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Ma sœur, ma Maîtresse

Chapitre 3

Inceste
Ma sœur, ma Maîtresse

Si je devais résumer les deux premiers chapitres… Je m’appelle Arthur, dix-huit ans et un gros manque de confiance en soi. Je n’ai jamais osé me mettre en avant pour aborder une fille et mon expérience sexuelle se limite à des films pour adultes sur le Net. Malgré le soutien de ma sœur, je suis toujours vierge. A propos de ma sœur… Claire est ma jumelle. La plus belle fille du campus. Elle doit probablement habiter les fantasmes d’une grande majorité des universitaires, moi compris. Je me suis d’abord contenté de la regarder. Une chose en amenant une autre… Je me suis fait griller.
Quelle a été ma réaction ? Pas terrible… Mais ce n’est rien comparé à celle de Claire, qui insiste pour voir mon sexe en érection, coupant court à notre séance de jogging. Une fois rentré à la maison, j’accompagne ma sœur jusqu’à la salle de bain où elle se met à nue et excitée par la situation se masturbe sous mes yeux ébahis. Chacun de notre côté, nous avons joui. Puis Claire s’est retirée, me laissant tout seul. Je pensais alors notre histoire terminée…

***
Claire est assise sur mon lit, les jambes croisées. Mon attitude doit en surprendre plus d’un mais la façon qu’elle a de me regarder me met tout de suite dans l’embarras, surtout quand elle se met à battre des cils, la tête inclinée sur le côté. Que me veut-elle exactement ?
Ma sœur a troqué sa serviette de bain contre un mini short en jean et un tee-shirt blanc à manches courtes. Elle continue de me fixer avec son air narquois, puis sort de son silence.
— Nos petits jeux ne font que commencer.
Je remarque le godemichet noir. Il est gigantesque. Claire l’effleure du bout des doigts, très coquine.
— Je…— Nous y reviendrons, répond-elle sans me laisser finir ma phrase. J’ai décidé de prendre en charge ton éducation sexuelle.
Je ne réalise pas tout de suite la portée de ses paroles. Probablement mon logiciel qui a un bug… Claire en profite pour se mettre sur le dos, lever les jambes au plafond et défaire son mini short avant de le projeter à l’autre bout de la chambre. Débarrassée de son vêtement, elle pose les mains à l’intérieur des cuisses et les écarte jusqu’à dévoiler son jardin secret, qui est déjà bien humide. Elle me fait signe d’approcher.
— Tu vas goûter la chatte d’une femme pour la toute première fois. — Je croyais ne pas avoir le droit de toucher, dis-je une fois au pied du lit.
— Je change les règles. Tu devras néanmoins suivre mes ordres à la lettre. A moins de vouloir rester puceau le restant de ta vie… C’est bien compris ?— Oui. Je ferai tout ce que tu me dis.— Il vaudrait mieux pour toi, frangin. Viens par-là…
Pour les lecteurs qui se posent la question, Claire ne porte pas de culotte. J’ai donc son minou en pleine ligne de mire. C’est très intimidant, je ne vous le cache pas. Je l’aperçois pour la seconde fois en l’espace de quelques heures mais je ne faisais alors que le regarder… La peur de mal faire me tenaille. Ma sœur qui s’en est rendu compte tente de me rassurer à sa manière…
Claire pose sa main derrière ma tête, me guide vers l’intérieur de ses cuisses, faisant preuve de délicatesse. Je respire son parfum, agréablement surpris.
— Je ne vais pas te mordre. Allez...
Je poursuis mes investigations, soutenu par ma sœur. Mes doigts écartent les lèvres de sa chatte, ayant du mal à les maintenir en place tant ils sont mouillés. C’est très différent des films que j’ai pu voir sur Internet. Je me penche un peu plus en avant, tend la langue, effleure la fente de Claire avec des gestes maladroits.
— Vise plus haut, me corrige-t-elle.
Je m’exécute. Ma langue bute sur son clitoris qui se profile à chacun de mes passages.
— Nous y sommes ! Ne t’arrête pas…
Je dois être en progrès, à en croire les gémissements qui sortent de sa bouche. Je me risque même à introduire un doigt à l’intérieur de son vagin, le fait lentement patiner. Après avoir butiné sa fleur un moment, Claire me repousse gentiment. Elle se débarrasse de son tee-shirt, dégrafe son soutien-gorge qui intensifie le galbe de sa poitrine, la faisant doucement osciller une fois libérée de son étoffe. Je n’ai alors qu’une idée en tête : toucher ses seins de mes propres mains.
Ayant reçu la permission, je palpe la poitrine de Claire avec un plaisir non dissimulé. Ils ont longtemps hanté mes fantasmes… Je m’attarde un instant sur ses tétons érigés, les triture du bout des doigts et finit par les lécher. De son côté, Claire se caresse allègrement la chatte, inonde mon lit de sa liqueur intime.
On dirait que la température augmente…
— Mets-toi à poil.
Mes habits sont très vite retirés. Je baisse les yeux… Jamais mon pénis ne m’a paru si raide, et douloureux aussi. C’est qu’il a été pas mal sollicité aujourd’hui !
— Quelle endurance ! A présent, grimpe sur le lit. Je te veux à quatre pattes.
Sa requête est étrange mais je suis trop excité pour la contredire, ma virginité étant en jeu. Claire s’installe derrière moi, invisible. Sa main gauche agrippe mon sexe, le branle en cadence. Je suis pris de frissons quand un doigt mouillé caresse doucement ma raie. Ok… Vous vous souvenez de cette fois où j’ai fait mumuse avec mon anus ?
Il ne s’agissait pas de mon premier coup d’essai.
— J’ai trouvé ton jouet dans ton armoire, caché sous une pile de vêtements, me confie Claire. Tu devrais faire plus attention.
Je sens son doigt qui titille mon petit trou. Il coulisse en moi comme dans du beurre. Je laisse échapper un râle de plaisir, tout excité. Claire finit par se retirer. Quelque chose de plus gros vient remplacer son doigt…

