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Mama mia

Chapitre 2

Inceste
Manon Je m’assoie en face d’elle, mes cuisses sont bien serrées, je la regarde je vois son regard sur mes jambes. Elle écarte juste les cuisses pour me montrer son entre-jambe, il y a un petit triangle de tissu blanc qui ressort bien sur sa peau foncée et ne me parait pas très net, un peu humide. Elle me sourit, je lui souris. J’écarte juste assez mes cuisses pour qu’il n’y ait qu’elle qui puisse voir jusqu’en haut, elle doit entrevoir mon sexe libre et humide. Nous buvons l’apéro, l’ambiance est à la rigolade, toutes les nanas autour de la table se laissent aller, nous sommes entre nous. Je regarde de temps en temps les jambes de Malya, je vois qu’elle me regarde souvent, j’écarte un peu plus les jambes, elle voit que mon sexe est vraiment humide. Nous passons à table, elle est ovale, nous sommes deux par côté et une à chaque bout, Malya se met à côté de moi, Aurore et Peggy en face de nous, Manon et maman à chaque bout. Les huitres sont englouties en moins de deux, tout le monde adore ça, le gigot est délicieux, et le gâteau conclu le repas.  Mais la main gauche de Malya s’est posée plusieurs fois sur ma cuisse, pour faire un aller-retour de mon genou au haut de ma cuisse, suffisant pour déclencher un frisson de plaisir dans mon corps. Je lui ai rendu plusieurs fois la politesse, ça s’est malheureusement arrêté là. Nous passons au salon pour le café, Malya demande où sont les toilettes, elle y va avec son sac. Quand elle revient, elle s’assoie en face de moi et écarte juste ce qu’il faut ses cuisses pour que je constate que le morceau de tissu a disparu. Je vois un sexe bien brillant avec des lèvres discrètes, je fais en sorte qu’elle puisse elle aussi constater que moi aussi je mouille encore plus. Vers quinze heures, les filles décident de repartir, elles avaient prévu une balade avec d’autres copines. En sortant, Malya me glisse sa carte de visite, elle me glisse à l’oreille. –J’attends que tu m’appelle, j’ai envie de toi tu ne peux pas savoir à quel point.–Moi aussi j’ai envie de promener mes mains sur tes magnifiques courbes, je t’appelle ce soir ou demain matin sans faute.–Ok, à demain. Elles s’en vont, de toute manière, je n’aurais rien pu faire avec Malya au milieu de tout le monde, je remarque qu’elle n’habite pas très loin de l’appartement. Nous passons l’après-midi à tout ranger, Manon reste avec nous pour finir les restes, comme toujours, maman avait prévu deux fois trop. Vers vingt et une heures, je vais dans ma chambre et j’appelle Malya. Nous décidons de nous voir demain en début d’après-midi chez elle, nous savons exactement ce qui va se passer, j’ai hâte d’y être. Je suis nue sur mon lit, je somnole en me caressant le pubis la tête pleine des images de Malya que j’imagine nue quand j’entends des bruits bizarres, comme des gémissements. Je me lève et vais vers le salon, en passant devant la chambre de maman, j’entends de nouveau ces même bruits. Je colle mon oreille à la porte, je n’en crois pas mes oreilles, elles sont toutes les deux dans la chambre, je reconnais parfaitement la voix de maman qui gémi de plaisir, ma parole, elles font l’amour. Je ne peux pas m’empêcher d’ouvrir la porte, Manon est sur maman, tête bêche, elles se donnent mutuellement du plaisir. Manon lève la tête, me voie et ne semble pas contrariée. –Nous avons de la visite ma chérie, une superbe jeune fille nue.  Je réalise d’un seul coup que je ne me suis pas habillée en sortant de ma chambre, je vois la tête de maman sortir entre les cuisses de ma tante, elle me regarde, sourit. –Tu es magnifique ma fille, comment se fait-il que tu sois là ?–J’ai entendu des gémissements, je suis venu voir ce qui se passait.–Tu es choquée par ce que tu découvres ?–Non, juste étonnée.–Nous aussi, c’est la première fois, mais nous assumons. Manon se lève et vient vers moi, elle m’enlace, ses mains glissent sur mes fesses, je sens ma fontaine s’ouvrir, je suis dans un état second, après maman, ma tante me caresse les fesses, comment est-ce possible. Je pose mes mains sur les siennes, elles sont fermes et douces, mes mains glissent dessus, elles remontent sur son dos, je la plaque contre moi. Nos seins s’écrasent les uns contre les autres, un énorme frisson parcoure nos deux corps. –Tu as envie de plus ?
