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Maman, compagne, et vis versa.... Tout se mélange.

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Mathieu, j’ai presque 30 ans et je vis avec une fille ravissante, Carole.
 Depuis que Carole et moi avions acheté un appartement, on se voyait beaucoup moins souvent avec ma mère. Une fois ou deux par mois maxi. A mon âge il était temps de couper le cordon ombilical. Mais j’aimais toujours venir la voir, qu’elle me prépare ses bons petits plats, comme avant.
Ce jour là c’était jour de ménage pour ma mère, comme tous les vendredis. Avait elle oublié que je venais ? Car lorsque je rentrai dans la maison, la radio était à fond, un mauvais tube des années 80. Je savais que ma mère, qui avait des goûts musicaux un peu vieillissants, aimait mettre RFM lorsqu’elle s’occupait de ses tâches ménagères. La musique venait de la mezzanine, au dessus du salon. Dans l’intention de dire bonjour à ma mère, je montai donc les escaliers.Et c’est là, ayant juste passé la tête par l’ouverture de l’escalier, que je la vis. Ou plutôt, pour être précis, ce que j’eu la surprise de voir était deux belles grosses lunes, une paire de fesses bien en chaires. Et entre les fesses, une jolie fente. Car ma mère était à quatre pattes, jambes écartées, cul nu, une éponge à la main, en train de frotter une tache tenace sur la moquette. Avec la musique elle ne m’avait visiblement pas entendu rentrer.
Je restai bouche bée, me demandant si je ne rêvais pas. Mais il n’y avait aucun doute : ma mère ne portait qu’un t-shirt trop court et... pas de culotte.Entre ses cuisses écartées, je pus donc profiter d’un vue unique sur sa chatte bien poilue, avec ses grosses lèvres bien charnues. Splendide.Ma chère maman était bien cambrée en avant, le cul bien en arrière et les jambes bien ancrée au sol pour lui assurer une bonne stabilité. Et moi je n’arrivais pas à détacher mon regard de sa fente. C’était fou.
Inutile de dire que j’étais choqué. Jamais je n’avais vu son sexe de la sorte, aussi bien. L’intimité de ma mère, objet de mes fantasmes d’adolescent, m’était enfin révélée. Ébahi, je suis resté là un moment à la regarder sans pouvoir réagir. Ma mère se redressa, mit l’éponge dans le seau d’eau, l’essora, et se remit à frotter de plus belle. La tâche sur la moquette étant visiblement assez tenace.Qu’est ce qui m’a pris à ce moment là ? J’avais l’impression que c’était le moment ou jamais, et j’eu le réflexe d’attraper mon téléphone pour prendre une photo. Cela ne dura que quelques secondes. Puis, un peu affolé, je m’en allai. Ma mère ne m’avait toujours pas vu, concentrée sur cette tâche qui s’obstinait.
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Evidemment cet événement me laissa perplexe. Je rentrai à la maison et essayai de me changer les idées. J’avais pas mal de rangement à faire car la veille avec Carole nous avions invité des amis. Mais je n’arrivais pas à enlever de mon esprit la vision de la chatte de ma mère.
J’attrapai mon téléphone et je regardai la photo. La qualité était excellente : je voyais nettement sa vulve, ses poils châtain clair, ses deux grosses lèvres ouvertes et les petites lèvres roses délicatement ourlées qui dépassaient. J’éprouvais un bizarre sentiment de gêne, mais ce qui était plus étonnant : de l’excitation. Je glissai ma main dans mon pantalon, et surprise : c’était bien un début d’érection que je sentis.Depuis que j’étais adolescent j’avais dépassé ce stade où on va se masturber dans les culottes de maman ou la grande sœur. Mais la vision du sexe de ma mère m’avait replongé dans ces fantasmes anciens. Je découvrais que ma mère pouvait être parfaitement excitante. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Une petite branlette ne me tuerait pas.
