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Un mal pour un bien

Chapitre 3

Hétéro
Comme vous le savez, après avoir été cocu, je me suis renfermé dans mon travail en bossant littéralement comme un dingue. Il y a deux semaines, mon amie de la fac, Assia, m’a forcé à venir en boîte avec elle. Une décision que je ne regrette pas, car j’ai fini par coucher avec elle, une femme sublime et très bonne au lit. Je n’avais jamais connu une autre femme que mon premier amour qui a fini par me trahir. Tout cela m’a vraiment fait du bien : tant sexuellement que physiquement. Je suis alors beaucoup plus positif et optimiste, prêt à bouger mon cul !
Mais ces trois mois de boulot acharné ne sont pas une si mauvaise chose au final. Même si j’ai perdu trois mois de ma vie sociale, mon travail a néanmoins payé ! Mon patron, Jean-Marc, est venu me voir la semaine dernière à mon bureau.
— Corentin, ces derniers mois tu as énormément travaillé. Les résultats sont plus que bons. Comme vous le savez, nous allons faire une alliance avec une autre entreprise. Les négociations commencent la semaine prochaine et je vous veux dans cette équipe. On a besoin d’étude marketing pour concrétiser cet accord et vous êtes la personne parfaite pour ce poste. J’espère que vous allez saisir cette occasion.— Bien sûr monsieur. Je vous remercie de cette marque de confiance.— Ne me remerciez pas, vous le méritez.
Voilà pourquoi ce matin, j’arrive au bureau avec une grande responsabilité, mener à bien ces négociations. Elles vont se faire avec deux petites équipes. Chez nous, nous serons trois d’après ce que m’a dit le patron : moi, sa secrétaire Clémence et son bras doit Jean-Paul. De leur côté, ils ne seront que deux.
J’arrive dans la salle des négociations où se trouve déjà Jean-Paul. Il mesure un mètre quatre-vingt, pour environ quatre-vingts kilos. Il est de l’âge du patron, la cinquantaine passée. Les cheveux noirs grisonnants gardés courts et la barbe rasée de près. On se salue et il m’explique un peu les détails de cette négociation et ce qu’il se passe généralement. Ce n’est pas sa première négociation alors l’avoir dans l’équipe est une bonne chose. Surtout qu’il paraît que c’est un exploit d’avoir réussi d’obtenir une possibilité d’alliance avec cette entreprise.
Une dizaine de minutes plus tard, le patron arrive avec sa secrétaire, accompagné de l’autre entreprise. Pour une rapide présentation, notre patron est assez proche de son bras droit, on pourrait croire qu’ils sont frères.
Sa secrétaire, Clémence, est une somptueuse jeune femme de vingt-quatre ans. Elle mesure dans les un mètre soixante-cinq pour une quarantaine de kilos. Un magnifique fessier rebondi surplombe de belles cuisses et de longues jambes, ainsi qu’une poitrine qui semble ronde et tenir dans un bonnet B ou C. Difficile à dire, mais sans avoir une grosse poitrine, elle n’est pas plate non plus. Son visage est souriant, doux, charmant. Une chevelure brune toujours attachée en chignon. Mais le chignon parfait, où aucune mèche de cheveux ne vient se rebeller. Pas maquillée, elle reste avec un naturel que je qualifierai de parfait. Je dirais même que niveau beauté, elle surpasse Ginebra. Elle est très calme, discrète. La femme pure et prude dont je suis sûre qu’elle ne baise pas à droite ou à gauche.
