Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 172 J'aime
  • 6 Commentaires

Maman a attrapé le Covid

Chapitre unique

Inceste
Maman a attrapé le Covid

Ce matin, maman se réveille avec la migraine, elle a de la fièvre, elle commence à tousser et ne se sent pas bien.Avant de partir travailler, Papa décide d’appeler le médecin. Nous l’attendons et maman retourne se coucher.Il arrive vers onze heures et il diagnostique ce qu’on craignait, c’est cette saloperie de coronavirus.Il commande une ambulance et il me demande d’appeler mon père pour qu’il rentre. Étant cas contact, nous sommes confinés tous les deux à la maison.Je lui prépare quelques affaires avant son départ pour l’hôpital, les infirmiers qui l’emmènent sont comme des scaphandriers.
Donc nous nous retrouvons tous les deux, papa et moi, enfermés chez nous pour on ne sait combien de temps. Heureusement, nous n’avons pas de symptômes et nous espérons passer au travers.Je continue mes cours à distance à la Fac, papa commence à organiser son télétravail, et nous essayons d’avoir des nouvelles de maman, mais pour en avoir à l’hôpital, c’est un peu la galère.Enfin, son état ne nécessite pas de réanimation, juste un peu d’oxygène, c’est déjà ça.
Le soir, après le repas, je vais m’asseoir sur le canapé à côté de mon papa, on se trouve un peu seuls alors je me colle contre lui, ça me rappelle le temps ou j’étais petite, j’aimais bien les câlins de papa et maman.Il passe son bras sur mes épaules et me fait un bisou sur la joue, je suis bien, il me tient chaud, je ne suis pas très réceptive au programme de la télé, je me laisse un peu aller.Au bout d’un moment, je me rends compte que le bras de papa s’est un peu relâché, sa main s’est posé sur mon sein et semble le caresser. Ce n’est pas désagréable du tout, je me laisse faire, mais soudain je réagis, c’est mon papa, il ne devrait pas faire ça !Je lui soulève le bras et le repose sur mon épaule.— Excuse moi, chérie, je ne faisais pas attention, je pensais à ta mère.— C’est pas grave papa. Bon, je vais me coucher, bonne nuit, papa.— Bonne nuit ma chérie.
Le lendemain, il faut reprendre la routine, commander la bouffe livrée à domicile, faire la cuisine, puis les cours.Je repense à hier, même si c’était accidentel, ça m’avait laissé un souvenir agréable, j’avais senti mes seins pointer sous la caresse, mais j’essayais de ne pas y penser.Puis le téléphone sonne. C’est maman qui a réussi à avoir un téléphone dans sa chambre.Elle parle à papa, puis il me la passe.
— C’est pour toi.— Allô, maman.— Bonjour ma chérie.— Comment vas tu ?— Ça va, ce n’est pas trop grave. Je voulais te dire quelque chose que je n’ai pas eu le temps de dire avant de partir. Je voudrais que tu sois bien gentille avec papa pendant mon absence, fais bien tout ce qu’il te demande, hein. Tu sais que ton papa a de gros besoins, tu comprends ce que je veux dire ?— Je crois comprendre, maman, c’est difficile ce que tu me demandes, maman.— Oui, mais fais un effort. Allez, bisous ma chérie.Sur ce elle raccroche. Ça me laisse perplexe, ais je bien compris sa demande ?Le soir je me replace près de mon papa, j’essaie de ne pas trop le coller cette fois mais je ne peux l’empêcher de remettre son bras sur mes épaules. Le problème c’est que j’ai été prendre ma douche et que je suis en chemise de nuit sans soutif avec quand même une culotte.— Vivement que ta mère revienne !— Elle te manque, papa chéri ?— Oui, beaucoup.— Ne t’inquiète pas, elle va revenir.— heureusement que je t’ai, ma chérie.Et puis il me fait une bise dans le cou, ce qui me fait des frissons partout. Il en profite pour lorgner dans le décolleté de ma chemise pendant quelques secondes puis il se recule.— Qu’est ce tu as changé, ma chérie, tu as pris des formes, tu es belle, encore plus que ta maman.— C’est gentil, papa, mais n’oublie pas que je suis ta fille.— Oui, hélas. N’empêche, tu as des jambes extraordinaires.En me disant ça, il pose sa main sur ma cuisse et remonte un peu ma chemise.