtante !— La prochaine fois qu’on se voit, il faudra qu’on se découvre intimement toutes deux ! J’adore tes petits-seins. Mais je suis sûr que tu as un gros clito !— Oui quand on le maltraite, il gonfle et je jouis après avoir eu mal. C’est le prix à payer, m’a dit notre ‘JP’ »— Il t’a baisée souvent depuis qu’il a fait assister ta sœur à vos ébats ?— Non, de temps en temps seulement. Mais il m’envoie des baiseurs à qui je dois offrir totalement mon corps pour qu’ils en usent et abusent !— Et tu aimes ça, bien sûr, d’être leur jouet sexuel ?— Pour l’instant, je n’ai eu à subir qu’une bite à la fois, mais ‘JP’ compte bien s’inviter un jour pour me prendre en double !— Tu verras, c’est génial, même si c’est un peu douloureux parfois quand c’est la grosse bite de Jean-Pierre qui t’encule sans ménagement.— Et toi, tu en es où avec lui ?— Il veut faire de moi sa chienne au sens propre du terme !— Comment cela ?— Eh bien, il veut me promener à poil à quatre pattes avec un collier et en laisse en forêt où les gens font gambader leurs chiens !— Tu dois y aller quand et où exactement ?— Demain après-midi. Pourquoi, tu aimerais me voir dans cet état animal ?— Oui, pour avoir une idée de ce qui m’attend et parce que j’ai un labrador, tu sais, et qui aime bien que je l’amène balader !— D’accord, rendez-vous 15H au Bois de C... — J’y serai. Je ferais sentir ton cul à mon chien, si tu veux ?— D’accord. Il a un joli sexe bien rouge en érection ? Je te demande ça, car je pense que ‘JP’ a l’intention de me faire prendre par un chien. Alors autant que ce soit le tien !— Moi aussi, s’il me l’impose un jour, j’aimerais que ce soit Rex qui s’y colle et si j’aime, il pourra me prendre tous les jours !— Jamais je n’aurai cru, il y a un mois à notre dernière réunion que l’on pourrait un jour se parler comme ça !— Moi non plus. Mais je suis prête à coucher avec toi maintenant que j’ai goûté aux plaisirs lesbiens avec ma sœur !— Quand tu veux Mumu. Donc à demain après-midi au bois avec ton chien ?— Oui à demain avec Rex. J’ai hâte de voir comment il va te prendre en levrette !
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J’ai donné rendez-vous cet après-midi à ‘Jade’ au Bois C... en lui disant de ne porter qu’un imperméable léger sans rien dessous. La voici qui arrive souriante et me fait la bise comme de vieux amis alors qu’elle sait que je vais la traiter comme une chienne qu’elle est devenue pour moi !
Je lui passe un collier-de-chien autour du cou et fixe la laisse. Je lui demande de me passer son imper et de se mettre à quatre pattes comme tous les toutous qui passent. Très docile, elle commence à avancer ainsi les mains et les genoux sur les graviers avec ses mamelles de chienne qui pendent. Son abricot glabre est déjà bien gonflé et très visible même de loin. Pour la faire avancer plus vite, je lui fouette le cul avec la laisse. Nous croisons beaucoup de promeneurs éberlués, certains me félicitent pour mon dressage, d’autres crient à la honte et passent leur chemin en tournant la tête.
C’est le moment de faire une pause pipi. Je lui ordonne d’aller dans l’herbe au bord du chemin face aux promeneurs et d’uriner en restant accroupie comme le ferait une chienne. Je lui interdis de s’essuyer pour qu’elle sente bien la pisse. C’est à ce moment-là que je crois apercevoir Muriel, notre secrétaire de l’association, au loin avec son chien. Cela me donne une idée !
