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Un malencontreux accident

Chapitre 4

Un week-end risqué

Hétéro
Chapitre 4 Un week-end risqué

Lorsque Morgane arriva à la gare le lendemain matin avec son mari, elle parcourut les environs du regard à la recherche de son amant, en vain. Malgré la fraîcheur matinale, elle s’était habillée un peu plus décontractée que d’habitude. Sa robe épousait ses formes divinement, s’arrêtant juste avant le genou, dissimulant les fragiles jarretières qui soutenaient ses bas. Par contre, elle ne portait rien d’autre. Pas de culotte, il pouvait à tout moment la posséder et rien ne retiendrait son jus qui coulerait inexorablement le long de ses cuisses.
Son mari l’avait d’abord mise en garde, elle allait certainement avoir froid. Mais en voyant le résultat, il ne put protester bien longtemps. Elle dut même repousser ses assauts jusqu’à leur arrivée en gare.
Ils montèrent à bord du train, un vieux corail défraîchi, entièrement recouvert de tags et dont les wagons étaient presque déserts. Elle prit bien soin de s’installer côté couloir et attendit patiemment l’arrivée d’Alex.
Ce dernier fit enfin son apparition et arpenta l’étroit couloir avec assurance. Sa démarche témoignait une grande confiance en lui et de sa carrure imposante et athlétique, il semblait emplir le compartiment d’une intense aura sexuelle, comme si l’air s’était soudain chargé d’électricité. Ses yeux se rivèrent aux siens et quand il la dépassa, elle comprit tout de suite qu’elle devrait le suivre.
Elle attendit une longue minute puis prétexta une envie pressante pour se lever et rejoindre Alex. Elle le trouva aux toilettes, un lieu sale et exigu, où il la fit entrer sans ménagement et la mit à genoux.
— Suce-moi, ordonna-t-il en sortant son engin déjà bien dressé.
Elle obéit avec engouement, entoura son gland gonflé de ses lèvres et commença à lui prodiguer une fellation avec tout le soin qu’elle pouvait. Elle adorait le goût de sa peau et le sucer était devenu un réel plaisir, elle qui rechignait à cette tâche avec son mari. Mais ce qu’elle préférait par-dessus tout, c’était quand il laissait sortir la bête en rut qui dort en lui, et qu’il prenait les choses en main avec force et détermination.
Alex prit sa tête dans ses mains et la repoussa en arrière, si bien qu’elle fût collée au mur. Il appuya fort afin de l’immobiliser et se mit à aller et venir de plus en plus profondément, l’étouffant de sa grosse queue. Morgane se laissait baiser la gorge avec plaisir, laissant glisser sa main entre ses cuisses pour agacer son clitoris impatient.
Après quelques derniers accoups, il se retira et la mit à quatre pattes au-dessus des toilettes. Soulevant sa jupe pour dévoiler sa croupe, il découvrit avec plaisir l’absence de culotte ou toute autre barrière. Il investit brusquement sa chatte et la lima avec langueur et profondeur. Elle se retenait de crier, même si les bruits du train couvraient ses gémissements de plaisir.
— Oh oui... Alex vas-y... c’est trop bon...— Je vais t’enculer bien fort, et après, tu retourneras t’asseoir à côté de ton gentil mari, le cul rempli de mon foutre. C’est ce que tu veux ? — Oh oui... Alex, défonce-moi bien fort, fais-moi mal... je t’en supplie...
Il fit ce qu’elle lui demandait et la sodomisa sans attendre, avec violence et sans aucune préparation.
— Cette femme est une vraie chienne, exactement comme je les aime, pensa Alex tandis qu’il lui ravageait l’anus à grands coups de reins.
Il adorait ça lui aussi. Jamais encore il n’avait rencontré une femme qui aime tant son attitude bestiale, aussi fut-il troublé d’y trouver plus de plaisir qu’à l’accoutumée. Depuis qu’il avait investi son sublime fessier dans ce parking la première fois, sa queue ne demandait qu’à y retourner encore et encore.
Enfin, il explosa en elle et lorsqu’il se retira, une traînée de sperme s’étala sur sa cuisse.
— Interdiction de t’essuyer, maintenant, va t’asseoir, ordonna-t-il en se rhabillant.
Il la regarda marcher à travers l’allée, à un rythme lent. Il savait qu’elle était en train de contracter son anus pour contenir la grosse quantité de sperme épais qu’il lui avait administré. Il fut fier de voir qu’elle boitillait un peu, il l’avait bien défoncée, c’était certain. Et elle avait adoré ça.
