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Ma maman

Chapitre 4

Inceste
A la fin des vacances d’été, nous avons préparé mon départ. Eh oui, même si je n’avais vraiment pas envie de laisser ma mère, je devais quitter l’appartement. Je partais pour préparer un bac+2 en alternance. Pendant 15 jours par mois, je n’étais pas avec ma mère.
On s’appelait presque tous les jours. Nous étions bien occupés chacun de notre côté. Les semaines où nous étions ensemble, on en profitait bien. Sorties au cinéma, restaurant, concert, spectacle... Et bien sûr gros câlins, beaucoup de gros câlins.
Pour moi, 15 jours sans tripoter, malaxer, pétrir les fesses de maman, sans la pénétrer, sans lui manger le sexe, l’anus, sans lui lécher les seins, aspirer ses tétons ... C’était très long.De son côté, ma mère se plaignait de la solitude qu’elle ressentait le soir lorsqu’elle se retrouvait seule dans l’appartement. Je la comprenais. Moi c’était différent, je participais à quelques soirées étudiantes. Mais surtout, j’étais très occupé par le travail personnel qu’exigeaient mes études.
Avant les vacances de la Toussaint et mon retour à la maison pour une période d’un mois, j’ai entamé les démarches pour adopter un chien afin de l’offrir à maman et ainsi occuper ses soirées.
Après quelques recherches, j’ai trouvé un Epagneul King Charles. Je suis allé le chercher chez des particuliers qui avaient fait faire une portée à leur chienne. Le chiot avait 4 mois, il était adorable.J’étais un peu anxieux en arrivant chez nous. Je craignais une mauvaise réaction de ma mère. Lorsque je suis arrivé sur le palier, devant notre porte, avec le chiot dans les bras, j’ai pris une grande inspiration puis j’ai actionné le bouton de notre sonnette.Ma mère et arrivée rapidement. Elle a ouvert la porte. Elle m’a accueilli vêtue de sa petite jupe ample et légère avec un chemisier suffisamment ouvert pour laisser apparaître la commissure de sa poitrine. Aussitôt la porte ouverte, je lui ai crié :
— Surpriiiiise !!!!
Et je lui ai tendu le chiot dans ses bras. Elle est restée sans voix pendant quelques secondes. Ses yeux se sont mouillés.
— Oh Brieuc, mon chéri, merci, merciiii. Tu es fabuleux. J’en rêvais. Tu connais ta maman par cœur.— Mais de rien. Je suis soulagé et vraiment rempli de joie que tu sois aussi contente. Allez, laisse-moi entrer et décharger mes affaires. Pendant ce temps, vous pourrez faire connaissance. Tu vas voir, il est adorable.— Oh oui vraiment, il est trop chou, j’ai envie de lui faire plein de papouilles.
Ma mère comme souvent avait mis les petits plats dans les grands pour mon retour. Apéritif préparé au salon. Je sentais l’odeur du bœuf bourguignon (un de mes plats préférés). Une bouteille de bourgueil a été mise à chambrer et j’ai aperçu deux petites tartelettes à la fraise qui nous attendaient pour le dessert. A table, notre conversation a grandement tourné autour de notre nouveau compagnon.Nous lui avons cherché un prénom. Ça n’a pas été simple. Finalement, notre choix s’est arrêté sur « Papouille » puisque dès leur première rencontre, maman avait eu envie de lui faire plein de papouilles. Après le repas, nous nous sommes rendus dans une animalerie pour acheter tout le nécessaire pour que papouille soit bien :

