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Mam, ma sœur et moi

Chapitre 4

Douche crapuleuse avec Valé

Inceste
Nous déjeunons tous les trois, échangeant agréablement sur des tas de sujets. Finalement, je ne suis pas trop gêné de manger à poil, même si d’avoir en face de moi les deux poitrines de mam et Valé me trouble un peu. Je dois avouer que je ne suis pas mécontent que tout le repas soit déjà sur la table et qu’aucune des deux ne doive se lever, car je ne présage pas de ma réaction à la vue de leur sexe ou de leur boule. D’ailleurs, je décide d’aller, moi-même, chercher pour nous trois les desserts dans le frigo.Alors que je suis debout, maman prend la parole :
— La seule chose que nous avons parfaitement bien réussie avec votre père, c’est vous deux mes chéris. Vous êtes magnifiques.— C’est très gentil, mam. Je ne veux pas parler pour moi mais c’est sûr que mon frère est très bien foutu, on voit qu’il fait de la muscu.— Je reconnais qu’il est bien agréable à regarder. Tu dois faire des ravages parmi les filles, dis-moi…— C’est vrai Aurélien, tu nous parles jamais de tes conquêtes.— Oui, mais c’est personnel. Mais si un jour je suis casé, vous le saurez.— Mam, je crois qu’il va falloir se faire une raison, nous n’en saurons pas plus. Monsieur ne nous dira pas s’il a une meuf ou s’il préfère les coups d’un soir ou les PCR.— Les PCR ?— Un plan cul régulier, mam, une sexfriend si tu préfères. — Les jeunes et vos abréviations. J’ai du mal à m’y faire.— Ah ah, t’es trop yeuve pour comprendre… En tous les cas, je confirme, ses meufs ont bien de la chance d’avoir un beau gosse comme lui, bien fait de partout même là où la musculation n’a pas d’utilité...
Ça y est, voilà que Valé remet ça avec ses allusions à peine dissimulées. Mais cette fois, pas question de me laisser démonter, je vais leur montrer que j’ai du répondant.
— T’es mignonne Valé, mais tu crois que je remarque pas que tu t’amuses à me chauffer sans en avoir l’air ? Sois plus directe, grande sœur, ou tais-toi !— Pas de problème… je te trouve très bien monté et comme je te rappelle que je t’ai vu bander, pourquoi veux-tu que j’ai un doute ? — Tu veux peut-être que je te dise merci !— Arrêtez de vous chamailler tous les deux et terminons le repas. Et toi Aurélien, assieds-toi, cela cachera à nos yeux de pauvres femmes l’objet de cette discussion.
Je ne réponds pas mais j’adresse à mam un sourire agacé. Après la fin du déjeuner et avoir débarrassé, nous sortons lire et bronzer sur les chaises longues du jardin, tandis que maman en profite pour faire une sieste. Au bout d’une demi-heure, Valé s’ennuie et me propose de l’accompagner pour un petit footing. Même si je préfère courir en début de matinée, j’accepte. Nous nous habillons, impossible de courir à poil, et nous partons pour le running.Rapidement de retour, nous retrouvons mam, bien réveillée.
— Ah vous voilà, je me demandais où vous étiez passés, mais je vois que vous êtes allés courir.
— Oui, cela fait du bien, même s’il faisait un peu trop chaud pour un footing et que nous avons dû l’écourter. D’ailleurs, je vais prendre ma douche, répond Valé. — Je t’accompagne, sœurette.— Vous me laissez toute seule si je comprends, merci bien les enfants !— C’est bon, mam, il ne faut pas non plus trois heures pour prendre sa douche.
Sur ce, nous la quittons. Arrivée à la salle de bain, Valé se déshabille immédiatement.
— Prems sous la douche, cela tombe bien, je pègue.— Ne mets pas trop longtemps, moi aussi j’en ai besoin.— Je te proposerais bien de la prendre ensemble, mais tu vas encore faire une réflexion comme à midi. Je t’appelle quand j’ai fini.
Après avoir enlevé, moi aussi, ma tenue de sport, je la quitte pour regagner ma chambre. Pourtant, ses derniers mots me donnent une autre idée. Ma sœur me plaît et depuis ce matin, j’ai la nette impression qu’elle me cherche. En plus, depuis que je l’ai surprise avec maman à la cuisine, je sais qu’elle n’a pas froid aux yeux et n’est pas opposée à un rapport incestueux. Je fais donc demi-tour pour revenir dans la salle-de-bain. Valé, ayant le dos tourné, ne s’aperçoit pas de mon arrivée et ce n’est que lorsque j’ouvre la porte de la cabine de douche qu’elle réagit.
— Aurélien… tu veux quoi ?— A ton avis ? Cette fois je bande pour une bonne raison. Depuis ce matin, tu me chauffes et cela ne me laisse pas indifférent...— Effectivement… Pas la peine de tourner autour du pot, t’as envie de baiser, dis-le carrément. Ça tombe bien, moi aussi. — Oui, on peut le dire comme ça… mais bon, j’suis quand même ton frère et il y a Marc. Donc, je ne sais pas...— Tu ne sais pas quoi ? Et ok, t’es mon frère, et alors ? On est plus des enfants et personne nous force à quoi que ce soit. Quant à Marc, oublie-le et viens me rejoindre.
