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Mâle reproducteur

Chapitre 4

Erotique
Pour ma septième épouse, on m’a un peu mis le couteau sous la gorge. Un peu comme la précédente me direz-vous, mais là, c’est son père qui m’y a un peu obligé. Ce père, c’était un de mes collègues du centre et pas n’importe lequel : c’était mon pote Raoul. Ça a commencé quand il est venu avec ses femmes et certains de ses enfants. Il s’est pointé avec quatre caravanes énormes pour loger chez moi avec sa famille durant tout un Week-end. 0n parlait de tout et de rien et à un moment, il m’a parlé d’une de ses filles qui ne foutait rien de sa vie. Elle était jolie et était tout juste majeure. Me voyant avec tous mes gosses en bas âge, il me l’a proposée comme baby-sitter pour l’été.
A l’origine, ce qu’il voulait, c’était la punir en la faisant travailler durant l’été. Bien évidemment, elle n’en avait pas envie et quelle ne fut pas sa surprise quand sa famille est partie de chez moi sans elle en déposant ses valises sur le sol. En fait, si j’ai dû l’épouser, c’était parce qu’elle m’a piégé et qu’elle a voulu se venger de son père. Elle a passé des semaines à me chauffer, à me draguer. Mes femmes, elles, étaient ravies. Cette baby-sitter n’arrêtait pas d’être aux petits soins avec elles. Elle était exemplaire et aucune de mes épouses ne voulait s’en séparer. Pendant un temps, j’ai pu esquiver ses assauts, mais elle a fini par me coincer.
Lors d’un de ses essais, elle a bien failli m’avoir. Je m’étais assoupi dans mon fauteuil dans le salon pour une petite sieste quand j’ai été réveillé par une délicieuse sensation sur mon entrejambe. Une femme était en train de me sucer. Je suis resté un moment à me laisser faire avant de me souvenir qu’on était en plein après-midi et que la seule femme présente était la baby-sitter. J’ai ouvert les yeux et effectivement, elle avait ouvert mon pantalon et s’affairait comme une vorace sur mon pieu. Je l’ai repoussée avant de me reculotter.
— Non, mais ça ne va pas la tête ? Qu’est-ce qui te prend ?— Je veux du sexe.— Pas avec moi. Et puis ton père ...— Mon père n’a pas à le savoir.— Bah voyons.— En plus, j’ai passé les tests et je suis apte à la reproduction.— Et alors ?— Je ne veux pas le faire avec n’importe qui.— Mais je m’en fous moi. Ce n’est pas mon problème. T’as des ennuis avec ton père ? Tu veux lui faire payer le fait d’être là, OK, mais ne me mêle pas à ça ..... Ah il y en a deux qui pleure. Allez, va faire ton boulot. Tant que tu y es, tu leur donneras leur bain aussi.— Très bien, mais j’aurais ce que je veux. J’ai toujours ce que je veux.

