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Mam, ma sœur et moi

Chapitre 3

Valé m'initie au naturisme

Inceste
J’ai du mal à trouver le sommeil. Ma vision du sexe, plutôt classique jusque-là, a été bouleversée par cette journée. Découvrir mam se comporter comme une pornstar dans les bras d’un de ses étudiants et en être excité me trouble profondément. Pourtant, j’ai honte de m’être branlé à deux reprises en pensant à elle. Je ne sais pas non plus comment interpréter son comportement quand elle est venue me dire au revoir, j’ai l’impression qu’elle me lançait un message mais peut-être que je me trompe. On verra bien demain.
Il est tard, presque dix heures, quand je me réveille. Il n’y a aucun bruit dans la maison. Je me lève, enfile un boxer, un tee-shirt et je descends à la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. En y arrivant, je suis tout étonné de découvrir ma sœur, Valériane, de plus en petite culotte et poitrine à l’air.

— Valé, toi ici, quelle belle surprise ! Je ne savais pas que tu devais venir.
— Bonjour Aurélien. J’ai pas le droit à une bise ?
— Si, bien sûr. Excuse-moi. Viens dans mes bras.
— Marc a dû partir en mission et comme je savais que tu étais là, j’ai décidé de te faire la surprise. Maman a également été étonnée de me voir mais elle est très contente d’avoir ses deux enfants avec elle. Ça lui rappelle le bon vieux temps. Par contre, elle n’est pas là, elle est partie faire des courses.
— Ok, mais avant tout, va t’habiller ! Tu me troubles à te trimballer à moitié à poil.
— Oui monsieur le coin-coin.

Valériane remonte et j’en profite pour prendre mon petit-déjeuner. Après moins de cinq minutes, elle redescend, toujours en petite tenue.

— Oui je sais, je devais m’habiller mais j’ai besoin d’un avis masculin sur ce petit ensemble que j’ai acheté. Sympa et sexy, non ?
— Oui, pas mal, mais là je déjeune. On verra ça après.
— Pff, t’es toujours rabat-joie le matin, toi. Attends, j’en ai un autre à te montrer, tu me diras lequel tu kiffes le plus.

A peine le temps de monter et de se changer qu’elle revient.

— Et celui-là ? Tu le trouves comment ?
— Ouais, il est bien aussi, dis-je sans vraiment le regarder, occupé à tranquillement grailler.
— Dis que t’en as rien à foutre, cela sera plus rapide ! Pour la peine, tu vas avoir droit à un troisième choix, ça t’apprendra. Je reviens de suite.

J’adore ma sœur mais bon, c’est plutôt à son homme qu’elle devrait demander un avis sur ses petites tenues. Moi, je m’en fous un peu.

— Et celle-là ? Elle est très sexy et naturelle, non ?
— Oui, oui…
— T’es vraiment sûr ? J’crois pas que t’aies vraiment regardé.
— Mais si, très belle tenue, vraiment…

Je lève mes yeux en prononçant ces mots mais je m’arrête dans ma phrase, incapable de poursuivre. Valériane est nue face à moi !

— Alors, dis-moi, frérot, c’est cette tenue que tu préfères ?
— Mais Valé, t’es à poil là !
— Non, tu crois ! Ah ah, je te sens surpris… Je reconnais qu’il y a de quoi mais au moins tu t’intéresses à moi ! Et puis, autant que tu le saches : mam m’a convertie au naturisme depuis deux ans. Maintenant, je vis pratiquement toujours nue à la maison, Marc aussi. D’ailleurs, quand on vient ici, on fait de même avec maman, on est tous à poil. J’espère que t’es pas choqué.

Pendant de longues secondes, je ne dis rien mais je ne peux m’empêcher de contempler ma sœur. Mes yeux d’abord fixés sur son visage descendent lentement, s’attardent quelques instants sur sa poitrine avant de continuer jusqu’à se poser sur son pubis. Je ne suis pas étonné de découvrir qu’il est complètement rasé.

— Ça va ? Tu te rinces bien l’œil ?
— Excuse-moi. Le choc de te découvrir ainsi.
— Ah ah, je comprends, petit coquin. Mais le choc, agréable ou pas ?
— Arrête, c’est pas la question.
— Parlons-en, tu n’as pas répondu à la mienne. Ça te perturbe ou pas que nous fassions du naturisme avec mam ?
— Je sais pas quoi te dire, c’est beaucoup trop tôt. Comment veux-tu que je me doute que toi et mam vous vivez à poil. Si maman m’a dit pour elle, elle ne m’a pas parlé de toi, et surtout pas que vous en faisiez tous ensemble quand tu viens avec Marc.
— Ah ah, mais on va te convertir, toi aussi. Tu vas voir, quand tu y as goûté, impossible de revenir en arrière. D’ailleurs, puisqu’on est que tous les deux, autant commencer tout de suite, tu seras moins gêné que si mam était là. Prêt pour ta première expérience de cul-nu ?
— Arrêtez tous de me prendre pour un coincé, d’ailleurs maman m’a vu à poil hier soir…
— Alors, désape-toi… sauf si vraiment c’est niet.

