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Mam, ma sœur et moi

Chapitre 5

Mam s'occupe enfin de moi

Inceste
— Mes chéris, vous faites quoi ? Cela fait une heure que vous êtes montés.
— On arrive mam, répond Valé alors que nous descendons la rejoindre.
— Ben alors, vous en avez mis du temps pour une douche.
— Oui, je sais. On a eu une petite discussion avec Aurélien, il avait besoin de quelques explications.
— Sur ?
— Sur toi, sur moi… Tu vois ce que je veux dire.
— Oui, je pense… Au fond c’est mieux comme ça. Difficile de devoir toujours nous cacher. J’espère que tu n’es pas trop choqué Aurélien ?
— Disons qu’entre hier et aujourd’hui, je vais de surprises en surprises et pas des moindres. Ça fait beaucoup en peu de temps. Et puis mam, tu t’es bien foutu de moi !
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Je t’ai vu hier avec Jérôme. Vu la situation, on aurait pu se croire dans un porno et j’me doute que tu n’allais pas m’en parler. Par contre, tu aurais pu éviter ton explication à la con sur le côté bosseur de ton étudiant venu récupérer des docs chez son prof. Tu parles d’un élève consciencieux ! Il est venu pour te baiser et si ça se trouve, c’est même toi qui l’a invité !
— Ça suffit Aurélien, n’oublie pas que je suis ta mère ! Et de toute façon, cela ne te regarde pas.
— J’ai pas terminé. Tu t’es aussi carrément moquée de moi en faisant l’innocente avec la tache sur mon tee-shirt ou l’odeur de ton tanga. Tu savais très bien ce que c’était.
— Sur ce point, désolée, je ne voulais pas te vexer.

— Pourtant tu as réussi ! Tu me prends pour un ado qui ne pense qu’à se branler et en même temps tu baises avec un mec de mon âge. Mais c’est pas tout. Tu m’as aussi montré tes fesses, soi-disant par inadvertance, mais je me dis maintenant que tu l’as fait exprès. Et pour finir, tu te gouines avec Valé tout en sachant que je me branle en vous matant. Tu crois pas que ça fait beaucoup en un jour !
— No rage Aurélien. Et puis toi mam, c’est vrai que t’as fait fort quand même. Voyons le côté positif, au moins il n’y a plus de secret entre nous et à nous de savoir en profiter.
— Toi sœurette, tu as toujours le mot pour rire. Tu veux dire quoi, qu’on pourrait baiser tous les trois, c’est ça ?
— Oui, c’est ça… Moi je l’ai fait à midi avec mam et à l’instant sous la douche avec toi, alors…
— Quoi ! Vous avez fait l’amour tous les deux ! Je comprends maintenant pourquoi vous avez mis tant de temps à prendre votre douche. Mes deux enfants… qui ont baisé ensemble…
— Vous vous entendez parler toutes les deux, vous n’avez que ce mot « baiser » à la bouche… Si vous n’étiez pas ma mère et ma sœur, je ne vous dis pas ce que je penserais de vous.
— Ecoute frérot, arrête de faire ton Kévin, c’est relou. Hier, tu t’es branlé avec la culotte de mam et il ne me semble pas t’avoir beaucoup forcé sous la douche. Autant que je me souvienne, c’est bien toi qui est venu me rejoindre.
— Mouais… C’est le comportement de mam qui m’énerve… Elle me prend pour un gamin soumis à ses hormones. Et puis merde, j’ai plus envie de discuter. J’ai besoin d’être un peu seul, je remonte.
— C’est ça monte et tu redescendras nous voir quand tu iras mieux, répond maman, agacée.

Je finis la fin d’après-midi seul dans ma chambre et ni Valé ni mam ne viennent me voir. J’en profite pour repenser à tout ce qui s’est passé depuis un jour. Maintenant que je suis plus calme, je me dis que c’est une vraie chance et qu’il faut que j’en profite. Déjà, la douche avec Valé m’a révélé que ma sœur était une chaudasse. Trop chanceux mon beauf, il ne doit pas s’embêter avec elle. Bon, je ne vais pas me plaindre, j’en ai bien profité. Quelle partie de baise !

Et si je la crois, mam est aussi voire plus salope qu’elle. Ça ne m’étonne pas vraiment après l’avoir vue dans ses œuvres avec son étudiant. En tous les cas, toutes les deux sont demandeuses pour que leurs petits culs soient visités. Rien que de penser à tout ça, ma queue est de nouveau raide. Je fantasme sur le fait que maman monte, entre dans la chambre et me demande de la prendre. Encore une fois, j’ai envie de me branler mais je résiste, sinon je vais passer mon temps à ça.