Morgane se rassit nonchalamment à côté de son mari et lui adressa un grand sourire. Elle reprit la lecture de son roman et le voyage continua silencieusement.
— Tu n’oublieras pas de mettre ton manteau avant le dernier arrêt, dit son mari peu de temps avant qu’ils n’arrivent. Je persiste à dire que cette tenue était une mauvaise idée. En plus, je ne peux même pas en profiter...— L’hôtel est entièrement équipé voyons, je suis sûre qu’on ne mettra même pas le nez dehors. Il y a tout sur place: spa de luxe, salle de sport, piscine chauffée, restaurant, bar, même une discothèque. — Tu as sans doute raison... il n’empêche que tu n’es pas très gentille avec moi. Tu me fais bander toute la matinée avec cette robe et tu n’acceptes même pas de me laisser en profiter.
Une idée perverse lui vînt alors et elle prit la main de son mari qui, estomaqué quand il vit où elle la dirigeait, se laissa faire sans rechigner. Il constata bien vite qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle était trempée. Il lui jeta un regard interrogateur et elle s’empressa de se justifier.
— Mon livre m’a tellement fait mouiller, j’ai dû enlever ma culotte aux toilettes tout à l’heure.
Visiblement convaincu par son explication, il glissa ses doigts dans l’intimité ruisselante de cyprine et du foutre d’un autre homme et entreprit de la doigter doucement jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’elle n’avait pas joui grâce à ses caresses, mais plutôt parce que ça l’excitait de savoir que les doigts de son homme étaient pleins de la semence d’Alex. Elle se retint de les lui lécher, pour avoir son goût à lui dans sa bouche et soupira.
— Hum merci chéri, c’était super. C’est bon maintenant, tu as assez profité ? — Tu ne vas rien faire pour m’aider ? s’étonna-t-il.— Je ne t’avais rien demandé, c’est toi qui voulais profiter. Tu as eu ce que tu voulais.
Il se renfrogna un instant puis s’éclipsa aux toilettes. Morgane sourit à l’idée que son mari allait se finir dans les mêmes toilettes dans lesquels elle s’était fait défoncer une heure plus tôt.
Alex, lui, avait observé toute la scène d’un air songeur, une trique d’enfer dans le pantalon. Quelle sacrée petite salope... il allait encore bien s’amuser. Explorer les nombreux endroits qu’elle avait cités...

Quand ils arrivèrent enfin à l’hôtel, Morgane décida de monter directement dans sa chambre prendre une bonne douche. Une fois propre et ses affaires rangées, elle reçut un message d’Alex avec deux simples mots qui la firent frissonner: Boutique Maintenant.
— Chéri, j’ai oublié de prendre un maillot de bain, je descends jusqu’à la boutique...— Attends, je t’accompagne, j’ai besoin moi aussi de deux ou trois trucs.
Elle fut bien contrariée, mais ne trouva aucune excuse pour éviter qu’il ne la suive. Comment allait-elle faire pour rejoindre Alex sans éveiller ses soupçons ?
Anxieuse, elle se rendit dans le magasin de vêtements. Elle était obnubilée par l’envie de savourer la grosse queue d’Alex et son mari allait gâcher tous ses plans...
Elle flâna dans les rayons pendant plusieurs minutes, cherchant des yeux l’objet de son désir et prit quelques articles en main. Elle informa son mari, quelques allées plus loin qu’elle allait dans la cabine d’essayage. Ravie qu’il ne la suive pas, elle entra dans une cabine. C’était spacieux, tout en longueur. Une chaise était placée au fond ainsi qu’un grand miroir. Le rideau épais se souleva alors et l’imposante carrure d’Alex envahit l’espace qui l’entourait. Elle chuchota :
— Mon mari a voulu m’accompagner, il est juste là, je ne crois pas que ce soit possible...— Ne t’inquiète pas, je n’ai pas prévu de te baiser alors qu’il est juste là... enfin pas encore, dit-il avec un large sourire, mais tu vas quand même me pomper, allez à genoux.
Elle hésita, paniquée à l’idée de se faire prendre la main dans le sac... ou plutôt un sexe dans la bouche...Alex savait qu’elle en mourrait d’envie, mais en serait-elle capable ? Il n’eut qu’à sortir son membre démesuré pour avoir sa réponse. Elle se jeta à ses genoux et engloutit son sexe d’un seul coup. Alex s’était positionné bien au fond de la cabine, de sorte qu’on ne pouvait voir ses pieds et il regardait avec plaisir cette petite avocate perverse qui dégustait sa verge avec appétit.
