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Mama mia

Chapitre 4

Lesbienne
L’amour Je saute au cou de maman, en définitive, je suis très heureuse qu’elle soit au courant, comme ça la situation est clarifiée une fois pour toute. Je la couvre de baisers, elle semble heureuse de mon bonheur, je la libère. –Je vais passer la nuit chez elle, j’ai rendez-vous avec elle tout à l’heure, ça ne te dérange pas maman ?–A condition que ça n’ait aucune conséquence sur tes études, je ne supporterais pas. Je préfèrerais qu’elle vienne ici, au moins jusqu’à la fin de tes études, après, c’est votre vie.–J’ai encore un peu plus d’un an à faire, je ne suis qu’en fin de quatrième année.–Pas grave, téléphone lui pour qu’elle prenne des affaires et vienne ici, je serais plus à l’aise.–Mais ça va te gêner pour recevoir tes copines.–Je m’en fous, c’est toi qui comptes, si je dois m’en priver pour que tu sois heureuse et moi tranquille, je m’en prive. En plus, c’est ce qui s’est passé jusqu’à maintenant, pas de problème.–Ok, je téléphone à Malya. Je vais dans ma chambre juste au moment où le téléphone sonne, c’est Malya. –Chérie, tu peux venir plus tôt, je me suis débrouillée pour passer la première.–En fait, c’est toi qui viens chez moi, maman m’a dit ce que tu lui avais dit, elle préfère que tu t’installes chez nous jusqu’à la fin de mes études, l’année prochaine.–Mais ça veut dire que tu veux vivre avec moi, que tu m’aimes.–Ça en a tout l’air, prends des affaires et viens vite s’il te plait, tu me manque.–Mais on ne pourra pas faire comme si on était seules toutes les deux, ça va être frustrant.–Oui, mais comme ça, je pourrais travailler plus tranquillement, tu en est bien consciente ?–Oui ma chérie, comme ça, je te laisserais travailler.–Arrive, j’ai envie de te serrer dans mes bras.–J’arrive ma chérie, une grosse demi-heure, à tout de suite.–A tout de suite. 
Je retourne au salon, maman me regarde. –Elle est d’accord ?–Oui, elle arrive dans une demi-heure, je dois t’avouer que je suis un peu fébrile.–Pourquoi ?–Parce que c’est moins évident si tu es là, elle sera moins libre de ses gestes vis-à-vis de moi.–Chérie, vous pourrez faire tout ce que vous voulez devant moi, sauf l’amour, je ne voudrais pas vous voir jouir sur le divan.–Ok maman, ok, nous serons sages ici.–De toute manière, je vais mettre les choses au point dès qu’elle arrive, comme ça, tout le monde saura jusqu’où aller.–C’est aussi bien, tu as raison. Je retourne à ma chambre pour l’attendre, elle arrive juste à l’heure, je lui saute dessus quand elle entre pour l’embrasser passionnément, elle me rend mon baiser avec tout son amour. Maman vient vers nous, elle attend que nous nous séparions. –Allez les filles, je vous donne les règles à suivre si on veut que tout se passe bien. Nous allons déposer ses affaires sur mon lit et rejoignons maman dans le salon. –Les filles je ne serais pas exigeante, seulement je voudrais que nous nous comportions comme des gens civilisés. Pas de broute minou dans le salon et pas de mains entre les cuisses, vous pouvez vous embrasser, vous caresser sans aller trop loin, vous enlacer, mais j’aimerais que ça reste correct. Je ne veux pas intervenir dans votre relation, vous vous aimez, tant mieux, je ne veux que votre bonheur. Mais je veux aussi que Lucy réussisse ses études, et je pense que ce n’est pas en vivant avec son amante hors d’ici qu’elle pourra se concentrer dessus.  Malya passe son bras sur mes épaules et me plaque contre elle, elle regarde maman. –Je suis d’accord avec toi, je pense que chez moi, nous aurions passé notre temps à faire l’amour, je suis trop dingue de ta fille, mais je te promets que je ferais tout pour l’aider.–Merci Malya, je n’en attendais pas moins de toi. Je lui prends la tête pour la tourner vers moi et l’embrasser. Nous échangeons un baiser fougueux, je vois maman nous regarder avec un sourire tendre. La fin d’après-midi se passe bien, nous prenons nos marques, nous nous embrassons de temps en temps, nous nous enlaçons, mais rien de provocateur. De temps en temps, l’enlace maman par derrière pour poser un petit bisou sur son cou, elle apprécie. Le soir, après une bise à maman, nous allons dans ma chambre, Malya se déshabille en une seconde et se jette sur moi pour me déshabiller, me pousse sur le lit et m’immobilise pour me couvrir de baiser sur tout le corps, je me laisse