Je sortis donc entièrement ma queue de mon pantalon, et commençai à laisser aller et venir ma main, dans de délicieux mouvements masturbatoires. Mon organe devint de plus en plus dur, long et épais. C’était très agréable. Je regardai la photo, fasciné par la fente de ma chère maman. J’avais un peu honte, mais bon, pourquoi se priver ? J’imaginais écarter ses lèvres, rentrer à l’intérieur, bouger en douceur mon sexe à l’intérieur de ce chaud vagin... Quel pied !J’accélérai encore mes mouvements et je sentis le plaisir monter. J’avais une envie folle de me libérer. J’allais donc éjaculer lorsque... j’entendis la porte d’entrée de la maison s’ouvrir. C’était ma compagne, Carole.— Coucou, tu es là Mathieu ?
Un peu en panique, brusquement tiré de mes rêveries solitaires, je remballai rapidement ma queue, sans avoir joui.— Heu... Oui, Carole, je suis dans la chambre. Je... J’arrive...
J’étais un peu frustré bien sûr. Mais après tout l’éjaculation pouvait attendre. Lorsque Carole me vit elle remarqua immédiatement que quelque chose clochait. Elle n’avait pas besoin d’être très fine psychologue pour sentir ma gêne.— Ca ne va pas, Mathieu ?— Si....Heu oui... ca va.— Mais non, tu es tout bizarre !— Ecoute.. Oui, il s’est passé quelque chose. Mais je ne sais pas si je peux te le dire...— Mais bien sûr que si, tu peux le dire. Allez, de quoi s’agit il ?— J’ai un peu honte. C’est d’ordre sexuel en quelque sorte.— Allez, tu peux tout me dire, Mathieu. N’oublie pas que nous avons juré de ne pas avoir de secrets à ce sujet l’un pour l’autre.
Carole avait raison. Nous vivions ensemble depuis plus de deux ans, et nous avions une vie sexuelle très animée. Nous avions d’ailleurs testé pas mal de clubs libertins, fait ensemble à peu près toutes les experiences possibles, échangisme, gang bang etc... Nous avions même essayé avec des partenaires du même sexe, des hommes pour moi, des femmes pour elle, et nous avions pris beaucoup de plaisir. Nous étions donc d’accord pour tout essayer, sans tabous. Alors j’espérais bien que Carole comprendrait que la vision de la chatte de ma mère puisse réveiller chez moi quelques fantasmes anciens.
— En fait, c’est au sujet de ma mère. il m’est arrivé un truc assez spécial aujourd’hui. Je l’ai vue à poil.— Comment ça ? Qu’est ce qui s’est passé ?
Je décrivis le détail de mon arrivée chez ma mère et le spectacle qu’elle m’avait offert malgré elle. Et le plaisir coupable que j’avais ressenti.Je n’avais pas peur de la réaction de Carole, car savais qu’elle était très tolérante, ouverte d’esprit. Mais avouer à sa compagne des désirs incestueux avec sa mère, ce n’est pas une chose si facile.
En l’occurrence Carole fut à la hauteur de ma confiance. En effet, au fur et à mesure que je lui décrivais la scène je remarquai qu’elle affichait une mine de plus en plus curieuse, voire gourmande.— Et tu en as pensé quoi ? Ca t’a excité ?Je baissai les yeux.— Oui j’avoue. J’ai même pris une photo, pour tout t’avouer.— C’est pas vrai ? Fais voir !
Je tendis mon téléphone à Carole, avec la photo.— Mon salop ! Je te comprends, dis donc ! Elle a une sacrée jolie chatte ta cochonne de maman !— Carole, c’est ma mère ! Tu ne peux pas parler comme ça !— Allez, fais pas ton petit innocent. Elle te fait bander ta mère, non ?...— Oui, beaucoup. — Alors fais voir ta queue !— Comment ?— Tu m’as bien entendue. Montre ta bite. Je vais te détendre un peu.
