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Un mal pour un bien

Chapitre 4

Hétéro
Les négociations avec l’autre entreprise ont duré une semaine. Tout s’est passé à merveille pour ma société, car nous avons pu conclure cette alliance qui est très bénéfique pour notre avenir… mais pas que… cela s’est également passé très bien pour moi, car j’ai couché avec Dorine tous les soirs. Cette femme aime s’amuser sexuellement et elle a fait de moi son jouet durant la semaine. Nos parties de jambes en l’air étaient vraiment bonnes. Son vagin large ne me donnait pas d’incroyables sensations, mais son anus me faisait défaillir. Quel petit trou elle a cette MILF ! Un vrai régal et jamais assouvie.
Bref, mon patron est très satisfait de notre travail. Son bras droit Jean-Paul a fait ce qu’il sait faire de mieux, sa secrétaire Clémence a retranscrit à la perfection ses désirs et directives, et moi, j’ai réussi à faire ce dont il attendait de moi. J’ai ainsi confirmé mon statut d’homme fort pour l’entreprise et c’est très bon pour mon moral. Je suis passé de la dépression après la tromperie de ma copine à la consécration au boulot, et au lit… J’avais perdu confiance en moi, mais je l’ai retrouvée, et je l’ai décuplée. En effet, je n’avais pas une super confiance en moi, mon assurance était médiocre. Mais là, depuis quelques semaines, je suis littéralement sur un petit nuage.
Mes résultats plus que positifs dans l’entreprise m’a mis dans les petits papiers du patron. J’ai de meilleurs dossiers à gérer, plus d’argent à faire gagner à l’entreprise, je monte en grade. Mes baises avec Assia puis Dorine m’ont montré que je pouvais être un mâle alpha qui rend heureuses ses amantes en leur donnant du plaisir au lit. Je ne veux pas devenir un toquard comme l’homme qui s’est tapé ma copine, et qui n’a aucun respect pour les femmes qu’il considère seulement comme des chattes à remplir et à limer. Je veux me servir de cette confiance pour avoir encore plus d’expérience en relations sexuelles et réussir là où j’ai échoué la dernière fois…
Mon ancienne (et première…) relation s’est terminée, car j’avais affaire à une salope et que je n’ai pas su la baiser correctement pour qu’elle ne me trompe pas.Je ne laisserai pas l’histoire se répéter. La semaine des négociations ne m’a pas seulement permis de baiser une MILF gourmande de sexe et qui en demande plein le cul, mais également de mieux cerner la petite Clémence, d’un an de moins que moi. La secrétaire du patron est connue de tous dans l’entreprise : sa beauté et son charme ne laissent personne indifférent. Cette jeune femme est douce, timide, réservée. Elle ne parle pas beaucoup et ne pense qu’à son boulot. Dans une entreprise où il y a une petite poignée de jolies femmes qui ne dit pas non à un coup de bite entre midi et deux heures, les hommes de l’entreprise vont vers la facilité au lieu d’aller se casser les dents avec ce petit ange rayonnant et frisant la perfection.
Ces négociations m’ont permis de parler avec elle, de découvrir qu’elle est très intelligente, travailleuse, persévérante. Elle est assez simple et ne montre aucun sentiment d’attirance pour qui que ce soit, ni de dégoût. En bref, son professionnalisme est parfait. Ce genre de femme posée et pure se font rare et je me dis que si j’arrive à la séduire, je serais un vrai chef et le plus heureux des hommes. C’est le genre de femme qu’il me faut. Elle ne semble pas trop portée sur le sexe, la séduction, mais cela n’est pas grave. La première chose est de parvenir à lui plaire.