***
Pfiouuu ! J’en tremble encore… Claire est une sacrée perverse, qui l’eût cru ! Et je ne pouvais pas rêver meilleure initiatrice que ma sœur toujours en quête de nouveautés. Je pense à la nuit suivante… Les images tournent en boucle dans ma tête.
La chambre de mes parents est collée à la mienne. Malgré la cloison qui nous sépare je devine les grincements répétés du lit conjugal et les soupirs très faibles. Tout ça me donne des envies folles. Bouillant, il ne me faut pas longtemps pour repousser les draps, puis extraire ma bite si joliment dessinée, finissant même par perdre la notion de temps. Ma main droite s’agite de plus en plus vite. Je ne vais pas tarder à jouir. Soudain, la porte de ma chambre s’ouvre et me ramène à la réalité. Pris de panique, je remonte les draps jusqu’à mes épaules.
Je réalise sur le tard qu’il s’agit de Claire. Me voilà rassuré, c’est une fausse alerte.
— Tu m’as fichu la trouille ! dis-je à voix basse.
Pas de réponse. Claire disparaît sous les couvertures, embrasse mes jambes, me prend par les fesses et remue ses petits doigts habiles. Je sens son souffle chaud sur mes testicules, suivie de sa langue qui sillonne mon bâton de chair de long en large. Mince… Si je ne l’arrête pas on va se faire griller.
— T’es dingue ! Et les parents !— Tu vois bien qu’ils sont occupés…
Ma sœur continue sa fellation comme si rien ne s’était passé. Je réussis à me détendre, en apparence du moins. Il y a toujours un risque de se faire surprendre… Mais c’est aussi un excellent stimulant. Claire flatte mon gland avec la pointe de sa langue, chatouille mon frein et libère une grosse quantité de salive sur mon sexe. Sa bouche descend lentement en direction de mes testicules, les suce un à un avant de les prendre ensemble, très cochonne. Les bruits mouillés qu’elle produit avec sa bouche me rendent dingue. Claire lève les yeux vers moi, tire une mèche de cheveux en arrière et ingurgite ma tige jusqu’à toucher la base du bout des lèvres, remonte et refait un passage, suivi d’un autre, puis un autre encore. Au final, elle recrache mon pénis, le menton couvert de salive, et droit au but m’annonce :
— Prends-moi ! Prends-moi, là !
Et comment…

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