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Ma maman chérie

Chapitre 4

Inceste
L’amour Je prends maman dans mes bras et la sers de toutes mes forces contre moi, sa bouche vient contre la mienne, elle entrouvre ses lèvres, j’enfonce ma langue dans sa bouche, nous échangeons un baiser ardent, mais il n’a pas la même saveur qu’avec Charlotte, elle, je l’aime d’amour, maintenant, j’en suis sûre. Elle me plaque contre la cloison de la douche et s’agenouille devant moi. Sa bouche m’aspire le clitoris, sa langue me le titille, elle se promène dans tout mon sexe, explore le moindre recoin, on sent qu’elle a une certaine expérience. Je ne résiste que quelques secondes avant d’exploser dans un sublime orgasme, mais encore une fois, moins intense qu’avec Charlotte, c’est décidément la personne que j’attendais. Elle remonte le long de mon corps en embrassant tout ce qu’elle trouve pour finir sur mes seins. –Tu es magnifique ma chérie, j’aime ton corps, ta peau, tes fesses, tes seins, mais tu as Charlotte, et je sais que c’est la personne qui va partager ta vie.–Oui maman c’est elle, j’en suis sûre maintenant, moi aussi je te trouve magnifique et j’aime ta peau, tes fesses, tes seins, j’aime te faire jouir. Mais j’aime Charlotte, de tout mon cœur, de toute mon âme, c’est viscéral. Je n’ai jamais éprouvé un tel sentiment pour une personne, je sais que c’est l’amour de ma vie, la personne que j’attendais, celle qui va partager ma vie si elle le désire.–Merci mon amour, merci.  Nous regardons vers la porte, Charlotte est là à nous regarder, ses yeux brillent étrangement, elle s’avance vers moi pour m’enlacer et fondre en larmes. Je la sers dans mes bras en lui caressant le dos et les fesses. –Qu’y a-t-il mon amour pourquoi pleures tu ?–Je pleure de joie, tu m’as fait une telle déclaration d’amour, même si tu parlais à ta mère.–Je t’aime chérie, je t’aime et je veux vivre le restant de ma vie avec toi. Elle redouble de larmes, je réussi à la faire sortir de la douche, elle se calme, maman nous suit, je vois qu’elle est mouillée, j’assoie Charlotte sur une chaise pour essuyer maman. Je prends une serviette de bain et me retourne vers elle. –Tu veux ? Charlotte me regarde étonnée. –Tu veux que j’essuie ta mère ?–Oui, j’aimerais te voir faire glisser tes mains sur sa peau, même si c’est au travers d’une serviette. Je sais qu’elle ne te laisse pas indifférente et je peux te dire qu’elle ne sera pas contre.–Si Eléonore n’y voit pas d’inconvénient, j’avoue que j’aimerai bien. –Je n’y vois aucun inconvénient, bien au contraire. 
