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Mama mia

Chapitre 1

Inceste
Maman –Maman, je vais faire les courses, donne-moi de l’argent, il ne reste que deux euros cinquante dans le porte-monnaie. –Déjà debout, il n’est que huit heures.–Et oui, il m’arrive d’être matinale.–J’arrive ma chérie. Maman arrive avec un billet de cinquante euros, elle me le tend. –Tu n’as pas un billet plus petit, tu sais très bien que je déteste avoir de gros billet sur moi, ça me stress.–Non ma chérie, j’ai tiré de l’argent hier, il n’y avait que des billets de cinquante et je n’allais pas faire tous les distributeurs du coin pour trouver des billets plus petits. Et puis, tu vas avoir besoin de presque tout, il n’y a pas que le pain à acheter.–Ok, ça va faire drôle de payer le pain avec ça.–Commence par notre boucherie habituelle, je lui ai commandé un beau gigot et après tu prends deux kilos de patates et deux baguettes campagne.–Ok, à tout de suite.–Tu sors dans cette tenue ?–Oui maman chérie, dans cette tenue que j’adore.–Comme tu veux. Je sors dans ma tenue préférée, jupe courte plissée, tee-shirt assez moulant en oubliant le reste, maman sait que je n’ai pas de soutien-gorge, elle voit mes bonnets B moulés par mon tee-shirt. Mais elle ignore que j’ai aussi le cul nu, je ne mets plus de sous-vêtement depuis quelque temps, je suis majeure et je m’assume. Je dois dire que j’adore marcher dans la ville avec le cul et la chatte libres, je sens l’air me caresser les fesses, le sexe et mon pubis lisse. Ça me fait mouiller, j’adore, et quand je rentre, je vais dans ma chambre pour me déshabiller et me masturber, je jouis comme une folle.  Je vais au marché Victor Hugo, je passe chez le boucher, pour le gigot, c’est Margot qui me sert, une amie de longue date, nous faisons l’amour de temps en temps ensemble, c’est juste pour le sexe, pas d’affect. J’adore ses fesses hautes et fermes, ses seins bien ronds et fermes et surtout son petit clitoris bien caché entre ses lèvres. Chez le primeur, je prends des pommes de terre, mais surtout, je me penche sur les légumes pour faire entrevoir mes fesses aux clients derrière moi. Et chez le boulanger, il n’y a pas Anne le samedi, c’est la fille qui complète le trio de gonzesses affamées de sexe que nous formons avec Margot. Je rentre à la maison, quand j’arrive, maman n’est plus là, elle ne m’a pas dit qu’elle devait sortir, je ne sais pas comment faire un gigot et nous avons des invités à midi. Je vais déposer les courses dans la cuisine, il y a un mot de maman. Lucy chérie,  Epluche les patates et émince les, enduis le plat que j’ai sorti avec du beurre, y compris sur les côtés, préchauffe le four à cent quatre-vingts degrés et attend-moi. 
 C’est bien beau tout ça, mais je sais ce que veut dire éplucher, mais pas émincer. Je regarde sur mon smartphone qui m’explique qu’il faut les couper en fines rondelles. Je me mets au boulot, en écoutant la radio, ils parlent de la disparition de Pierre Mauroy survenue hier. J’ai juste fini d’émincer les patates quand maman arrive, elle a enfilé une jupe plissée très courte et un corsage crème, on devine les petites aréoles de ses seins libres dessous. C’est la première fois que je la vois habillée si sexy, j’ai un pincement au cœur. Elle pose un gâteau sur la table et une bourriche de six douzaines d’huitres qu’il va falloir malheureusement ouvrir. Elle s’assoie à côté de moi, je vois en une fraction de seconde qu’elle n’a pas de slip, j’ai entraperçu sa vulve rose et son pubis lisse et blanc. Maman se promène comme moi, le cul nu dans la ville avec une jupe plissée qui peut s’envoler à tout moment, en plus, vu sa longueur, je suis sûre qu’elle montre ses fesses dès qu’elle se penche, voire même en marchant.  Du coup, je la regarde autrement, c’est en réalité une femme sexy super bien foutue de trente-huit ans, très jolie, cheveux blonds ondulés tombant jusqu’à mi-dos, seins hauts et fermes, bonnet B comme moi, superbes fesses qui tendent sa jupe, jambes d’enfer. Je ne sais pas pourquoi papa est parti il y a douze ans, je ne l’ai plus revu depuis, j’avais à peine huit ans. Je lui en veux à mort de nous avoir abandonnées, c’est peut-être pour ça que je ne regarde même pas les mecs. Seules les belles filles comme Margot et Anne m’intéressent, j’en ai eu déjà pas mal qui m’ont faite jouir comme une folle, l’une d’elle m’a même dépucelé avec un gode, et je viens de réaliser que maman est une très belle fille. Je ne lui connais aucun mec, seules quelques copines viennent passer une après-midi à discuter dans le salon, mais, à ma connaissance, jamais de sexe, comment fait-elle ? –A quoi tu penses ma chérie, je te sens songeuse.