Nous sommes un couple de la haute Savoie. Moi, Madame, j’ai 48 ans et je deviens régulièrement la Maîtresse de Claudine, 57 ans, entièrement travestie. Nous nous sommes rencontrés le 14 novembre 2009, et depuis, nous vivons ensemble et mêlons une vie de couple normal et nos jeux. Au fil du temps, chacun a évolué dans son statut. Moi Maîtresse Juliette, j’ai progressé dans mon rôle de dominante et j’ai su amener Claudine (bien qu’il soit mon conjoint) à un total asservissement aussi bien sexuel que domestique. J’ai poussé durant ces années sa féminisation et aujourd’hui elle est pour ma part une vraie femelle mise sous chasteté durant nos séances et également lorsque je l’offre à d’autres personnes. Lorsque je suis Maîtresse, cela va de soi que j’ai pouvoir absolu sur elle et qu’elle ne peut qu’obéir et subir. Elle me sert quand je le désire de soubrette pour mes taches ménagères et si son travail ne me satisfait pas, elle est bien sûr punie. Les périodes de soumission de Claudine peuvent varier, mais là aussi, c’est moi qui décide. Je pousse depuis peu le vice en lui faisant gonfler avant chaque séance sa poitrine à l’aide d’une pompe à seins. C’est une humiliation supplémentaire et c’est un atout supplémentaire qui la rend plus désirable. Comme vous pouvez aussi le constater, je parle d’elle exclusivement au féminin et cela convient bien mieux pour utiliser tous les mots crus adaptés à sa condition de femelle. J’exige aussi qu’elle se comporte toujours comme une salope et que ses tenues suscitent le désir. Je considère Claudine comme une putain et bien qu’il n’y ait aucune vénalité avec qui que ce soit, elle est tenue de satisfaire pleinement les personnes auxquelles elle est présentée. Je l’ai formée à la fellation avec des godes de diverses tailles, et j’ai aussi travaillé, dilaté sa chatte anale afin qu’elle puisse recevoir de gros calibres. Là aussi quand je ne suis pas entièrement satisfaite dans sa façon de sucer, je la motive à mieux faire à coups de martinet ou cravache. Cela m’excite énormément de la dominer, et je prends plus de plaisir à pratiquer certaines choses que d’autres. Je ne bascule pas dans l’extrême, car pour moi, la douleur doit être pour excitante et non pas insupportable. J’adore lui travailler les tétons et les couilles à l’aide de pinces, et bien rougir ses fesses à l’aide des accessoires adéquats. Je lui fais à la fin de chaque séance avaler son propre sperme. Au début, cela la rebutait franchement et avec le temps même si elle grimace parfois, encore elle s’y fait petit à petit. Bien entendu, il y a un but à cela. Dans le cas où je l’offre à un homme, elle doit avaler si ce dernier est en mesure de fournir un test HIV récent. En revanche, toutes les pénétrations se font uniquement avec préservatif. Claudine a aussi une stature qui lui permet aisément de sortir en femme surtout avec une petite pointure de pieds (38 ou 39) et j’aime la savoir en extérieur dans des tenues provocantes dans des endroits qui s’y prêtent.