— Arrête, papa, tu n’es pas sage, je vais me coucher.Je me lève, je lui fais une bise et je vais dans ma chambre, papa semble tout triste mais ne dit rien.Je bricole un peu sur mon ordi puis je me couche. Je pense à papa et à sa curiosité, ça me fait drôle et ça m’excite en même temps de me savoir désirée par mon père. Je me caresse en pensant à lui, je sais que je ne devrais pas mais c’est plus fort que moi.J’ai du m’endormir un peu, mais un bruit léger me réveille, j’entrouvre à peine les yeux, papa est devant moi au bord du lit, la chambre est éclairée par la lumière du couloir.Il murmure : Tu dors ?Je ne réponds pas ni ne bouge.Il pose sa main doucement sur mon épaule et me secoue légèrement.Je ne bouge toujours pas, alors il s’enhardit.Il tire tout doucement le drap qui me couvre jusqu’à mes pieds. Il ne bouge plus, enfin, si, ses yeux parcourent mon corps et sa main sort son sexe de son pyjama.Il soulève le bord de mon décolleté pour voir mes nichons, il commence à s’astiquer le manche de l’autre main, puis il retrousse ma chemise sur mes jambes collées ensemble alors il me prend délicatement une cheville pour m’écarter un peu les cuisses.Il peut se repaître de la vision de ma culotte serrée sur ma fente, il approche sa main mais il n’ose pas me toucher, il se branle fort maintenant, il respire fort, penché sur mon bas ventre, puis sa respiration se bloque, apparemment il est en train d’éjaculer dans sa main.Il remet tant bien que mal le drap sur moi avant de sortir sur la pointe des pieds.Je n’en reviens pas, en plus j’ai mouillé ma culotte, heureusement qu’il ne l’a pas vue sinon.Après ça j’étais encore plus excitée, j’avais vu sa grosse bite qu’il branlait pour moi, je regrettais de ne pas m’être manifestée alors.
Le lendemain, papa est comme d’habitude, il n’y a aucune trace de son forfait nocturne dans son comportement. Nous avons des nouvelles de maman, elle nous appelle, je lui réponds.— Comment vas tu maman ?— Je suis en état stationnaire, mais je n’ai pas besoin d’oxygène, je ne sais pas quand je rentrerai. A propos, comment ça va avec ton père ? Tu fais bien comme je t’ai dit ? Je veux que tu sois très gentille avec lui, ma chérie, d’accord ?— Si tu insistes, maman, je vais faire un effort.
Je me demande comment va passer la soirée, à partir du moment ou je vais être assise à coté de papa.Au début il garde ses distances, il doit avoir un peu de remords, mais il ne quitte pas mes cuisses du regard, il faut dire que j’ai mis une nuisette bien courte qui remonte haut sur mes jambes.C’est moi qui passe mon bras autour de ses épaules et qui l’attire contre moi. Il se tourne et nous nous regardons longuement, finalement il pose doucement ses lèvres sur les miennes, il appuie un peu et il me force à les entrouvrir en glissant sa langue., il me prend par le cou et sa langue vient explorer ma bouche, je sens une chaleur monter dans mon corps et je lui rends la pareille en enfonçant ma langue à mon tour dans sa bouche, nous commençons à les échanger avec notre salive. Sa main se pose sur ma cuisse et glisse vers mon entrejambe.Je réagis soudain et je me recule.— Non, papa, il ne faut pas, tu n’as pas le droit.— Ma chérie, je t’aime et j’ai envie de toi.— Moi aussi je t’aime, papa, mais ce n’est pas bien.— Tu ne vois pas dans quel état je suis ? Ta maman ne t’a pas dit ?Effectivement son pantalon est complètement étiré par ce qu’il y a à l’intérieur.— Ah, oui, mon pauvre papa, il va falloir faire quelque chose !— Tu n’es pas sympa avec ton papa, s’il te plaît ?— Bon, pour cette fois, je veux bien faire un effort pour te soulager.Je lui ouvre la braguette et la bête bondit à l’extérieur, une belle bête en effet !Je le fais mettre debout devant moi et je commence à le branler lentement, il soulève ma nuisette jusqu’au dessus des seins pour me les peloter, je lui concède son geste tandis que je le masturbe contre mon ventre. Je suis surprise de la taille de son zob, je ne l’imaginais pas aussi gros et aussi dur sous la peau veinée de bleu.Il gémit et donne des petits coups de reins, je le serre par instants et ça lui fait pousser des râles, j’accélère ma cadence, je commence à fatiguer du poignet.— Oui, chérie, vas y, ahhh ! Tu branles bien !J’accélère encore, je lui secoue les roubignoles, il a les yeux exorbités, il me bloque le poignet et il m’arrose les nichons et le ventre de son foutre gluant.Il se penche et m’embrasse, je n’en peux plus de mouiller ma culotte, je le fais se relever et je vais me prendre une douche.Sous la douche je ne peux m’empêcher de me masturber, j’ai besoin de faire retomber mon excitation sexuelle, je me pince le clito, je m’enfonce deux doigts dans ma vulve, je jouis plusieurs fois, j’espère que papa ne m’a pas entendue. Enfin je me sèche et je vais me coucher.