Peu avant vingt heures, je descends rejoindre ma sœur et ma mère au salon. Elles ne me font aucune remarque sur ma petite bouderie et me proposent de passer à table pour un dîner à la bonne franquette : pizza et salade. Je me suis habitué à les voir nues et je ne fais presque plus attention, même si je ne peux m’empêcher d’admirer leurs deux fessiers quand elles me précèdent pour gagner la cuisine. Il faut dire qu’ils sont très beaux, tous les deux bien rebondis et fermes.

Je m’installe avec mam à mes côtés et Valé face à moi. Nous sommes en train de dîner quand je sens un pied qui remonte lentement le long de ma jambe avant de s’insinuer entre mes cuisses. Je regarde ma sœur car, vu sa place, ce ne peut être qu’elle. Mais aucun signe dans son comportement ne permet de le deviner et elle continue de parler comme si de rien n’était. Pourtant son pied est très habile et me caresse maintenant le sexe qui devient très vite raide.

— Eh Aurélien, on t’entend plus, ça va ? me dit Valé avec un sourire.
— Oui, oui, désolé, j’étais ailleurs.
— Tiens, tu veux pas aller chercher les yaourts ?
— Euh… maintenant ? T’es sûre que tu en veux un ?
— De toute façon, moi j’en prendrais bien un, rajoute maman.

Je ne sais pas quoi faire. Valé se moque de moi car elle sait bien que je bande. Quant à mam, si cela se trouve, elle a tout deviné et elle aussi me teste. Mais c’est fini d’être pris pour ce que je ne suis pas et je me lève, en essayant d’être le plus naturel possible. Je lis dans le regard de ma sœur son étonnement, elle ne devait pas penser que j’oserais agir ainsi. Bien sûr, mon érection est la première chose que maman remarque.

— Ben Aurélien… Tout va bien à ce que je vois !
— Quoi mam. Oui je bande ! Mais difficile de faire autrement. Ça fait plusieurs minutes que Valé me caresse sous la table avec son pied. Ose dire le contraire, dis-je en m’adressant à ma sœur.
— Ciel je suis découverte ! J’avoue ma faute, monsieur le juge.
— Valé… Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle et je te rappelle que nous ne sommes pas seuls, il y a maman.
— Oui Aurélien, je suis là. Et alors ! On a parlé cet après-midi avec Valériane pendant que tu étais dans ta chambre et elle m’a raconté votre conversation après votre douche. Donc, ne fais pas comme si tu ne savais pas que j’étais très portée sur le sexe. Tu sais que j’aime les jeunes, que j’ai des relations incestueuses avec ta sœur. Alors ce n’est pas le fait qu’elle te caresse sous la table avec son pied qui va me gêner, surtout depuis que je sais que vous avez  baisé ensemble sous la douche.
— Désolé mam, c’est plus compliqué pour moi. J’ai du mal à oublier que tu es ma mère.
— Ah ah, là, je ne peux rien y faire. Allez, passe-nous les yaourts et nous, avec Valé, on profite de ta forme !

Je préfère ignorer cette dernière remarque et je vais récupérer les desserts. En revenant, je constate que tant mam que Valé ont du mal à ne pas regarder ma verge qui est toujours en érection. J’avoue que j’en suis fier, enfin maman me regarde différemment, moi qui fantasme tant sur elle depuis hier. Nous terminons de manger sans que ma sœur ne recommence son petit jeu, qui m’a cependant bien excité. Peu après, je les laisse pour remonter dans ma chambre.
Je viens à peine de m’allonger sur mon lit que Valé ouvre la porte et entre.

— Valé ? Tu restes pas en bas avec mam ?
— Non… Tu m’as trop fait jouir sous la douche… J’ai encore envie de baiser…
— Ah… Merci pour ce compliment… Allez, bouge-toi et viens. Moi aussi, j’ai envie…

Aussitôt ma sœur arrive et s’allonge sur moi. Elle commence par me faire des bisous un peu de partout sur le visage avant de poser ses lèvres sur les miennes. Nous hésitons un peu avant d’échanger, pendant un très long instant, un baiser beaucoup plus fougueux.

— Hummm, c’était très agréable. Dis, j’ai envie de faire un p’tit jeu, t’es ok ?
— Un p’tit jeu ?
— Sexuel… Fais-moi confiance et laisse-toi faire. Je vais te bander les yeux, tu verras, c’est particulier mais très excitant, nous le faisons souvent avec Marc. T’as pas une écharpe ?
— Si mam ne les a pas enlevées, il doit en rester dans la commode. Regarde, tiroir du haut.
— Parfait.

Après avoir mis une musique d’ambiance, Valé revient, me refait un bisou sur les lèvres, m’attache l’écharpe autour des yeux puis, aussitôt embrasse mon cou. Sa bouche descend ensuite sur mon torse alors qu’une de ses mains tourne autour de mon sexe, caressant mon bas-ventre et mes cuisses. Je suis plongé dans le noir, réceptif à la moindre sensation. Soudain, je sens une légère brûlure d’un téton, elle vient de le mordiller, alors qu’en même temps, sa main s’empare de ma verge et commence à la masturber. Aussitôt je sens mon membre grossir.
Valé continue de déposer des baisers sur mon torse et mon ventre tout en me branlant. Sa bouche descend lentement, s’approchant de plus en plus de ma queue puis, elle saisit celle-ci dans sa paume pour la tenir bien droite.