Nous repartons au milieu d’un groupe de chien qui commence de tourner autour de ‘Jade’. Muriel vient de nous apercevoir et s’approche à son tour pour me faire la bise pendant que son chien renifle le cul de ‘Jade’ qui doit sentir la pisse. Il se met à lui lécher l’abricot pour bien la nettoyer. Je demande alors à Muriel de m’aider pour qu’elle branle son chien et l’exciter au maximum. Je fais mettre ‘Jade’ en levrette, les bras et les seins en appui sur l’assise d’un banc, et avec Muriel, nous attrapons son labrador par les pattes avant pour les poser sur les hanches de ‘Jade’. Il comprend tout de suite et cherche une ouverture. C’est Muriel qui finalement introduit le vit rouge écarlate de son chien dans l’anus de sa copine, puis elle encourage son labrador par des « Vas-y Rex, vas-y ! ». Il ne se fait pas prier pour s’agiter en elle et finit rapidement par éjaculer tout son foutre dans son cul avant de revenir le lécher quand il régurgite sa semence.
Cette copulation improbable donne cependant des idées à d’autres couples de ‘chiens-chauds’ qui s’y mettent à leur tour.
Un vrai lupanar « Hot Dog » ! ...
Je fais relever ‘Jade’ et lui redonne son imper, mais je continue de la promener en laisse debout cette fois et avec son imper grand ouvert. Je demande à Muriel d’ouvrir également son chemisier pour aérer ses seins pendant notre promenade après lui avoir fait enlever son soutif en public. Nous papotions tous les trois tout naturellement en donnant notre impression sur l’ambiance de la dernière réunion du groupe quand justement deux gars de l’association arrivent à notre hauteur. Ils ont les yeux exorbités par le tableau que nous leur offrons. Ils s’approchent néanmoins pour claquer la bise à la Présidente et à sa Secrétaire avant de me serrer la main. Je leur dis de ne pas être timides et de toucher s’ils veulent, qu’elles ne sont pas farouches. Le premier regarde ‘Jade’ dans les yeux, puis s’avance pour lui peloter les deux seins. La voyant ne pas réagir, il continue et lui roule une pelle. Elle avance alors sa main pour vérifier son état d’érection.
Je lui intime l’ordre en baissant la laisse de s’agenouiller et de lui sortir la bite pour la sucer.
Muriel ne voulant pas être en reste anticipe ma demande et s’agenouille à son tour pour extraire l’autre bite et la prendre en bouche. Les passants s’en amusent pour certains, d’autres tournent la tête pour ne pas voir cette débauche, ânonnent-ils. Les deux filles s’y prennent si bien qu’ils finissent rapidement par éjaculer dans la bouche de leur partenaire et collègue du groupe ! ‘Jade’ se tourne vers Muriel à ses côtés et lui montre qu’elle n’a pas encore avalé le foutre. Muriel comprend le message et avance sa bouche encore pégueuse pour lui rouler une pelle et faire une soupe de langues à la semence humaine !
Pour leur premier baiser lesbien sur la bouche, elles y mettent tant d’application que j’ai l’impression qu’elles veulent rattraper le temps perdu pour transformer les années d’amitié passées en amour charnel qu’elles ne vont pas tarder à consommer, je pense. Je dois rapidement les canaliser pour en faire des chiennes soumises à se lécher le cul et le con à ma demande en duo ou en public.
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Entre temps, je continue de former ma petite Vanessa à la soumission soft pour l’amener petit à petit à réaliser les fantasmes de son mari Éric. Elle a consenti à me dévoiler ce qu’il souhaitait depuis longtemps pour elle, maintenant qu’elle a apprécié mon défi d’exhibition au restaurant pendant sa pause déjeuner et face à ses collègues au boulot. Même si elle ne souhaite pas poursuivre dans cette voie, elle m’a avoué avoir trouvé agréable d’être désirée même par son entourage proche. Elle m’a également décrit dans le détail ses emplettes au sex-shop où je l’avais envoyée acheter un ‘rosebud’ et une guêpière à essayer en cabine avec l’aide du vendeur sous les yeux de quelques clients (voir le Chapitre 1 de la série « Déchéance d’une épouse dévouée » - ‘Comment tout a commencé ‘).