faire, j’adore sa bouche sur ma peau. Evidemment sa bouche finit sur mon sexe, je la fais pivoter pour m’occuper du sien. Nos deux corps finissent par exploser dans un merveilleux orgasme, nous restons longtemps enlacées, tête bêche à laper la cyprine qui sort de nos sexe, c’est doux, tendre, apaisant. Mon cœur fond, maintenant je sais, je sais que j’aime cette sublime fille, qu’elle m’est devenue indispensable en une journée, jamais je n’aurais cru être aussi dépendante d’une personne pour mon équilibre personnel. J’ai besoin d’elle, mon cœur a besoin d’elle, ma peau a besoin de sa peau, mon corps a besoin de son corps. Elle pivote pour s’allonger le long de mon corps, elle se colle à moi, son bras se pose sur ma poitrine, sa tête se pose sur mon épaule. –Je t’aime Lucy, je t’aime.–Moi aussi je t’aime Malya, maintenant je peux te le dire, j’en suis sûre. Elle se jette sur moi, son corps recouvre le mien, sa bouche se pose sur la mienne pour échanger un long baiser. Quand elle relève sa tête, je vois son merveilleux visage me sourire, elle resplendit de bonheur. Elle s’allonge de nouveau contre moi, sa peau se colle contre la mienne, sa tête se pose de nouveau sur mon épaule. –Bonne nuit mon amour, j’ai envie de dormir contre ton corps.–Bonne nuit mon amour, dors bien contre ton amour. Nous nous endormons assez vite, je passe une merveilleuse nuit, je ne me réveille que sous les baisers de Malya. Elle s’est réveillée avant moi, l’habitude de se lever pour bosser. Nous enfilons un tee-shirt assez long descendant jusqu’à mi cuisses et allons à la cuisine où nous tombons sur maman en tee-shirt elle aussi, mais beaucoup plus court, il arrive juste en haut des cuisses, dévoilant ses magnifiques jambes. Elle prépare le café, je me colle à elle pour déposer un baiser sur son cou, mon pubis se plaque sur ses fesses, elle a un frisson. –Bonjour maman chérie.–Bonjour mon amour, bien dormi ?–Comme un ange, collée à mon amour. Malya m’enlace pour poser un baiser sur mon cou, c’est à mon tour de frissonner au contact de son pubis sur mes fesses. Elle colle sa bouche contre mon oreille. –Je t’aime mon amour.–Moi aussi ma chérie. Nous allons petit déjeuner dans la salle à manger, maman est devant nous, nous distinguons la base de ses fesses, j’avoue que ça m’excite un peu, mais je vois que c’est la même chose pour Malya. Après avoir déjeuner, nous allons prendre notre douche ensemble, maman attend dans sa chambre. –Tu la trouve comment ma maman ?–Très belle et très excitante, il va falloir que je m’y habitue, ça va être dur.–Elle te fais envie ?–Tu n’imagine pas qu’il puisse avoir quelque chose avec ta mère, c’est ma patronne, c’est impossible.–Ok, ok, n’en parlons plus.–Et puis, il n’y a que toi que j’aime. Elle m’enlace pour m’embrasser passionnément. La douche est plus ou moins crapuleuse, elle me fait jouir, je la fais jouir, mais je pense encore à maman, j’aimerais encore caresser son merveilleux corps, la faire jouir avec mes mains et ma bouche, seulement, il y a Malya, et je l’aime, je ne veux pas la faire souffrir, elle me donne tant de bonheur. Je sens la bouche de Malya sur mes seins, elle les titille, les aspire, les lèche, je sens ma cyprine qui recommence à couler, ses mains caressent mes fesses, sa bouche descend le long de mon corps pour arriver sur mon clitoris au moment où mon corps explose dans un sublime orgasme. Quand elle se redresse nous entendons maman derrière la porter. –Les filles, il faudrait peut-être penser aux autres, je veux prendre ma douche, il faut aller au boulot. Nous nous entortillons dans des serviettes et sortons pour aller nous habiller dans ma chambre. Maman est elle aussi entortillée dans une serviette, elle s’engouffre dans la salle de bain en la laissant tomber, montrant pour la première fois son corps nu à Malya. Je ferme la porte, nous arrivons dans ma chambre nues, j’enlace Malya pour l’embrasser. Notre baiser est tendre, rempli d’amour. Nous nous habillons, je n’ai pas cours tout de suite, mais je veux vivre comme elle, je veux profiter d’elle le matin.  –Ta mère est merveilleusement belle, je n’ai jamais vu de femme de son âge aussi bien foutue.–Elle te plait ?–Je t’ai déjà dit que je ne me voyais pas faire l’amour avec ma patronne, ça compliquerait trop nos rapports professionnels. –Ok, ok, mais je te demande si elle te plait, c’est tout.