Du côté de l’autre entreprise, il y a le PDG, Éric. Il est grand, au moins un mètre quatre-vingt-dix, avec un léger surpoids qui se ressent dans son ventre bedonnant. Presque chauve, dans la soixantaine, un regard perçant. Il ne faut pas juger les gens sur le physique, mais il semble très beauf… le genre d’homme peu glamour, peu charmeur, mais qui finit dans les histoires érotiques par se taper des petites jeunettes, bombe nucléaire, à l’aide de son immense chibre…
Mais bon, je m’égare… La seconde personne envoyée est sa directrice générale. En bref, son bras droit. La femme se nomme Dorine, âgée dans les quarante-cinq ans. Blonde au visage plus ouvert que son patron. Ses cheveux sont attachés autour d’une grosse pince et comme pour Clémence, sa chevelure est parfaitement maîtrisée. Elle est bien maquillée, sans excès, en magnifiant les traits de son visage. Elle est assez jolie, mais on ne reste pas longtemps dessus. En effet, son corps est très tape à l’œil. La faute à ses deux énormes nichons en plastoc qui menace de déchirer son chemisier blanc. Elle semble faire du sport, car même si on devine facilement qu’elle a eu recours à la chirurgie pour sa majestueuse poitrine, son mètre soixante-cinq (proche des soixante-quinze avec les talons) est assez tonique pour son âge. Son petit cul bien ferme est emprisonné dans un tailleur noir.
Une fois les présentations faites dans les bonnes formes, le patron nous laisse, car il a beaucoup de travail sur d’autres projets. C’est pour cela que sa secrétaire est ici, pour le représenter. Les minutes puis les heures passent dans ces négociations et j’en sais un peu plus sur les gens qui m’entoure. Jean-Paul nous montre toute son expérience, Éric malgré son air strict montre qu’il est assez simple, mais qui aime quand les choses sont bien carrées, Dorine est très intelligente et semble vouloir que ces négociations aboutissent, quant à Clémence, je ne l’ai jamais autant entendu parler. Elle a une très belle voix, douce et apaisante. À midi, on mange des sandwichs en restant dans cette salle où l’on continue d’aborder les points importants.
La journée se transforme en soirée et Éric, Jean-Paul, puis Clémence sont contraints de nous quitter.
Je me retrouve seul avec Dorine, après les départs des trois autres en l’espace de trente minutes. Il est dix-neuf heures et je me demande si on doit continuer ou s’arrêter. Je m’attendais à ce que tout le monde parte en même temps pour reprendre le lendemain. Mais apparemment, ce n’est pas le cas…
— Heu, Dorine. On doit continuer les négociations ?— Oui, nous pouvons continuer de travailler sur certains points. Moi je vais rester encore et je montrerais tout ça demain aux autres et nous en discuterons. Tu peux le faire avec moi si tu veux rester. Sauf si tu as quelqu’un qui t’attend à la maison.— Non, je n’ai personne. Cela ne me dérange pas de rester avec vous.— Cela m’étonne que vous soyez seul.— Et pourtant, c’est le cas. Et vous, vous n’êtes pas mariée ?
Il y a encore quelque temps, je ne me serais jamais permis d’être autant intime avec quelques qu’un que je ne connais pas. Poser ce genre de questions ne me ressemble pas.
— Non, plus maintenant. Je l’ai été une quinzaine d’années. La routine a pris le pas sur nos vies et cela est devenu un enfer. Mon divorce fut une très bonne chose, et pour le fêter, je me suis offert de nouveaux seins.— Oui, je vois… Enfin, je veux dire, c’est bien si vous êtes allé de l’avant…— Et vous, pourquoi n’êtes-vous plus avec votre ancienne compagne ? Et depuis combien de temps êtes-vous seul ?— Oh, cela doit faire trois-quatre mois. Elle m’a trompé.— Ce n’est pas cool… Mais bon, vous êtes jeune, profiter de l’instant présent pour vous éclater.
On repart dans le travail et j’ai du mal à me concentrer… En effet, quand je relève la tête vers elle, je remarque que trois boutons de son chemisier ont sauté.J’ai une vue imprenable sur son énorme poitrine siliconée. Mais il n’y a pas que ça. Elle retire la pince de ses cheveux d’une manière très sensuelle et elle fait ensuite valser ses cheveux blonds entre ses mains avant de les laisser retomber sur ses épaules.
— Cela fait longtemps que l’on travaille. Je pense que nous méritions une petite pause...
