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Ma maman chérie

Chapitre 8

Inceste
Le concours
–Et maintenant, après le face, le pile.–Tu ne veux tout de même pas qu’on te défonce le cul maintenant ?–Et pourquoi pas, je suis en forme, il faut en profiter.
Charlotte enlève son gode ceinture, elle vient vers moi.
–OK, mais ce n’est pas moi, tu veux qui pour ta rondelle ?–Je veux maman.
Charlotte la regarde, elle semble encore plus émue, elle vient vers moi.
–Vraiment chérie, tu veux que ce soit moi ?–Oui maman chérie, je veux que ce soit toi qui me défonces le cul.–OK amour.
Elle prend la ceinture de Charlotte, je remarque que la ceinture contient un autre gode à l’intérieur. Maman l’ajuste et se l’enfonce dans le vagin, Laetitia me badigeonne l’anus de graisse, je pointe les fesses vers le haut, je veux dégager mon anus au maximum. Christelle me met trois oreillers sous le pubis, mon cul pointe vers le ciel. Je sens le corps de maman se poser doucement sur le mien, le gode se glisse entre mes cuisses. Elle bouge de manière à l’amener en contact de ma rondelle. Je sens une main le guider, elle pousse lentement, j’écarte mes fesses avec mes mains, je sens le gland du gode s’enfoncer et mon anus s’ouvrir, une gêne apparaît, le gode s’enfonce encore un peu plus, là, c’est mon sphincter qui s’en mêle, il ne veut pas. La douleur devient très forte.
–Doucement maman chérie, doucement.–Très bien chérie.
Elle s’arrête, ne bouge plus, mon sphincter commence à se détendre, il s’assoupli. Je me sens un peu mieux, la douleur a disparu.
–Vas-y, tu peux recommencer, mais lentement.

Elle pousse de nouveau, le gode glisse lentement, je le sens s’enfoncer dans mon rectum, j’en éprouve une étrange sensation. Charlotte vient s’allonger à côté de moi.
–Ça va mon amour ?–Oui amour, très bien, je sens que je vais jouir aussi avec mon cul, aide moi.
Maman s’enfonce de plus en plus, la douleur revient mais moins forte, elle s’arrête un instant, je sens mon sphincter se détendre un peu, la douleur s’estompe, comme si elle le sentait, elle reprend sa progression jusqu’à ce que je sente son ventre contre mes fesses.
–Ça y est, il est complètement enfoncé, ça va chérie ?–Oui, vas-y, défonce moi le fion.–Quel langage ma chérie, tu te dévergonde.
Laetitia ajoute un de peu de graisse, maman commence ses mouvements, je sens mon sphincter accepter de mieux en mieux cet intru qui me maltraite. Au bout d’un petit moment, je ne sens presque plus rien.
–C’est bizarre, je ne sens presque plus rien.–Un instant ma chérie.
Je sens le gode sortir de mon anus, trente secondes plus tard il revient, mais cette fois, il m’ouvre encore plus l’anus, elles ont changé de gode !!
–Oui, celui-là je le sens mieux, vas-y maman chérie, vas-y à fond, je veux le sentir me défoncer la couenne.–Ne t’en fais pas, j’y travaille.
Le rythme devient très important, je sens mon anus se dilater comme jamais, le gode glisse librement dedans me procurant un plaisir que je ne connais pas. Charlotte s’occupe de mes seins et de ma bouche, au bout de quelques minutes, j’explose dans un sublime orgasme. Je suis complètement submergée par une onde de plaisir inconnu, ce n’est pas la même chose qu’avec mon sexe, mais c’est aussi divin. Je sens le gode quitter mon cul, un flash m’ébloui, quelqu’un nous a fait un souvenir. Une langue le lèche, je sens qu’il ne s’est pas encore refermé, la langue reste dessus jusqu’à ce qu’il soit complètement fermé. Je me lève, Christelle vient m’embrasser.
–Super, tu as été super, moi, j’ai attendu deux ans avant de me faire faire le cul.
