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Malika et les éducateurs à blackettes

Chapitre 1

Un pas vers l'immorale soumission

Trash
Comme tous les samedis soir, me voilà dans mon club libertin habituel. La musique résonne au plus fort, les couples se rapprochent, certains s’éclipsent, mais cette fois-ci, je suis seule, assise au bar, un verre de Martini dans la main et les yeux dans le vide. En regardant autour de moi, je reconnais les mêmes visages mondains avec qui j’ai déjà fait trembler les backrooms maintes et maintes fois. Me voyant, Patrick, le dirigeant du club m’interpelle :
— Bah alors, Malika, tu vas pas t’amuser ce soir ? J’ai pas l’habitude de te voir comme ça.— En vérité, ça fait quelques soirs que je suis un peu lassée de venir... — Ah oui ? Ça m’étonne de toi, explique-moi. — Tu sais Patrick, j’ai un peu plus de 30 ans et ça fait 10 ans que j’écume les clubs... je sens que ma vie sexuelle doit changer, que je dois tester de nouvelles expériences qui feront de nouveau ressortir mon instinct de salope. — Tu voudrais du sexe plus hard ?— Oui, j’aimerais aller dans l’extrême et me faire soumettre.— Tu n’as qu’à poster des annonces sur internet pour trouver un maître BDSM qui te soumettra. — Je l’ai fait plein de fois, mais à chaque fois que j’envoie ma photo, c’est la même chose... je prends refus sur refus. — Une belle noire avec une petite coupe afro bouclée comme toi pourtant... c’est quand même pas tous les jours que l’on croise une paire de 105 C naturelle et un cul comme le tien !— Je sais bien... ils doivent justement me trouver trop plantureuse et n’aiment peut-être pas les Africaines. En attendant, je suis dans une impasse, donc si tu as des contacts, je suis preneuse.— Hummm... Il y a bien un vieux mec un peu étrange qui est venu me déposer son numéro il y a quelque temps, mais il ne m’inspire pas vraiment confiance.— C’est-à-dire ?— Il se surnommait lui-même le « négrier cagoulé » et m’a demandé de le mettre en contact avec des femmes exclusivement africaines. Il aurait un donjon BDSM dans lequel lui et sa femme soumettraient des noires ayant un peu le même profil que le tien. Mais si tu veux mon avis, ce ne sont que des illuminés qui veulent assouvir leurs délires racistes. Sur la carte de visite qu’il m’a laissée, il est même inscrit « les éducateurs de blackettes ». Je te laisse la carte sur le bar, mais tu sais à quoi t’attendre, vu les personnages, tu ne seras sans doute rien pour eux et ils risquent de te traiter comme de la merde. Je ne serais pas responsable de la manière dont tu pourrais ressortir de ce rendez-vous.
La logique voudrait que leur racisme apparent me repousse, mais étrangement, je crois que c’est plutôt l’inverse. La description que vient de me faire Patrick de ce couple m’a mouillé la culotte. Après tout, n’est-ce pas ce que je recherche ? Leur racisme n’est-il pas la garantie d’une réelle humiliation sans fioriture, comme j’en rêve ? Ma curiosité et mon excitation sont trop fortes, je suis prête à prendre le risque de plonger dans l’univers douteux et mystérieux de ce « négrier cagoulé » et sa femme.
Après cette soirée ennuyeuse, mais riche en informations, je suis enfin de retour chez moi et les tonnes de scénarios que je me suis faits sur le trajet du retour m’ont définitivement convaincue de contacter ce couple. J’écris au numéro présent sur la carte le message suivant :
— Bonjour, je suis une femme typée africaine de 30 ans en quête de nouvelles aventures insolites et souhaitant s’offrir à vos pratiques de soumission pour donner un tournant plus extrême à ma sexualité. Ci-joint une photo de moi. Malika.
J’appuie immédiatement sur envoyer et un court frisson parcourt mon corps de haut en bas, venant dresser mes poils, je suis excitée comme je ne l’ai pas été depuis bien longtemps. Un sifflement d’oiseau résonne, c’est la sonnerie de mon téléphone, il m’a déjà répondu :