— Bol à eau et nourriture.— Os à mâcher.— Panier.— Collier et laisse.— Jouets ...
Le soir venu, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le salon, moi assis dans le canapé devant la télé, et ma mère étendue sur le tapis en train de jouer avec papouille.J’observais ma mère et papouille. Maman était rayonnante, superbe, majestueuse dans sa petite nuisette. Je pouvais l’admirer dans différentes positions et profiter de son corps. Tantôt à quatre pattes, le buste en avant où elle m’offrait une vue imprenable sur sa chatte toujours épilée impeccablement, sa petite rondelle brune qui ne demandait qu’à s’assouplir, s’élargir, se distendre. Tantôt assise en tailleur où sa nuisette ne cachait pas grand-chose de sa forte poitrine. Je pouvais deviner ses aréoles larges au milieu desquelles pointaient ses divins tétons.Devant ce spectacle, ne tenant plus, j’ai baissé mon pyjama et je me suis masturbé. Après quelques minutes, maman s’en est aperçue.
— Mon p’tit chaton. Je t’ai un peu abandonné. Mais ne t’inquiète pas, je ne t’oublie pas. Viens nous rejoindre sur le tapis.— Attends, je veux encore te regarder jouer avec papouille. J’adore admirer ton corps si généreux. Tes fesses dodues, ta chair qui ondule au rythme de vos cabrioles, tes seins qui se balancent. Ton visage rayonnant, joyeux. J’aime te voir joviale, heureuse, gaie.— Oh mon chérie, je me délecte de tes compliments. Je suis charmée. Ne tarde pas à me rejoindre. Je bouillonne d’envie. Je suis trempée. Je te veux. Je veux ton corps contre mon corps. Je veux que ton zizi me transperce.
Je me suis rapidement allongé sur le tapis et nous nous sommes retrouvés dans une de nos positions favorites. C’est-à-dire moi avec le nez entre les fesses de ma mère et maman avec ma bite dans la bouche.
Aujourd’hui, nous n’étions pas que tous les deux. Papouille était témoin de nos ébats, sensuels, charnels parfois sauvages, animal et, surtout, toujours passionnés.Après s’être caressés, léchés, sucés, après avoir exploré toutes les parties de nos corps, maman s’est retrouvée à califourchon sur moi, empalée sur mon pieu, les seins plaqués sur mon torse. Elle balançait et ondulait délicatement son bassin. Quand mon gland était à la limite de s’échapper de son antre, elle reculait ses fesses pour avaler mon sexe et le sentir au plus profond d’elle. Elle gardait une cadence régulière, langoureuse. Moi je triturais les deux globes de ses fesses qui se balançaient au rythme de ses va-et-vient. Je lui donnais des petites claques qui la faisaient gémir. Je lui écartais les fesses pour lui taquiner la rondelle. C’est à ce moment-là que papouille s’est levé. Il s’est positionné entre mes jambes. Il a plongé sa truffe entre les fesses de ma mère et il nous a léchés.
Nous avons été électrisés. Maman ne bougeait plus. Papouille poursuivait sa besogne, il lapait mon sexe, le minou de maman et son petit trou. Après quelques instants d’immobilité, j’ai senti que ma mère bougeait futilement son bassin. Puis ses mouvements se sont amplifiés. Elle a fini par se tordre de plaisir sous les coups de langue de Papouille. Elle a joui comme jamais je ne l’avais entendu jouir. Elle a été parcourue par plusieurs orgasmes. De mon côté, j’ai explosé avec un grand râle, je l’ai inondée.
Papouille a léché toutes nos effluves, maman continuait d’onduler les fesses, de se cabrer. Mon sexe est resté bien bandé, je me suis retiré de ma mère pour me positionner à genoux derrière elle. Je lui ai investi avec virilité son petit trou. Je l’ai culbuté, labouré sans aucune délicatesse, avec de grands coups de reins, ma bite allait et venait à une allure infernale. Ma mère hurlait de plaisir.
— Ooooh ouiiii Brieuc ouiiiiiii. Va s’y. Fais-moi plaisiiir. Fais-toi plaiisiir mon chaatooon. Jouis dans mon cul. Souille-moi.
J’ai giclé plusieurs fois dans son cul, mon sperme suintait autour de mon sexe encore bien dur.Lorsque je me suis retiré, je me suis écroulé auprès de maman qui était à plat ventre les cuisses bien ouvertes. J’étais à plat dos une main sur ses fesses. Papouille est venu nettoyer le cul de maman.Je crois que j’ai fait le bon choix. Notre chien nous ressemblait    Je pouvais quitter la maison, rassuré. Maman avait un amant à quatre pattes.
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