Tout le monde est bien, nous mangeons joyeusement, chacun raconte ce qu’elle a ressentie en me voyant me faire dépuceler des deux orifices. Nous faisons toutes une sieste, et passons le reste de l’après midi à la plage, les rochers étant pleins.
Le lendemain matin, nous arrivons sur les rochers vers huit heures, nous prenons les meilleures places et attendons les deux mecs, ils arrivent un quart d’heure plus tard et s’installent à côté de nous. Nous avons choisi les places de manière à être isolées de la plage, il faut être à trois mètres de nous pour voir ce que l’on fait. Nous nous caressons les unes les autres, les mecs bandent devant le spectacle.
–Je ne savais pas que ça pouvait être aussi bandant de voir des meufs se caresser.–Je vois à vos sexes bien raides que ça vous fait de l’effet, mais j’espère que vous allez rester calmes.–Ne t’en fais pas, on va se calmer dans l’eau.
Ils se lèvent et descendent dans l’eau. Charlotte met son gode ceinture avec le gros gode et les suit. Laetitia me badigeonne l’anus avec sa graisse, elle m’enfonce deux doigts dedans pour bien lubrifier l’intérieur.
–Ne t’en fais pas, cette graisse résiste très bien à l’eau, elle ne va pas partir une fois que tu auras rejoint Charlotte.
Je descends rejoindre Charlotte, un des mecs est venu tâter le gode.
–Et tu vas lui mettre où ?–Dans le cul, comme toi.–C’est un bel engin, nous sommes presque à égalité.
Il faut dire que le gode est gros, mais un peu moins que le sexe de l’autre homme. Les mecs se mettent en place, Charlotte se met derrière moi et fait glisser le gland du gode entre mes fesses pour venir cogner sur mon anus.
–Prêtes les filles ?–Prêtes.
Je sens le gode s’enfoncer en moi, j’ai une légère douleur, mais c’est très supportable, limite excitant. Je vois que l’homme à côté a lui aussi enfoncé son sexe dans le cul de son copain. L’eau est assez claire pour que l’on puisse bien voir les mouvement des une et des autres. L’homme enculé me regarde et me tend la main, je la lui prends et la serre fort. Il me transmet son plaisir, je lui transmets le mien. Je sens dans sa main qu’il va jouir, il doit sentir que moi aussi je suis au bord de l’orgasme, je le sers encore plus fort. J’explose dans un super orgasme en sentant sa main m’écraser la mienne. Je sens Charlotte se raidir comme si elle jouissait elle aussi.
–Ah vas-y mon salaud, vide toi dans mon cul, vas-y, vas-y, je jouis, c’est bon.
Je ne m’exprime pas, mais le cœur y est. Quand nous revenons à nous, et que nos partenaires nous libèrent, il s’approche de moi, met une main sur mon épaule et me fait deux bises.
–Je ne savais pas que je pouvais jouir comme ça, c’est un peu grâce à toi, merci belle inconnue, il vaut mieux que nous restions dans l’anonymat. –Merci à toi aussi.–Tu te fais sodomiser depuis longtemps ?–Non, je me suis fait dépuceler hier des deux orifices, l’un après l’autre.–Depuis hier ?–Oui, c’est ma copine qui m’a dépucelé et ma mère qui s’est occupé de mon cul, c’était génial, j’ai pris mon pied les deux fois. –Avec des godes.–Oui, ce gode ceinture.
Charlotte a défait sa ceinture et montre l’engin aux mecs.
–Et en plus, ce n’est pas une allumette, et toi ma belle, tu te fais sodomiser aussi ?–Oui, et même tout de suite, si ma chérie veut bien enfiler ça.
Je ne me le fais pas dure deux fois, j’enfile le gode interne dans mon vagin et boucle la ceinture. Charlotte se tourne devant moi, je suis étonnée, elle va souffrir si elle ne met rien.
–Tu est prête ma chérie ?–Oui, ne t’en fais pas, je me suis badigeonné le fion avant de descendre dans l’eau, tu vas pouvoir me défoncer tranquillement.
