Maîtresse Béa m’a prévenu lors de notre dernière rencontre. Elle désire me faire venir chez Elle pour m’offrir et me partager avec son amant Maître G. Je dois avouer que cette idée m’excite énormément. Arrive le jour J. J’ai pour ordre, une fois arrivé, de me diriger dans la chambre et de me préparer en tenue de lope et de les prévenir lorsque je suis prêt. C’est ainsi, en créature, qu’Elle désire m’offrir à Maître G. Je suis déjà très excité, rien qu’en me préparant... mon sexe est déjà raide de plaisir. J’enfile mes bas, mon corset en vinyle, mon collier et ma jupe (cadeaux de Maîtresse Béa), mes gants, ma cagoule et mes chaussures à talons rouges vernies qui devraient plaire à Maître G. J’étends un drap en vinyle rouge sur le lit de Maîtresse Béa puis préviens que je suis préparée. Je me tiens à 4 pattes sur le lit, telle une chatte en chaleur, prête à offrir mes trous à mes Maîtres. Je parle déjà au féminin, je ne suis plus homme, mais déjà devenue cette créature, lope à tout faire, au service de mes Maîtres. Maîtresse Béa rentre la première et me tend sa main que je frôle de mes lèvres en lui présentant mes respects. Je salue également Maître G. qui la suit. Maîtresse Béa me lance un regard que je connais bien... c’est celui que j’ai déjà vu lorsque je m’exhibais pour Elle en lui avouant à quel point je suis un lope. Elle me dit : — Allez lopette, donne-nous envie, exhibe-toi pour nous... C’est alors que je sens monter en moi ce désir de me transformer en véritable chienne. Toujours à 4 pattes, je tourne mon postérieur vers eux en le bougeant lubriquement, m’imaginant déjà être possédé la queue de Maître G. Je me caresse en poussant des soupirs de chatte en chaleur afin de leur donner envie de moi et de leur faire sentir que je suis à leur totale disposition... En préparant le lit, j’ai sorti quelques godes laissés à côté de moi. Maîtresse Béa m’en tend un en me donnant l’ordre de me goder pour eux. Je sens au ton de sa voix qu’elle n’est pas insensible à mon exhibition... Maître G. semble aussi apprécier. Je fourre d’abord le gode dans ma bouche... avant de le diriger vers mon petit trou que humidifie copieusement. Ma queue est gonflée de plaisir lorsque je rentre peu à peu le gode dans mon trou. Tellement je suis excité, il rentre facilement et je commence les va-et-vient pour mes spectateurs. Je suis totalement offerte, fesses bien relevées, face contre le lit, me godant pour le plaisir des yeux de mes Maîtres. C’est alors que mes Maîtres viennent s’asseoir à côté de moi sur le lit. Je sens leurs mains venir me caresser tout le corps, ses caresses sont divines. Je suis en train peu à peu de m’abandonner à leur total contrôle. Maîtresse Béa se penche sur moi, je sens ses longs cheveux me frôler la nuque. — C’est bien, lope, laisse-toi aller, nous allons faire de toi une vraie chienne, me dit-elle d’une voix douce. Je sens une main se poser sur le gode que je continue d’agiter en moi, je lâche prise pour me laisser posséder... Les va-et-vient se font désormais plus profonds, je sens le gode s’enfoncer à fond dans mon puits de chair. Je lâche un gémissement de plaisir qui semble plaire à Maîtresse Béa qui me donne ses doigts à lécher un par un. Une main s’attarde aussi sur mon sexe raide de plaisir. — Je veux le voir te sucer, dit alors Maîtresse Béa. Maître G. se relève alors et présente son pieu devant ma bouche. Je relève ma tête pour pouvoir l’engloutir. Il est énorme... Je fais de mon mieux pour l’avaler. Je suis très excité et suce comme une vraie chienne... Je passe ma langue sur le gland, titille le méat, bave le long de son membre tout en poussant des soupirs de plaisirs. Je remue ma croupe sur le gode qui continue de me pilonner le cul. Ca y est, je suis leur chienne, esclave sexuelle délurée, prête à tout pour les exciter à fond. De temps en temps, je jette un regard lubrique à Maîtresse Béa, en même temps que je suce. Quel plaisir de la sentir si excitée à la vue du spectacle que je lui offre, je pense qu’elle bouillonne de plaisir. — Suce à fond, ça m’excite, dit-elle.
Je m’exécute, tout en la regardant... Après avoir savouré ce moment, Maîtresse Béa s’approche de moi et me dit : — Maintenant, je vais t’enculer salope. Elle se lève et s’empare de son gode ceinture. Maître G. retire le gode qu’il m’enfonçait vigoureusement en même temps que je le suçais pour laisser la place à Maîtresse Béa. Je sens son sexe se présenter à l’entrée de mon cul. Elle saisit mes hanches de ses mains et rentre en moi d’un seul coup. Je pousse un cri de douleur mélangé au plaisir de me sentir ainsi pris à fond. — Suce pendant que je t’encule, lope, lâche-t-Elle avec un rire sadique. Je suce telle une actrice de film porno, bavant comme une chienne en rut sur le sexe de Maître G pendant que Maîtresse Béa me défonce de plus en plus fort. Quel divin plaisir d’être traité ainsi ! De temps en temps, je cesse de sucer pour les remercier et supplier que cela continue : — Plus fort Maîtresse, encore, oui..., j’aime ça. Maîtresse Béa me donne des fessées en même temps qu’Elle s’enfonce en moi. Ma queue est gonflée de plaisir, je suis à certains moments à la limite d’exploser. Tellement cela est intense, je ne sais dire combien de temps ce moment a duré. — Encule-le pour moi maintenant, dit Maîtresse Béa.