— Présente-toi docilement dans deux semaines à 14h pétante à l’adresse renseignée dans le prochain message et sonne en arrivant. Il est exigé à partir de la réception de ce message et ceux jusqu’à notre rendez-vous que tu ne te laves plus et que tu portes une seule et même culotte rouge. Ton éducatrice.
Je n’en attendais pas moins de cette réponse. Son aspect procédural me grise et m’intrigue tandis que leurs exigences me font déjà me sentir complètement assujettie et soumise à eux alors que je ne les ai pas encore rencontrés. Bouillonnante, j’enfile ma culotte en soie rouge et frotte ma main par-dessus, je suis chaude comme la braise, je me fais mouiller, je veux qu’ils voient que ma culotte a vécu, qu’elle s’est imbibée de mon jus. Je suis éreintée, mais impatiente.
Deux semaines plus tard, crasseuse et la culotte si imbibée de mes sécrétions qu’elle est désormais inutile, je suis arrivée à l’adresse indiquée. Le lieu correspond parfaitement à ce que je recherche, il est dangereusement stimulant. Il s’agit d’un petit bâtiment carré en béton brut perdu au milieu de la forêt, il pourrait se passer n’importe quoi entre ces murs, personne ne l’entendra. Je suis seule face à l’inconnu. J’ai même envie de dire que quelque chose cloche... le bâtiment est si petit que je me demande comment il pourrait accueillir un donjon BDSM. Après quelques minutes d’hésitation et la gorge nouée, je sonne enfin à la porte et reçois aussitôt un SMS :
— En répondant OUI à ce message, vous acceptez de vous soumettre entièrement à nous et acceptez de subir tous les sévices sexuels et physiques que nous vous imposerons sans engager par la suite un quelconque procès. Votre expérience peut cependant être stoppée à tout moment par la prononciation du mot ROUGE. Toutes désobéissances à ce contrat seront prises au sérieux et sévèrement punies.
Le cœur palpitant, j’envoie le message et l’épaisse porte en métal blindé s’ouvre en même temps. La pièce est toute petite, hormis une chaise posée au centre et un lavabo blanc dans un recoin, l’espace est vide. L’atmosphère y est étrange, les murs rouges de la pièce sont recouverts de photos d’étranges nus artistiques et une porte d’ascenseur se trouve en face de la porte d’entrée, qui se referme juste derrière moi, me laissant prise au piège, sans possibilités de retour en arrière. Une lettre cachetée par un sceau rouge en forme de menottes est posée sur la chaise en métal.
— A partir de maintenant, tu n’es plus Malika, mais l’objet de mon mari, sa poupée, son esclave, tu n’es qu’un corps, une chatte, un cul, une bouche avec lesquels il peut faire ce qu’il désire, rien de plus. Alors en bonne enfant de nègre que tu es, tu vas enfiler les vêtements présents sur cette chaise, te raser complètement la tête et mettre la cagoule ci-jointe dans l’enveloppe. Une fois cela fait, attend sagement assise sur la chaise.
Une tondeuse reliée par une chaîne en fer est accrochée au mur à côté du lavabo, mes cheveux sont sans doute la chose que préfère chez moi, mais je n’ai pas le choix, la lame fait des allers-retours dans mes cheveux qui tombent devant mes yeux venant créer une pile à mes pieds. Je passe ma main sur mon crâne glacial, je me sens nue, ça y est, je suis chauve. Sur la chaise est placé un ensemble rouge vif composé d’une guêpière en soie, de collants opaques et de talons que j’enfile. Enfin, je passe ma tête dans cette fameuse cagoule en vinyle noire. C’est le noir total, elle ne comporte qu’un trou au niveau de la bouche et me prive de ma vue. Je me sens déshumanisée, insultée, humiliée de n’être qu’une bouche, qu’un corps sans visage... mais en même temps mes sens son décuplés, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver, mais je suis prête.
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