— Ne me fais pas souffrir, suce-moi !
— Chut… ne parle pas, laisse-toi faire…

Sa langue me lèche maintenant le gland, tourne autour, s’arrête sur mon méat et mon frein puis ses lèvres l’enrobent et elle enfonce lentement ma verge dans sa bouche. C’est si bon que je gémis, une de mes mains lui caressant les cheveux. Après quelques allers-retours buccaux, elle se retire mais je n’ai pas le temps de me poser de question qu’elle me suce les bourses tout en continuant sa masturbation. Puis elle me reprend une seconde fois, enfonçant encore plus loin mon sexe dans sa bouche avant de le sortir pour me branler. Je gémis de plus en plus, si elle continue comme ça, je ne vais pas tenir très longtemps. La voilà maintenant qui me relèche le gland.
Et alors que je ne pense qu’à mon plaisir, Valé enlève soudainement l’écharpe qui me bande les yeux. Pendant une fraction de secondes, je ne comprends pas pourquoi elle décide d’arrêter ce jeu bien agréable, avant de découvrir, stupéfait, que c’est mam qui s’affaire sur ma verge.

— Mam…
— Chut Aurélien… ferme les yeux, tu as deux superbes femmes qui s’occupent de toi. Oublie tout le reste, me murmure Valé.

Elle se penche alors vers moi et me roule une pelle pendant que maman continue sa fellation. J’oublie très vite ma légère gêne pour me laisser aller. Depuis hier je ne pense qu’à ça, alors maintenant que le rêve est devenu réalité, autant profiter à fond. Tout en me suçant, mam me caresse les testicules et mon plaisir augmente. Bientôt je ne peux plus me retenir et j’éjacule dans sa bouche, de longs jets de sperme. Elle avale tout. Quelle pipe elle m’a fait !

Ma queue ressort de sa bouche encore recouverte d’un peu de mélange de salive et de foutre, ce que Valériane ne laisse pas passer. Elle se jette dessus afin de ne rien perdre et me suce avec délectation le gland.

— Ouaaah, c’était bon…
— J’espère… pour moi aussi. J’ai adoré te sucer et que tu décharges dans ma bouche.
— Maman, s’il te plaît…
— Aurélien, stop ! Assume un peu… Avec ta sœur, cela ne nous pose pas de problème, bien au contraire, nous sommes demandeuses. Alors tes hésitations, surtout qu’elles viennent trop tard, tu les oublies ou on arrête immédiatement.
— Non, j’ai envie de continuer… mais avec toi, c’est pas si simple. Et puis, je ne m’attendais vraiment pas à ce que tu sois là.
— Merci, on dirait presque que tu le regrettes. Nous avions tout prévu avec Valé. L’écharpe et la musique étaient pour que tu ne m’entendes pas entrer et que tu découvres qui était en train de te sucer. Une surprise, quoi. Voilà. Quant au fait qu’avec moi, ce n’est pas si simple, explique-moi en quoi baiser sa sœur serait normal, alors que sa mère cela serait immoral et interdit ?
— Non, j’dis pas ça non plus.
— Et bien dit rien ! Valé t’a montré que pour le sexe, elle était très ouverte, moi aussi !
— C’est vrai qu’avec vous deux, je dois m’attendre à tout.
— Mon pauvre petit chéri, tu as de quoi te plaindre ! Deux femmes qui s’offrent à toi sans retenue, t’as raison, il n’y a pas de quoi kiffer, me répond maman sur un ton moqueur même si je la sens un peu énervée.
— Je veux pas dire, mais mam à raison. On va pas quand même discuter pendant des heures. Moi j’ai envie de baiser, pas d’avoir la seum. Je dis ça, je dis rien.
— Ok, ok, vous avez raison. De toute façon, j’aurais un peu de mal à vous faire croire le contraire. J’ai de nouveau la trique.

Maman ne se le fait pas dire deux fois, remonte à mon niveau et pose ses lèvres sur les miennes tout en me branlant d’une main. J’ai décidé de ne plus me poser la moindre question, Valé et mam m’ont convaincu, et j’ouvre ma bouche afin de lui rouler une pelle. Ma sœur qui ne veut pas rester en reste se joint aussitôt à nous et nous échangeons tous les trois de fougueux baisers, nos mains caressant nos corps. La suite de la soirée va être très chaude !

— Il est temps que je vous baise toutes les deux.
— Oui ! J’ai la chatte en feu et je suis déjà toute mouillée. Et mam aussi, je suis sûre.
— Que oui. Même si mon petit trou espère ne pas être oublié !
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