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Ma sœur, ma Maîtresse

Chapitre 2

Inceste
Ma sœur, ma Maîtresse

Ces derniers jours, je fais toujours le même rêve. Allongé sur mon lit, pantalon baissé et jambes écartées, la main au panier, je regarde ma sœur me faire un striptease et agiter son corps au rythme d’une musique langoureuse. Elle retire ses vêtements les uns après les autres, découvre ses seins gonflés, son petit abricot fraîchement épilé et sa jolie paire de fesses… Elle se cambre contre le mur, écarte les cuisses tout en se masturbant avec des gestes sensuels, grimpe sur le lit, puis avance en direction de mon sexe bandé pour le faire aller et venir entre ses doigts experts. Je vous laisse deviner la suite…
Je pense à Claire à tout moment de la journée, à en perdre la tête.
Cerise sur le gâteau : un nouveau mail. Je ne sais toujours pas qui est derrière tout ça mais il serait indélicat de ma part de refuser un tel cadeau.
Après avoir ouvert le fichier, je découvre Claire qui semble revenir de son jogging. Je perçois les bâtiments du campus en fond de toile et le flot continu des étudiants qui s’en vont certainement à leur prochain cours. Les photos prises à l’autre bout du parc sont d’une qualité exceptionnelle. On s’y croirait… Son cycliste épouse la forme de ses fesses à la perfection. Je distingue même les contours de son string, très nets.
Claire qui ne se doute de rien poursuit ses étirements sans se soucier des promeneurs, multiplie les postures et fait profiter à tous des merveilles que lui a fait don la nature. Si je le pouvais, je ne quitterais jamais des yeux ces photos ô combien sublimes.
Une semaine de dingue, je vous le dis. Toutefois, ma patience est récompensée…

***
J’accompagne Claire pour son jogging habituel. Elle porte le même ensemble que sur les photos, ce qui me met tout de suite dans l’ambiance.
Encore une fois, je dois m’arrêter pour reprendre mon calme, en vain car mon pénis ne veut pas débander. Claire qui se tient alors à l’écart remarque la bosse qui distord mon short, laisse échapper un petit rire nerveux et me questionne :
— Tu aimes ce que tu vois ?
Mon sang ne fait qu’un tour. C’est tout juste si je parviens à formuler une réponse.

