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Un mal pour un bien

Chapitre 2

Hétéro
Trois mois que j’ai été cocu. Trois mois que j’ai quitté Ginebra pour me retrouver seul dans un petit studio. Je me suis plongé dans mon travail comme un fou afin d’oublier tout ça, d’avoir autre chose à l’esprit que mon ex se faisant recouvrir le visage de la semence de son collègue bien membré. Quand je repense à tout ce que j’ai fait pour elle, tout ce que je lui ai donné… Cela me rend fou de haine. Je me suis bien fait niquer dans cette histoire, je dirais même que j’ai pris plus chère qu’elle !
 Mais bon, la vie continue et je suis bien obligé de m’y faire. Bien sûr, il est difficile de se remettre en selle après ce coup de poignard. Nous avons tous les deux vingt-cinq ans et nous étions ensemble depuis sept ans, depuis nos dix-huit ans, à la fin de notre terminale. Moi j’étais puceau et elle avait déjà eu deux partenaires : son premier amour lors de l’été entre la troisième et la rentrée au lycée, puis son second quelques mois plus tard. En seconde, elle s’était séparée de son copain pour sortir avec un mec de sa classe avec qui elle a rompu vers le milieu de sa première. On s’est rencontré en terminale, car nous étions dans la même classe. Pas très sociable, je préférais rester avec mes vrais amis qui n’étaient pas dans des lycées généraux, mais professionnels, alors je vagabondais avec diverses connaissances. Un travail de groupe nous avait fait parler ensemble de différentes choses de la vie et on avait plutôt bien aimé ce moment. On s’est un peu tourné autour et au bout que quelques mois, nous franchissions le pas… Un mois avant le bac, je l’invite à voir un film au cinéma avant de réviser ensemble tous les deux chez moi. Elle me lance un grand sourire et ne prend pas la peine de réfléchir pour me répondre. Je m’en souviens encore : ‘Depuis le temps que j’attendais que tu m’invites !’.  Je me suis senti soulagé qu’elle accepte et un peu con de ne pas avoir tenté ma chance plus tôt. À la fin du film, nous sommes allés chez moi et au bout de quinze minutes de révision, on s’embrassait langoureusement. Dès le lendemain, on se baladait main dans la main au lycée sous certains regards jaloux de la part de la gent masculine. Deux semaines plus tard, nous réalisons un 69 pour ma toute première relation sexuelle. Elle ne m’a pas menti et m’a dit tout de suite qu’elle a eu deux amants avant moi. Un seul rapport avec son premier et une vingtaine avec le second. Et ça se voyait, car à peine deux minutes de fellation et je lui remplissais la bouche après avoir bégayé que j’allais jouir. Une semaine après, nous faisons l’amour. À partir de ce moment-là, une longue relation commence. Il y a eu des hauts, des bas, mais cela se passait merveilleusement bien. Je nageais dans le bonheur avec elle malgré ma jalousie. J’avais confiance en elle. Je pensais que cela durerait jusqu’à la fin de nos jours… et il y a eu Marco…
 Tout ça pour dire que sept ans de relation, ça ne s’oublie pas facilement. Avant elle, je n’avais rien connu sexuellement avec une femme et maintenant, je dois aller de l’avant, encaisser et me relever. Ce qui s’avère très difficile. Je n’ai jamais été un grand dragueur alors même quand j’aurais réussi à passer le cap du deuil de cette relation, comment je ferais ? Je suis littéralement dans la tourmente. Il faut vraiment que je reprenne ma vie en main ! Finis les mensonges, les mauvaises personnes qui me font du mal. Je vais me remettre sur pied et finir heureux. Bon, je ne sais pas comment faire, mais je vais trouver.
 Comme je l’ai dit, pour le moment, je bosse comme un dingue pour me changer les esprits. Je reste tard au boulot et ne prends pas une minute de détente. Voilà que je reçois un message d’une de mes amies de la fac, Assia.