–Oui. C’est à peine audible, je suis ailleurs, dans un nuage. Elle me prend la main et m’allonge sur le lit de maman. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir ce qui ce passe, juste le ressentir, je suis au milieu de ma mère adorée et de ma tante que j’adore aussi, à elles de s’occuper de moi. Deux mains se promènent sur mon corps, deux autres caressent mes seins, des doigts pincent mes mamelons, mon ventre commence à onduler. Une bouche se pose sur mes seins tandis qu’une autre atterri sur mon sexe. Des lèvres aspirent mon mamelon gauche, une langue se glisse entre mes lèvres intimes à la recherche de ma cyprine qu’elle lape consciencieusement. Je sens mon corps réagir à ces stimuli, je me laisse aller, je pressens qu’il va se passer quelque chose d’extraordinaire pour moi.  La bouche quitte mon sein pour venir se poser sur ma bouche, une langue se glisse entre mes lèvres et vient titiller la mienne. Elles se testent, se câlinent, se caressent et finissent par s’aimer. L’autre langue se focalise sur mon clitoris, je me donne totalement, je veux ressentir le grand frisson, celui qui fait exploser mon corps en une multitude de particules de plaisir. Je passe ma main derrière la tête qui m’embrasse, l’autre langue remonte sur mon clitoris pour le titiller, je ne peux retenir une explosion de feux d’artifice qui pulvérise mon corps. Je ne suis plus qu’une onde planant dans le ciel du bonheur, qu’une poussière au fin fond de l’univers de l’amour, je jouis comme jamais je n’ai joui de ma vie. Mon corps met très longtemps à revenir sur terre, les langues me maintiennent en apesanteur un long moment.  Quand je sens de nouveau le lit sous mes fesses, les bouches me quittent pour aussitôt revenir à la charge. Une bouche sentant ma cyprine se pose sur ma bouche, l’autre se colle à mon sexe pour le lécher. Mon ventre recommence à onduler, il devient indépendant, je ne maitrise plus tout à fait mes gestes. La bouche sur la mienne me quitte, je suis un peu déboussolée quand je sens le lit bouger autour de mes épaules et l’effluve d’un sexe de femme au-dessus de mon nez.  Il se pose délicatement sur ma bouche, j’agrippe les cuisses qui l’entourent et le plaque sur ma bouche, je ne sais à qui il appartient, mais j’ai envie de le bouffer. Il ruissèle de cyprine, je m’en abreuve en l’aspirant, en le lapant. Je sens ce corps sur ma bouche commencer à vibrer, je veux savoir qui c’est, je veux le faire jouir pour entendre sa voix et déterminer qui est sur ma bouche. Je m’applique sur ce sexe forcément aimé quand la bouche remonte sur mon sexe et vient aspirer mon clitoris. Je ne peux lutter et explose une nouvelle fois dans un orgasme surnaturel qui me fait tout oublier. Mais ce qui augmente encore son intensité c’est de sentir le sexe que je lèche m’envoyer une dose incroyable de cyprine sur le visage, elle jouit sur moi mais en silence, j’ai fait jouir maman ou tata, je ne sais pas encore, c’est inimaginable mais vrai. Je reviens lentement à moi, je sens des mains parcourir mon corps, elles le caressent tendrement. Je reste un moment comme ça, je veux profiter au maximum de cet instant qui ne se reproduira plus, j’en ai la conviction. Je suis merveilleusement bien, mon corps m’envois de ondes de plaisir encore jamais ressenties, je veux y goûter le plus longtemps possible. Au bout d’un certain temps, toujours caressée par quatre mains, j’ouvre les yeux pour voir maman et Manon au-dessus de moi souriantes. –Ça va ma chérie ?–Je ne peux te dire à quel point, jamais je n’ai joui comme ça.