–A rien de particulier maman, je te regarde et je réalise que tu es une très belle femme qui doit faire tourner les têtes des hommes.–Et des femmes ma chérie, je plais aussi aux femmes, je dois dire que vu ce qui s’est passé avec ton père, je préfère.–Tu préfère les femmes aux hommes ?–Oui, et beaucoup d’entre elles se retournent sur moi.–Ce n’est pas étonnant, tu es tellement belle.–Merci ma chérie, mais il faut préparer le repas, enduit le plat de beurre, au fond et sur les côtés, je vais disposer les rondelles de patates pour le gigot « à la mamy ». –A la mamy ?–Oui, c’est ta grand-mère qui le faisait comme ça, elle n’aimait pas l’ail et l’oignon, pour elle, le gigot et les patates se suffisent à eux même.–Tu fais comment ?–Ce n’est pas une recette minceur, une couche de rondelles de patates, un peu de sel de poivre et quatre lamelles de beurre, un aller-retour de noix-muscade, on recommence jusqu’à épuisement des rondelles. On finit par des lamelles de beurre. –Tu mets le gigot dessus et au four.–Non, d’abord une vingtaine de minutes de cuisson des patates seules à cent quatre-vingts, elles sont plus longues à cuire, en plus, si tu mets le gigot tout de suite, les rondelle dessous cuisent moins bien et restent dures. Après, pour ce gigot de deux kilos, tu mets le four à deux cent quarante, quand il est à température, tu mets le gigot sur les patates, deux lamelles de beurre au dessus, sel, poivre et tu enfourne, vingt minutes à deux cent quarante, tu retournes le gigot et baisse à cent quatre-vingts pour vingt autres minutes de cuisson. Tu coupes le four, l’entrouvre et tu laisses dix minutes l’ensemble se reposer.–Ça sort d’où cette recette ?–Comme je te l’ai dit, de ta grand-mère qui a adapté une recette de son Auvergne natale. Nous préparons tout, j’enfourne les patates, nous avons une demi-heure pour nous, je viens me rassoir pour récupérer les épluchures, je la regarde intensément, elle est assise avec ses jambes un peu ouvertes, je vois très bien son sexe qui brille, ses seins tendent son corsage en formant deux chapiteaux, je sens que je mouille, elle m’excite, c’est nouveau ça !!! –Un problème ma chérie.–Oui, un gros.–Dis-moi, je peux peut être t’aider.–Oui, tu peux, mais je ne sais pas si ça va te plaire.–A ce point ?–Je ne sais pas si je peux te le dire, ça risque de casser notre relation pour toujours.–Vas-y chérie, rien ne pourra casser notre relation, tu es ma fille que j’adore, je suis prête à tout accepter d’elle, vas-y chérie, dis-moi.–Tu m’excite maman, j’ai envie de toi, regarde. Je soulève ma jupe pour lui montrer mon sexe ouvert que je sens ruisselant de cyprine.  Elle me regarde apparemment étonnée. –Que t’arrive-t-il ma chérie, tu aimes les femmes ?–Oui, et que les femmes, tu as bien remarqué qu’il n’y a que des copines qui viennent ici. Et de te voir habillée comme ça, d’avoir vu ton sexe nu sous ta jupe m’a excité comme jamais je n’aurais cru, mais c’est un fait, j’ai envie de toi.–Tu as envie d’une femme qui t’a montré son sexe pendant un bon moment, ce n’est pas parce que c’est moi.–Je ne sais pas, mais j’ai envie de poser mes lèvres sur ton sexe et de te faire jouir.–Tu sais chérie, moi aussi je vois ton sexe depuis un bon moment, et j’ai bien vu qu’il brillait de plus en plus, tu n’as rien remarqué avec le mien ?–Oui, il brille aussi, il est bien humide, mais ça vient du fait que tu te promènes ²en ville sans culotte, moi aussi ça m’excite.–Oui, mais il n’y a pas que ça. Elle me regarde, esquisse un sourire, soulève sa jupe pour me montrer son sexe brillant comme une étoile. –Toi aussi tu m’excite ma chérie, c’est la première fois que je vois ton sexe depuis que tu es adolescente, j’ai tout de suite eu envie de l’embrasser et de te faire jouir, alors, puisqu’on en a envie toutes les deux, autant le faire, viens avec moi. Elle se lève et va vers sa chambre, elle enlève ses fringues, j’en fais autant. Nous arrivons nues dans sa chambre, elle se retourne, je vois ses seins encore bien hauts et fermes, son pubis lisse d’où émerge un clitoris déjà un peu gonflé. Elle me prend dans ses bras, me serre contre elle, je frissonne en sentant sa peau se coller à la mienne, elle m’embrasse longuement. Nos langues font connaissance, elles se testent, se câline, s’aiment. Elle m’allonge sur son lit, ouvre un peu mes jambes et se couche tête bêche sur moi.  –Vas-y chérie, aime moi, je vais t’aimer. Je pose ma bouche sur ce merveilleux sexe ruisselant de cyprine, c’est celui de ma mère, celle qui m’a mise au monde, la personne que j’aime le plus au monde en ce moment. Celle que je vénère pour l’amour qu’elle m’a donné et l’abnégation avec laquelle elle m’a élevé, me sacrifiant toute sa vie. Je me jette dessus, je veux le boire, le lécher, le sucer, l’aspirer, je veux me goinfrer de cette chair molle et humide. Sentir ses grandes lèvres sous ma langue m’électrise, je veux qu’elle voie ma cyprine couler pour lui prouver mon amour. Mais maman me fait la même chose, et elle a de l’expérience, mon corps commence à réagir, je sens mon ventre se nouer, j’ai envie de jouir, mais je veux surtout faire jouir ma maman adorée. Je lui, titille le périnée, elle réagit encore différemment, j’insiste, mais je sens que je vais jouir et que je serais incapable de poursuivre ce que je lui fais. Je me concentre sur son clitoris, je la sens se tendre et exprimer son plaisir en se tendant, je sens son corps vibrer sur le mien, elle jouit sous ma langue !! –Oh oui, oui, oh ma chérie, je jouis, je joui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je reste sur son sexe tant que je la sens jouir, son corps se détend doucement mais sa langue continue son œuvre, je finis par jouir à mon tour. Lentement nous revenons à nous, je la fais pivoter pour qu’elle se colle contre moi, je veux sentir son corps contre le mien. Je la plaque contre mon corps, je suis bien contre ma maman, peau à peau. Nous échangeons un long baiser, je ne me rassasie pas de sa bouche et de sa langue, nous nous regardons dans les yeux.  –Je crois que j’attendais ça depuis longtemps, tu es tellement belle.–Moi, je viens de découvrir que tu es aussi une femme, pas exclusivement ma mère. Mais il faut préparer le repas, et mettre la table, nous nous levons pour tout préparer. Je suis un peu étonnée, ce n’est pas un jour particulier. –C’est pourquoi ce repas ?–Fêter ma promotion avec les collègues, je viens d’être nommée responsable des achats de la société, avec un quasi doublement de mon salaire, je fête ça avec les trois filles de mon service, nous serons six.–Oui, mais trois plus toi, plus moi, ça fait cinq.–Il y aura aussi Manon.–Ma tata chérie sera là ?–Oui, je ne peux pas fêter ça sans ma sœur, c’est elle qui m’a faite entrer dans cette boite.–Bien sûr, c’est celle de son ex.–Qui ne m’a pas viré quand ils ont divorcé.–Surtout qu’ils ne sont restés mariés que trois ans.–Ça a été rapide oui.–Il faut dire qu’il a toujours eu un petit faible pour toi, pas vrai ?–Si tu le dis. Nous finissons de tout préparer, nous mettons une demi-heure à ouvrir les huitres, nous venons juste de terminer quand les filles arrivent vers midi moins le quart. Sur la demande de maman, je vais mettre un corsage, j’en choisi un ample mais assez transparent, comme celui de maman, on devine mes seins libres dessous. Je redescends au salon pour voir entrer trois superbes filles, jeunes, moins de vingt-cinq ans, en mini jupes plissées et corsages pas très sages ne dissimulant pas grand-chose des magnifiques seins libres qu’ils couvrent. L’une d’elle est noire chocolat, surement un mélange. Maman les fait entrer dans le salon et me les présente. –Chérie, je te présente Malya, ma future secrétaire particulière, son père est normand, sa mère malgache, tu vois que ça fait un superbe mélange. Aurore et Peggy mes assistantes, toutes aussi superbes. Tu vois que j’ai une super équipe, elles sont belles, dynamiques et fidèles, on va faire du bon boulot ensemble. Je ne comprends pas bien ce discours, je pense qu’il est plutôt adressé aux filles, elles semblent d’ailleurs le comprendre comme ça, elles viennent embrasser maman. Malya la regarde. –Ne vous en faites pas, nous sommes avec vous à fond.–Merci les filles, mais dorénavant, tout le monde se tutoie et s’appelle par son prénom, je ne veux pas de gêne entre nous, ok les filles.–Ok patronne !!!–Les filles, je vous présente Lucy, ma fille adorée. Elles viennent m’embrasser aussi, je sens que Malya insiste un peu quand elle m’embrasse, elle passe sa main derrière mon dos pour me plaquer contre elle et poser ses lèvres au raz des miennes. Je sens ses seins libres s’écraser contre les miens, j’ai un frisson qu’elle a dû ressentir elle aussi. Elle se sépare de moi en souriant. Nous nous installons dans le salon au moment où arrive Manon, je me jette dans ses bras, j’adore ma tante, c’est une fille qui sait mettre de l’ambiance dans une soirée, elle est pétillante, drôle, toujours au second degré, c’est la dynamite de la famille. Elle a huit ans de moins que maman, tout juste dix de plus que moi, nous sommes nées le même jour. Je réalise tout à coup que j’ai dû montrer mes fesses aux autres en sautant au cou de ma tante, elles me regardent autrement quand je reviens au salon, surtout Malya qui ne me quitte pas des yeux. Mais je m’en fous, je suis comme je suis, moi aussi je la regarde autrement, elle est très jolie, bien foutue et en plus, elle a l’air très intéressée par les filles, à moi d’en profiter.
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