Elle se lève et se dirige vers moi. Elle vient carrément se poser sur moi en me regardant dans les yeux avec son regard de braise. Elle défait tous les boutons de son chemisier et une fois qu’elle l’a retiré, elle dégrafe son soutien-gorge. Je n’ai même pas le temps de réagir que je me retrouve étouffé par ses énormes faux obus. Je bande dur dans mon froc et ma langue part vite s’aventurer sur ses seins. Dès que je trouve les tétons, je ne les lâche plus et je les torture. J’entends cette MILF ronronner de plaisir.
— Vous avez de très gros seins Dorine… J’ai l’impression d’être dans un film porno…— Hi, hi… je te comprends. J’en avais marre de mon 90D qui tombait, alors je me suis fait plaisir en augmentant le volume à un bonnet E et je ne suis plus embêtée par les lois de la gravité. Et ça m’excite de ressembler à une MILF des films X. alors mon chou, profites-en, ce soir, c’est ton film et tu es l’acteur principal !
Elle glisse entre mes jambes et sort mon sexe. Elle commence à me branler doucement en détaillant mon pénis dans les moindres détails. Quelques léchouilles sur mes testicules puis sur mon gland avant de me sucer franchement. Elle me pompe en aspirant mon sexe telle une pro même si je trouve qu’Assia me suçait mieux. Elle avale ma bite entièrement, mais je ne pense pas que mes quinze centimètres soient la bite la plus impressionnante qu’elle a dû prendre en bouche. Cela se voit que madame à de l’expérience. Peut-être même que son patron se la tape… En tout cas, je n’aurais jamais cru que par moment, la vie soit aussi simple. Dorine me prend ensuite entre ses seins majestueux et je ne vois même plus ma bite tellement ses seins sont super gros !
Dorine se relève et s’allonge sur la table après avoir fait glisser son tailleur le long de ses jambes. Elle me tend une capote qui sort de je ne sais où.
— Prend moi directement, je n’aime pas les cunis.
Un peu déçu, car j’aime beaucoup lécher une chatte, mais bon, j’enfile le latex et j’enfonce ma queue dans son vagin trempé et je dois bien l’avouer, assez large. Je lui donne de bons coups de bite en lui caressant les seins qui ne ballotte même pas… Mon amante gémit de plaisir. Je la baise pendant une dizaine de minutes dans cette position, mais je dois avouer que je n’ai pas autant de sensation que lorsque j’ai couché avec Assia. Cela me déçoit un peu alors que je me tape une nana très attirante…légèrement hystérique.
— Hann ! Ouiii ! Ouiii ! Tu veux me prendre le cul. Aaahhh,! Je veux te sentir dans mon petit trou. Hann !— Oh oui Dorine ! À vos ordres !
La sodomie, je ne l’ai presque jamais réalisée avec Ginebra. Elle n’aimait pas trop ça, ce qui ne l’a pas empêché de prendre profondément dans le cul la grosse queue de son Marco. L’idée d’enculer Dorine me remet bien dans le coup et mon sexe se raidit un peu plus. Elle se positionne à quatre pattes à même le sol et après lui avoir enfilé quelques doigts, je lui enfonce mon pénis jusqu’à la garde.
Son petit cul est plus serré que son vagin et l’entendre grogner de plaisir à chaque poussé me rend dingue d’excitation. Je lui donne de bons coups de bite et elle répond par de jolis ‘Ah !’ ‘ouiii’. Une autre dizaine de minutes de baise qui est bien plus intense que les précédentes.
Je caresse ses fesses encore assez fermes pendant la pénétration et je la sens jouir du cul dans un petit ‘arrgh’ de sa bouche. Je me sens venir et elle doit le sentir, car elle se jette en avant, faisant sortir mon sexe de son anus. Elle se retourne en vitesse, arrache le préservatif et fait gicler ma queue qui envoie quatre beaux jets de sperme sur ses seins siliconés.
Avec ses doigts elle récolte le jus de mes couilles pour le mettre sur sa langue et l’avaler avant de me dire presque innocemment…
— Bon, on va reprendre un peu le boulot. La pause est finie mon chou.
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