— Je… Désolé ! — Comme si je n’avais jamais remarqué ton manège, ajoute Claire, les mains posées sur les hanches.
Je me défends de croiser son regard, craignant qu’il ne me change en statue ou quelque chose du même genre.
— Ne te fâche pas, s’il te plaît !— C’est bon, je plaisantais. Si tu te voyais.
Je tourne la tête en direction de Claire, hésitant et perplexe. Elle m’adresse une œillade ravie, puis disparaît dans les bois qui bordent la piste. Après un moment de flottement, je me décide à la suivre.
Claire m’attend un peu plus loin, adossée à un arbre. Elle me fait un signe de la main.
— Nous sommes au bon endroit, me dit-elle lorsque j’arrive à sa hauteur. Personne ne viendra nous déranger.
La route est seulement à une vingtaine de mètres mais les buissons alentours masquent suffisamment notre présence.
— Montre-moi comment tu fais.
Je dévisage ma sœur, confus. Je remarque alors ses yeux (habités d’une étrange lueur) qui détaillent tout mon corps, notamment ce qu’il y a entre mes jambes.
— Si tu me montre la tienne, j’en ferai autant, continue Claire. Allez… Montre-moi.
Je serais le dernier des idiots si je refusais.
Excité, je baisse mon short. Mon sexe à moitié bandé tressaute légèrement au contact de l’air, le branle en douceur, coincé dans le creux de ma main.
— C’est un bel engin que tu as là, me félicite Claire.
Je la vois remonter les mains vers l’intérieur de ses cuisses, tirailler l’élastique de son cycliste et se perdre dans son vêtement à la recherche d’un endroit chaud et humide. Mes va-et-vient se font plus rapides. Je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps… Claire accentue ses caresses, se colle un peu plus au tronc de l’arbre, ondule ses jolies fesses rondes et entrouvre la bouche pour laisser échapper un petit gémissement. Nous y voilà… Ma verge se contracte, relâche ma semence par saccades, des jets longs et puissants. Quand j’ouvre enfin les yeux, Claire est en train de s’enfuir.
— Hey ! criai-je. Tu oublies ta part du marché !
Claire a presque rejoint la piste. Sans m’adresser un regard, elle agite sa main droite en l’air – avec laquelle elle s’est masturbée quelques secondes plus tôt – et me déclare :
— J’ai menti !
Je peux l’entendre rire. La garce… Elle s’est bien foutue de moi. Quand je quitte les bois, elle est déjà loin.
De retour à la maison, je la surprends à faire ses étirements. Elle me sourit. Je l’aurai bien grondée mais la volonté me manque, à bout de souffle.
— Je sais à quoi tu penses, me dit-elle en simulant un air attristé. Je suis vraiment désolée.— J’en doute. Pas comme si tu m’avais chauffé…
Claire attrape la bouteille à ses pieds, la vide en partie et notant mon état de fatigue me la tend. J’accepte, un peu brusque.
— Tu n’as pas tort, me retourne-t-elle, amusée. Tu mérites effectivement une récompense… — Ok. Mais pas de triche.
Claire m’en fait la promesse, me prend la main et m’entraîne vers la maison désertée par les parents pour le restant de la journée, nous laissant seuls.
— Je n’ai qu’une règle, déclare ma sœur une fois la porte de la salle de bain close. Pas touche à la marchandise. C’est bien compris ?
Je fais « oui » avec la tête.
Après un déshabillage rapide, je découvre ma sœur entièrement nue. J’aimerais vous la décrire le plus fidèlement possible, telle que je la perçois. Mais les mots me manquent… Ses longs cheveux auburn arrivent à hauteur des épaules, encadrent son joli visage et font ressortir le bleu de ses yeux. Je m’attarde une seconde sur sa poitrine ronde et ferme, aux tétons érigés avant de descendre vers son sexe aux lèvres gonflées de plaisir, en partie épilé et surmonté d’un petit buisson pubien taillé en forme de cœur. Ses fesses rebondies ne me laissent pas non plus indifférent… La bosse qui déforme mon short en dit long sur mon état.
Claire se dirige ensuite sous la douche, tourne les robinets, bascule la tête en arrière et disparaît sous une pluie torrentielle. Elle enduit son corps de savon, le caresse sous toutes les coutures avec un gant de toilette, de façon très appliquée. Ma respiration s’accélère quand elle écarte les jambes pour frotter son minou, puis insinue le gant de toilette dans la raie des fesses, alterne régulièrement entre les deux et entreprend un va-et-vient que j’imagine très agréable. Cinq minutes ont passé, je crois.
Je finis par libérer ma verge, incapable de contenir mon excitation. De son côté, Claire accentue ses caresses. Elle s’agrippe au pommeau de douche, parcourue de tremblements.
— Aaaah… Je viens !
Mon cri se répercute dans toute la pièce. Je me vide copieusement sur le parterre, la mine radieuse. Claire n’est pas longue à me rejoindre, le devinant à son expression. Elle me paraît si lointaine… Plongée à l’intérieur de ses cuisses, la main gauche de ma sœur s’agite si vite que j’ai du mal à distinguer ses mouvements. C’est tout bonnement incroyable. J’aperçois Claire qui lève les yeux au plafond, la bouche grande ouverte, haletante. Elle reste comme ça un moment, puis se laisse glisser le long de la paroi, comblée.
— J’espère que tu as apprécié, dit Claire une fois remise de son orgasme. — C’était génial ! Je ne pensais pas voir ça un jour… Merci !
Claire esquisse un sourire. Sa toilette finie, elle fait coulisser la porte de la cabine, met une serviette autour de la taille, pose le plat de ses pieds sur le carrelage de la salle de bain et s’en va doucement vers de la sortie. Son épaule nue touche la mienne. Je peux sentir mon cœur s’emballer. Nos regards se croisent. Il y a quelque chose dans ses yeux… Je l’avais déjà remarqué quand nous étions dans les bois.
J’ignorais alors la teneur de cet échange. Ma surprise est encore plus grande lorsque je retrouve ma sœur assise sur mon lit, les jambes croisées, en attendant mon retour. Il s’est écoulé quelques heures depuis l’épisode de la salle de bain… J’avance prudemment. Claire me dévisage à sa façon, me mettant mal à l’aise. J’aperçois alors le godemichet à proximité de Claire, imposant, sombre et parcouru de grosses veines.
— Nos petits jeux ne font que commencer, annonce Claire, friponne.

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