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Maîtres

Chapitre 5

Travesti / Trans
Je lui avais léché les pieds, puis il m’avait fessé. Après une telle humiliation et un premier jour fort en émotion, je fus mis à disposition: nu comme un ver, je dus rester à quatre pattes devant le canapé pour qu’ils puissent poser leurs pieds sur mon dos. Ils parlèrent comme si je n’étais pas là, et j’étais dans un état second. Alors que j’avais eu peur de m’ennuyer, je me trouvai attentif au moindre son en ma direction: qu’ils m’ignorent me rendait surattentif et mettait mes sens en éveil.
Pourtant, si mon fantasme de soumission commençait à se réaliser, j’étais encore sur ma faim concernant la féminisation: je n’avais pas eu l’occasion d’essayer les tenues aperçues dans ma chambre. Il faut savoir que j’ai toujours eu le fantasme de coucher avec des hommes, mais uniquement si je suis moi-même "en femme": comme si j’avais besoin de jouer un personnage féminin pour prendre du plaisir à du sexe entre hommes. De plus, la plupart de mes expériences avait été décevantes dès lors que j’avais joui, ou que l’homme avec qui je couchais avait joui. D’un coup, après l’orgasme, je ne trouvais plus le plaisir que j’espérais.
La soirée dura assez tard, et je finissais par m’impatienter, lorsqu’ils me firent me relever.
— Petite salope?
Je compris très vite de qui il était question.
— Oui?— Debout. On va commencer ton entraînement à nous satisfaire.
Je me relevai, et une légère érection avait aussi soulevé mon sexe pourtant fatigué par la punition puis l’attente, lorsqu’il m’avait appelée "petite salope". Je n’avais pas vu, pendant que j’étais à quatre pattes, qu’ils avaient amené un objet en plastique, un petit bol, une bouteille de lubrifiant ainsi qu’un plug, qu’ils avaient posé sur la table de la cuisine.
— Insère-toi le plug, puis mets ton sexe en cage.
Voilà ce qu’était l’objet que j’avais repéré. Une cage de chasteté rose, dans laquelle j’allais enfermer mon sexe pour... Combien de temps?
— Je te rappelle la règle: tant que tu es là, tu es en cage de chasteté tout le temps, sauf si l’un d’entre nous décide pour une raison quelconque de te libérer temporairement. Nous avons tous la clef du cadenas, nous savons tous comment l’ouvrir mais toi tu ne l’auras pas. Mets-la.

J’ouvris la cage, et tentai d’insérer mon sexe dedans. Mais alors que je commençais à le toucher, et à tenter de le glisser dans la partie qui devait l’accueillir, mon pénis commença à durcir. Je tentais de l’enfoncer, mais plus je poussai, plus mon sexe devenait dur et rendait impossible toute insertion dans la cage. Je tentai d’y mettre du lubrifiant mais ça ne marchait toujours pas, et j’étais pris d’une forte envie de me masturber, devant tout le monde: le lubrifiant était en effet chauffant, pour augmenter le désir.
Au bout de quelques minutes, l’un d’entre eux attrapa ma queue, prit le bol et la plongea dedans; le bol était rempli de glaçons. Le froid me fit immédiatement débander, et je fis un effort pour ne pas crier. Il retira le bol, mit du lubrifiant dans la cage, et y fit glisser mon sexe qui s’y logea sans aucune difficulté. Il ferma le verrou, pendant que ma petite bite macérait dans le lubrifiant chauffant, désormais enfermée et incapable de bander. Pour l’instant, je ne sentais rien de particulier; mais je me doutais que d’ici quelques instants, tout allait être différent.
— Maintenant penche toi en avant.

Je m’exécutai, et sentis deux doigts enduire de lubrifiant mon anus, avant d’y insérer un plug.
J’étais à présent dans l’état où je resterais bien longtemps : chaste, incapable d’érections, et pluggée, pour détendre peu à peu mon petit trou et me permettre des sodomies pas trop douloureuses. Leur but était d’avoir une poupée sexuelle à disposition, ce qui était plus facile si la poupée en question n’était pas inapte au sexe pendant trois jours après chaque sodomie. Quant à la cage, comme j’allais bientôt en faire l’expérience, c’était pour m’apprendre à aimer être sodomisée : en m’enlevant la possibilité d’avoir du plaisir par mon sexe, je devrais apprendre à chercher du plaisir ailleurs.
Pour l’instant, la cage se faisait sentir par la chaleur qui irradiait de ma petite bite, et qui lui donnait envie de grossir ; mais coincée comme elle était, c’était impossible. Pour l’instant, ce n’était pas encore trop dérangeant.
Ils me firent manger, et après le repas, alors que je m’attendais à retourner à ma chambre, ils m’amenèrent dans un escalier qui menait à une autre salle.
Elle était blanche, carrée, assez haute de plafond et uniquement meublée d’un matelas une place et d’une couverture. Il n’y avait pas de fenêtres, et le seul interrupteur était à l’extérieur.
— C’est ta chambre pour le début. Tu resteras ici jusqu’à ce qu’on considère que tu es prête à retourner en haut. Tu es là pour l’entraînement ; ça ne va pas être facile, mais on saura y faire, ne t’inquiète pas. On va venir tous les jours t’apprendre des choses, et ne t’inquiète pas, tu trouveras de quoi t’occuper dans la journée. Par contre le soir c’est nous qui décidons de l’extinction des feux, et la porte est verrouillée de l’extérieur. En cas d’urgence, tu sonnes à ce bouton (il me désigna un bouton légèrement lumineux près de la porte) et on vient t’ouvrir.
Pour ta première nuit, il va suffire que tu restes ici avec le plug pour t’habituer et on sera contents.
Bonne nuit.
Ils sortirent, me laissant seule, nue, dans la chambre ; puis j’entendis un loquet se fermer, et compris que j’étais livrée à moi-même pour toute la nuit. J’avais heureusement bien mangé, et j’étais épuisée ; je tombai sur le lit. La lumière était allumée, et je ne pouvais pas dormir. Je tournai, retournai, mais je n’arrivai pas à oublier cette lumière très intense qui m’empêchait de dormir. Quand elle s’éteignit enfin, je m’endormis immédiatement…Pour me réveiller avec cette même lumière en ce qui me sembla être un quart d’heure plus tard. C’était le matin, j’avais terriblement envie de faire pipi, et la lumière venait de s’allumer pour ma première journée entière de servitude.
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