Soudain, une voix retentit derrière le rideau.
— Tout va bien chérie ? demanda son mari, tu as besoin d’aide ?
Elle se recula brusquement, retirant à regret la délicieuse verge de sa bouche. Alex posa une main sur sa tête, l’empêchant de se relever.
— Non, tout va bien, dit-elle avant de lui administrer quelques coups de langue.— Tu es sûre ? Je peux rentrer ?— Non, non ! s’empressa-t-elle de répondre, tu serais un amour si tu pouvais aller me chercher la taille au-dessus.
Alex fit passer le cintre sur lequel était accroché un maillot de bain et l’homme le récupéra sans rien voir. Morgane profita de cette pause pour aspirer de nouveau le membre qui pulsait sous ses doigts, fit trois aller-retour et le recracha avant de dire.
— Ah et tu pourrais me trouver le même en orange aussi, ça serait génial.— D’accord, dit-il en s’éloignant.
Alex lui attrapa la tête et s’enfonça dans sa bouche aussi loin qu’il pouvait.
— Petite chienne, ça t’excite de me sucer à côté de lui... Qu’est-ce que ce sera quand je défoncerai ton petit cul !
Il lui pilonna la bouche un long moment jusqu’à ce que son mari arrive pour lui donner les maillots de bain. Le manège recommença et Alex reprit discrètement les vêtements tandis que Morgane remerciait son mari tout en lui léchant le sexe avec volupté.
— Tu peux y aller, j’ai bientôt fini. — OK, on se retrouve aux caisses.
Ignorant totalement ce qui se déroulait derrière le rideau, son mari partit, laissant tout le loisir à Alex de se déchaîner dans la bouche de sa femme.
Morgane mouillait tellement, qu’elle n’eut besoin de se toucher que d’un seul doigt pour atteindre l’orgasme qui la dévora. Alex se mit à serrer plus fort sa prise et comme il aimait le faire, assena de puissants coups de reins avant de se déverser en de longues giclées dans la bouche avide de Morgane. Elle avala avec plaisir son nectar préféré, mais essaya d’en garder juste un peu. Elle avait un petit projet... rouler une bonne grosse pelle à son mari avec le foutre d’Alex encore sur sa langue. Elle montra sa langue blanche de sperme épais à Alex, plantant ses yeux dans les siens et il devina son intention de le garder en elle le plus longtemps possible. Et comme prévu, quand elle sortit de la cabine d’essayage, elle se dirigea d’un pas assuré vers son mari, un grand sourire étincelant sur son visage.
Alex observait la scène en toute discrétion et une bouffée de fierté le submergea quand il vit Morgane embrasser son mari goulûment, avec une ferveur indigne d’un lieu public. Cela dura quelques secondes et quand ils se séparèrent, il fit remarquer avec une légère grimace :
— Tu as un drôle de goût...— Ah oui ? Sans doute le chewing-gum au réglisse que j’ai mangé tout à l’heure. — Ouais, et que dirais-tu d’aller poursuivre ce baiser dans la chambre maintenant ? — Quoi déjà ? Non, je comptais faire un tour au spa avant. Ils ont un centre de massage, un sauna, un hammam...— Un hammam, très peu pour moi ! Il fait trop chaud là dedans... en plus, ils ne sont même pas mixtes...— Eh bien, va au centre de massage, je t’y rejoindrai plus tard.
Elle se dirigea vers le centre de spa, hésitant entre le sauna ou bien le hammam. De toute manière, son mari n’y serait pas, alors elle pouvait faire ce qu’elle voulait. Enfin ce qu’Alex voulait.
Ce dernier la suivait, impatient d’accomplir ce qu’il avait imaginé pour elle. Quand il la vit s’arrêter, il mit une main dans le bas de son dos et la poussa jusqu’au vestiaire masculin du spa. Ils se retrouvèrent bien vite dans la première salle du hammam. La température y était très agréable, pas aussi chaude qu’elle s’y attendait. Elle se sentit gênée en réalisant que les regards se tournaient tous vers elle. Elle était la seule femme présente et Alex arracha la serviette qu’elle portait, dévoilant son corps à tous les inconnus présents dans la salle emplie de vapeur.