Sur ce, je me lève et j’enlève mon tee-shirt avant de marquer un temps d’hésitation.

— C’est bien, mais continue, au tour de ton boxer…

Sans regarder ma sœur, j’enlève ce dernier. Mais impossible de dissimuler le trouble accumulé depuis quelques instants et je suis gêné de ne pouvoir me contrôler : mon sexe n’est plus vraiment au repos. Aussi, dans un geste instinctif, je le cache de mes deux mains.

— Tes mains, enlève-les.

Je ne réponds pas mais je n’obéis pas non plus. Valériane décide alors de prendre mes poignets pour les écarter et je ne résiste pas.

— Tu vois, c’est pas si dur…

Ma sœur me sourit puis je la vois baisser son regard. Même si j’essaye de me contrôler, je sens mon sexe grossir et je ne sais plus quoi faire.

— N’aie pas honte, c’est normal de bander la première fois.
— Valé, t’es ma sœur…
— Et alors… Moi aussi, je suis troublée, tu vois, t’es pas le seul.
— Quand même, c’est toi qui t’es mis à poil devant moi, ensuite tu me demandes de me désaper, j’accepte et comme un con je bande ! Alors, me dire que t’es troublée… Tu joues à quoi ?
— Ah rien. C’est con mais je voulais simplement que tu oses et puis, c’est vrai, j’espérais que nous attendrions tous les deux le retour de maman dans cette tenue. Elle surkifferait de nous découvrir ainsi. Elle rêve que nous fassions tous les trois du naturisme et m’en a parlé à plusieurs reprises. Je ne voulais rien d’autre. Mais te voir nu m’a troublée, beaucoup plus que je le pensais. N’en parlons plus et rhabille-toi, tant pis.
— Je ne t’ai pas dit que je ne voulais pas essayer, mais laisse-moi un peu de temps. C’est pas si simple de rester à poil devant toi et surtout mam. Mais bon, pourquoi pas.
— Super ! Tu le regretteras pas. Je te laisse un moment, j’ai un truc à faire, mais tu vas voir, c’est mam qui ne va pas en croire ses yeux à son retour.
— On verra… Mais tu crois pas qu’on devrait aussi parler tous les deux de ce que tu viens de me dire…

Valériane ne répond pas mais sans me laisser le temps de réagir me dépose un rapide baiser sur mes lèvres avant de partir. Je souris bêtement et la regarde me quitter, enfin plus précisément mes yeux se posent sur ses fesses qui sont magnifiques, bien rondes et fermes comme je les aime. Je ne sais plus ce qui m’arrive. Hier, je désirais maman et maintenant c’est ma sœur qui me donne des idées.

Après avoir débarrassé et nettoyé la table, je m’assois afin de faire le point. Je me demande surtout comment cela va se passer au retour de maman. Que va-t-elle dire quand elle me verra nu ? Et surtout que va-t-elle faire ? Va-t-elle se mettre à poil elle aussi comme le pense Valé ? Et si c’est le cas, j’espère ne pas avoir d’érection, cela serait trop la honte. Pourtant, je suis sûr que je ne pourrai pas la voir nue sans que mes hormones me travaillent et ressentir des envies. Et puis quand je repense aux paroles de Valé, je me pose des tas de questions. Pourquoi se dit-elle troublée par moi ? Que veut-elle ?

De toute façon, je vais très vite avoir des réponses. En attendant, toutes ces pensées ne me laissent pas indifférent et mon sexe devient presque raide. Il faut que je me calme. Aussi, pour me changer les idées, je vais me chercher des BD et je m’installe sur le canapé du salon, sans oublier de mettre une serviette sous mes fesses.

Je suis plongé depuis presque une heure dans mes lectures quand ma sœur descend, un grand sourire aux lèvres, en m’informant que maman arrive, elle a entendu la voiture se garer. Elle est toute excitée à l’idée que nous l’attendions dans le plus simple appareil.

— Les enfants, je suis de retour.
— Mam, nous sommes ici.

Maman entre dans le salon et ne semble pas tant surprise que ça de nous voir nus. A vrai dire, cela ne m’étonne qu’à moitié car je suis persuadé que Valériane l’a prévenue par SMS.

— Je vois que ta sœur t’a converti rapidement. Mais c’est une très bonne chose, on va enfin pouvoir vivre comme on le souhaite. D’ailleurs, je ne vais pas attendre plus longtemps pour faire comme vous.