[SMS,Assia ]< Coucou Corentin. J’ai appris que tu as rompu avec Ginebra, je suis surprise, vous alliez tellement bien ensemble. Tu vas bien?> C’est dur à vivre, mais il faut bien garder la tête haute.< Tu as bien raison, il ne faut pas rester à terre ! Tu fais quoi, pour te changer les idées ?> Je bosse dur…< Non, mais tu rigoles ? Il ne faut surtout pas ! Il faut que tu continues de t’amuser. Samedi, je t’emmène en boîte !> Je ne sais pas, je n’ai pas trop envie de sortir…< Il me semble que je ne t’ai pas posé la question. Je t’emmène en boîte, un point c’est tout !> Bon d’accord, si tu veux.< Super, je viendrais te chercher chez toi. N’oublie pas de me donner ta nouvelle adresse.
J’envoie donc ma nouvelle adresse et repars dans mon boulot. Mais une pensée pour Assia reste dans ma tête. Comment elle a su que je n’étais plus avec Ginebra ? On a dû lui dire, mais qui ? Je n’en ai pas parlé à grand monde. Bref, ce n’est pas vraiment important…
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 Nous voilà samedi, trois jours après que mon amie de la fac m’a envoyé un SMS pour prendre de mes nouvelles. Me voici alors en train de me casser la tête à essayer d’être séduisant. Une petite chemise et un pantalon noir, une veste de costume ? Non, ça fait trop homme d’affaires. Simplement la chemise, avec quelques boutons d’ouverts en haut. Je me coiffe bien, me parfume. Je n’ai pas vraiment la tête à cela, mais connaissant Assia, je vais en prendre pour mon grade si je ne fais pas un effort. Et puis elle a raison, il faut que je continue à m’amuser.
 Je descends de mon immeuble et rejoins sa voiture. On se fait la bise, échangeons quelques banalités puis elle démarre. Je connais Assia depuis la fac. Nous nous sommes déjà croisés en L1, mais c’est en L2 que nous avons sympathisé. Elle est d’origine marocaine, mesure 1m70 et un corps très agréable à regarder. Un ventre plat, de belles jambes, un fessier assez rebondi et une belle poitrine d’un beau 85C. Je le sais, car elle avait dû le dire lors d’un jeu action ou vérité. De beaux yeux noisette, une jolie peau basanée, des cheveux bruns qu’elle lisse souvent. Aujourd’hui elle les a lissés et maintenus avec un bandeau vert sur son front pour les tenir en arrière. Elle a enfilé une jupe noire avec des bas couleur chair et un chemisier blanc qui laisse découvrir la naissance de ses seins. Elle a un léger maquillage qui la met très bien en valeur. Bref, elle est comme toujours, belle et très attirante. Je ne l’ai jamais vraiment détaillé de la sorte, car il n’y avait que Ginebra dans mon cœur et ma tête, mais Assia est vraiment sublime.
— Bon, depuis combien de temps vous avez rompu ?— Trois mois…— Trois mois ! Tu comptais me prévenir quand ?!— Désolée, je n’ai même pas pensé à prévenir tout le monde…— Tu m’as l’air très triste. Que s’est-il passé ?— Elle m’a trompé avec son super collègue. D’origine italienne lui aussi, super beau gosse, super bon au lit et super bien membré. Qu’est-ce que tu veux que je fasse en face de ça.— Aie, aie, aie… Je suis désolée. Comment l’as-tu appris ?— Je l’ai vue. D’A à Z.— Ah oui, ça n’a pas dû être simple pour toi, mais tu es quand même resté à mater. Bon, il ne faut pas se laisser abattre. Tu oublies cette salope et ce soir, tu te fais une nana pour te changer les idées et te remettre dans le droit chemin.— Je ne sais pas si je vais y parvenir.— Ne t’inquiète pas, je te donnerais un coup de main. Me dit-elle avec un clin d’œil.
 On arrive dans la boîte où elle semble avoir ses habitudes. On commande un verre en regardant les personnes présentes sur la piste de danse. Assia regarde attentivement les danseurs et son regard se perd sur certains mecs avant de se concentrer sur les femmes.
— Il y a de bonnes meufs ici. Tu devrais tenter ta chance.— Oui, tu as sûrement raison…— Moi j’y vais, je te conseille de faire comme moi.
