Cette histoire a été écrite par Jessica Laurence et Origami69. Il y a une partie véridique et aussi un peu de fantasme. Un jour, en surfant sur un site de rencontres, je fis la connaissance de plusieurs personnes, dont une jeune femme du nom de Jessica. Je lui envoyai immédiatement un message privé, lui demandant si elle souhaitait faire connaissance. Je n’eus pas trop de temps à attendre ; elle me répondit dans l’heure. On se présenta. Je lui dis que je m’appelais Georges et que j’avais 44 ans, marié, cheveux bruns, yeux noirs. Elle se présenta à son tour. Elle me dit qu’elle s’appelait Jessica et qu’elle était blonde aux yeux bleus, avec une belle poitrine et un très beau cul, elle avait 32 ans.Elle me demanda une photo en me promettant d’en envoyer une en retour. Ce que je fis. Elle me renvoya un message : — La photo que tu m’as envoyée, c’est une blague ?— Ben non, pourquoi ? — Tu t’appelles Georges L, tu habites en Charente dans une petite commune près d’Angoulême. Tu es marié avec une femme qui s’appelle Lucie et je connais aussi tes enfants. J’étais sur le cul ! Je lui demandai qui elle était en réalité. Je la connaissais forcément de vue. Aucune réponse de sa part. Le lendemain, j’ai reçu un nouveau message : — À partir de maintenant tu vas m’obéir au doigt et à l’œil ! C’est bien compris, sale petite pute ? Sinon je balance tout à ta femme ! Là, je ne sais pas pourquoi, à la lecture de son message j’eus une gaule terrible. — À ta guise, lui dis je.— Pardon ? Dorénavant, tu devras m’appeler Maîtresse ! C’est bien compris petite putain ?!— Oui Maîtresse, pardon Maîtresse...
Voulant connaître son âge, je lui le demandai dans un autre message. En guise de réponse, elle me demanda mes préférences sexuelles.Pourquoi ne me répondait-elle pas sur son âge ? Je réitérai aussitôt ma question et lui demandai son âge à nouveau. N’ayant toujours pas de réponse, j’insistai. Elle me répondit sèchement d’aller regarder sur son profil.Je me sentais gêné ; était-elle fâchée ?Je reçus rapidement une autre réponse : — Tu mérites une punition ! À la lecture de cette réponse, je sentis mon sexe se serrer dans mon caleçon. — Pardon Maîtresse, je n’avais pas vu.— Fous-toi à poil, soumise, et tout de suite ! Et tu branches ta caméra !— Mais je ne peux pas, ma femme est dans la cuisine.— Je ne veux pas le savoir. À poil, petite pute ! Cette réponse cinglante finit d’exploser l’érection monstrueuse dans mon pantalon. Je dégrafai ma braguette et laissai sortir le monstre, jetant des coups d’œil en direction de la cuisine. Normalement, je n’avais rien à craindre : ma femme y serait occupée pour un moment. Me mettre à poil dans mon bureau m’excitait encore plus. J’enlevai aussitôt mon pantalon, suivi de mon caleçon et de mon tee-shirt. Voilà, j’étais à poil dans mon bureau, comme me l’avait demandé ma Maîtresse. Je bandais comme un âne. L’idée de savoir ma femme pas très loin... — Maintenant, tu vas commencer par te caresser le sexe doucement, et je veux voir ce que tu fais, petite pute. J’exécutai ses ordres sans broncher. — Maintenant branle-toi, et bien face à la caméra.— Oui, Maîtresse, regardez comme je me branle...— Astique plus vite, petite pute.— Mais je ne vais pas tarder à éjaculer, Maîtresse.— Je veux voir ton sperme sortir de ta queue.— Oh ! Ouiiiiiiiiii c’est bon, je... viens. Je laissai jaillir des jets de sperme sur mon bureau... — C’est bien, petite pute. Maintenant tu vas lécher ton sperme, et surtout n’en laisse pas une goutte. Une fois dans ta bouche, tu vas le garder un moment, et ensuite tu avaleras tout. — Non, ça, c’est hors de question !— Comment ? Qu’est-ce que tu viens de dire, petite putain ? cria-t-elle dans son micro. Dépêche-toi d’exécuter mes ordres, autrement ta femme recevra une vidéo de toi en train de te branler ! Je me retrouvai coincé à obéir à quelqu’un d’inconnu ou presque ; j’étais à la fois terrifié et excité par la situation...Jessica semblait impatiente : — C’est pour aujourd’hui ou pour demain ? Dépêche-toi, petite pute... Bois ton sperme. J’approchai ma tête de mon jus ; je commençais à sentir cette odeur caractéristique, j’en avais déjà des aigreurs. — Pardon Maîtresse, mais ce n’est vraiment pas bon.— Je te jure que j’envoie la vidéo.— Vous l’avez déjà fait, Maîtresse ?— Tu rigoles, c’est trop dégueu... Bois salope. Vite... J’ai le doigt sur envoyer.— Non, pitié… prononçai-je en baissant les yeux.— Je vais devoir faire comme pour les enfants : si à 10 tu n’as pas foutu ta langue dans ton foutre, j’envoie la vidéo !... 1... 2... Je rapprochai ma bouche de mon sperme, en tendant la langue et fermant les yeux... — 3... 4... Je me trouvais acculé : je devais le faire, sinon je risquais un scandale dans mon couple. Quand elle s’approcha du 10, je fourrai ma langue dans mon sperme et raclai mon bureau. Je bus entièrement ce liquide bien dégueulasse et me présentai devant la caméra. J’ouvris la bouche. Je sentais des aigreurs me remonter l’estomac. Elle me félicita pour ma soumission et m’autorisa à avaler. Je lui obéis de suite. J’ai failli tout dégueuler, mais j’ai bu entièrement ma substance. Soudain, j’entendis la voix de ma femme qui m’appelait... J’eus une peur horrible qu’elle me trouve à poil dans mon bureau. Je me rhabillai vite en m’essuyant la bouche et crachant le reste de sperme. Je devais paraître tout rouge quand elle rentra. — Ça va, mon chéri ? Tu es tout rouge !— Oui, qu’est-ce qu’il y a ?— On mange.— Oui, j’arrive ma chérie. J’avais eu chaud, mais elle ne s’était doutée de rien. Jessica s’était déconnectée. Cette salope me tenait par les couilles. Si je savais qui elle était, je lui ferais payer au centuple. Je devais forcément la connaître, mais d’où ? Je fermai mon ordinateur... Fin de la première partie...