Je lui tends la serviette, elle commence l’essuyage de maman en s’attardant un peu sur ses fesses et ses seins. Au bout de deux minutes, il ne reste plus que l’entre jambe à sécher. Maman écarte les cuisses libérant le passage. –Essuis moi bien là. Sa voix est tremblante, elle est très excitée. Je vois sa main recouverte de la serviette se glisser sur son sexe. Maman lui fait bien comprendre qu’elle aime sentir quelque chose là en ondulant du bassin. Charlotte fait plusieurs aller-retour, je sens maman de plus en plus excitée, je me penche à l’oreille de Charlotte. –Vas-y, fais lui un broute minou, elle n’attend que ça, vas-y mon amour, fais la jouir. Charlotte lâche sa serviette, agrippe les fesses de maman pour plaquer son sexe contre sa bouche. Maman était au bord de l’orgasme car elle jouit au bout de dix secondes secouée de spasmes de plaisir. Je viens derrière elle pour l’enlacer et la soutenir, elle est au bord de s’écrouler par terre. J’en profite pour lui caresser les seins, je les adore, je lui pince un peu les mamelons, elle jouit encore plus fort. Une fois revenu à elle, je prends une serviette pour finir de l’essuyer, j’en fait autant pour moi ainsi que Charlotte. Maman prend Charlotte par le coude et l’amène sur un transat, elle l’allonge en lui écartant les jambes. –A moi de boire un peu d’élixir d’amour. Charlotte me regarde, elle a l’air un peu gênée. –Vas-y mon amour, laisse toi faire, tu vas adorer, c’est ma maman, elle peut te brouter le minou, c’est un peu moi. Je vois Charlotte se détendre, elle ferme les yeux et se laisse aller. Maman se penche sur elle, elle lui lèche le pubis, redescend sur ses lèvres pour les écarter avec sa langue et lui laper le jus d’amour qui commence à sortir de son vagin. Je surveille les réactions de mon amour, je vois ses traits se tendre un peu, son visage se crisper, son corps commencer à s’animer, elle se donne à la bouche de maman, complètement. Au bout d’un peu plus d’une minute, elle se raidi et jouit en montant ses fesses. Son visage s’illumine, elle est plus belle que jamais, resplendissante. Je ne peux m’empêcher de me pencher sur elle pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle m’agrippe la tête pour me plaquer contre sa bouche et échanger un baiser plein d’amour. Elle se détend lentement, maman se redresse et vient déposer un baiser sur chacun de ses seins. Elle va vers la cuisine, je vois ses magnifiques fesses onduler devant moi, je les trouve de plus en plus belles. Je regarde mon amour allongé sur le transat, elle me regarde aussi. –Je ne suis pas rassasiée, tu veux bien m’aider ? Je m’allonge sur elle têtes-bêches, je pose ma bouche sur son sexe, elle m’attire sur sa bouche. Nos langue s’activent sur nos sexe, je sens mon clitoris gonfler, je sens le sien en faire autant, nous finissons par jouir à une seconde d’intervalle. Nos corps tremblent l’un sur l’autre secoués par des spasme puissants, je jouis comme si c’était la dernière fois, mais je sais que c’est elle qui me donne cet orgasme, elle que j’aime de tout mon cœur, elle qui fait maintenant partie intégrante de ma vie. Maman revient de la cuisine. –Il serait temps de manger les filles, il est presque vingt et une heures, il fait encore jour, mais moi, j’ai sommeil, la journée a été pénible.–Pénible ?–Simplement ce matin ma chérie, je dois dire que j’ai vécu un merveilleux après-midi, aimée par deux magnifiques filles.–Et je peux te dire que je recommence quand tu veux Eléanore, j’ai la permission de ta fille, et elle aussi a ma permission. –Je m’en souviendrai mes chéries, il est évident que Charlotte reste cette nuit.–Et les suivantes, nous irons chercher ses affaires demain. Nous mettons la table à côté de la piscine, il fait encore chaud à cette heure-ci. Le repas est très agréable, nous sommes heureuses de la vie que l’on mène, nous savons être entourées d’amour. Nous nous amusons à donner la béquée à maman, elle ne peut pas se servir des couverts. Maman nous quitte après le repas, nous rangeons tout, et décidons d’aller nous plonger dans la piscine, mais maman a besoin de moi. –Chérie, viens, je suis aux toilettes. Je vais la rejoindre, elle ne peut pas s’essuyer, ça, c’est moins marrant. J’en profite pour lui laver les dents, elle ne peut pas se saisir de sa brosse. Charlotte me rejoint pour lui donner une douche, elle s’accroupie devant elle pour lui brouter le minou pendant que je la caresse en