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Mam, ma sœur et moi

Chapitre 1

Mam se comporte en pornstar

Inceste
Je suis trop vénère, je devais voir une exposition dédiée au photographe Henri Cartier-Bresson et voilà que celle-ci est annulée suite aux orages qui se sont abattus hier. Ils ont entraîné des dégâts nécessitant la fermeture temporaire des salles. Ce n’est vraiment pas de veine, j’avais pourtant bien planifié mes quelques jours de congés chez ma mère afin de pouvoir profiter de cette expo. Pour ne rien arranger, comme la réouverture est au plus tôt dans dix jours, je ne pourrai malheureusement pas y retourner. Il faut rester positif et voir le bon côté des choses, cela va me permettre de passer un peu plus de temps avec maman.

Moi, c’est Aurélien, j’ai 21 ans et depuis trois ans, je vis loin de chez moi après mes classes prépas et avoir intégré une école d’ingénieur. Mais pour cinq jours, je suis revenu en vacances chez mam. Nous ne sommes que tous les deux, mon père nous a abandonnés il y a des années et ma sœur vit avec son copain. Cela ne me dérange pas, bien au contraire, car je peux profiter encore plus de ma mère. Après quatre mois sans nous voir, nous avons forcément plein de choses à nous raconter, même si habituellement nous nous téléphonons au moins deux fois par semaine.

Maman a 45 ans et est prof d’histoire en fac. Avec Valériane, ma sœur âgée de 23 ans, elle nous a élevés seule, n’ayant pas refait sa vie. Je ne l’ai d’ailleurs jamais vue avec un homme. Pourtant, je suis sûr qu’elle ferait chavirer le cœur de nombreux mâles si elle le désirait. Mais je ne crois pas qu’elle soit très intéressée par le sexe, en tous les cas elle n’a jamais fait la moindre allusion à ce sujet. J’ai un très grand respect pour elle, car malgré le fait de n’avoir que son salaire de prof, nous n’avons jamais manqué de rien. Elle s’est sacrifiée pour nous, pour notre éducation, mettant sans doute sa propre vie entre parenthèses.

Même si elle vit maintenant seule, mam a gardé la villa de notre enfance, pourtant devenue trop grande pour elle. Elle est entourée d’un beau et grand jardin mais qu’il faut entretenir ; heureusement elle a trouvé un homme qui vient lui faire le jardinage contre une rémunération au black.

Me voilà de retour à la maison. Je viens de franchir le portail quand j’entends des bruits, on dirait des gémissements, venant du fond du jardin, où persistent six grands arbres entourés d’une végétation luxuriante. Etonné et curieux, je m’approche sans précaution particulière pour en connaître l’origine. C’est alors que je découvre, à une quinzaine de mètres, une scène qui me fige sur place, bouche bée. Je n’en crois pas mes yeux : maman est nue, seulement chaussée de sandales, les mains appuyées contre un arbre et penchée en avant. Derrière elle se tient un homme, enfin plutôt un jeune homme car il doit être à peu près de mon âge, lui aussi nu et qui est en train de la pénétrer avec vigueur en la tenant par les hanches. Heureusement, trop occupés, ils ne m’ont pas vu arriver.

Le premier moment de stupeur passé, je me décale dans la végétation afin de rester invisible à leurs yeux. Je devrais partir mais impossible, je suis comme hypnotisé par ce qui se déroule à quelques mètres de moi. Je n’ai plus aucun doute sur l’origine des sons entendus à mon arrivée, ce sont bien des gémissements de plaisir. Des sensations contradictoires se mêlent dans mon cerveau : voir ainsi ma mère dans une telle position me trouble et m’excite en même temps. Finalement, je ne peux résister au désir pervers d’être encore plus près et je m’approche lentement en essayant de faire le moins de bruit possible.

Maman ne fait pas que gémir, la voilà qui prononce des mots très crus que jamais je n’aurais imaginé sortir de sa bouche :

— Vas-y mon chéri, continue, tu me baises si bien. Défonce-moi, défonce ta petite salope, ouiii, ouiii.
— Ahhh ouaiii, putain que c’est bon… Ta chatte est trempée… Y’a pas de doute, t’aimes ça te faire mettre par un jeune. Dis-le qu’elle t’excite ma queue !
— Ouiii… elle est si bonne, si dure… continue… ouiii…

Ce n’est pas possible, pas maman et pas avec un mec de mon âge ! J’ai du mal à croire ce que je vois et entends car on pourrait être sur le tournage d’un porno mais dont elle serait l’actrice principale. Pourtant, je ne peux pas détacher mes yeux de la scène qui se déroule presque face à moi. Voir ainsi mam bouger au rythme de chaque intrusion, ses seins ballotter d’avant en arrière et l’entendre crier ne me laissent pas indifférent. J’ai honte mais je sens mon sexe grossir sous mon jean. Impossible de résister, d’une main je le touche à travers le tissu ce qui le fait grossir encore plus. C’en est trop, j’ouvre la fermeture de mon pantalon et je le sors afin de commencer à me branler.