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A mon retour de promenade à quatre pattes dans le bois avec mes coreligionnaires canins du jour, j’ai pris une bonne douche tout en réfléchissant à mon parcours de soumise qui va crescendo et à grande vitesse, pour mon plus grand plaisir, finalement.
Il me revient alors en tête ma journée punitive entièrement nue sous mon imper et pour laquelle mon mari a envoyé à ‘JP’, comme convenu, les photos les plus significatives et la petite vidéo de ma copulation avec des inconnus. Celle qui reflète le mieux mon parcours exhibitionniste a sans aucun doute été prise chez le boucher où la tête médusée des clients est bien apparente tout comme ma nudité totale avec mon imper ouvert au milieu d’eux. La mine stupéfaite de deux des membres de notre groupe lorsqu’elles me font la bise, alors que je suis face à elles, poitrine et minou à l’air, dans le supermarché est tout aussi parlante. Seul le visage de Martine à la poitrine opulente, l’une des membres du groupe également, rencontrée au rayon lingerie dénote son attraction pour ma performance et semble m’envier.
Je me souviens tout à coup de notre conversation quand, l’imper toujours grand ouvert dans cette allée déserte, je l’ai aidée à choisir des sous-vêtements plus affriolants et surtout lui ai proposé de l’accompagner dans un sex-shop pour se lâcher et faire l’acquisition de dessous mettant en valeur la nudité de ses seins et son minou pour le plus grand plaisir de son mari. Etonnée par ma proposition, mais semble-t-il excitée de se rendre pour la première fois dans un sex-shop, elle y a consenti avec un léger rosissement de ses joues et les yeux pétillants.
Or c’est au retour de son boulot aujourd’hui que le rendez-vous a été fixé ! Il me revient aussi en tête que mon mari croyant bien faire en envoyant toutes mes photos a évoqué cette conversation à ‘JP’ qui m’a le soir même ordonné d’accompagner cette Martine entièrement nue avec juste l’imper au-dessus à déboutonner entièrement bien entendu, une fois dans le magasin. Un autre défi majeur sera de me rendre dans une cabine pour couple à vitre sans tain pour aider Martine à essayer des culottes fendues et des soutifs pigeonnants, toutes les deux à poil pour laisser ensuite la porte entre-ouverte et permettre aux voyeurs de tâter la marchandise l
C’est tout sourire que Martine me fait la bise sur le pas de la porte du sex-shop en me disant :
— Toi alors Marie-Claire tu ne t’arrêtes pas. Je suppose que tu es à poil sous ton imper ?— Oui, entrons, tu vas voir !— Cela ne te dérange pas tous ses regards sur ton corps dénudé ?— Il suffit de sourire à celui qui te mate. Allez viens, on va demander à un vendeur de nous aider à te choisir un bel ensemble !— Bonjour Mesdames. Que puis-je faire pour vous ? Je vois déjà que Madame ne s’embarrasse pas de lingerie. Elle a bien raison, elle est si croquante en ‘tenue de peau’ ! — Et bien, j’aimerais pouvoir épater mon mari avec une nuisette affriolante et des dessous sexy, lui répond Martine.— Nous avons cette nuisette blanche avec décolleté bateau en dentelles et manche longue avec string assorti ?— Oui, il t’irait bien tu sais Martine, mais tu n’as pas besoin du string pour séduire ton mari ! Prends-la.— D’accord, et pour l’ensemble lingerie, qu’est-ce que vous proposez ?— Cet ensemble 2 pièces avec soutien-gorge ouvert sur les bonnets à armatures et le shorty assorti tout en transparence devrait ajouter plus de charme à votre silhouette ! — Je t’y vois déjà dedans Martine, prends-le.— D’accord, mais vous avez ma taille ?— Oui je pense. Attendez, je mesure votre tour de poitrine. Ne bougez pas comme ça. Vous avez l’air sensible des tétons pour vous agiter ainsi. OK, 105 centimètres. Voyons maintenant le tour de dos. Vous pouvez ouvrir votre chemisier que je passe dessous pour bien mesurer sous vos seins. Voilà, parfait : 83 centimètres. Donc il vous faut 100 E pour l’ensemble et XXL pour la nuisette. Je vous apporte ça tout de suite !— Nous irons l’essayer ensemble si tu n’y vois pas d’inconvénient Martine ? Vous pourrez nous donner une clé de cabine couple en bas ?