D’ordinaire, je me serais laissé faire, mais j’avais trop peur que son père m’en colle une. Même à son âge, il est capable de m’envoyer une bonne droite. Le soir même, j’ai raconté à mes épouses ce qui c’était passé, mais elles ne m’ont pas cru. Ce n’est que quelques jours plus tard qu’elle a réussi à avoir ce qu’elle voulait. Depuis qu’elle m’avait sucé sans pouvoir finir, je faisais ma petite sieste de l’après-midi dans ma chambre que je fermais à clé. Sauf qu’un jour, je me suis réveillé en sursaut pour me rendre compte que j’avais les pieds et les mains attachés chacun à un pied de lit. Mon pantalon était baissé et la baby-sitter, assise sur moi, empalée sur mon membre. Elle se déhanchait avec un sourire moqueur qui disait « tu vois, je t’avais bien dit que j’y arriverais ». J’avais beau lui ordonner de me relâcher, elle n’en a rien fait.
Je sentais que ça venait alors j’ai fermé les yeux et j’ai essayé de penser à des trucs désagréables : des films d’horreurs, des images d’accident de la route vues à la télé, deux de mes belles-mères ...
Rien ne marchait et j’ai fini par jouir en elle. Elle m’a relâché ensuite.
— Espèce de sale petite ...
— Stop !— Quoi Stop ?— Tu veux porter plainte ?— Je devrais.— Vas-y. Raconte tout à mon père, histoire qu’il te colle une droite.— Je pensais plus à la police.— Tu vas porter plainte pour avoir fait un enfant ? On donne plutôt des médailles pour ça en ce moment. Quoi ? Tu m’en veux, c’est ça ?— Bah oui.— Tu parles. Ce n’est pas bien différent de ce que tu as fait au centre.— Comment ça ?— Papa en a parlé à mes frères avant qu’ils ne partent pour le centre. Tu ne vas pas me dire que tu ne t’es pas envoyé des boudins ou des femmes avec qui tu ne devais pas coucher ?— Si, mais ... — Et bien là, c’est pareil. Ne t’en fais pas, je lui dirais qu’un autre de tes collègues est venu et que c’est lui qui m’a fait ça ..... Ceci dit, c’était plutôt agréable et puis t’es loin d’être vilain ...

Tu parles ! Une fois rentrée chez elle, elle n’a pas tenu dix secondes face à son père quand il a découvert qu’elle était enceinte. Il n’a pas hésité à revenir chez moi pour me casser la gueule.
— Tiens salut, Raoul quel bon vent t’amm ... <VLAN> ai-je dit avant de me manger une grosse mandale dans la gueule.— Alors comme ça on viole ma fille ? me demanda-t-il en colère.— C’est elle qui t’a raconté ça ? La salope, lui ai-je répondu, surpris du choc qu’il venait de m’asséner malgré son âge.— Attention à ce que tu dis.— C’est plutôt moi qui devrais porter plainte. Je l’ai repoussée à plusieurs reprises, mais elle a fini par me coincer durant ma sieste. Elle m’a attaché les quatre membres, a baissé mon froc et le reste, je te laisse deviner. Mais enfin tu me connais. Jamais je ne te ferais ça volontairement.— ..... Tu ne me racontes pas d’histoire ?— Non.— ... Bon, c’est vrai qu’avec le recul, ce n’est effectivement pas ton genre. Et puis le fait qu’elle t’ait forcé la main, ça ne me surprend pas en définitive.— Tu vois ! Ecoute, ce n’est pas grave. C’est comme si elle était allée au centre.— Ouais ... Mais tu le sais, je suis un peu vieille France.— Tu veux dire quoi là ? — Ce que je veux dire, c’est qu’il va falloir trouver une date à votre mariage.— Hein ? Non, mais tu rigoles j’espère ?— Non.— Pffff ! J’en ai déjà six.— Bah ça fera sept.— Je sais que j’ai une grande baraque, j’ai ma femme qui y fait des travaux, mais ce n’est pas une raison. On va finir par manquer de place.— Je sais, mais ce n’est pas grave. Tu trouveras une solution. — Faut vraiment que j’arrive à garder ma queue dans mon froc moi. Je n’arrête pas de me faire piéger, de me faire harceler.— Je sais. C’est difficile de ne pas être hors-la-loi. Refuser de coucher peut être considéré comme refuser de se reproduire et par les temps qui courent, c’est un crime.— Comment tu fais toi ?— Euh c’est compliqué.— Oh ! Toi tu me caches quelque chose.— Disons juste que si je faisais comme toi, à savoir, épouser chaque femme que j’engrosse, je serais marié à tout le canton.— Ah ! ..... OK je vois.— Seul un tiers des femmes sont acceptées à la reproduction d’après les statistiques.— La moitié des postulantes maintenant.— OK cinquante pour cent si tu veux. Donc je disais qu’avec de telles statistiques, comment tu expliques que plus des trois quarts des femmes de mon village aient un enfant ? Et pour certaines plusieurs ?— OK je vois.— Quand la factrice arrive, elle n’accepte de me donner mon courrier que si je lui mets un coup dans le cornet. Va savoir pourquoi, elles se relayent avec ses collègues et c’est jamais la même. J’ai aussi parfois, sans comprendre pourquoi, des problèmes d’électricité sur mon compteur. Quand l’électricienne arrive, je te laisse deviner comment je paie la note. C’est à croire qu’elle me sabote mon panneau électrique. Idem pour la garagiste, la boulangère, la ...— STOP ! Je crois que j’ai compris. Mais quand même, cette « obligation » de ne pas refuser, c’est presque du travail forcé. C’est à se demander pourquoi on nous a mis en retraite.— Je sais, je te comprends.