–Oui, je dois dire qu’elle me plait, j’aime trop les belles femmes.–Moi aussi elle me plait beaucoup.–Au point de faire l’amour avec elle ?–C’est déjà fait, mais je suis sûre que ça va recommencer, et je n’aimerais pas te faire de la peine en faisant l’amour avec elle.–Ça change la donne mon amour, je ne me doutais pas que ça ait pu arriver. Il y a longtemps ?–Non, samedi dernier en vous attendant, et dans la nuit avec aussi ma tante.–Avec Manon ?–Oui, toutes les trois. Elle vient vers moi et m’enlace, elle me couvre de baiser sur le corps. –Ne t’en fais pas mon amour, aimer les gens c’est aimer les voir heureux, et si tu es heureuse dans les bras de ta mère, j’en serais heureuse si je continu à faire partie de ta vie.–Bien sûr mon amour, tu fais partie intégrante de ma vie, jamais je ne pourrais vivre sans toi. On frappe à la porter. –Allez Malya, il faut y aller. Elle m’embrasse une dernière fois et va rejoindre maman pour aller au boulot. Je reste seule dans l’appartement, je n’ai cours qu’à dix heures. J’en profite pour tout ranger et lancer la vaisselle, c’est maman qui va être surprise à son retour !!! La semaine se passe bien, nous commençons à bien nous organiser entre travail, études, amour, maman nous laisse une paix royale. Le vendredi, j’ai cours jusqu’à dix-huit heures, quand je rentre, maman et Malya sont déjà rentrées, Malya me saute dessus pour m’embrasser fougueusement. Je vois maman nous regarder tendrement, elle semble heureuse de nous voir heureuses. Je vais vers elle pour l’embrasser chastement, mais elle détourne la tête, nos lèvres se joignent, s’ensuit un baiser langoureux. Je suis étonnée, mais je me laisse faire, j’aime sentir les lèvres de ma maman sur les miennes et ses mains courir sur mes fesses. Je vois que Malya nous regarde, elle ne semble pas étonnée. Quand nos bouches se séparent, maman me prend la tête entre ses mains. –Je sais que Malya sait, inutile de faire semblant, tu as envie de Malya, tu as envie de moi, Malya a envie de toi, j’ai envie de toi, mais nous avons découvert que Malya avait envie de moi et que j’avais envie d’elle. La boucle est bouclée, aimons-nous toutes les trois, mais je ne supporterais pas que ça influe sur tes études, soyons des adultes.–Maman, l’année universitaire se termine vendredi, tout est plié pour cette année.–Je sais, mais il te reste une année, je ne veux pas que nos ébats amoureux influent sur tes études, mais je dois dire que je suis très excitée à la perspective de l’année qui se profile.–Oh maman, tu ne sais pas comme je suis heureuse, viens Malya, viens nous enlacer, je veux te sentir contre moi et ma maman chérie. Elle vient nous enlacer, sa bouche se pose sur la mienne, maman se dégage et va vers la cuisine. Je regarde mon amour, elle semble tellement heureuse. –Vous vous êtes aimées ?–Non, nous avons découvert notre attirance, mais il était hors de question que ça se passe sans toi, pour elle comme pour moi. –Merci mes chéries, merci, maintenant, nous allons pouvoir vivre plus librement, tu ne peux savoir à quel point je suis heureuse.–Je sais ma chérie, je sais, je suis comme toi. Un long baiser nous uni. Maman revient avec une bouteille de champagne et des boudoirs, elle pose le tout sur la table basse.  –Fêtons ça les filles, nous avons le week-end pour concrétiser tout ça.–Et si d’abord on se dévoilait, j’aimerais tant voir vos splendides corps dénudés.–Et nous montrer le tien j’espère.–Ok ma fille, enlevons ce qui nous sert de carapace. Nous nous déshabillons ensemble, je vois que maman est très intéressée par le corps de Malya qui ne la quitte pas des yeux elle aussi. Elles se regardent, s’avancent l’une vers l’autre et s’enlacent avant que leurs bouches ne se soudent entre elles. Elles sont seins à seins, ventre à ventre, pubis contre pubis, je viens vers elles pour les enlacer et les caresser. Mes mains se promènent sur le corps de maman et celui de mon amour, je sens mon sexe s’humidifier. Quand elles se séparent, la bouche de Malya vient se poser sur la mienne pendant que maman caresse mes fesses en même temps que celles de Malya. Nous finissons assises sur le divan côte à côte, je suis entre elles, des mains se promènent sur mes cuisses que j’écarte un tout petit peu en fermant les yeux. Elles finissent par me les écarter pour se disputer l’accès à mon sexe, une bouche se pose sur ma bouche, une autre sur mes seins. J’ouvre en grand mes cuisses, les mains se partagent l’espace, une sur mon vagin pour y enfoncer des doigts, l’autre sur mon clitoris pour le titiller. Je glisse ma main droite entre les cuisses de maman et ma main gauche entre celles de Malya pour leur titiller le clitoris. Je sens mon corps se tendre, une merveilleuse onde se propage dans tout mon corps, mais je sens aussi mes compagnes se tendre vers un plaisir à venir. Mon corps se tend, je monte mon bassin pour offrir mon sexe à ces mains si douces. Mon corps explose dans un gigantesque orgasme, mais je garde suffisamment de lucidité pour faire jouir maman et Malya.  