Maintenant papa ne me lâche plus, ce matin alors que je suis en train de faire la vaisselle, il arrive derrière moi et il m’attrape par les seins en m’embrassant dans le cou.— Papa ! Je travaille, lâche moi !— Hmmmm ! J’ai encore envie de toi, ma chérie.Il me caresse les fesses d’une main tout en me pelotant.Sa main se glisse entre mes cuisses et remonte contre ma culotte. Mais je sens que je ne vais pas durer longtemps, ses caresses m’excitent et je sens ma culotte s’humidifier.Ses doigts se promènent sur mon minou par dessus ma culotte, j’écarte mes cuisses pour le laisser faire, puis je me retourne vers lui et nous nous embrassons avec passion.Nous nous serrons l’un contre l’autre en nous caressant, je sens qu’il me prend par le dos et les fesses, il me soulève et il m’emmène dans ma chambre. Il me couche sur mon lit et il se couche à moitié sur moi, il m’embrasse encore, sa main parcourt mes cuisses, remonte vers ma culotte, ses doigts glissent sous le tissu et parcourent ma fente.— Mmmmm ! C’est bon, papa, oui ! Continue.Il me caresse encore un peu puis il se redresse, il m’enlève ma jupe, ma culotte suit aussitôt et il se place accroupi entre mes cuisses. Il pose sa bouche sur ma chatte qui dégouline de mouille, sa langue me pénètre, ça me fait comme un éclair dans tout mon corps.— Ahhhhh ! Ouiiii ! Je vais jouir !Il m’aspire le clitoris, il me lèche de haut en bas, il descend jusqu’à mon petit trou, c’est divin, puis il glisse un doigt dans mon vagin, il le fait aller et venir, il me fait jouir encore, je n’en peux plus.— Viens, papa, viens en moi vite !Il retire rapidement son pantalon et il présente son gros membre entre mes cuisses.— Vas doucement quand même, papa chéri !Il frotte son gland sur mes nymphes, puis li le présente à l’entrée de mon vagin, il me pénètre doucement, je sens sa bite progresser dans moi, je me sens remplie. Je vois son pubis venir au contact du mien et je sens son membre contre mon utérus, il reste un moment sans bouger, il se couche sur moi et nous nous mélangeons nos langues, nos corps soudés en haut et en bas.Il commence à aller et venir, je suis au ciel, il me laboure plus vite, puis plus fort, il me fait crier, je jouis encore et encore, il donne des coups de reins qui cognent dans tout mon corps. Au dernier coup il reste au fond de moi et je sens sa semence gicler en jets qui ne finissent pas et je jouis encore. Heureusement que je prends la pilule !Nous restons un moment sans bouger l’un sur l’autre en nous embrassant.Papa se retire doucement, son sexe à demi dégonflé.— Encore, papa chéri.— Laisse moi reprendre des forces, ma chérie.Il se lève et m’abandonne sur mon lit, les cuisses ouvertes, je sens son sperme suinter sur mes fesses, je me lève enfin et je vais vers la salle de bains.Le reste de la matinée se passe calmement, sauf qu’à chaque fois que papa passe à coté de moi, j’ai droit à un baiser chaud et un pelotage.Puis maman appelle.— Bonjour, maman, comment tu te sens aujourd’hui ?— Je vais mieux, je n’ai plus de fièvre. Et toi, comment vas tu ?— Je vais bien, et j’ai bien obéi à papa.— Quand ça ?— Ce matin. Ah, c’était bien.