Surprise, elle se vit entraîner vers une nouvelle salle, où la température était plus chaude encore. Il y avait moins de monde, mais les regards de ces inconnus continuèrent à l’incendier. La main d’Alex posée sur le bas de son dos était claire, elle était à ses ordres. Il continua son chemin vers la troisième salle, où seulement six hommes d’âges différents étaient assis. Mais quelques curieux vinrent se joindre à la fête et ils se retrouvèrent presque à quinze dans cette salle embuée, où la température était torride.
Alex se tourna vers eux et avec un grand sourire, annonça :
— Messieurs, cette chienne est en manque de sperme. Elle adore ça et elle va tous vous sucer, un à un, et vous faire gicler sur son corps. Agenouille-toi ma chienne, allez occupe-toi de ces messieurs et après, je m’occuperai de toi.
Elle obéit, poussée par ses pulsions plus que par sa raison. Si c’était ce qu’il voulait, alors elle s’exécutait sans discuter, ravie de satisfaire les désirs pervers de cet homme. Elle fit complètement abstraction des visages des hommes qui l’entouraient. Elle ne voyait que la quinzaine de queues dressées, prêtes à se faire lustrer, et Alex qui la regardait en souriant, l’air triomphant. Elle prit le premier sexe venu en bouche et le pompa avec application, essayant de lui soutirer son jus le plus vite possible. Ca ne prit pas longtemps et l’homme sortit son sexe pour jouir partout sur son visage, jusque dans ses yeux, l’aveuglant presque. Une autre queue prit sa place dans sa bouche et elle continua son travail avec acharnement, n’ayant qu’un objectif : tous les faire gicler et enfin se faire prendre par la divine verge d’Alex.
Elle continua ses fellations avec un plaisir non dissimulé, surtout quand l’un d’entre eux se mit à lui tirer les cheveux pour forcer sa gorge. A ce moment-là, ils firent tous de même: chacun à leur tour, ils lui démontaient la bouche à grands coups de reins et répandirent leur semence sur son visage. Elle en était tellement recouverte que le liquide épais coulait abondamment sur ses seins et le reste de son corps. Une fois la dernière verge bien lustrée, elle se tourna avec malice vers Alex qui ne se fit pas prier pour la mettre à quatre pattes et s’enfiler dans sa chatte trempée.
Morgane poussait de longs gémissements de plaisirs, enfin comblée, soumise à cet homme qui maintenant sortait de sa chatte pour investir son anus. A sec, évidemment, comme il le faisait toujours. Il se planta au plus profond de son cul, écrasant ses fesses, et aggripa ses cheveux pour la cambrer. Et là, il la défonça prodigieusement, avec tellement d’ardeur que certains des spectateurs virent leurs sexes satisfaits se relever d’excitation. Les hommes se branlèrent devant ce spectacle et arrosèrent de sperme la sage avocate qui se faisait enculer sans douceur par un mâle extrêmement bien monté. Il lui labourait littéralement l’anus et elle adorait ça. Elle ne put s’empêcher de crier :
— Oh oui Alex, vas-y ,défonce-moi le cul...— Tu es ma chienne, je veux t’entendre le dire.— Je suis... je suis ta chienne... essaya-t-elle d’articuler malgré les coups de boutoirs intenses qu’il lui prodiguait.— Plus fort !— JE SUIS TA CHIENNE, s’époumona-t-elle, TA SALOPE, TA PUTAIN...
Alex, satisfait, décida de se finir en elle et ne se retint plus pour la marteler, la clouant au sol. Il rugit quand sa semence atterrit dans ses tréfonds et Morgane fut prise d’un violent orgasme.
Son visage et son corps dégoulinaient. Ses jambes tremblaient et pendant une seconde, elle se demanda comment elle allait faire pour rejoindre son mari alors qu’elle n’était pas capable de se lever. Alex la prit par la main et l’emmena se nettoyer. Il prit grand soin de la laver consciencieusement, avec une douceur qui lui était peu commune. Elle en fut bouleversée. Au moment de se séparer, leurs regards s’accrochèrent plus longtemps et elle crut même qu’il allait l’embrasser.
Au lieu de cela, il lui caresse légèrement le bras, et lui enjoint de retrouver son mari avec pour une fois, une pointe de jalousie dans la voix. Le week-end ne faisait que commencer et pourtant, ils avaient tous deux besoin d’une pause pour reprendre des forces et essayer de sauver les apparences.
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