Elle me plaît physiquement, intellectuellement. J’avoue avoir une grosse attirance pour elle depuis quelque temps. Mais j’ai peur qu’elle soit juste un peu trop prude. Qu’elle ne veuille pas de relation…sexuelle.Il faut dire qu’elle ne fait attention à personne. Elle n’a aucun regard un minimum appuyé sur un homme ou une femme, aucun petit sourire bien placé (bon, après, elle est très souriante de nature donc ça fausse les résultats). Soit on est tous moches, soit elle ne s’intéresse pas à ça. Il y a plusieurs hommes de l’entreprise qui se sont déjà demandé si elle était toujours vierge malgré ses vingt-quatre ans, voir, si elle n’était pas asexuelle. Sans oublier que quelques-uns ont tenté, en vain, leur chance. En clair son professionnalisme pose beaucoup d’interrogation.
Mais bon, dans mon esprit, je suis en position de force. Actuellement, je me sens bien, je suis à l’aise avec les gens alors je ne vais pas attendre que cette confiance s’envole. C’est maintenant que je dois agir. Mon plan est simple, la croiser quand elle prend son café, entamer la discussion et l’inviter à dîner. Vu qu’elle est timide, je sais qu’elle le prend généralement quand il n’y a quasiment personne à la machine à café. Ceux qui m’arrange, car allez draguer avec les collègues qui ne vont pas rater une miette du spectacle en espérant te voir te prendre un râteau… Il est dix heures trente, et je décide de passer à l’action.
J’arrive vers la machine à café et je l’aperçois. Comme je l’espérais, il n’y a personne d’autre. Comme à son habitude, ses cheveux forment un chignon dont aucune mèche ne dépasse, elle porte une jupe noire avec des bas de la même couleur, un chemisier blanc complètement fermé et une petite veste noire. J’essaie de paraître cool, détendu et naturel pour l’accoster.
— Salut, Clémence, ça va ?
— (elle se retourne, surprise de me voir) oh, salut Corentin. Oui je vais bien. Et toi ?— Oui, ça va.
Je me prends un café et nous commencions à parler de tout et de rien. Elle est réellement surprise que je vienne vers elle, mais elle ne me repousse pas. Depuis les négociations, je pense avoir marqué des points auprès d’elle. Elle me parle plus ouvertement qu’avec les autres et je dois dire que c’est déjà une petite victoire pour moi.
— Dis-moi, ça te dirait de venir dîner avec moi ? Par exemple ce soir ou demain.— Oh… huumm… Oui, pourquoi pas.— Super. Alors, on dit ce soir ? C’est bon, 20 heures?— Oui ça me va. Tu veux m’emmener où ?— J’avais pensé au restaurant italien assez réputé du coin.— Huumm, c’est cool. On se retrouve devant l’entrée à moins le quart ? Je n’habite pas loin d’ici.— Ça marche, je te récupère ce soir devant l’entreprise.— Alors, à toute.— Oui, à toute...
Waouh ! Ça, c’est une super victoire. J’ai eu une petite frayeur quand elle a hésité, mais je suis plus que soulagé qu’elle ait accepté.
La journée s’est écoulée assez lentement, comme par hasard. À dix-huit heures trente, je rentre chez moi. Je me retrouve à fouiller dans mes tiroirs pour trouver de quoi être parfait ce soir. Je me douche, me parfume, m’habille avec un pantalon noir, un t-shirt blanc et une petite veste en jersey noir. Je me coiffe bien et j’attends. Je range bien mon studio en espérant que je vais la ramener ici. Pas que mon objectif soit de la baiser, mais si jamais cela doit arriver, que je ne sois pas ridicule. Il est dix-neuf heures trente et je décide d’y aller. J’arrive une dizaine de minutes plus tard, sors de ma voiture et je l’attends.
Pile à l’heure, je la vois arriver et je dois dire que c’est un choc. Elle est rayonnante, mais encore plus que d’habitude. Elle a laissé sa chevelure brune lâchée, qui lui arrive à la chute de ses reins. C’est la première fois que je la vois les cheveux détachés et je n’avais jamais pu remarquer que ses cheveux étaient aussi longs.
Elle a légèrement maquillé son visage, la rendant encore plus sublime. Sa tenue vestimentaire a aussi changé : un jean qui moule son joli cul, un t-shirt décolleté jusqu’à la naissance de ses seins de taille moyenne et une veste en cuir lui donnant beaucoup de classe et d’assurance.