Sur ces mots, maman fait tomber sa robe au sol et comme elle ne porte pas de sous-vêtements, elle se retrouve elle aussi nue. Si je l’ai déjà vue hier à poil quand elle baisait avec son étudiant, ce n’est pas la même chose de l’avoir face à moi. Immédiatement mon excitation monte, m’obligeant à croiser les jambes afin de cacher un début d’érection.
Valé s’en aperçoit et prend alors maman par la taille pour s’adresser à moi :

— Alors, j’espère que tu es conscient de ta chance d’avoir deux si belles femmes face à toi et dans la tenue d’Eve.
— Valé ! Mais c’est vrai que vous êtes très belles toutes les deux, dis-je en rougissant légèrement.
— Tu aurais dit le contraire, on ne te croirait pas… le changement d’une partie de ton anatomie en est la preuve !
— Voyons Valé, arrête de taquiner ton frère. Il fait déjà un bel effort, alors laisse-le, sinon il est capable de se rhabiller. Et puis toi Aurélien, plus t’essayes de dissimuler, plus c’est visible. Les jeunes, il vous en faut peu pour vous mettre très vite en forme. Pense à autre chose.
— Au moins c’est flatteur, frérot, cela prouve que tu n’es pas insensible à nos charmes.
— Allez, on te laisse chéri, on va préparer le déjeuner avec ta sœur. Elle veut que je lui montre comment je prépare mon ceviche.

Valé et maman parties dans la cuisine, j’essaye de reprendre mes esprits. Pas si simple car ma verge est encore raide et je rêve de les voir revenir, se mettre à genoux et me la sucer à tour de rôle. Sans vraiment en être conscient, je prends ma queue dans une main et je commence à me branler pendant quelques secondes avant d’arrêter, je me trouverais trop ridicule en cas de retour d’une des deux femmes de la maison. Après cette discussion, encore une fois très ambiguë, j’ai besoin de souffler un grand coup et je sors dans le jardin pour retrouver tout mon calme.

Je reviens une quinzaine de minutes plus tard et alors que je passe devant la cuisine dont la porte est entrebâillée, mes yeux captent en un éclair une scène qui me sidère. Je retourne en arrière pour vérifier que je n’ai pas fantasmé, mais non, aucune erreur… mam et Valé sont bien enlacées et s’embrassent fougueusement.

Je fais le moins de bruit possible pour ne pas attirer leur attention, même si elles m’ont l’air beaucoup trop occupées pour s’apercevoir de ma présence. Je suis abasourdi par ce que je vois, jamais je n’aurais imaginé assister au spectacle qui se déroule sous mes yeux. Non seulement, elles se galochent mais leurs mains ne restent pas inactives. Maman a l’une des siennes au niveau de l’entrejambe de ma sœur alors qu’une main de Valé disparait entre les fesses de mam.

J’hésite à pousser la porte et entrer les rejoindre mais finalement je renonce. Je préfère profiter de ma position de voyeur, d’autant que je suis déjà en tenue pour moi aussi profiter. Je n’ai pas besoin de me toucher pour déjà bander, mais impossible de ne pas me masturber tout en regardant ma mère et ma sœur se gouiner. Surtout que cela devient de plus en plus chaud. Valé s’est agenouillée sur le sol, sa tête et une main enfouies dans l’entrejambe de maman. D’où je suis, impossible d’en apercevoir plus mais je suis sûr qu’elle lui lèche le clito tout en fouillant sa chatte de ses doigts. Et cela plaît à mam, dont j’entends les gémissements.

Je ne comprends pas comment elles ne se doutent pas de ma présence. Pourtant elles continuent comme si elles étaient seules. Elles m’offrent un show tellement excitant que j’active mon poignet à toute vitesse. Et lorsque j’entends mam pousser un cri et saisir fortement la tête de Valé pour la coller à son sexe, je devine qu’elle vient de jouir et je ne me retiens plus. J’éjacule de longs jets sur le carrelage du couloir.

Je jette un dernier regard vers la cuisine, ma sœur s’est relevée et embrasse de nouveau à pleine bouche mam. Comme je ne tiens pas à être découvert, je vais rapidement chercher aux toilettes de quoi nettoyer les traces de ma masturbation solitaire, puis je retourne au salon. Là, je fais volontairement du bruit afin de signaler mon arrivée prochaine en cuisine. Je suis obligé de faire comme si je ne m’étais aperçu de rien et j’entre donc d’un pas décidé.

Mam et Valé sont toutes les deux occupées et rien ne laisserait penser qu’elles viennent de baiser. Seule une légère rougeur sur le visage de maman pourrait la trahir. En tous les cas, elle n’est pas du tout gênée de mon entrée et s’adresse à moi directement.

— Tu tombes bien, le repas est prêt, s’il te plaît, mets la table qu’on puisse déjeuner.
— Ok, mais on mange à poil ?
— Bien sûr, pourquoi veux-tu te rhabiller ? Mets simplement une serviette sous tes fesses. Avec ta sœur, on a préparé un bon ceviche pour le déjeuner, cela te va, j’espère.
— Oui, c’est parfait, je présume que la préparation vous a bien occupées.
— Oui, d’ailleurs ta présence aurait été souhaitée. N’est-ce pas Valé ?
— C’est sûr, tu nous as beaucoup manqué, vraiment beaucoup, répond ma sœur en regardant mam avec un grand sourire complice.

Nous nous installons à table. Je ne sais comment interpréter ces derniers mots. Auraient-elles souhaité ma présence pour un trio ?
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