Nous sommes toutes les trois dans un univers de plaisir et d’amour, je reviens à moi lentement, juste pour sentir une bouche se poser sur mon sexe. Je bascule ma tête sur le dossier du divan les yeux toujours fermés, je veux me donner à fond à cette langue dont je ne connais pas la propriétaire quand je sens des effluves de cyprine au-dessus de mon nez. Je réalise que c’est un sexe bien liquéfié quand il se pose sur ma bouche. Je me défonce sur ces lèvres douces et détrempées, je ne sais si c’est celles de maman ou de Malya, mais j’aime ce qui en sort en m’en délecte. J’agrippe ses hanches pour la plaquer contre ma bouche, elle se donne à fond, elle ondule du bassin, se raidi et jouit en me donnant toute sa cyprine à boire. Je jouis quelques secondes plus tard, mon corps se raidi sous les caresses de cette diabolique langue. Quand j’ouvre les yeux, c’est pour voir maman entre mes cuisses et Malya qui descend du divan.  Je me jette sur elle, pour plonger entre ses cuisses, elle s’allonge sur le divan, maman vient poser son sexe sur sa bouche. Je lui écarte les cuisses et redresse ses jambes pour m’ouvrir au maximum son sexe, je me déchaine sur cette vulve adorée, je veux la faire jouir comme une folle, qu’elle ne sache plus où elle est. Elle s’abandonne à nos caresses, je sens son corps se raidir lentement, je ne veux pas qu’elle jouisse trop vite, je me contente des accessoires, vagin, périnée, lèvres. Maman jouit sous les effets de sa langue, mais je la maintiens excitée, au bord de l’orgasme sans lui donner l’estocade. Maman se libère, elle vient poser ses lèvres sur ses seins. –Oh oui mes chéries, oui, faites-moi jouir, je n’en peux plus. Je ne l’écoute pas, je reste sur ma ligne de conduite, je sens son corps de plus en plus raide, ses muscles se tétanisent, elle commence à faire des grimaces de douleur, je remonte sur son clitoris que je lape avant de l’aspirer et en titillant avec ma langue. Maman est toujours sur ses seins, elle remonte un peu sur sa bouche, leurs lèvres se soudent. Je sens son corps exploser dans un gigantesque orgasme, ses jambes me serrent le cou, ses fesses sont à dix centimètres du divan, je pose mes mains sur ses fesses pour la soutenir, je l’aspire, la titille, la lèche, la boit, elle se tortille dans tous les sens en émettant des onomatopées, ses lèvres étant soudées par celles de maman. Lentement son corps se détend, elle redescend sur le divan, je fais glisser le mien sur le sien, sa sueur facilite le glissement. Nos bouches se soudent dans un merveilleux baiser. Deux mains me caressent les fesses, c’est maman, Malya m’enserrant pour me plaquer contre son corps. Au bout de quelques minutes, tout le monde est assis sur le divan, nous avons retrouvé nos esprits, nous sommes heureuses, repues, calmes. Maman se lève. –Ok les filles, nous nous sommes laissé aller, et je dois dire que j’ai adoré, mais il faudrait délimiter des zones d’amour, je pense aux chambres et à la salle de bain, mais évitons le salon et la cuisine, d’accord ?–Oui maman, tu as raison, il y aura des zones « No sexe », mais dans les autres, tout est permis, ok ?–Oui ma chérie, tout est permis. Ceci s’est passé il y a huit ans, nous avons vécu toutes les trois une superbe année de plaisir, d’amour et de tendresse. J’ai fini ma dernière année d’étude, depuis nous vivons ensemble avec Malya, nous nous sommes mariées fin deux mille quatorze, Lola était mon témoin. Nous sommes installées en plein centre-ville, rue St Antoine du T, c’est un ancien immeuble, mais avec ascenseur, c’est rare dans le quartier. Evidemment je revois toujours maman pour passer une nuit avec elle de temps en temps, accompagnée de Malya, ça va de soi.
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