On se fait la bise et je peux sentir un doux parfum qui m’excite et me donne envie d’elle. Elle me décoche un somptueux sourire quand je lui ouvre la porte. Voilà, c’est ce genre de sourire dont je parlais tout à l’heure. Elle sourit tout le temps, car elle est joyeuse par nature, mais là, c’est un sourire sexy. Le sourire qui montre que je suis en bonne voie ! Nous montons dans ma voiture et nous nous dirigeons vers le restaurant. Le trajet se passe bien, elle me dit aimer ma voiture et la musique que j’ai mise. Ça commence bien ! Nous arrivons dans ce fameux restaurant italien, que j’avais découvert grâce à mon ex… et nous finissons sur une table à deux…
La soirée est merveilleuse. On parle beaucoup, avec beaucoup de fluidité, d’humour et de points communs. Pas de gêne, de blanc, de moment où on se demande ce qu’on fait là. J’apprends à la connaître et elle aussi me découvre. Elle n’est pas avare de questions et de réponses. Bref, cela se passe vraiment bien et je perçois qu’elle a un vrai intérêt pour moi. J’apprends donc qu’elle a fait de la natation pendant dix ans, qu’elle a grandi dans l’Essonne, que son père est entrepreneur, sa mère est très ‘punk’ avec beaucoup de tatouages sur le corps, et elle a un petit frère de six ans de moins. On a beaucoup de points communs et on passe un très bon moment. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et le repas se termine. Je paye comme un gentleman le dîner et nous nous dirigeons vers ma voiture.
— Clémence… j’ai beaucoup aimé cette soirée.— Oui, moi aussi.— Je me demandais…— Tu veux m’inviter à prendre un dernier verre chez toi ? Me demande-t-elle avant que j’aie le temps de finir ma phrase.— Oui, c’est ça. Enfin, sauf si tu trouves ça un peu limite ?— Non, ça me va. Allons chez toi. »
Heureux, mais surpris qu’elle m’ait devancé, je nous conduis jusqu’à chez moi. On monte les escaliers et pénétrons dans mon appart.
— Et voilà. Bienvenu chez moi…— Un petit studio, j’avais entendu dire que tu avais un petit appart très sympa… me dit-elle avec beaucoup de malice.— Oui, à une époque. Disons qu’aujourd’hui, je suis dans une période de transition. Le studio, c’est temporaire.— J’imagine bien… Tu n’es donc plus avec ta copine ? L’Italienne super canon.— Je vois que les gens parlent dans mon dos… Mais oui, je ne suis plus avec elle, je suis porté vers mon futur maintenant.— Oui, beaucoup de personnes t’envièrent. Et ça risque de continuer...
Sans que je la voie venir, elle s’est doucement rapprochée de moi durant la conversation. À la fin de sa phrase, que je ne comprends pas sur le coup et qui me perturbe, elle me saute dessus pour m’embrasser.
Elle passe ses mains autour de mon cou et ses lèvres embrassent farouchement les miennes. Venant d’elle, je ne m’attendais pas à ça. Je passe mes mains autour de sa taille et réponds avec ardeur à son baiser en enfonçant ma langue dans sa bouche pour jouer avec sa langue. Je recule pour l’attirer vers le lit et elle me pousse en arrière pour nous faire basculer sur le lit.
Sans lâcher ma bouche, elle fait valser sa veste en cuir au milieu de la pièce. Mes mains remontent le long de son dos, caressant sa chevelure soyeuse. Je tire sur son t-shirt (rentrer dans son pantalon) afin de passer mes mains en dessous et caresser sa peau d’une douceur et d’une chaleur indescriptible. Je caresse son ventre puis je saisis sa poitrine fermement, lui arrachant un petit grognement durant notre baiser.