Je regarde alors Assia partir danser au milieu de tous ces gens. Elle est drôle celle-là, c’est sûr que sexy comme elle est, une dizaine de mecs ont dirigé leurs regards vers elle. Très rapidement, elle se retrouve prise en sandwich sur la piste de danse, à faire du collé-serré. Je suis sûr que si je vais danser, je ne vais pas avoir deux meufs qui vont venir m’accoster de la sorte…
 Deux heures que je suis au bar, à regarder ces gens s’amuser sans savoir comment m’intégrer à ce monde de la nuit. J’ai bien essayé d’aller danser, mais j’avais l’air con à ne pas tenter ma chance avec une nana qui se déhanchait devant moi. J’ai quand même essayé avec une rousse à la peau bien laiteuse et aux énormes seins emprisonnés dans un débardeur blanc, mais elle m’a rapidement faussé compagnie. Il y a eu ensuite une jolie noire au corps fin, aux petites formes, mais qui avait un certain charme. Elle semblait me trouver à son goût et on a commencé à danser plus serré. Mais un autre gars est arrivé et il a dansé avec nous. J’étais atrocement gêné, mais la demoiselle ne semblait pas dérangée par cette nouvelle présence. Ce mec a été bien plus entreprenant que moi et au bout de quelques minutes il l’a éloignée de moi en la collant contre lui et je les ai perdus de vue dans cette foule de monde. Déçu et fatigué, je suis retourné au bar me commander un autre verre, puis encore un autre… De son côté, Assia s’éclate et des mains se baladent sur son cul, pelotent ses nichons, des langues vont goûter la sienne. Je la perds de vue un moment avant de la voir venir vers moi, au bar.
— Bon, tu passes une bonne soirée ?— Mouais… On va dire ça…— Il faut que tu y mettes plus du tien Corentin. Tu as laissé une belle petite gonzesse te filer entre les doigts tout à l’heure !— Tu m’as vu avec la black ?— Oui, et j’ai surtout vu l’autre mec la saillir virilement en levrette dans les toilettes. Elle ne voulait que du cul et tu avais toutes tes chances. Mais tu as laissé traîner et un autre a mis sa bite là où tu aurais dû mettre la tienne. Une habitude chez toi apparemment…— Merci, c’est gentil…— Putain, mais arrête d’être une pleureuse ! Reprends-toi non de dieu !— … Tu as raison, je dois arrêter mes conneries. Tu m’avais dit que tu me donnerais un coup de main tout à l’heure, non ?— OK ! Allez, viens !
 Assia me prend les mains et m’entraîne sur la piste de danse. On commence à danser tous les deux, elle se rapproche de moi et reprend mes mains.
— Bon, pour commencer, tes mains, tu les poses sur mon gros cul !— Quoi !?
‘Paf’, sans me répondre, elle plaque mes mains sur son superbe fessier rebondi, elle pose les siennes sur mes joues et m’attire vers elle pour enfoncer sa langue dans ma bouche. On débute un baiser très sauvage. On se bouffe littéralement nos bouches et je malaxe allégrement son fessier. Il faut dire que ça fait un bail que je n’ai rien fait et la façon dont mon amie s’est comportée m’a bien mis dans le coup. Elle lâche mes lèvres pour me faire un suçon dans le cou puis elle reprend mes lèvres pour m’embrasser de nouveau. Ses mains parcourent mon ventre et viennent finir leurs courses sur mon entre-jambes afin de me caresser le sexe. Pas la peine de vous dire que je suis dur comme de la pierre !
— Bon, je vois que tu vas beaucoup mieux, maintenant, on s’éclipse.
Sans discuter, je la suis, et on se retrouve dans les toilettes du bar. Elle ouvre son chemisier et sort ses deux gros seins de son soutien-gorge noir. Je ne me fais pas prier pour les prendre en main. Ils remplissent à merveille mes mains et je m’amuse à les tripoter, les malaxer, les pétrir, puis je déguste cette friandise qu’elle m’offre, ses jolis et longs tétons tous roses. Les seins de Ginebra étaient quand même bien plus petits que les siens. Je lèche ses tétons tout durs avant de les mordiller. C’est la seconde poitrine de ma vie, ce sera aussi ma seconde amante. Assia halète de plaisir, preuve que je ne me débrouille pas si mal.
 Elle m’arrête pour encore m’embrasser puis elle se met à genoux. Je n’ai rien à faire, car elle sort elle-même ma queue en érection. Elle me lèche les couilles, remonte sa petite langue sur toute la longueur de mon sexe tendu pour titiller divinement le frein du bout de sa langue, avant de prendre mon gland entre ses lèvres, de l’aspirer dans sa bouche et de le téter.  Tout cela avec son regard de braise planté dans mes yeux. Je suis à deux doigts de m’évanouir tellement que c’est incroyable. Une main sur mes couilles, l’autre qui me branle et ses lèvres qui coulissent énergiquement sur ma queue. Il n’y a pas à dire, Assia sait y faire avec une bite et elle aime ça !