On a fini par trouver une date et Raoul est devenu mon beau-père. Physiquement, sa fille était loin d’être moche. Elle était plutôt super bien foutue même. Ce n’était pas facile de la repousser. Une fois mariés, on pouvait y aller sans problème. On s’est arrangé et j’ai sacrifié ma chambre. Du coup, je n’en avais plus pour moi ... Ou plutôt si. J’en avais sept. On s’est réuni avec mes épouses. Chacune aurait son jour. Chaque soir, je passe la nuit avec l’une d’elles. A elles de s’arranger si elles veulent échanger leur jour.
Depuis que sa fille avait accouché, Raoul est très souvent venu nous voir, surtout pour jouer au papy gâteau. C’est lors de l’une de ces visites qu’il a abordé un point important. J’avais des garçons et j’allais devoir les envoyer dans un des centres de formation avant qu’ils fassent leur service en tant que mâle reproducteur. C’est vrai que c’était quelque chose auquel je n’avais pas pensé. Lui y avait envoyé plusieurs de ses enfants déjà. Par la suite, j’ai appliqué sa méthode pour les femmes de mon voisinage. Plusieurs étaient moches, mais par-derrière, c’était plus supportable surtout avec un sac sur la tête. Et puis, avec un coup de pine dans le cornet, je pouvais obtenir pas mal de choses de ses dames et gratuitement. Oui, je sais, c’est profiter de la situation, mais elles aussi elles en tirent quelque chose : un môme et la reconnaissance sociale qui allait avec.
Mes épouses devaient bien se douter que si la grosse Albertine avait eu deux enfants alors qu’elle avait toujours été rejetée aux tests c’est que quelqu’un lui avait fait quelque chose. Plus tard quand la deuxième génération de « reproducteurs » a pris sa retraite, je me suis senti moins seul. Ça m’a permis de camoufler pas mal de mes infidélités. « Ce n’est pas moi, c’est le voisin » Je ne sais pas combien de fois j’ai sorti cette phrase.
J’avais la chance d’avoir des épouses qui n’étaient pas jalouses. Valait peut-être mieux dans le cas de polygamie. De toute façon, m’empêcher de me reproduire, c’était mal vu. Je mentirais si je disais que j’aimais mes femmes toutes de la même manière. Même si je couchais régulièrement avec chacune d’entre elles, les premières n’étaient devenues que de bonnes copines avec le temps : des sex-friends. Elles n’ont commencé à utiliser la contraception qu’à partir de quarante-cinq ans. Il faut dire que la naissance d’un de mes fils a été décisive dans la décision. Sa mère l’avait eu à quarante-trois ans. Comme pour chaque, j’étais heureux, mais, un jour, lors d’une analyse, le verdict est tombé : trisomie 21. Ce petit bout nécessitait une attention particulière. Il fut le seul de mes garçons à ne pas aller au centre de reproduction. Dans un sens, ça nous a permis de nous rapprocher. Il m’aidait dans toutes les tâches de la vie quotidienne et ne paraissait pas si handicapé que ça.
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