J’avais pour principe de ne jamais refuser ce genre de proposition lorsqu’elle venait de Carole. Elle avait des côtés vraiment pervers qui me plaisaient bien. Non seulement elle ne semblait pas choquée, mais en plus elle semblait toute émoustillée par la situation. J’enlevai donc mon pantalon et elle se saisit de mon sexe.— Ma parole Mathieu, tu bandes déjà ? Tu es bien excité !
En effet je ne pus nier. Et Carole n’eut pas beaucoup d’effort pour obtenir ma plus belle érection. Elle mit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer.— Mmmh c’est bon ça, tu as une sacrée bonne queue !— Et toi tu suces vraiment bien, Carole.— Je sais. Mais en même temps que je te suce, je voudrais que tu regardes la photo de ta mère.— Tu crois ? C’est gênant.— Allez, s’il te plaît. Vois ça comme une expérience. Je voudrais vérifier dans quelle mesure ça t’excite. Rallume ton téléphone et regarde son minou. Et laisse moi faire.
Pendant que Carole se remit à me sucer, je regardai à nouveau la photo. Je devais avouer que le cul de ma mère était particulièrement excitant. Et quelle vulve ! Charnue, régulière, avec des belles lèvres. J’imaginai qu’au lieu de m’en aller j’aurais dû rester, pendant qu’elle frottait sa moquette. J’aurais dû oser m’avancer encore un peu, me mettre derrière elle, poser la main sur ses fesses. Elle aurait été surprise de me voir, c’est sûr. Sans doute qu’elle aurait protesté en me disant que je suis son fils, que ça ne se fait pas ce genre de choses. Mais après ça, peut être qu’elle se serait laissée faire ? J’aurais adoré caresser son cul glisser mes doigts dans sa fente... J’aurais alors mis ma langue... ma queue... Ca devait être tout large, tout humide. Un régal.— Merde, tu bandes sacrément dur ! s’interrompit Carole. Ca te fait de l’effet !— Oui, je dois reconnaître que c’est vraiment bon.— Tu sais quoi ? J’ai envie que tu me baises en pensant à elle.— Te baiser ? En pensant à ma mère ?— Oui. Avec ta mère on a un peu la même corpulence, un peu rondes toutes les deux, des gros seins. Imagine que je suis elle, que c’est vraiment sa chatte que tu pénètres.— Mais... Carole, et toi ? Ce coup ci, c’est pas très respectueux pour toi. Je ne peux pas faire ça !— Ne penses pas à moi. Prends ça comme une possibilité de réaliser un de tes fantasmes. Et pense à ton plaisir. Ferme les yeux, imagine ta mère à ma place, et laisse toi aller.
Baiser ma copine en pensant à ma mère ? Là encore c’était quelque chose de nouveau pour moi. Mais pourquoi pas ?Carole se déshabilla, enleva soutien-gorge et culotte, et écarta les jambes. J’adorais sa chatte. Moins poilue que celle de ma mère, certes, car contrairement à elle, Carole s’épilait. Mais à part ça, une fois à l’intérieur je ne ferais plus de différence...
J’orientai donc ma queue vers la vulve de Carole, et je poussai. Elle était réellement excitée, parfaitement humide. En quelques secondes j’étais en elle. Les yeux fermés j’imaginai ma mère à la place de Carole. En même temps que je la baisais, je caressais ses seins et je me disais que ceux de ma mère devaient beaucoup leur ressembler. Aussi ronds et lourds. Moins fermes sans doute, mais tout aussi excitants.
Je m’imaginai glisser doucement, faire des va et vient au fond de son vagin. Et c’était génial. J’ouvrai les yeux et regardai alors ma bite. Elle était longue et dure, elle coulissait avec facilité dans le vagin de Carole, trempé d’une cyprine blanchâtre qui s’étalait sur ma queue. Ma mère mouillait-elle de la même cyprine blanche, abondante ? Cette idée me ravit.