Rassuré, je m’approche pour me glisser avec elle sous la douche mais elle coupe l’eau.
— Ben, tu fais quoi ?— Attends un peu… T’es encore en sueur et cela m’excite grave. J’veux en profiter, alors laisse-toi faire.
Valé se colle contre moi, me caresse la poitrine et mon ventre, m’embrasse de partout. Elle frotte son sexe contre le mien, puis se tourne dos contre moi. Impossible de résister, mes bras l’entourent et je prends un de ses seins dans chaque main tout en lui baisant le cou pendant qu’elle me saisit la verge et me branle. Elle commence à pousser de légers gémissements. Encore une fois elle se retourne puis, très lentement se baisse en déposant des baisers sur chaque zone de peau que touchent ses lèvres. La voilà à genoux, ma queue dressée face à son visage. Elle la prend, ouvre sa bouche et l’enfonce pour débuter une délicieuse fellation, tout en me masturbant. Mes doigts sur son crâne, je lui caresse les cheveux et c’est à mon tour de gémir. La sensation est divine surtout qu’elle me pelote maintenant les bourses, les serrant doucement.
— Oui, comme ça, continue, continue…
Mes paroles sont bien inutiles, ma sœur n’ayant pas l’intention de s’arrêter, comme je peux le constater. Tout en poursuivant sa pipe, elle glisse une main au niveau de son entrejambe pour, elle aussi, se faire du bien.
— Valé… je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps… Lève-toi que je m’occupe de toi.— Ah… j’aurais pourtant bien continué, j’adore te sucer. Mais bon, j’dis pas non à me faire bouffer le minou… j’suis déjà trempée.
Elle se relève et, le dos contre la paroi, soulève une jambe, le pied en appui, pour m’offrir en grand son sexe. A genoux, je plonge ma bouche dans sa chatte, ma langue léchant ses lèvres et la pénétrant. Valé est tellement excitée, que sa cyprine coule sur ma bouche et mon menton. Je ne sais pas si c’est le caractère tabou de notre relation, mais jamais je n’ai pris autant de plaisir à laper la mouille d’une meuf.
Je n’ai plus de retenue et j’entre deux doigts dans son vagin, les faisant coulisser, alors que ma langue et mes lèvres s’occupent de son clito. Ce ne sont plus de petits gémissements que pousse ma sœur mais de véritables couinements de plaisir. Et lorsque je touche son point G, son corps est parcouru de frissons jusqu’au moment où tous ses muscles se tendent et qu’elle émet, dans un dernier cri, un puissant jet qui m’atteint le visage.
Je lève ma tête dans sa direction pour constater que le regard de Valé se perd dans le vide. Ses jambes ne la soutiennent plus, elle se laisse tomber au sol, glissant contre la paroi et met de longues secondes à récupérer.
— Ahhhh… putain que c’était bon… Merde, j’ai encore envie… baise-moi… oui j’la veux, s’te plaît, mets-la moi !— Putain, Valé, j’suis chaud là, j’ai trop envie de te baiser… Attends, je vais t’aider à te relever.
Nous nous mettons tous les deux debout et j’en profite pour ouvrir la douche. Ma sœur, qui a ses mains en appui contre le carrelage et me tourne le dos, se cambre et me présente ses fesses. Je ne sais pas pourquoi mais de les voir face à moi me donne une idée et je leur assène une petite claque puis une deuxième, guettant la réaction de Valé.
— Dis-moi Aurélien, je ne savais pas que tu étais un adepte de la fessée. Tu fais ça avec tes meufs ? Mais continue et tu peux même taper un peu plus fort, ça m’excite.— Hummm, t’es une sacrée cochonne…
Je reprends en alternant fesse droite et fesse gauche. A chaque claque qui s’abat, Valé pousse un petit cri mais ne se dérobe pas et ses deux lobes charnus rougissent rapidement. Je décide pourtant d’arrêter.
— Tu fais quoi ? Pourquoi t’arrêtes ?— J’en peux plus là, il faut que je te prenne…— Ah dommage… mais vas-y, fais-toi plaisir et baise-moi. Te retiens pas, j’ai la chatte en feu.— Euh, tu prends bien la pilule ?— Mais oui, pas d’inquiétude.
Je positionne ma verge face à l’entrée de son sexe et d’une poussée, je pénètre ma sœur. Mes mains au niveau de ses hanches, je débute des mouvements du bassin. Son vagin est trempé et mon sexe coulisse de plus en plus vite.
— Ouiii, vas-y, ouiii… Putain, ta queue est trop bonne… Continueee… — Ahhh, ahhh… Je vais venir…— Non, pas tout de suite… J’la veux encore… Et dans mon cul !
Par un mouvement de son bassin, ma sœur m’éjecte de sa chatte. Elle s’introduit l’index au niveau de sa fente pour bien l’humecter de mouille puis le pose sur son œillet qu’elle pénètre lentement.