faisant semblant de la savonner. Maman jouit dans mes bras, je suis obligée de la serrer dans mes bras pour l’empêcher de tomber. Mais j’ai moi aussi envie de son sexe, je m’accroupie à mon tour devant elle, Charlotte la caresse avec du savon, ma langue s’active entre ses lèvres liquéfiées jusqu’à ce que je la sente de raidir et jouir dans les bras de Charlotte. Celle-ci prend une serviette pour la sécher, c’est une nouvelle occasion de la faire jouir. Une fois sèche et après avoir joui trois fois, elle va se coucher. –Merci mes chéries, je crois que je vais bien dormir, je suis repue. Elle se dirige vers sa chambre, nous allons plonger dans la piscine pour nous amuser un peu, mais c’est l’envie de l’autre qui l’emporte. Nous ne cessons de nous embrasser, nous caresser, nous faire jouir. Nous finissons par sortir au bout d’une bonne heure, il fait nuit mais nous n’avons pas envie de dormir malgré notre fatigue. Une fois douchées et séchées, nous allons nous coucher dans ma chambre. Charlotte s’allonge sur le lit, je m’allonge sur elle, nos corps se soudent, nos pubis se frottent. J’ai envie de l’enlacer, de la câliner, de la caresser, de la rendre heureuse, mais surtout, j’ai envie de sentir son corps contre le mien, c’est un besoin viscérale. Nous restons immobiles un long moment, mais je sens le sommeil commencer à m’envahir. –Je crois que je vais dormir mon amour, excuse-moi.–Mais non ma chérie, moi aussi j’ai envie de dormir, laisse toi aller, je suis là, je t’aime, je veille sur toi.–Je t’aime, à demain. Je ne résiste pas plus, je m’écroule de sommeil dans ses bras, contre son corps adoré. Mes rêves sont remplis de Charlotte me faisant l’amour et de moi lui faisant l’amour, maman n’apparait pas, seule Charlotte illumine ma nuit.  Le lendemain, je me réveille avant Charlotte, je me glisse entre ses jambes pour lui titiller son petit bouton d’amour. Elle ondule doucement du bassin, je continu jusqu’à ce qu’elle explose dans un superbe orgasme. Je vois son visage rayonnant de bonheur, je fonds et me précipite sur ses lèvres. Nous échangeons un long baiser pendant qu’elle me caresse le dos et les fesses. Je ne veux pas qu’elle me fasse la même chose, nous allons prendre une douche, mais là, elle en profite pour me faire une minette. Une fois séchées, nous allons dans la cuisine, maman est déjà là, elle regarde la piscine, elle est nue comme nous. Je l’enlace et pose mes lèvres sur son cou, Charlotte me pousse pour prendre ma place, elle me fait un signe du menton pour que je m’accroupisse devant elle. Je passe devant maman, lui saisis les hanche et l’attire sur ma bouche. –Doucement chérie, doucement. Je ne l’écoute pas, ma langue s’active sur son sexe, à tel point qu’elle se laisse aller en ouvrant un peu ses cuisses. Je me délecte de sa cyprine, c’est pour moi le meilleur petit déjeuner, je la lape, la suce, l’aspire, la lèche, titille son clitoris jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant son plaisir.  –Ah oui ma chérie, oui, oh lala, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Je ne la libère que quand je la sens un peu plus détendue, je me redresse, Charlotte me fait comprendre qu’il faut que je la remplace. Je l’enlace de nouveau, c’est Charlotte que s’agenouille devant elle. –Non, ça suffit, je veux déjeuner. Charlotte reste sourde à ses suppliques, elle se jette sur son sexe pour la faire une fois de plus jouir au bout de deux minutes. –Oui, oui, encore, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Je sens le corps de maman vibrer dans mes bras, ma fontaine à cyprine s’ouvre une nouvelle fois, je maintiens maman sur ses jambes, je sens qu’elles sont un peu flageolantes. Elle met sa tête en arrière, je pose mes lèvres sur les siennes, mais on ne peut pas s’embrasser normalement, je la fais pivoter pour l’embrasser fougueusement. Elle me rend mon baiser, je lui caresse le dos, mais je suis surprise de tomber sur la tête de Charlotte quand je veux lui caresser les fesses. Elle lui a écarté les fesses pour lui titiller la rondelle et ça ne la laisse pas indifférente. Maman commence à onduler du bassin, je glisse une main entre nos corps pour aller lui titiller le clitoris. La conjonction de nos deux mouvements l’amène à un nouvel orgasme assez dévastateur, je suis obligée de la serrer très fort pour qu’elle ne s’écroule pas sur le sol de la cuisine.
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