Nous nous retrouvons toutes les deux seules dans une cabine entourée de glace sans tain sur trois faces et un crochet porte-manteau derrière la porte avec un petit banc rembourré et deux chaises pour tout meuble. Elle ne s’étonne pas plus que ça de cette drôle de cabine. J’enlève mon imper pour l’accrocher à la patère et l’aide à se déshabiller. Elle est tout émoustillée quand elle se retrouve face à moi nue, et elle en culotte et soutif. Je l’aide à dégrafer son soutien, libérant par là même ses énormes mamelles. Elle descend alors naturellement sa grande culotte pour me dévoiler un poilu brun très fourni qu’elle a cependant un peu taillé pour l’occasion et éviter l’aspect moustache autour de la culotte. Elle commence par l’ensemble lingerie, et là effectivement, ses gros seins débordants sont du plus bel effet surtout avec leurs aréoles brunes très larges et leurs gros tétons apparents.
Elle s’admire sous toutes les coutures face à chacune des glaces, son gros popotin ne doit pas déplaire non plus à tous les voyeurs probablement massés derrière.
Elle ne juge pas utile d’essayer le shorty, appréciant d’être cul nu, me dit-elle. Elle va même jusqu’à me montrer ses petites lèvres démesurées qui dépassent largement ses grandes lèvres. Son clito long me fait alors un petit coucou quand elle le caresse en me souriant pour me dire :
— Je ne sais pas si tu es comme moi, mais j’adore quand on me caresse par là !
Je lui réponds que moi aussi, tout en avançant ma main pour remplacer la sienne et lui rouler son bouton d’amour entre deux doigts :
— Oui, vas-y Marie-Claire, continue, c’est trop bon !
Je lui demande de s’allonger sur le banc et de fermer les yeux. J’en profite pour entrouvrir la porte.Et là, pas moins de cinq gars font irruption, les deux qui s’astiquent le manche fondent sur moi tandis que les trois autres découvrent tactilement le corps de Martine. Le premier remplace ma main sur son clito sans qu’elle ne s’en offusque, ayant toujours les yeux fermés. C’est seulement quand les deux autres se mettent ensemble à la téter qu’elle découvre le tableau, mais prise par l’excitation montante, elle se laisse totalement aller :
— Oui que vous êtes bon. Tétez-moi bien, mon clito aussi s’il vous plaît !
De mon côté, désormais assise sur une chaise, je me retrouve à sucer une bite pendant qu’une autre tente de me pénétrer en relevant mes jambes au maximum. J’ai juste le temps de vérifier qu’elle est bien équipée d’une capote avant de la sentir au fond de mon vagin. C’est seulement là que je vois les yeux révulsés de Martine qui suffoque en me regardant à l’ouvrage avec deux mecs à la fois ! Je finis par prendre une giclée de foutre sur mes seins après ma fellation réussie et une autre rasade sur la chatte que me déverse mon baiseur en vidant sa capote sur mon pubis. Ils sortent alors tous rapidement comme une envolée de moineaux quand notre vendeur débarque pour vérifier si toute la lingerie est à la bonne taille. Martine ne se démonte pas et lui dit :
— Comme vous pouvez le constater, je n’ai pas eu le temps de tout passer. Vous pouvez m’aider pour la nuisette ?