— Voilà, j’t’ai préparé le terrain. A toi maintenant, défonce-moi le cul, j’adore me faire baiser par là.— Putain, Valé, j’te savais pas si salope…
Je n’en reviens pas, ma sœur me demande de l’enculer. Jamais je n’aurais imaginé qu’elle aimait le sexe à ce point même si de l’avoir vue avec mam aurait dû me mettre la puce à l’oreille. Mais je ne m’en plains pas. Je pose mon gland sur sa rosette et je pousse lentement. Si son petit trou est légèrement serré, je le pénètre cependant sans grande difficulté, Valé doit avoir une certaine habitude de se faire sodomiser. J’en profite et je ne retiens pas trop mes coups de rein.
Ma sœur n’arrête pas de gémir. Une de ses mains appuyée contre la cloison, elle a l’autre sur son sexe et se masturbe pendant que je la pénètre. Je sens que je vais bientôt jouir mais elle me devance et a un nouvel orgasme. Pourtant, elle n’en a pas fini avec moi, sort mon sexe de son conduit, se met à genoux et enfonce ma verge dans sa bouche. Je n’en reviens pas, elle fait comme mam avec Jérôme et me suce après s’être fait enculer. Cela doit être génétique !
Comme elle est douée, elle n’a pas besoin de me pomper longtemps pour que j’éjacule dans sa bouche. Elle avale tout et effectue même de légers mouvements de masturbation pour bien recueillir la moindre goutte de mon sperme.
Enfin elle se relève et pose un baiser sur mes lèvres.
— Quelle baise, frérot ! Tu m’as bien fait jouir.— Toi aussi. Je te pensais pas si…— Si quoi ? Chaude ? Bonne ? Salope ?— Ah, ah, t’es conne sœurette… Mais les trois te vont très bien…
Tout en parlant, nous sortons de la douche afin de nous sécher.
— C’est normal aussi, j’ai de qui tenir.— Tu parles de qui ? De mam ?— Bien sûr de mam, de qui d’autre veux-tu que je parle ? C’est une sacrée cougar !— Ah bon. Je savais pas… Mais tu sais ça comment ?— Je l’ai surprise avec un de ses étudiants une fois et elle m’a alors avoué préférer les jeunes. Avec eux, elle dit s’éclater sans prise de tête, du sexe et pas de sentiment.— Ah… Jamais j’aurais cru ça d’elle… Je crois que je suis vraiment pas au bout de mes surprises avec vous deux…— Plains-toi ! Il y a des surprises plutôt agréables, non ? Tu viens d’en faire l’expérience…— Oui, de ce côté-là, c’était plus qu’agréable et je suis prêt à recommencer quand tu veux.— T’inquiète pas, on va remettre ça très vite. — Par contre, dis rien à mam quand même…— Pourquoi ? J’crois pas qu’elle serait choquée et peut-être même qu’elle voudrait participer…— Valé… Ça me gêne un peu de parler d’elle comme ça. On est ses enfants.— Allez arrête un peu ton cinéma. Elle m’a dit pour hier soir, que tu t’es bien amusé sur son tanga, que t’avais un petit côté exhib aussi… Alors ne me dis pas que tu n’aimerais pas !— Ah, elle t’a dit ça… Je pensais pas qu’elle s’en était aperçue.— Eh, Aurélien, tu parles de maman là, c’est pas une bouffonne ! Je crois surtout qu’elle t’a fait marcher, pour te tester… C’est comme avant le repas, on savait très bien que tu nous voyais et que tu te branlais en nous matant. Mais c’était très stimulant !— Quoi ! Vous avez baisé avec mam alors que vous saviez que j’étais là ! Mais vous êtes pires que je le pensais. Et cela fait longtemps que toi et mam…— Que moi et mam on baise ? Non, c’est récent. Peu après qu’elle m’ait initiée au naturisme, on s’est retrouvées un jour toutes les deux à la salle-de-bain, alors que je prenais ma douche. Elle est venue me rejoindre et ça a dérapé… enfin si on peut dire car je ne regrette rien, bien au contraire. Et elle aussi, je pense.— Un peu comme nous… Et pas de problème avec Marc ?— Aurélien, quand même ! J’lui ai rien dit, tu crois quoi ? Il ne saura jamais rien et ça n’empêche pas que tout se passe très bien entre nous. Avec mam, ça rien à voir et cela restera toujours secret. Enfin, un secret que nous partageons à présent avec toi… Quant à ce midi, on espérait que tu nous rejoignes pour une partie à trois mais monsieur a préféré un plaisir solitaire… Au moins, maintenant tu sais tout, je ne t’ai rien caché. Alors, te poses pas trop de questions sur nos envies, ni les miennes, ni les siennes. — Sur les tiennes, non. Mais pour mam, je ne sais quoi penser.— Et bien, ne pense plus, mam aime la baise, les jeunes et le sexe en famille. A toi d’en déduire ce que tu veux mais j’peux pas être plus claire. Capito ?
Je vais pour répondre quand nous entendons la voix de maman nous appelant depuis le rez-de-chaussée.
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