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Maîtres

Chapitre 6

Travesti / Trans
La lumière me frappa au visage et me donna une nouvelle appréhension; comment allait se passer cette première journée? 
-Debout là-dedans! me fit une voix presque amicale. Je vais te briefer sur le service que tu effectueras ici! 
Encore nu, ou nue, je ne savais plus, je me levai en chancelant et suivis celui qui allait me guider dans cette journée. 
-Première chose: si tu veux passer aux toilettes, vas-y maintenant; tu risques d’être très prise pendant la journée. Ensuite je t’attendrai dans la cuisine.
Quand je l’eus rejoint, il me montra le fonctionnement de tous les appareils.
-Ton réveil sera à heure fixe tous les jours, à 6 heures ; on écrira le soir si on veut que tu nous apportes le petit déjeuner dans notre chambre ou si tu le mets à la cuisine. Attention: on prend tous des choses différentes, voici la liste. Tu dois avoir tout préparé à 7 heures; les fruits pelés, les tartines beurrées et garnies, le café ni trop chaud ni trop froid... Tu n’as le droit de manger qu’une fois que tu nous auras tous servis. Une fois tous les repas terminés, tu ramènes tout, et évidement tu nettoies tout, on veut que la cuisine soit toujours impeccable. Tiens, ouvre ce tiroir.
Il contenait une tenue de soubrette noire, constituée d’un tablier, d’un choker et d’une perruque blonde et bouclée, complètement opposée à ma couleur naturelle, qu’il me fit enfiler. 
-Evidemment tu porteras ça quand tu viendras nous servir; on veut que tu sois maquillée et apprêtée dès le matin, que tu sois prête à servir. Tu as de l’expérience en suceuse? 
Sa question, lancée comme ça sans avertissement préalable, me fit rougir; j’avais déjà un peu sucé quelques hommes, mais jamais avec beaucoup de succès, et c’était souvent une expérience décevante, pour moi et pour eux.
-On va t’apprendre à aimer sucer. On veut que tu sois complètement accro à nos queues, prête à l’emploi dès le matin. Pour ça on va t’entraîner; sache que parfois on voudra que tu nous suces en apportant le petit déjeuner; tu devras le faire, jusqu’à ce que nous en ayons assez. Montre moi ce que tu vaux, tu m’excites déjà.
Il s’assit sur une des chaises de la cuisine, et ouvrit son pantalon. Son sexe, déjà, commençait à se tordre sous l’effet de l’excitation qui commençait à monter en lui. Je m’agenouillai devant lui; ma cage touchait presque le sol. Son ton impérieux m’excita, je me sentis soudain salope, come j’en avais rêvé. Je léchais la base de sa bite jusqu’au gland; ses poils me caressaient la langue. Il était propre, n’avait que peu d’odeur, ce dont je lui fus reconnaissant. Peu à peu, ma langue s’approchait de son gland, "bave bien", me dit-il, "lubrifie bien ma queue"; je fis un effort pour produire un maximum de salive, avant d’ouvrir la bouche et d’y glisser son gland. Sa bite avait durci, et je commençai des allers-retours lents en l’enfonçant progressivement dans ma bouche. J’empoignai la base de son sexe de ma main droite, et elle le masturba en glissant sur la bave que j’y avais déposée. "C’est bien", glissa-t-il, "tu as de bonnes idées, mais l’exécution laisse à désirer". Il sortit de ma bouche, posa son sexe sur ma joue, et me regarda.
"Première pipe de la petite salope! Tu es contente de toi? -Oui.-Oui qui, me dit-il d’un ton menaçant. 
-Oui maître.-C’est bien. Tu as encore à apprendre, mais je suis sûr que tu auras bientôt une bonne bouche de suceuse. On va faire en sorte que tu aies envie de sperme en permanence. -Merci maître.-Tu comprends vite, c’est bien. Tourne-toi.
Je m’exécutai, toujours sur les genoux, et il se mit à me caresser les fesses doucement. Ses doigts s’approchèrent de mon petit trou, et lentement saisirent le plug que j’avais encore entre les fesses et le retirèrent. Je sentis à la fois un soulagement et une douleur sourde. Il me dit d’aller le nettoyer avant que nous puissions le poursuivre. Je marchais plus librement, c’était agréable. Je nettoyai le plug puis lui ramenai. 
-Maintenant, va te familiariser avec la bite des autres. Quand tu auras fini, reviens ici. 
Je toquai à la première porte, celle d’Issa. 
-Entrez! Ah, c’est toi! Qu’est-ce que tu veux?-Maître Charles m’envoie me familiariser avec ...J’eus honte de cette situation. Comment dire que je devais me familiariser avec son sexe? C’était bizarre, ridicule.-Ah, encore une idée bizarre à lui! Viens!Il était en train de s’habiller, enleva son pantalon et en sortir à son tour un engin volumineux. -Montre-moi ta cage.Je m’exécutai.-Tu vois, contrairement à toi, ma bite n’est pas dans une cage; déjà, elle n’y tiendrait pas. Et aussi, je ne suis pas une petite cochonne comme toi. Pas vrai? Viens l’embrasser.
A genoux à nouveau, je collai mes lèvres à la jonction avec ses couilles, et y déposai un baiser. Il appuya sa main sur ma nuque. "Sens-la, respire bien son odeur, habitue-toi. Tu vas la goûter très souvent." Puis, après avoir relâché la pression, il me tapota avec "allez, elle te dit à bientôt, cochonne. J’espère pour toi que tu lui plairas".
La deuxième porte était celle de la chambre de Karim.Il fut plus efficace, me montra simplement sa bite rapidement et me dit qu’il avait hâte de s’occuper de mon entraînement. 
Puis ce fut au tour de Xavier.-Puis-je voir votre bite s’il-vous-plaît?-Haha, va falloir le mériter espèce de chienne. Donc viens voir si tu peux venir l’observer comme une chienne! Je marchai à quatre pattes jusqu’à lui; il me fit également renifler sa bite, n’étant pas content jusqu’à ce que mon nez se soit posé sur chaque centimètre de la peau de celle-ci.-Voilà une bonne chienne qui va bien connaître l’odeur de son maître. Allez casse-toi, me dit-il avec une tape sur la fesse.
Enfin vint la chambre d’Antoine, qui me mit sa bite en main et me fit éprouver sa texture, sa douceur, et me dit que j’avais "un bon petit cul qui sera sûrement très accueillant".
Je retournai à Charles, dans la cuisine; il était en train de se masturber doucement. 
"Ah, parfait! Tu vas venir goûter mon sperme! Tu as de la chance, je t’ai gardé trois jours de sperme pour que tu en aies le plus possible!"Je revins m’agenouiller devant lui, et bientôt il prit ma tête en main pour enfoncer sa queue dans ma bouche. Dans un râle de plaisir, il y libéra plusieurs longs jets de sperme. Il y en avait trop; j’eus un haut le coeur.
-N’avale pas si tu ne veux pas. Il se leva et alla chercher un verre. Crache là dedans si tu veux".
J’en fus heureuse, jusqu’à ce qu’il me renverse le contenu du verre sur le visage. "Voilà, c’est pour t’habituer"
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