Il s’approche d’elle assise sur le banc et lui enfile la nuisette blanche qui contraste sur sa peau mate en prenant soin de bien l’ajuster sur sa poitrine dont il profite au passage de caresser les tétons proéminents qui tendent alors la nuisette ! Elle se lève ensuite à son invitation quand il la tient par une main pour faire le tour de la pièce en se regardant dans la glace. Il lui dit alors :
— Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais que vous puissiez faire un défilé de mode femme forte, car vous êtes la première cliente à oser vous habiller comme ça. Cela me ferait de la publicité. J’ai en effet repéré quelques femmes de votre gabarit dans le magasin.— D’accord, j’en profite pour essayer le shorty assorti ! Voilà, je suis prête et je vous suis !
Je suis très étonnée par la rapidité avec laquelle Martine a accepté d’exposer son corps dénudé comme jamais, je pense, elle n’avait osé le faire jusque-là. Mais c’est vrai qu’elle est très belle habillée comme ça. Ses seins hors du bonnet et son poilu qui ressort du shorty transparent sont d’un effet érotique incroyable.
Je profite de son défilé à l’étage pour aller prendre une douche avec cette fois une porte vitrée claire qui me dévoile aux clients de passage dans ce couloir. Je me savonne langoureusement en les voyant se masturber derrière la vitre et je me rince avant de m’essuyer et remettre mon imper. Martine est redescendue entretemps pour se rhabiller en femme quelconque. Quand nous sortons du sex-shop, elle me fait la bise et me remercie. Elle se sent si bien dans sa peau maintenant après s’être promenée nue dans le magasin recevant au passage des caresses plus ou moins appuyées sur ses fesses ou sa poitrine, mais très agréables, lui faisant découvrir qu’elle reste désirable.
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J’étais sans nouvelle de Marie-Claire, alias ‘Jade’ depuis sa promenade de chienne en chaleur où elle s’est fait sauter par Rex le labrador de Muriel, alias ‘Mucoquine’ quand je l’ai retrouvée justement chez cette dernière lors d’une de mes visites régulières de sa formation de soumise.
Quelle n’est pas ma surprise en entrant sans frapper dans sa chambre, comme à mon habitude, de les voir à trois en train de se ‘mioumiouter’. Muriel allongée à poil sur son lit se fait lécher la vulve par ‘Jade’ pendant qu’elle en fait autant à sa sœur accroupie nue, la chatte poilue sur sa bouche.
Etant à genoux au pied du lit pour lécher sa copine Muriel, Marie-Claire ne sent pas arriver Rex dans son dos. Il n’a aucun mal cette fois pour trouver le vagin de ‘Jade’ qu’il enfile d’un coup sans prendre la peine de le renifler avant. La plus surprise est encore la sœur de Muriel qui ne peut s’empêcher de dire :
— Ne me dis pas Mumu que toi aussi tu te fais monter dessus par Rex ? — Depuis peu seulement, tu sais. Depuis que Marie-Claire m’a dit combien cela lui faisait du bien ! Tu ne veux pas essayer ?— Ça ne va pas non !
Je clos rapidement cet échange en venant directement enfiler la sœur sans avoir même pris le temps de lui faire la bise !Je me sens un peu seul, certes avec Rex pour satisfaire ces trois femelles en chaleur. Je prends une photo de cette partie de chasse pour l’envoyer aux deux membres du groupe ayant eu l’honneur de se faire sucer en pleine nature par la Présidente et la Secrétaire quelques jours auparavant.
Leur réponse à mon invitation ne se fait pas attendre. Ils sont prêts tous les deux à me rejoindre et me demandent juste de confirmer l’adresse de la Secrétaire du groupe.