Je pétris ses seins ronds et super fermes ! À travers le fin tissu qui me semble être de la dentelle, je sens ses tétons saillants. Elle me lâche la bouche pour venir m’embrasser le cou, le lécher puis s’aventure beaucoup plus bas…
Cette fille à une dextérité et une rapidité folle. Je me retrouve en moins de deux, la bite sortie et embouchée ! Oui, la secrétaire timide et prude de mon boulot me pompe d’entrée, comme une star du X ! Je découvre encore des sensations nouvelles et incroyables avec cette nouvelle bouche autour de mon sexe érigé, et je doute fortement que je puisse connaître mieux. Elle me branle, pétrit mes couilles dans sa main si douce, me suce comme une assoiffée de sexe avec des ‘glop, glop, glopglogpoooo’ sortant de sa bouche. Elle finit même par me faire une gorge profonde, sa bouche collée sur mon pubis et elle tient durant au moins une minute avec ses mains pressant doucement mes testicules ! Je n’en reviens pas ! Ahurissant !
— Pouaaafff ! souffle-t-elle en recrachant ma queue trempée de salive.— Ah putain… c’était… waouh… Je me n’attendais pas à ça...— Ah oui ? Et pourquoi ? Tu faisais partie des idiots qui me croient encore vierge ? Me dit-elle avec un grand sourire.— Quoi ? Non… mais…— Menteur ! rigole-t-elle avant de me donner une léchouille sur mon gland.
Elle me suce encore quelques minutes avant de se relever et de m’enjamber. Je n’ai même pas remarqué qu’elle avait retiré son pantalon et son string. Mon Dieu qu’elle est belle… Sa chatte est rasée, toute lisse avec de grandes lèvres bombées qui bordent une fente légèrement entrouverte.
Elle prend ma bite pour caresser sa petite chatte imberbe avec mon gland. Mon sexe n’a jamais été aussi dur et rien que de la voir onduler du cul en frottant son minou exceptionnel sur mon sexe, je pourrais jouir d’un coup sec !
Ses yeux dans les miens, mon gland trempé de sa mouille entre ses petites lèvres brillantes, elle se laisse tomber sur moi et ma queue glisse dans son sexe brûlant jusqu’à ce que son pubis s’écrase sur le mien.
Heureusement qu’elle ne bouge pas pendant plusieurs secondes, car j’aurais eu vraiment du mal à me retenir.Puis, enlaçant ses doigts avec les miens, elle se déhanche sur moi dans une sorte de dance sensuelle. Elle se mord la lèvre inférieure, garde les yeux fermés, gémit doucement. Elle est juste sublime en cet instant présent.
Je regarde ses seins remuer dans son t-shirt. Le spectacle est divin, sous ses petits gémissements qui rythment les mouvements de sa chatte étroite sur mon pénis hyper tendu.Tout d’un coup, elle lâche mes mains pour retirer son t-shirt et le jeter en l’air, avant de reprendre mes mains. Son soutien-gorge en dentelle noire met parfaitement en valeur ses seins . Ils sont légèrement plus gros que ceux de mon ex et je les qualifierai d’un 90C. En tout cas, il me tarde de m’en occuper…
Clémence a ralenti ses mouvements depuis quelques minutes. A-t-elle un coup de fatigue ou compris qu’avec une telle cadence je ne vais pas tenir longtemps ? Cela dit, elle roule sur le côté, me faisant quitter son antre si merveilleux, afin de venir à côté de moi.
— Tu viens me lécher un peu ?— Avec plaisir !
Je ne me fais pas prier pour lui dévorer son petit abricot. Et vue comment elle baise depuis le début, je vais laisser mon romantisme de côté. Je lui lèche avidement ses grandes lèvres et remonte ma langue entre ses petites lèvres déployées pour aller titiller et mordiller son clitoris bien sorti de son petit capuchon. Je dévore consciencieusement cette petite chatte à l’odeur unique. Ma bouche couvre totalement l’anus et la chatte de cette femme en chaleur et ma langue passe de son petit trou à sa chatte. Je sens des afflux de sang battre dans ma queue.
Je broute sa chatte avec avidité en maintenant son cul qui a quelques soubresauts quand ma langue passe sur des endroits sensibles.
