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Ma maîtresse, ma belle-soeur

Chapitre 28

SM / Fétichisme
Cela fait 15 jours que je travaille chez MM. Dans le plus grand secret, j’ai enfin terminer son coin Lounge. Au fond de la pièce, un bar, sur les cotés deux banquettes rouges, moelleuses en confortable. Au plafond, un petit palan pour les suspensions des clients de MM. MM ne veux pas utiliser cette pièce pour l’instant et ferme la salle à clé. Elle est fier et heureuse. Moi, je suis comblé de la voir heureuse.Chez moi, c’est l’entente parfaite. Brigitte, Lili et les enfants vivent en parfaite harmonie. Le soir on se couche heureux, mais notre lit est un peu étroit. on à décidé d’en changer. Mais plus tard, vu les prix pratiqués... Je rentre chez moi. Je croise le père de Brigitte. Je lui fait signe. Si il savait... A la maison, il n’y a que Brigitte, Lili est partie conduire les enfants chez Séverine pour le Weekend. Je vais prendre une douche.
B- On a invité Mathilde mais elle a dit que l’on serait mieux chez elle... Elle a une surprise pour toi... Hihihi, moi je l’ai déjà vu. Cet après-midi je suis allée chez elle et j’ai pu la voir, tu risque d’être surpris... Hihihi.
Après ma douche, Brigitte me sert une bière et part se préparer. je regarde chez Mathilde et je peux la voir s’affairer à je ne sais quoi. Elle est nue. Je bande. Lili revient et voyant mon bel engin dressé, elle se met à quatre pattes et commence à me lécher. Brigitte revient avec le flacon de crème.
B- Passe lui ça, bien comme il faut... Après à la douche...
Lili obéit. Elle m’enduit la queue, puis se dirige ver la douche.
M- N’oublie pas, ta robe en maille, rien dessous et ton collier. Pas de maquillage.
Elle me regarde, me dit oui de la tête et rentre dans la maison. Je sirote ma bière pendant que la crème sèche. Brigitte va chez Mathilde pour l’aider. Je me lève. Mon chibre à pris sa taille Habituelle. Il est presque 20h00. On se rend chez ma voisine. On tape et c’est Brigitte qui nous ouvre, nue. je fais rentrer Lili, et je sort la laisse de ma poche et la donne à Brigitte. Elles se dirigent vers le patio. Brigitte place, assise, Lili et lui écarte les jambes. La vue du sexe de mon épouse avec ses chaînettes et ses trois anneaux me fond bander comme un âne. Puis elle retire le robe et ma femme est nue, juste le collier et la laisse.
Ma- Est-ce bien nécessaire ?
M- Demande le lui...
Ma- Lili, tu aimes à être traité de la sorte ?
Lili- Oui, Madame, c’est mon choix... Pour le plaisir de mon époux.
Ma- Bon soit... Si cela te plaît...
Elle repart en cuisine, accompagnée de Brigitte... Puis elles reviennent avec deux plateaux de tapas ( et oui encore, mais ils sont tellement bon) et d’une bouteille de champagne, que débouche Brigitte sans bruit, comme une pro. On mange, on boie, l’ambiance est des plus détendue. Quand Mathilde me montre mon cadeau, je reste sans voix. Elle écarte les jambes et me dévoile un piercing sous le fourreau de son clitoris. C’est un bijou ravissant en fer à cheval, avec un petit brillant à chacune des extrémités. J’approche une main et joues avec. Mathilde ferme les yeux.
Ma- Hummm, je suis folle....
M- Arrête de dire cela.... Non tu n’est pas folle, Je t’ai déjà dit que le sexe ne s’arrête pas à 60 ans.. Lâche toi !!!!
Je fais signe à Lili et Brigitte de débarrasser la table de patio, où nous sommes. Une fois la table propre et nette, Je fais mettre en 69 Lili et Mathilde. Brigitte à genou,pour pouvoir me lécher la queue et les couilles quand je prendrai Mathilde. Il fait chaud et un silence profond s’installe dans la pièce. Un silence vite rompu par les bruits de sucions et les respirations haletantes des 3 femmes. J’approche de la croupe tendue de Mathilde. B me lèche et commence a me gober les couilles. J’appuie à peine sur l’entrée de la vulve de Mathilde et je la pénètre doucement jusqu’à la garde. Je reste planté bien au fond, bien au chaud. Prenant appuie, avec les pieds, sur la table, je met mets en position du jockey sur sa jument au galop. Je ne bouge et la réaction que j’attends, arrive. Elle ondule son cul. Je me retire entièrement, Lentement. Brigitte récupère le trop plein de jus d’amour. Elle se frotte de visage de la main. Il est luisant de cyprine. Je fait glisser à nouveau ma bite dans sa chatte. Elle soupir. Elle me veut plus rapide... Plus violent. Je ressort au même rythme et lui bruit de succion est plus fort. Son jus coule sur ses jambes et sur la table. Ce que s’empresse de ramasser Brigitte. Je replante mon engins dans le vagin de ma vieille, qui s’applique à bouffer le con de mon épouse. J’accélère, sortant et rentrant bien à fond. Elle commence à couiner. Lili et Brigitte s’appliquent sur la chatte de Mathilde. Lili gobe son clito. Mathilde coule, Littéralement, sur le visage de ma femme. Je prend le corps de ma jument par les hanche et accélère. Je commence à regretter de ne pas avoir de cravache. Alors c’est une pluie de claques qui s’abat sur sa croupe. J’alterne... Elle commence à hurler son plaisir. Mes couilles, quand elles ne sont pas dans la bouche de Brigitte, elles viennent frapper le clito de Mathilde.