 Elle arrête de me pomper pour retirer sa jupe. La coquine n’a pas de culotte et à mon tour, je me mets à genoux pour admirer son sexe nu, sans poils, juste avec un ticket de métro bien taillé au-dessus de ses lèvres dégoulinantes de mouille.Je lèche ses grandes lèvres déployées et elle écarte bien ses cuisses pour me donner le champ libre.J’insère mes doigts entre ses petites lèvres brillantes de jus tout en lui torturant son clitoris avec ma langue. Elle halète de plaisir en se tortillant dans tous les sens, tout en pétrissant ses seins. Je lèche cette superbe et succulente petite chatte de haut en bas en attaquant son clito avec mes doigts. Elle jouit assez rapidement en fermant les yeux, le visage grimaçant et en grognant de plaisir.
 Je me relève et elle se retourne pour se mettre en appui sur le lavabo. Elle m’offre son cul pour que je la prenne debout, en levrette.Je m’enfonce doucement en elle, lui arrachant un long râle de plaisir. Je commence à lui donner de bons coups de bite en malaxant ses fesses. Je sens en moi quelque chose monter… Une chaleur, une colère, une haine. Mes coups de boutoir deviennent plus intenses, plus violents, plus profonds, plus rapides, plus brutaux… Je lui attrape ses avant-bras pour la bloquer contre moi : dos contre torse pour reprendre mon souffle. Son vagin se resserre sur ma bite et elle ondule du cul.Je claque ses fesses et je la pistonne avec rage. Je lui défonce littéralement la chatte. Je n’avais jamais été aussi hard avec Ginebra. Je continue à la baiser sauvagement, presque brutalement, et Assia n’a pas d’autre choix d’encaisser et de crier…
— Ahhh ! Ouiiiii ! Putainnnnn ! Ouiiii ! Ouiiiii ! Corentinnnnnn ! c’est troooppp bonnnn ! Ouiiii ! Prend moi fooooort ! Oui!!!! ahhhh ! Ahhh ! Ahhh ! OOOOoohhhh…
Elle jouit violemment avec des contractions de sa chatte qui manque de me broyer la bite tellement ils sont forts ! Je me cale au fond de sa chatte et ne bouge plus, posant ma bouche contre sa clavicule. Je me calme doucement alors que ma belle amante reprend lentement ses esprits.
— Désolée… Je me suis emporté…— Non, ne t’excuse pas. C’était divin.
Assia se met à genoux pour emprisonner ma queue entre sa belle poitrine. Elle presse ses deux seins et réalise quelques va et viens pour me faire gicler quatre jets de sperme chaud qui vont s’écraser sur ses lèvres et sa bouche ouverte. Elle déguste mon jus, me sourit en me regardant finir de jouir sur sa grosse poitrine. A cet instant, je me sens enfin vivre…
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— Nous voilà arriver chez toi. J’espère que tu as passé une bonne soirée.— Difficile au début, mais étrangement, elle s’est assez bien terminée.— Tu mérites d’être heureux, tu baises bien alors fonce mon beau. J’espère qu’entre nous, rien ne va changer.— Non, ne t’inquiète pas, mais on reste amis. Cette baise était super bonne, mais ce n’était qu’un coup.— Je suis bien d’accord. Bon, passe un bon week-end.— Merci, toi aussi.— Merci. Ah, et pour la prochaine fois, n’oublie pas les cheveux.— Les cheveux ?— Oui, quand tu prendras une de tes conquêtes en levrette, avec virilité et bestialité, n’hésite pas à lui tirer les cheveux. Ça rajoute un truc, crois-moi. Me dit-elle avec un clin d’œil.— OK, je te fais confiance. »
 Assia rentre chez elle, je monte dans l’immeuble et une fois arrivée dans mon studio, je me laisse tomber dans mon lit, presque sans force. Je m’endors en pensant à cette baise divinement incroyable et improbable qui m’a fait sortir de ma situation désespérante. À partir de maintenant, je reprends ma vie en main !
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