— Tu aimes ce que je te fais là ?— Oui... J’adore…continue…, répond-elle d’une toute petite voix.
Son jus de chatte si délicieux m’enivre et je lui enfonce un doigt dans le cul, qu’elle n’a pas vu arriver.
— Ouh ! Ouiiii, c’est bon. Aaaahhhh, ouiiii, prend des initiatives, ouii !
Du bout de ma langue, je titille son anus tout lisse qui se détend et j’enfonce le bout de ma langue à l’intérieur. Puis je ressors ma langue pour lécher son sexe en remontant vers son petit clitoris tout rose. Je le lape doucement puis je ventouse ma bouche dessus et l’aspire fort, très fort. Clémence réagit de suite en criant et son corps est pris d’un soubresaut de plaisir intense.Je continue mon cuni, encouragé par ses gémissements et ses petits cris, et je remonte une main pour lui malaxer un nichon. Ma bite est en feu. Je me redresse et lui enfonce d’un coup sec dans sa chatte bien ouverte, jusqu’à la garde. Ses seins, malgré leur rigidité, valsent sur son buste. Je lui donne de bons coups de bite en me concentrant au max pour ne pas gicler trop vite. C’est très jouissif, mais je veux que ça dure longtemps et surtout, jouir avec elle.
Elle s’accroche à mes avant-bras et encaisse mes coups de reins en donnant de sa jolie voix ‘aaahhhh ! Hannn ! Oooohhhh… Ouiii ! AAAhhhhh ! J’arrache presque son soutif pour libérer ses jolis seins parfaitement ronds aux aréoles brunes, presque lisses, surmontés de gros tétons roses et arrogants. Je lèche cette chair merveilleuse au galbe parfait avant de lui mordiller ses adorables tétons saillants. Elle prend beaucoup de plaisir, tout comme moi, mais ne jouit toujours pas…
Je sens qu’il faut que je m’arrête un peu, sinon, je vais tout lâcher. Je lui prends les mains pour la relever et elle se met instinctivement en position levrette, mais c’est son visage qui est face à mon pénis. Elle me reprend en bouche. Je caresse ses cheveux humides par sa transpiration.
— Oh ouiiii, Putain…tu suces bien…— N’hésite pas à me guider. Fais comme tu veux, blup, blup.
Je maintiens sa tête en la prenant par ses cheveux et lui donne des petits coups de bite dans la bouche. J’ai le regard posé sur son fessier et je ne rêve que d’une chose : une bonne levrette ! Je m’arrête de baiser sa bouche et elle en profite pour bien prendre mon gland entre ses jolies lèvres pulpeuses et fixant mes yeux elle se met à l’aspirer fortement. J’arrache ma queue de sa bouche vorace et je lui dis.
— Tourne-toi pour que je te prenne en levrette.
Elle s’exécute et j’ai sous mes yeux son cul superbe avec des fesses sans un défaut et une vue magnifique sur sa chatte et son anus.Je m’avance derrière elle et positionne ma bite entre ses grandes lèvres scintillantes. Je la tiens fermement par la taille et je lui rentre ma bite d’un seul coup en claquant mes couilles sur ses fesses.
— Oh mon Dieu! Gémis Clémence.
Ses fesses lisses et fermes se frottent contre moi et je commence à la baiser dans cette nouvelle position, avec toujours sa voix chantante et mélodieuse. Mes deux mains sur ses hanches, je claque ma bite dans sa chatte comme un bélier. Clémence s’accroche comme elle peut à la tête de lit pendant que je martèle sa chatte brûlante avec de longs et profonds coups. En quelques minutes, notre respiration se fait par halètements rapides et j’enfonce mes doigts dans la chair de ses hanches. Putain ! Son cul est tellement sexy que je regarde ma bite entrer et sortir de sa chatte frémissante. Son trou du cul palpitant et légèrement froissé est terriblement invitant, mais je vais laisser ça pour un autre jour.