M- Hue, salope tu aimes sa la queue... Allez au galop... Han, han, han
Ma- Oui; J’ .... Han, J’aime TA queue, han, elle est trop bo... bonne ta bite.... Oh, Tomy... Han, han...
Je peux voir les deux mains de Lili venir replacer la bouche de Mathilde sur son sexe et, aux bruits de sucions, elle y retourne volontiers. Mais pour un court instant. Je sort de son con et me dirige vers son anus...
Ma- Non, c’était trop bon, Tomy...
Ne l’écoutant pas, j’appuie sur son sphincter qui lâche facilement. J’entre à fond dans ses entrailles, ma queue étant bien lubrifiée. Brigitte a toute la place pour introduire sa langue dans le sexe gluant de Mathilde. Une fois bien au fond, je recommence ma cavalcade, au même rythme. Elle hurle. Un cri de douleur et de bonheur.
Ma- Han, oui, Han.... Pu, putain que c’est BON, Oui, Tomy, défonce moi...
Brigitte tente de rentrée trois doigts dans la chatte de l’enculée. Elle y arrive sans problème et je la sens au travers de la fine cloison anale. Cela me rend fou, je la lime de plus en plus fort, ressortant à chaque fois. La vue de son muscle anale restant ouvert, est superbe. Je rentre très fort jusqu’à ce que mon ventre vienne butée sur ses fesses.
Ma- Vas-y... Han, han, han, han... Que c’... Han, Han... C’est BON....
M- Tu vas me faire jouir, vieille pute. Han, han, HAN, OUI !!!
En continuant mes rentrée et mes sorties, j’inonde les entrailles de Mathilde. Brigitte enlève ses doigts et les lèche. Je me retire et m’affale sur un fauteuil. Brigitte se relève et lui introduit sa langue dans l’anus. Lili bascule sur le côté et vient l’aider à récupérer ma semence. Je me lève et présente ma bite à Mathilde. Elle me l’a prend en gorge profonde. Elle m’aspire le méat pour en extraire le reste du délicieux liquide. Puis lui prenant le menton, je l’embrasse à pleine bouche. Le jus de ma femme, l’odeur de mon sperme, sa salive et la mienne, tous ces liquides se mélangent.
M- Lili, vient ici. La tirant par sa laisse, je place sa tête sous celle de Mathilde et lui demande de boire je jus récolté. C’est un délice de les voire s’échanger nos liqueurs.
B- J’ai fini.....
M- Et bien, sert nous le champagne....
Quand elle se lève, je peu voir qu’elle a mouillé abondamment. Les traces qui coulent le long de ses cuisses la trahisse. L’esclave et la vieille salope s’en vont se lover dans un fauteuil...
M- Non,non,non. Vous n’avez pas fini de laver la table... Allez...
Elle y vont de bon cœur. Elle lèche consciencieusement . Puis retourne dans leur fauteuil. Non Lili, pas dans les bras de Mathilde, a ses pieds... Brigitte qui a suivit de loin, arrive avec une éponge et finit de laver la table. Puis nous sert le champagne.
Ma- Ohlala, j’en reviens pas.. Ouf, me faire, heu...Casser le cul comme cela... Wahou...
M- Mais on est à votre service.... J’espère que votre rapport à MM sera flatteur à notre égard...
Ma- Oh, que oui....Hihihi... Vous n’avez plus faim ?
on finit les tapas, accompagnés d’un excellent Bandol. Puis, Mathilde nous emmène visiter une pièce un peu spéciale de sa demeure, mais elle nous demande de fermer les yeux. C’est en fille indienne que l’on arrive dans une pièce où les voix résonnent.
Ma- Allez -y... Ouvrez les yeux... Hihihi.
c’est un "WAHOU" collectif. Une piscine d’intérieure... Et un grand jaccusi... Superbe !!!!
M- tu nous avez caché ça !!!
Ma- C’est une réalisation de mon défunt mari. Son Petit délire. Enfin, il n’y a plus que ma fille qui l’utilise... Vous avez trois douches derrière ce mur. Brigitte, tu viens ma puce, on va chercher du champagne.
A leur retour Lili et moi avons pris une douche. Mathilde prend la sienne acant de nous rejoindre dans cet immense jaccusi... Brigitte nous sert, va prendre sa douche et descend également. Nous discutons. On blague. Quand tout à coup, stupeur, une petite silhouette se présente à l’entrée de la porte.— Et bé, je vois qu l’on ne s’embête pas ici ...
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