Après le repas il m’emmène dans la chambre conjugale, je proteste un peu, l’impression de violer un tabou, mais il insiste.Il me déshabille et il se déshabille, il me pousse sur le lit, il se met sur mon coté. Il pousse ma tête vers son sexe, je comprends ce qu’il veut.— Non, j’ai jamais fait ça, papa.J’imagine une odeur de pisse, un goût immonde, ça me révulse.— C’est une occasion pour commencer, ouvre la bouche.Je résiste un peu, mais il pousse son gland contre mes lèvres, je suis contrainte de l’accepter dans ma bouche.La surprise, c’est que je ne sens pas d’odeur ni de goût suspect, juste une grosse saucisse chaude qui envahit ma bouche et que j’explore avec ma langue. Il a dû se laver avant, je suppose.— Mmmmm, chérie, tu suces bien, continue, tu fais plaisir à ton papa.Je fais des petits mouvements de va et vient avec mes lèvres, finalement ce n’est pas désagréable et je commence à y prendre plaisir, et je crois que papa apprécie aussi.Je le pompe de plus en plus fort, il coulisse dans ma bouche jusqu’au fond ; il commence à grogner, je sens sa bite durcir encore et je reçois des giclées de sa semence contre ma langue et mon palais.— Ahhh ! Chérie, avale bien ! C’est divin, je t’aime.Je déglutis plusieurs fois, c’est incroyable ce qu’il a déchargé, bof, finalement c’est pas mauvais et si papa est content, tant mieux.— Ben dis donc, il y en avait beaucoup, papa.— C’est parce que je t’aime, ma chérie. Il m’embrasse et j’en profite pour partager avec lui le restant de sperme que j’ai dans la bouche. Nous restons un bon moment l’un contre l’autre et je constate qu’il bande de nouveau. Je lui prends la bite et je le branle doucement, il soupire et fait des petits mouvements dans ma main, je la glisse entre mes cuisses et je la rapproche progressivement de mon sexe. Quand il sent qu’il est à l’entrée il me pénètre d’un coup de reins, je crie de bonheur, je noue mes jambes autour de ses reins et mes bras autour de son cou.Il s’enfonce en moi profondément et il fait coulisser son membre presque brutalement, il me secoue et je voudrais qu’il ne s’arrête jamais.— Vas y papa, défonce moi fort, ouiiii ! Je vais jouir !Il me lime longtemps, je n’en peux plus, j’ai joui au moins trois fois, il accélère enfin, il râle, je le sens venir, il éjacule des grandes giclées au fond de mon ventre, je jouis encore tandis qu’il s’écroule sur moi.Nous finissons par faire un petit somme réparateur après ces excès.Quand nous nous réveillons, papa m’embrasse et me dit :— Tu sais, ma chérie, tu fais aussi bien l’amour que ta maman.— Merci papa, c’est gentil, mais qu’est ce que tu comptes faire quand maman va revenir ?— Eh bien, j’aurai deux femmes à la maison.— Et tu crois que maman voudra partager avec moi.— Tu sais, il y a longtemps que ta maman le veut, tu n’as pas remarqué que son comportement avait changé avec toi ?— Si, j’ai vu qu’elle était plus proche de moi, mais je n’y ai pas prêté attention.— Elle m’a confié qu’elle était amoureuse de toi mais qu’elle n’osait pas te le dire. Et je lui ai dit que j’étais amoureux de toi aussi. C’est sa maladie qui a tout déclenché sinon tu n’en saurais peut être rien aujourd’hui.— Alors elle va vouloir aussi faire l’amour avec moi ?— Oui, bien sur, tu as déjà fait l’amour avec des femmes ?— J’ai eu quelques expériences avec des copines du lycée.