Je pense alors tout à coup à Assia et plus particulièrement à son « quand tu prendras une de tes conquêtes en levrette, avec virilité et bestialité, n’hésite pas à lui tirer les cheveux. Ça rajoute un truc, crois-moi. » Je saisis la longue chevelure brune de mon amante Clémence, les enroule autour de ma main et poignet et le les tire d’un coup violent et viril. Elle lance un cri rauque et je la baise encore plus férocement. Avec quelques claques en prime sur son cul, elle jouit.
« -aaaahhh ! Arhhhhhggg ! Arrrrgggghhh ! Arrrrrgggghhhsssstttt !
Son vagin me lance alors une contraction de malade ! Elle est littéralement prise d’un orgasme dévastateur. Elle en tremble, les parois de son vagin restent soudées violemment contre mon sexe pendant plusieurs secondes… Je lâche ses cheveux et elle tombe à plat sur le lit. Reprenant mes esprits, je vois mon sexe palpitant sorti de sa chatte et je suis étonné de ne pas avoir éjaculé. Je n’ai jamais autant eu de sensations avec un tel orgasme vaginal. Ses contractions étaient tellement violentes que mon pénis a dû être privé de sang au point de le rendre inapte à éjaculer. Franchement, je ne vois que ça.
Clémence voit aussi mon sexe toujours en érection et elle se remet à genoux pour tortiller ses fesses comme pour me redemander de la posséder encore, alors que sa tête est toujours sur le matelas. Après ce qu’elle vient de prendre, elle en redemande…cette femme est vraiment unique !
— Je la veux dans mes fesses… Allez, viens...
Incroyable ! C’est elle qui me le demande !J’attrape ma bite et je commence à glisser mon gland de haut en bas, de sa chatte béante à son trou du cul. Chaque fois que je touche son anus, je pousse le bout de ma queue dessus et lentement, son anus commence à s’ouvrir, et je pousse mon gland dedans. Elle pousse un petit cri et mon gland est comme aspiré, prisonnier de son sphincter.
— Est -ce que ça va ? — Ouiiii, juste un réflexe. Vas-y, encule-moi !
Je sens son muscle anal se détendre et je m’enfonce profondément dans son cul étroit. Je reste immobile pendant un moment, savourant l’étanchéité du sphincter autour de la hampe de ma bite. J’en profite pour caresser son clitoris avec ma main et elle gémit de plaisir. Ma queue va et vient entre ses fesses. Lentement au début, puis plus vite sous ses gémissements qui montent en sonorité. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là. Elle aussi apparemment, car elle cri.
— Quand ça vient, gicle sur mon visage...
Là, c’en est trop ! Je ne peux pas résister et je me dépêche de me mettre devant son si joli visage pour l’arroser de mon foutre. Et quelle éjaculation ! Plusieurs jets de sperme viennent s’écraser au travers de sa figure, sur ses cheveux, dans sa bouche, coulent le long de son cou pour finir dans le creux de ses seins. Je la regarde souillée de mon sperme. Elle est belle, elle resplendit de bonheur.Mais cela me rappelle Ginebra souillée du sperme de Marco. Clémence est une belle salope qui vient de me faire jouir comme jamais je n’ai joui ! Est-elle de la même trempe que mon ex ? … Non, je ne pense pas. Ce n’est pas possible, elle est différente.
— Je peux t’emprunter ta salle de bain ?— Oui, bien sûr. C’est la porte juste là.
Quand elle revient, plus de sperme sur son corps que de nouveau j’admire tellement il est beau. À tel point que mon sexe en frémit.Elle récupère son t-shirt, son pantalon, sa veste en cuir et ses sous-vêtements pour les mettre au même endroit, sur une chaise. Puis avec son doux sourire de jeune fille très sage, ou de parfaite secrétaire, elle me demande.
— Cela ne te dérange pas si je dors ici ?— Non, au contraire, je n’espérais que ça.— Par contre, il faudra que tu me déposes chez moi demain pour que je me change.— Pas de soucis.
Clémence vient se blottir contre moi, dans mon lit, et nous nous endormons comme cela, comme deux amoureux.
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