–C’est le contexte, tu as vécu un moment exceptionnel qui ne pourra jamais se reproduire.–Pourquoi ?–Parce que ta tante quitte la France demain pour aller travailler au Etats Unis, elle ne reviendra pratiquement jamais ici, elle va créer une succursale de sa boite à Burbank, un quartier de Los Angeles.–Super, on aura une adresse en Californie.–Ce n’est pas si simple, mais bien sûr elle nous attend dès que nous pourrons y aller, sa boite lui a loué une grande maison à la californienne, immense avec une piscine.–Et tu feras la communication comme à Montpellier ?–Exactement, c’est mon métier, et je parle couramment anglais, il va falloir que je me mette très vite à l’américain, c’est de plus en plus différent dans certains domaines.–Ok, vous connaissez le goût de ma cyprine, mais moi, je ne connais qu’un seul des deux, et en plus, je ne sais pas lequel est-ce. Allongez-vous sur le dos sur le lit, je veux vous goûter. Elles s’allongent en souriant, elles se tiennent par la main et se regardent. –Tu crois qu’elle va reconnaitre laquelle de nous deux lui a fait bouffer son minou ?–On pari.–Ok, moi je crois que oui, à elle de jouer. Je viens à quatre pattes sur le sexe de Manon, il ruissèle, je le lèche, l’aspire, le titille avec ma langue, je me délecte de sa cyprine qui coule à flot. Je vais sur celui de maman, je lui fais la même chose, mais honnêtement, je ne sais pas dire lequel des deux j’ai bouffé tout à l’heure, il me vient alors une idée, je vais les faire jouir, et si une seule m’asperge de cyprine, ce sera celle-là. Je m’applique sur le sexe de Manon, je la vois se tortiller dans tous les sens sur le lit, d’autant que maman m’aide un peu. Elle jouit en se cabrant et se tendant comme un arc et m’envoie un jet sur la figure. Je suis sur le point de crier victoire quand je réalise que maman peut aussi faire la même chose quand elle jouit, même si je ne l’ai pas senti ce matin, nous n’étions pas aussi détendues. Je m’occupe du sexe de maman avec l’aide de Manon qui s’occupe du haut. Quand maman jouit, rien ne vient m’asperger le nez, je me redresse en souriant. –C’est Manon qui m’a fait bouffer sa moule, j’en suis sûre.–Ok, tu as gagné et moi aussi, mais c’était facile en nous faisant jouir, c’est une femme fontaine, pas moi.–Oui, c’est ça qui m’a fait trouver, mais je l’ai faite jouir deux fois, je veux te faire jouir encore, laisse toi faire.  Je viens à quatre pattes sur son corps, je m’allonge dessus, nos peaux sont humide de sueur, elles glissent l’une sur l’autre. Je frotte mon ventre, mes seins, mon pubis à son ventre, ses seins, son pubis. Je sens qu’elle commence à réagir à cette caresse totale. Ses mains se posent sur mes fesses pour les caresser, elles remontent sur mon dos pour redescendre. Je pivote sur moi-même, je me retrouve entre ses jambes au niveau de son sexe, et je lui présente mon sexe à bouffer, j’ai encore envie de jouir avec la langue de maman. Je plonge ma bouche dans cet univers de cyprine, je me délecte au milieu de ses lèvres humides. Je sens qu’elle me fait la même chose, en plus, des mains glissent sur mes fesses et mon dos, c’est Manon qui s’en mêle.  