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Je commence juste de refaire surface après avoir bien joui des caresses simultanées de Muriel et sa sœur et surtout de leur langue pour rendre la pareille à Mumu en m’agenouillant la tête entre ses cuisses quand je sens deux pattes sur mon dos et l’entrée simultanée d’une bite se mettant immédiatement à gonfler dans mon vagin avant de s’y agiter frénétiquement. Un orgasme profond m’envahit soudain et tout mon corps se met à vibrer, me faisant pousser un cri de jouissance plus puissant qu’à mon habitude.
C’est seulement en rouvrant les yeux et en tournant machinalement la tête vers la porte que je remarque la présence de Jean-Pierre à poil la bite en érection. Il me sourit juste avant d’aller investir la chatte de la sœur de Mumu aussi sauvagement que Rex avec moi, sans préalable, ni même un bonjour !
Je me lève alors pour aller aux toilettes et bien sûr Rex me suit partout, maintenant qu’il me prend pour sa chienne en chaleur du moment. Il tient à me satisfaire en tout lieu et à tout moment, comme il en a sans doute pris l’habitude avec sa maîtresse. Je profite que la cuvette des WC soit dans la salle de bains pour prendre une douche vite fait, laissant Rex à la porte qui glousse d’impatience.
A mon retour dans la chambre avec Rex qui se frotte maintenant sur ma jambe, nouvelle surprise de découvrir les deux membres de l’association que nous avons sucés avec Muriel lors de ma promenade canine de la semaine dernière. Ils finissent de se dévêtir, mais sont déjà érection quand ils s’approchent pour me faire la bise et me peloter allègrement le cul et les nichons, comme l’un d’eux se plaît à dire. Je me surprends à les masturber machinalement, alors qu’il y a peu de temps encore, je leur aurai simplement serré la main !
Les deux sœurs allongées tête-bêche sur le lit de Muriel sont toujours en pleine découverte de leur intimité respective qu’elle suce, malaxe ou pénètre de leurs doigts. C’est donc tout naturellement vers elles que les deux invités se dirigent. Ils les prennent ainsi alternativement un long moment pendant qu’elles continuent de se lécher tout en gobant de temps en temps la queue qui se présente pour lui redonner vigueur et l’aider ensuite à entrer de nouveau dans le vagin de leur sœur, grand ouvert sous leurs yeux.
C’est ‘JP’ qui rompt cette partie à quatre en ordonnant à Mumu de venir le sucer à genoux pendant que son chien vient lui faire son affaire comme il en a maintenant pris l’habitude, semble-t-il ! Les deux nouveaux se rabattent sur sa sœur qu’ils prennent alors en double apparemment pour la première fois. Plus elle crie, plus ils lui claquent les fesses ou les seins. ‘JP’ finit par la faire taire en lui enfonçant bien profondément sa grosse queue jusqu’au fond de sa gorge. Elle se débat un moment avant de sentir le plaisir monter à nouveau en elle et se dégager de la bite de ‘JP’ pour réclamer qu’on la pilonne plus fort.
Les deux gars finissent, comme ils disent bien fort, par remplir le cul et le con de la sœur qui reste étendue un long moment jambes écartées à reprendre son souffle. C’est à ce moment-là que Mumu invite son labrador à venir lécher le foutre qui dégorge encore des deux orifices toujours béants de sa sœur. Elle tente de s’opposer à ce léchage en se retournant, puis se mettre à genoux pour se relever.
Mais la voyant alors en position de levrette, Rex lui saute dessus de tout son poids avec ses pattes avant en appui sur ses épaules avant de l’enculer d’un coup sec et profond pour commencer de s’agiter rapidement en elle. Elle crie au secours, sans que personne n’intervienne, pour finir une fois encore par céder avec la jouissance qui refait surface. Pas moins de trois orgasmes l’ont envahie cet après-midi-là en passant successivement de ses amours incestueux à sa triplette avec les trois bites humaines pour terminer par sa première expérience zoophile !
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J’espère que vous appréciez toujours notre saga où les soumises sont confrontées de plus en plus souvent à de nouvelles expériences !
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