— Ouiii… Je vais jouir si tu continues à si bien me défoncer, mon salaud. Mais maintenant c’est dans mon cul que je veux ta grosse queue. Ouiiii… Baise-le moi, fais-moi jouir du cul…
— J’le crois pas ! T’es vraiment une belle salope en plus d’être une cougar ! Madame veut se faire enculer, pas de problème ! Mais avant, je vais t’lécher la rosette, je suis sûr que t’aimes qu’on s’occupe bien d’elle.
— Ouiii, Jérôme, ta langue, là… ouiii… tu me la lèches si bien… continue...— Attends ma belle, je vais même te mettre un doigt pour bien préparer ton petit trou.

Mais jusqu’où vont-ils aller dans la débauche ? Le mec s’est mis à genoux et lèche consciencieusement le cul de maman, qui de ses mains écarte en grand ses fesses pour lui faciliter la tâche. Il s’en donne à cœur joie et essaye même d’entrer sa langue dans le conduit. Voilà que maintenant, c’est son doigt qu’il introduit après l’avoir bien humidifié de salive. Il l’entre en entier, le bouge puis le sort avant de le faire à nouveau pénétrer mais cette fois accompagné d’un deuxième.

Ma mère n’arrête pas de crier, deux doigts bien enfouis au fond de son cul. Jamais je n’aurais cru ça d’elle… Et elle en veut encore ! Elle, toujours si réservée, parlant toujours d’une voix calme, sans jamais le moindre mot vulgaire. Pourtant, là, je découvre une tout autre femme, à l’opposé de l’image que j’ai d’elle ; une femme qui aime le sexe cru, qui aime la baise. Malgré tout, j’ai encore du mal à réaliser que c’est ma mère que je vois, comme si mon esprit essayait de me protéger. Pourtant c’est bien elle, elle devant qui je me branle. Car oui, le jean aux chevilles, je m’astique de plus en plus vite la verge, j’ai tellement envie de jouir.

Ça y est, Jérôme a enfoncé son membre profondément dans le fondement de maman sans qu’elle ait eu l’air de ressentir la moindre douleur. Au contraire, elle pousse des couinements de plaisir. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense alors aux voisins, difficile de ne pas l’entendre. Quelle honte si c’est le cas.

Mais c’est qu’il ne se retient pas, le salaud, il lui donne même de sacrés coups et manifestement mam adore. Je n’ai que rarement ressenti une telle excitation et ce qui devait arriver se produit : je jouis en déversant par jets mon sperme qui va se répandre sur la végétation. J’ai dû me mordre l’avant-bras afin de ne pas crier tellement la jouissance a été forte. Il y a une heure, quelqu’un m’aurait dit que j’allais éjaculer en regardant ma mère se faire ramoner le cul, je l’aurais pris pour un fou furieux. Et pourtant c’est le cas.

Les deux amants continuent de plus belle, une main de maman est même entre ses cuisses alors que l’autre lui permet de se tenir à l’arbre tant les coups de boutoir de Jérôme sont forts. Enfin, elle pousse un hurlement, qui là c’est sûr a dû être entendu chez nos voisins, quand un orgasme la transperce. Même son partenaire est surpris et arrête ses mouvements, avant de se retirer. Je remarque qu’il n’a pas de capote, j’espère qu’ils savent ce qu’ils font.

Ma mère vient à peine de reprendre son souffle qu’elle se met à genoux pour sucer la queue qui lui fait face. Je réalise que celle-ci vient de sortir de son orifice anal mais plus rien ne m’étonne. Elle l’engloutit presque en entier tout en caressant les bourses de Jérôme. Ce dernier, la tête levée et les yeux fermés, a les mains sur le crâne de maman et l’accompagne dans sa fellation. Enfin, il ressort sa verge pour se masturber rapidement avant d’éjaculer, en poussant un grognement rauque, sur le visage et la bouche de mam. Un sourire radieux, comme rarement j’ai vu sur elle, éclaire son visage recouvert de foutre.

Il est temps de m’éclipser avant d’être repéré. Je remonte mon pantalon et très discrètement je repars. Je n’ai qu’une solution pour ne pas éveiller les soupçons : je ressors dans la rue, j’attends un bon moment afin de leur laisser le temps de se rhabiller puis je sonne.

Après une bonne minute, maman arrive et m’ouvre le portail. Rien dans sa tenue ne trahit ce qui vient de se passer et il n’y a plus aucune trace de sperme sur son visage, seule une légère rougeur de ses joues pourrait entraîner quelques soupçons.