C’était une sacrée découverte pour moi qui était complètement naïve quelques jours auparavant.Je digérai la nouvelle tout l’après midi, dois je accepter ou non ?
En fin d’après midi, maman téléphone.— Bonsoir mes chéris, bonne nouvelle, je rentre demain !— Ah, tant mieux, on croyait que ça serait plus long.— En fait, je vais mieux, je ne tousse plus, je n’ai plus de fièvre, et ça ne se justifie pas que je reste, et puis ils on besoin du lit pour d’autres malades. A demain après midi, bisous.
Le matin, je range la maison pour le retour de maman. Je suis un peu tendue et je repousse papa qui voudrait me baiser déjà.Nous attendons impatiemment l’arrivée de l’ambulance en guettant par le fenêtre.Enfin elle arrive, nous lui ouvrons la porte. Elle n’a pas mauvaise mine et nous nous approchons pour l’embrasser.— Bonjour maman, comment vas tu ?— Tu vois, je n’ai plus rien. Alors, ton père t’a dit ? Tu sais tout ?— Ça été une grande surprise pour moi.— Cela fait si longtemps mais on n’osait pas t’en parler. J’espère que tu n’es pas choquée ?— Choquée non, mais troublée. En fait je dois avouer que je vous aime aussi.Quand maman me prend dans ses bras pour me dire bonjour, papa vient nous entourer de ses bras toutes les deux et nous serre l’une contre l’autre, je sens ses seins contre mes seins et son ventre contre le mien.— Embrassez vous mes chéries, dit il.Maman met ses bras autour de mon cou et cherche mes lèvres, je lui donne aussitôt et nous commençons un baiser torride, nous échangeons nos langues et nos salives, elle colle son pubis contre le mien. Pendant ce temps papa fait descendre ses main le long de notre dos, sur nos fesses, il arrive à nos cuisses et il remonte sous nos jupes entre nos cuisses. Il approche sa bouche des nôtres en nous commençons un ballet de lèvres, de langues passant d’une bouche à l’autre.Je descends une main pour lui attraper sa bite mais maman m’a devancée et l’a déjà bien en main. Je lui caresse les bourses. Nous restons un bon moment à nous caresser mutuellement, puis papa nous emmène vers la chambre. Nous continuons à nous embrasser toutes les deux pendant que papa nous déshabille.Puis maman s’allonge sur le lit.— Viens sur moi ma chérie.Je place mes cuisses de chaque côté de sa tête et je m’abaisse vers son minou. Je vois qu’elle est déjà brillante de mouille, je commence à lui lécher la vulve, elle a un clitoris qui dépasse de son capuchon, je le prends entre mes lèvres, elle gémit et a des soubresauts quand je lui passe ma langue. De son côté elle s’est attaquée à ma chatte qu’elle me lèche également, je sens qu’elle m’a ouvert les lèvres et qu’elle pointe sa langue dans mon vagin. J’ai la bouche et le menton tout enrobés de cyprine.Papa s’est déshabillé et se branle d’une main tandis que l’autre se promène entre nos corps et sur nos fesses.Elle me met un doigt dans la chatte et elle me branle tout en léchant mon clito. Je lui fais la même chose et nous sentons que nous allons jouir toutes les deux, ce qui nous fait pousser des cris.Puis nous nous relevons et nous nous occupons de papa. Nous le faisons s’allonger et nous nous partageons sa bite, la léchant de bas en haut et en lui gobant son gland chacune notre tour, sans oublier de nous embrasser quand nos lèvres se rencontrent.C’est au tour de papa de gémir et de grogner, sa queue est gonflée à bloc, il ne va pas tarder à jouir à son tour, sa première giclée est pour ma bouche et les autres s’écrasent sur nos visages qui se retrouvent zébrés de traînées blanches et odorantes.Nous nous léchons pour enlever toutes les traînées de sperme en nous embrassant encore, puis nous filons dans la salle de bains pour nous doucher.Finalement nous tirons de grands avantages de ce Covid et du confinement. Pourvu que ça dure !!
Diffuse en direct !
Regarder son live