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Le mâle Alpha

Chapitre 2

l'amant de ma femme

Voyeur / Exhibition
LE MALE ALPHA. 2

— Un homme ne connaît réellement sa femme que lorsqu’il l’a vue faire l’amour avec un autre.
(Arthur Miller)
— T’es une belle salope ! Tu aimes sa bite ?..... Est-ce que tu aimes sa bite ? Tu la veux encore ?— Mmmhhh... oui... oh oui... J’aime sa bite !
Suite.L’effet conjugué du souvenir du chibre de mon amant, du sexe dur de mon mari trompé dans ma main et de ses doigts agiles dans ma chatte me procure un plaisir indicible déclenchant un puissant orgasme. Sébastien est dans un état d’excitation inédit et mon récit tel un effet aphrodisiaque puissant, le rend fou de désir pour moi et il me fait l’amour avec passion pendant quelques courtes minutes avant de jouir en moi. Il s’endort sur cette pensée du devoir accompli, mais moi je me sens frustrée maintenant que j’ai des points de comparaison.Je revois mon amant régulièrement, aimant me faire prendre avec tant de force, il est tellement plus apte à me faire jouir bien que je conserve tout mon amour et ma tendresse pour Sébastien.
Il commence à réaliser que je deviens la femelle d’un autre tellement mes récits sont enflammés.Je suis devenue si salope que je prends des selfies avec la queue de mon amant qui vient d’éjaculer abondamment sur mon visage puis l’envoie à Sébastien ou pour qu’il entende mes cris en plein acte, je laisse mon téléphone allumé à côté de moi pendant que je fais l’amour avec mon amant.La vue de mon visage maculé de foutre, la bouche ouverte avec la langue chargée le fait basculer encore plus loin dans son fantasme. Maintenant, il veut être présent et veut que mes prochaines frasques se passent chez nous.
— Je veux te voir faire l’amour, invite-le à la maison, je mettrai des GO-PRO pour vous épier !

Je suis plutôt réticente. Que fera-t-il quand il verra mes ébats passionnés avec mon amant ? Et c’est un peu trahir Jean en le filmant à son insu, mais je finis par céder. C‘est le minimum d’accepter ses petits caprices, car c’est quand même avec sa bénédiction que je m’éclate avec mon amant. Il va m’admirer comme une déesse dévergondée. Je vais tout faire pour que le spectacle lui plaise.
LuiMon installation est au point, je peux jongler avec mon ordi sur mes caméras, je couvre toute la pièce et ne raterai rien du spectacle.À l’heure prévue, il arrive. Un certain temps s’écoule avant qu’ils ne rentrent dans la chambre. J’ai peur, car on est souvent déçu par la réalité. Je me suis fait des films avec les récits de Corinne magnifiant les scènes qu’elle me décrivait, mais maintenant, je vais être confronté à la réalité.

Sur mon écran, ma femme est partiellement dénudée, seulement vêtue de sous-vêtements que je ne connais pas, une vraie petite salope incroyablement sexy. Je suis surpris de la voir déjà si offerte, mais ça décuple mon excitation.
Elle fait un passage rapide dans la salle de bain et en ressort pour se jeter sur son amant. Elle prend l’initiative, se met à genoux de profil devant une caméra, caressant le sexe de son amant à travers son pantalon d’un air gourmand, le déboutonne pour libérer l’objet de son désir. Elle ne m’a pas menti. « L’outil » est effectivement de belle dimension, attendant qu’elle prenne soin de lui.
Elle prend l’engin délicatement dans sa main, approche lentement sa bouche entrouverte et traite l’objet avec dévotion et entrain, engloutissant au plus profond de sa gorge une verge qui pour moi est ce que la nature aurait dû m’équiper. Enfin...Sa bouche exprime l’attirance sexuelle d’un tel organe qui se redresse devant la femelle en chaleur.Heureuse du résultat, elle relâche l’objet et respire bruyamment. Elle le regarde avec dévotion puis ferme les yeux au moment où il s’enfonce dans sa bouche, entrant complètement dès la première avancée d’un mouvement parfaitement naturel, comme en terrain conquis.Je ne savais pas que ma femme était capable d’une telle prouesse, avec autant de facilité. Sa tête bouge d’avant en arrière sans jamais laisser la verge ressortir complètement.
Il la relève, elle tourne la tête pour atteindre ses lèvres et ils s’embrassent à pleine bouche pendant de longues minutes. Il passe son bras entre leurs corps pour la caresser du bout des doigts, trouvant son clitoris qu’il stimule. Corinne fait de même avec le sexe dur et fort de son amant. Elle sent dans sa main délicate les veines gonflées du membre dressé. Pendant un certain temps, ils se caressent, mais l’envie de Corinne d’être pénétrée par ce sexe est de plus en plus forte.
Je suis littéralement fou d’excitation devant mon écran. Je jubile, mais une pointe de jalousie est quand même là, enviant cet homme qui dispose complètement de ma femme. Corinne est devenue une véritable dépravée sexuelle qui assouvit tous ses désirs que j’ai fantasmés.
Je ne peux rien reprocher à Corinne, je ressens même une certaine fierté à la voir se faire baiser la bouche de la sorte par cet homme bien membré, espérant même assister à des ébats passionnés avec son amant. Je suis dans un état d’excitation jamais connu jusque-là.
L’amant lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle obéit docilement sans un mot à l’injonction et lui présente sa croupe telle une offrande. Une fois positionnée, il s’approche, détourne son string d’un geste rapide et frotte son gland entre les fesses de Corinne. Elle remue du popotin pour stimuler son amant. Celui-ci répond par des mouvements de hanches d’avant en arrière de plus en plus précis avant de s’enfoncer en elle et la baiser avec force.
Il dégage une puissance animale, besognant lentement ma femme adultère.
Son bel engin n’a aucun mal à se frayer un chemin dans son petit minou qu’il pilonne avec force, elle laisse échapper des râles qui témoignent du plaisir qu’elle ressent, abandonnée à ses assauts, fouaillée, défoncée par cette grosse bite, essayant d’éteindre le brasier de ses entrailles.En ce moment précis, je me félicite d’avoir mis plusieurs caméras pour surveiller ce qui se déroule entre ces murs.L’amant s’est allongé sur le dos pour lui signifier son désir de la voir mener les ébats. Corinne ne perd pas un instant et s’empale sur sa bite bien raide, la faisant disparaître au fond de sa chatte, imprimant de grands coups de bassin quand soudain, il lui susurre, mais j’arrive à entendre :
— J’ai bien envie de te mettre ma bite dans le cul !
Elle va refuser, j’en suis sûr, car elle ne me l’a jamais permis.
— Oui ! Vas-y ! Défonce-moi le cul !