En me voyant, elle ne montre aucune gêne, me sourit et me parle d’un ton très assuré. Si je n’avais pas été le témoin de la scène qui vient de se dérouler, il me serait impossible d’imaginer qu’elle vient juste de se faire baiser. Et qui plus est, pas une baise classique, non une partie de débauche qui aurait sa place dans n’importe quel porno.

— Aurélien, déjà ! Je suis contente de te voir, mais tu ne devais pas passer l’après-midi à ton expo ?
— Annulée, dégâts des eaux dus aux pluies d’hier… Quelle poisse, moi qui l’attendais depuis si longtemps. Et toi, ton début d’après-midi, cool ?
— Oui, tu sais, la routine et je n’ai rien fait de spécial. Un après-midi calme comme bien souvent je les passe quand je suis seule.
— Ma pauvre, j’espère que tu t’es pas trop ennuyée. Tu dois être heureuse que j’arrive, cela va te faire de la compagnie, dis-je un sourire moqueur aux lèvres qu’elle ne semble pas remarquer.
— Pour tout te dire, j’ai quand même eu un peu de compagnie. Un de mes élèves de la fac est venu récupérer des documents nécessaires à la rédaction d’un article qu’il écrit pour ses études. Il est arrivé il y a juste quinze minutes et il allait repartir quand tu as sonné. Tiens, le voilà justement.

Jérôme arrive nonchalamment et sourit à ma vue. Rien non plus dans son attitude ne permet d’avoir le moindre doute sur ce qui vient de se passer.

— Jérôme, je vous présente Aurélien, mon fils, et donc Aurélien, voici Jérôme, l’étudiant dont je viens de te parler. Maintenant qu’il a récupéré les docs pour son travail, je pense qu’il est pressé de partir.
— Salut, me dit Jérôme en me tendant la main. Oui, désolé, je serais bien resté un peu pour discuter mais, malheureusement, je dois vous laisser, je suis même en retard. En tous les cas, Aurélien, ta mère est une excellente professeure et très sympathique, toujours prête à rendre service à ses élèves pour les aider à progresser. Une prof comme tous les étudiants en rêve. Allez, cette fois j’y vais, au revoir et encore merci Caroline pour vos conseils. J’espère ne pas vous avoir dérangée.
— Pas le moins du monde, ce fut un plaisir. Si vous avez besoin d’autres renseignements, n’hésitez pas à revenir, vous savez que ma porte est toujours ouverte pour mes élèves.
— C’est très gentil, je n’y manquerai pas.

Sur ces mots, Jérôme nous quitte et nous laisse seuls avec maman.

— Vraiment très sympathique cet étudiant et sérieux, tu vois il n’a pas hésité à venir me voir pour que je l’aide dans ses recherches.
— Vu son grand sourire, je pense qu’avec toi il a trouvé ce qu’il cherchait et que tu l’as aidé au mieux, rajoutais-je sur un ton un peu moqueur.
— Tu me taquines, chéri ! Mais c’est le rôle de tout bon prof d’accompagner ses élèves.
— Oui, oui, un étudiant beau gosse qui t’appelle par ton prénom !
— Aurélien, parfois tu dis n’importe quoi. Bon, assez parlé de lui, si nous rentrions.

Alors que maman va pour se retourner, mes yeux tombent sur sa poitrine et je ne peux les détacher des deux tétons qui pointent sous le fin tissu de son petit haut. Heureusement, elle ne s’en aperçoit pas, se retourne et gagne la maison. En la suivant, j’admire ses longues jambes galbées par la pratique régulière de la gym en salle et que ne cache pratiquement pas la petite jupe qu’elle porte. Dire que jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais trop fait attention à son physique et au fait qu’elle soit toujours une femme si sexy et si attirante. Mais la voir baiser sans la moindre retenue avec un de ses élèves a complètement changé la vision que j’ai d’elle.

A peine entrée que mam me dit qu’elle monte deux minutes pour se changer. J’en profite pour me servir un jus de fruit, prendre un chocolat et m’installer sur le canapé. Peu après, elle redescend, vêtue uniquement d’un grand tee-shirt qui arrive en haut des cuisses, dévoilant, encore plus que sa jupe, ses magnifiques jambes. Je rêverais qu’elle ne porte rien dessous mais ce n’est pas demain qu’elle se promènera sans sous-vêtements, enfin je crois car depuis aujourd’hui je ne sais plus vraiment que penser avec elle. Je ne suis peut-être pas au bout de mes surprises. Pour la première fois, je regrette cependant qu’elle soit aussi droite en ma présence car imaginer qu’elle pourrait être assise à mes côtés, les fesses à l’air, décuple ma libido et m’excite terriblement. J’ai du mal à penser à autre chose et pour cacher mon érection débutante, qui risque de s’amplifier, je prétexte une vérification à faire sur mon PC pour monter.
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