Une telle stimulation de mes fantasmes eu des conséquences réelles : je réalisai qu’il me serait rapidement impossible de me retenir. Le plaisir était trop fort.— Carole je suis trop excité.— C’est pas grave mon coeur, vas y, jouis en moi !
Cette dernière phrase acheva de m’exciter : "mon cœur". C’était exactement comme ça que ma mère m’appelait. Carole le savait bien, la coquine !Alors je me laissai aller, me lâchant sans retenue à l’intérieur de ma Carole. Mais si c’était bien ma compagne qui recevait mon sperme, dans mon imaginaire c’était à l’intérieur de ma mère que je me libérais. Ce fut une jouissance extraordinaire, vraiment intense. Le plaisir à l’état pur.Carole attrapa alors des kleenex pour essuyer sa chatte, d’où coulait mon jus.
— Hé bien mon salop, tu as beaucoup joui. Ca t’a vraiment excité cette petite expérience !— Carole, c’est toi qui m’a dit de penser à elle...— Je sais. C’était très efficace en tous cas !— Mais ça me gène un peu quand même. On en a fait, des trucs ensemble. Mais là c’est un peu incestueux comme fantasme... — Et alors ? Ne sois pas gêné, tu n’es pas le seul à avoir ce genre de désir secret. Si tu savais le nombre de mecs qui ont ce genre de fantasme, tu serais surpris. Et puis même, si ça se trouve ta mère a même fait exprès de te laisser la voir. Elle savait que tu venais. Non ?— Ne délire pas, Carole. Ma mère est une femme respectable. En plus elle est catholique pratiquante. Jamais elle n’aurait fait ça.— En attendant elle fait souvent son ménage à poil ?— Je sais pas. Je ne crois pas.— C’est bien ce que je dis. A mon avis elle l’a fait exprès. Et elle a touché dans le mille, car ça t’a excité comme un adolescent. 
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Cette expérience avec Carole avait été très perturbante. Et en effet très excitante. La nuit je fis des rêves où les visages, et les corps, de ma compagne et de ma mère se mélangeaient.Allongé contre Carole, j’imaginai le corps nu de ma mère et je me mis à bander à nouveau. Je sentais ses formes, sa chaleur, et je me mis à frotter ma bite déjà dure contre ses fesses. Dans un demi sommeil Carole ne refusa pas le contact. Au contraire elle commença à frétiller, remuer son derrière contre moi. Imaginant que c’était le cul de ma mère, j’essayai de me frayer un passage. Carole, complètement réveillée, se mit alors à quatre pattes.
— Ta mère était dans cette position, lorsque tu l’as surprise dans la mezzanine, c’est ça ?— Oui c’est ça.— Alors écarte mes cuisses, regarde tout, et pense à ta mère. Et mets ta queue.
Obéissant à Carole j’écartai l’opulente masse de ses fesses, découvrant toute sa fente jusqu’à sa petite rosette. Malgré la semi obscurité, je distinguais clairement toutes les formes de son intimité. Il ne me fut pas difficile d’imaginer que c’était le sexe de ma mère qui était là, à nouveau offert. Je positionnai ma queue à l’entrée du vagin et je poussai. Comme d’habitude c’était franchement délicieux. En même temps que je réalisais des va et vient, je laissais glisser un doigt du côté de son anus. Le petit trou du cul de ma mère. C’était là l’ultime fantasme. 
A l’époque de mon adolescence, pas mal de mes copains disaient en rigolant qu’ils avaient ce fantasme : sodomiser leur mère. Ca me choquait à l’époque, car j’étais puceau, et l’idée même de faire l’amour à une femme me faisait frémir. Alors sodomiser ma mère ??? Il y avait là quelque chose de doublement transgressif. L’interdit de l’inceste augmenté de à celui de l’interdit religieux de la sodomie... Mais là, plus de 10 ans après, j’avais tout réalisé en matière de sexe et je n’avais plus aussi peur de cette transgression. J’en avais même très envie. 