Je sens le corps de maman se tendre, mais le mien fait la même chose, j’espère qu’on va jouir en même temps, je surveille son état d’excitation, j’essaye de calquer le mien, mais maman prend de l’avance, je suppose que le fait de se faire brouter le minou par sa fille doit augmenter son excitation. C’est la même chose pour moi, mais ça doit être plus puissant pour elle. Elle finit par jouir cinq secondes avant moi, je sens nos deux corps se crisper l’un sur l’autre, ses mains sur mon dos me plaquer sur elle, nos bouches sont entièrement dans nos sexes, nous ne pouvons pas nous exprimer. Lentement, nos corps se détendent, je pivote pour m’allonger à côté de maman, elle bascule sur moi pour m’embrasser. Nos langues s’aiment un nouvelle fois, je sens que ce n’est pas la dernière fois que ça va arriver, je fais promener mes mains sur son corps et surtout ses seins si doux et ses magnifiques fesses. Nous nous levons, Manon nous enlace, elle nous serre contre elle. –Mes chéries, je viens de passer un moment inoubliable, mais il faut que je rentre à l’hôtel, on vient me chercher demain à huit heures. –Ok, dommage, mais bonne chance dans ta nouvelle vie.  Elle s’habille, nous l’accompagnons dans le hall d’entrée, nous l’enlaçons une dernière fois, nous la couvrons de baisers, je suis entre la tristesse de la voir partir pour très longtemps et la joie de savoir qu’elle va vers une nouvelle aventure. Elle ouvre la porte, nous sourit, sort, se retourne une dernière fois et nous quitte. Maman est un peu triste, elle ne va pas voir sa sœur de sitôt, mais je suis là, elle m’enlace, m’embrasse et m’amène dans sa chambre. Elle est devant moi, je vois ses magnifiques fesses danser sous mes yeux, je ne peux m’empêcher de poser mes mains dessus pour les caresser. –Patience ma chérie, on a toute la vie devant nous.–Elle sont tellement belles.–Viens ma chérie, on va dormir, tu as bien compris j’espère, j’ai dit dormir, d’accord.–Oui maman chérie, oui, dans tes bras comme quand j’étais petite.–Allez, au lit. Nous nous allongeons, elle me prend dans ses bras, je me blotti contre ce corps adoré, je suis bien. –Bonne nuit mon amour.–Bonne nuit maman chérie. J’ai ma tête contre son sein, je retourne en enfance, je ne mets que quelques minutes à m’endormir dans ces bras qui me serrent tendrement. Je me réveille avant maman, je vois qu’elle a ses jambes légèrement ouvertes, je me glisse entre elles pour poser ma bouche sur son clitoris que je lèche lentement, comme un chat lape son lait. Je sens son corps réagir, son bassin commence à onduler, ses muscles se crispent, son corps se tend, elle s’arque boute pour crier son plaisir. –Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Quand elle revient à elle, elle m’agrippe les jambes pour me faire pivoter, se jeter sur mon sexe et me rendre la politesse. Je jouis rapidement, comme elle, il faut croire que nos corps n’attendaient que ça. Une fois remise, je me lève et prends la main de maman pour l’aider à se lever. –C’est un merveilleux réveil mon amour, il y a longtemps que ça ne m’était pas arrivé.–Il y en aura d’autre, je te le promets. Nous allons prendre une douche ensemble, c’est une première, j’en profite pour lui bouffer la moule et la faire jouir encore une fois. Quand elle est remise de ses émotions, elle me rend la politesse, je jouis encore une fois très fort. Nous nous essuyons et allons faire le petit déjeuner. –Ecoute ma chérie, je ne veux pas que ça devienne une habitude, j’adore ce que nous avons fait, ce n’est pas tout à fait « normal », mais je m’en fous, toutefois, il faut que tu vives ta vie, et moi la mienne.–Je sais maman, moi aussi je ne veux pas que ça devienne une habitude, mais j’ai envie de ton corps, j’ai envie de le faire chanter comme j’ai envie que tu fasses chanter le mien.–Ok, mais de temps en temps, et toujours chambre à part, d’accord ?–Très bien maman, chacune dans sa chambre, avec quelques exception de temps en temps.–Avec quelques exceptions de temps en temps.
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