Je me positionne derrière elle, je guide le gode entre ses fesses et pousse un peu, je ne sens pas trop de résistance, il s’enfonce dans son anus en douceur, comme si c’était normal.
–Il a l’habitude, vas-y, tu vas voir, c’est jouissif.
Je vois que les mecs ont eux aussi inversé les rôles, Charlotte prend la main du mec enculé, il lui sourit. Je me déchaîne dans le cul de mon amour, mais je comprends ce qu’elle a voulu dire. Le gode interne bouge à chacun de mes mouvements et m’excite, je vais finir par jouir comme elle. Quand je sens le corps de Charlotte se raidir, je suis déjà au bord de l’orgasme, je donne deux derniers coups de reins. J’explose en même temps qu’elle, je la maintiens en position, je veux la sentir jouir, je veux sentir son corps exploser de plaisir. Les mecs jouissent aussi, c’est la synchronisation parfaite.
Une fois revenues à nous, j’enlève la ceinture, je me retourne vers les filles pour voir si elles veulent aussi s’amuser juste au moment où la vedette de la gendarmerie maritime passe à quarante mètres. Je planque la ceinture, pendant que les mecs plongent sous l’eau, ils passent lentement, ils ne doivent pas nous avoir vu en train de baiser, mais ça veut dire que le coin n’est pas sans danger. Les deux mecs émergent, ils nous regardent en riant.
–Une fois, ils sont passé au même endroit, j’avais mon sexe dans son fondement, on rigolait beaucoup, ils nous ont regardés et ont continué, je ne sais pas s’ils ont compris ce que nous faisions, mais ils nous ont laissés tranquilles.–Je ne veux pas courir le risque.–Tu as raison, mais je ne regrette pas l’instant que je viens de vivre, c’était sublime, jamais je n’aurais cru faire ça avec des filles, merci beaucoup.
Nous sortons tous de l’eau, je me sèche au soleil, je câline un peu ma chérie d’amour, elle me câline aussi, nous arrivons à jouir deux fois. Les mecs sont verts de jalousie, ils ne peuvent pas faire la même chose, ça se voit trop.
Nous rentons vers midi à la maison. L’après-midi a été comme la veille, sieste et plage. Les vacances se sont passées tranquillement, on a vu les deux mecs presque tous les jours pendant trois semaines, on ne connaît pas leur nom. Les matins étaient consacrés à l’amour sous l’eau accompagnées des mecs, nous n’avons plus jamais vu les gendarmes. Nous sommes rentré à la fin du mois d’août, maman était complètement guérie, tout le monde est resté à la maison.
Tout ceci s’est passé en deux mille six, depuis, nous vivons toujours toutes les six dans la maison, nous nous sommes toutes mariées en deux mille treize, chacune de nous a été le témoin d’une d’entre nous. Nous avons toutes un travail intéressant, moi dans l’aéronautique comme maman et Charlotte, Laetitia à monté un commerce de bonneterie avec Amaïa, et Christelle est toujours infirmière libérale.
En deux mille quatorze Charlotte et moi avons adopté deux enfants de quatre ans, un garçon venu du Laos, Nouane et une fille venu du Sénégal, Mariama. Ils ont maintenant onze ans et sont adorables, ils adorent avoir six mères qui les chouchoutent. En deux mille quinze, Laetitia et Amaïa ont adopté deux filles de deux ans venus de Thaïlande, Lamaï et Malee, elles sont de la famille thaï de Laetitia, elles aussi aiment leur vie. Mais c’est surtout Nouane qui est gâté, il est le seul mâle de la maison, et toutes ses sœur le bichonnent quand elles ne l’embêtent pas. Maman et Christelle n’ont pas voulu en adopter, elles trouvent qu’il y a assez d’enfant dans le parc. Il a fallu sécuriser un peu plus la piscine, et la maison, mais ça fait partie du jeu.
Nous sommes formidablement heureuses et ne voulons rien changer à notre mode de vie, même si ça déplait à certain.
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