Sa réponse me rend fou, elle ne va pas ?..... Le peu de conscience qui lui reste et la crainte d’être ainsi prise par-derrière vont la ramener à la raison. Non seulement elle n’a jamais voulu le faire, mais en plus, cette verge est d’une dimension qui me paraît démesurée pour un pareil assaut.
Pourtant, elle reprend de plus belle les caresses et la teub tendue et brillante de cyprine s’approche de son nouvel objectif, formant un lubrifiant des plus efficaces qui permet au sexe gonflé de glisser aisément entre ses fesses. Ces frottements torrides annoncent une percée imminente.
Elle fronce son front, serre les dents, sentant que ses derniers remparts sont en train de céder face aux incursions toujours plus précises de son assaillant. Son état d’excitation est maintenant à son paroxysme et elle se résout à accueillir en elle le défonce-cul fier et déterminé. Elle s’abandonne enfin tant son corps réclame maintenant le jonc vigoureux en elle. Corinne doit sentir le sexe de son amant pousser doucement son anus.
Je connais bien cette situation, ayant déjà tenté d’y entrer d’innombrables fois, mais la petite taille de mon pénis jamais assez dur a conservé son derrière inviolé. Pourtant à ses hésitations, elle réalise rapidement que le membre en érection est cette fois plus déterminé que le mien. À chaque fois qu’elle abaisse ses fesses, le membre se fait plus intrusif et tente de forcer l’entrée. Elle est dans un état d’excitation proche de la transe qui l’empêche d’exprimer la moindre parole quand le gland force l’entrée et glisse dans ses entrailles.
Son rictus s’est envolé, la belle bite doit faire des merveilles, car elle crie de plaisir.

ElleJ’ai l’impression d’être complètement dilatée, écartelée par cette tige. Mon amant me bascule sur le côté et me lime de plus en plus vite tout en branlant mon clito tout gonflé pour accroître les délicieuses vibrations que me procure cette visite en un lieu pas prévu pour ça. Je ne pensais pas la chose possible, mais de le sentir tout entier en moi me fait éprouver une sensation nouvelle et exaltante dont je veux profiter pleinement. Aucun homme avant lui ne s’est introduit par là. L’énorme intrus installé en moi me donne un plaisir inédit, brut, mais douloureux. La sensation nouvelle que j’éprouve par-derrière redouble mon plaisir et n’est pas si terrible que je le craignais. Je ponctue d’être pénétrée de la sorte de râles de plaisir qui encourage mon amant en l’invectivant :
— oui ! Vas-y ! Encore ! Que c’est booonnn ! Putain quelle sensation ! J’aime ça !

Il continue de plus belle, toujours plus fort, toujours plus loin, à s’enfoncer en moi et jouit enfin de plusieurs jets au plus profond de mon corps. Il se retire et s’écroule sur le dos. Je sens son nectar couler le long de mes fesses quand il me demande :
— T’as aimé avoir ma bite dans ton cul ? Ça t’a fait mal ?— Oui j’ai aimé et ce n’était pas si terrible que ça. C’était bon... Ta grosse bite dans mon cul... Oui c’était trop bon de l’avoir bien profond...

A suivre...
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