Elle se retire et c’est désormais Maître G. qui se présente devant mon cul ouvert. Il rentre sans mal et s’introduit peu à peu dans mon trou déjà bien ouvert. Maîtresse Béa me dit : — Remercie-moi chienne : lèche ! Elle me présente ses pieds divinement chaussés. Je lèche avec application la pointe de ses chaussures jusqu’au talon pendant que je subis les coups de plus en plus insistants de Maître G. Chose qu’elle n’avait jamais faite, Maîtresse Béa salive sur ses chaussures et sur le drap en vinyle et m’ordonne de lécher. — Avale ce qui vient de moi chienne... ce n’est que le début. Je le fais goulûment avec une excitation non dissimulée. — Je fais une pause, ta lope va me faire jouir ! dit soudainement Maître G. Il s’approche alors de M. Béa et vient lui parler à l’oreille... — Hmmm oui, très bonne idée, dit Maîtresse Béa. Elle s’allonge alors sur le lit et s’ouvre à Maître G.— Lope, je veux que tu regardes son sexe m’envahir, admire le spectacle de près... dit-Elle en soupirant de plaisir. Je m’exécute et viens placer mon visage près de son sexe pour observer Maître G entrer et sortir. Quel doux spectacle... le sexe de Maître G se recouvre peu à peu du plaisir de Maîtresse Béa. — Tu as déjà goûté Maîtresse Béa ? me demande Maître G ?— Non, Maître.— Alors, suce-moi et savoure sa liqueur... Il se retire et me présente sa queue que je lèche avec délectation. C’est tellement bon. Il alterne ensuite entre ma bouche et l’entrejambe de Maîtresse Béa. Il s’enfonce à fond en Elle puis me rentre son pieu jusque dans la gorge. Son sexe parfumé de celui de Maîtresse est un véritable plaisir... Soudain, la main de Maîtresse Béa repousse ma tête. — Cette queue est à moi, laisse-la me faire jouir et admire lope. Je m’écarte donc, et les laisse s’unir dans une danse du plaisir divine à admirer. Leurs respirations s’accélèrent et des cris de plaisirs s’échappent de leur union qui amène Maîtresse Béa à l’orgasme. Quel magnifique spectacle de la voir prendre un tel pied. Ils s’enlacent tendrement, semblant oublier totalement ma présence. Ils reviennent peu à peu à la réalité et Maîtresse m’ordonne de leur amener à boire. Chose que je fais immédiatement. — Amène un verre pour toi aussi, j’ai à boire pour toi... Je leur sers de quoi se rafraîchir, puis Maîtresse se lève et porte mon verre entre ses cuisses. J’admire le spectacle du verre se remplissant de son divin champagne. — Te voilà servi lope... à mes pieds et bois maintenant, me dit-Elle. Je m’exécute. A genoux à ses pieds, je bois doucement... Je sens la chaleur de son champagne à travers le verre. A chaque gorgée, son goût m’envahit la bouche... c’est divin. — C’est bien, me dit-Elle une fois mon verre terminé. Elle se lève et en remplit un second qu’elle pose sur la table de nuit.— Maintenant, tu vas goûter autre chose. Maîtresse Béa me fait asseoir par terre, dos au bord du lit. Elle me saisit le visage et m’ordonne d’ouvrir la bouche. Elle m’écarte les mâchoires avec ses doigts et demande à Maître G. de se masturber à l’entrée de ma bouche. — Arrose la gorge de cette salope, vas-y, fais-lui goûter à ta liqueur !!! Je sens le gland de Maître G. sur ma langue, il se branle d’un mouvement rapide. J’ouvre avidement la bouche, transformé sous le contrôle de Maîtresse Béa en vraie pute à foutre. Maître G. explose : de puissantes giclées de sperme chaud m’envahissent la bouche. — Avale !!! ordonne Maîtresse Béa en m’enfonçant ses doigts dans la bouche. Je les suce comme une vraie chienne. Elle me maintient la tête en arrière et salive dans ma bouche grande ouverte. — Regarde cette pute ! dit-Elle à Maître G. Verse aussi mon champagne dans sa bouche béante. Me voilà totalement abandonnée à leurs envies, en train de déguster un mélange de sperme de salive et d’urine pour mes Maîtres. Quelle divine sensation de n’être plus qu’un objet dont le plaisir est dicté par Ceux qui me possèdent ! Je suis totalement parti... Maîtresse Béa me ramène à la réalité lorsqu’elle me dit : — Lope, sais-tu qu’ils ont annoncé de la pluie pour ce midi ?— Non, Maîtresse, réponds-je.— Va dans la salle de bain, me dit-Elle. Je me lève lentement et me dirige dans la salle de bain. J’ôte ma tenue et rentre dans la baignoire lorsque mes Maîtres font irruption dans la pièce. — Allongé au fond de la baignoire ! Vite !!! C’est alors que Maîtresse Béa et Maître G. passant chacun une jambe de l’autre côté de la baignoire, pour prendre appui sur le rebord, m’inondent de leurs champagnes. — Tu vois, il pleut de l’or ! s’exclame Maîtresse Béa en rigolant. Branle-toi et jouis pour nous lope ! Bouche grande ouverte, yeux fermés, je me masturbe frénétiquement concentré sur l’excitation que me procure cette double douche dorée. Je ne tarde pas à jouir, pris de violents spasmes... Maîtresse Béa recueille mon sperme avec son pied puis m’ordonne de le lécher. Merci Maîtresse, quel divin dessert !!!