Alors je mouillai un doigt avec de la salive et je l’introduis doucement dans l’orifice. Carole me laissa faire. Je poussai un peu encore, plus profond.— Tu veux me prendre par là ? murmura Carole. Tu penses que ta mère aimerait ça ?— Je ne sais pas.— Si. Moi j’en suis certaine.
Je sortis ma queue du vagin et je la présentai à l’entrée de son petit trou. D’abord je rentrai le gland, doucement, puis je poussai ma queue de plus en plus profond. Carole adorait ça, je le savais.Mais dans mes fantasmes ce n’était pas le cul de Carole que j’étais en train de pénétrer, c’était bien celui de ma mère. Et je me régalais.
Je passai ainsi un long et délicieux moment dans le cul de ma Carole/maman , puis je revins dans son vagin. 
Ce n’est qu’après avoir joui que je repris contact avec la réalité. Carole était allongée à côté de moi, toute dégoulinante de mon sperme.
— Tu étais très excité ! me dit elle doucement. Tu as pensé à elle ?— Oui... Tout le temps. Ca te gêne pas ?— Pas le moins du monde. Si ça peut te donner du plaisir, ça m’excite aussi. D’autant plus que je suis sûre que ta mère aurait aimé ça.— Tu crois ?— Oui, ta bite était vraiment dure. N’importe quelle femme aurait adoré ça, y compris ta mère. Je suis sûre qu’elle en aurait eu envie.
En disant ça Carole ne faisait que renforcer mon excitation.
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Le soir suivant Carole rentra du boulot un peu plus tard que d’habitude.— Bonjour mon chéri. Ca va ? Tu as passé une bonne journée.— Ca va. Et toi ? Tu rentre tard !— En effet. C’est parce que je suis passée chez ta mère.
Je suis devenu blanc. Ma mère et Carole était très copines. Elles s’appréciaient et aimaient discuter ensemble. Mais il était très rare que Carole aille la voir comme ça, sans raison spéciale.— Chez ma mère ? Mais... pourquoi faire ?— Comme ça, pour parler un peu.— Parler de quoi ?— Mmmh, de choses et d’autres... Et j’ai récupéré quelque chose chez elle. Regarde !
Elle ouvrit son manteau et par dessous je vis qu’elle portait une robe que je reconnaissais bien. C’était une jolie robe blanche, courte, avec des petites fleurs roses.— Carole, c’est la robe de ma mère ? Elle l’a depuis des années, cette robe, depuis que je suis enfant. Elle la mettait tout le temps, avant.— En effet. Et je lui ai gentiment empruntée.— Elle te l’a donnée comme ça ?— Oui. Je lui ai dit que j’aimais beaucoup le tissu et que je voulais trouver le même. Ca l’a un peu surprise mais elle me l’a laissée.— Mais... Pourquoi tu as fait ça ?— Pour notre petit jeu j’ai pensé que ça t’aiderait à te stimuler que je mette sa robe. Comme pour me mettre dans sa peau. Je lui ressemble un peu, comme ça ?— Oui. Un peu. Ca me fait bizarre de te voir avec cette robe.— Elle me va bien, tu trouves ?— Oui, pas mal...— Bien, tant mieux si tu aimes. Mais regarde, ça n’est pas fini.
Sans un mot Carole alla s’asseoir dans le canapé et doucement elle releva la robe. Elle exhiba une jolie petite culotte noire.— Et cette petite culotte, tu la reconnais aussi ? demanda t-elle.— Non...— Elle aussi appartient à ta mère. Là je dois avouer que je l’ai empruntée sans lui dire. Elle était en train de sécher sur l’étendoir dans la salle de bain. Il y avait plein d’autres culottes, elle ne remarquera rien.
Bouche bée je regardai la petite culotte dévoilée. Elle était en dentelle, très mignonne. Je me rappelai qu’en effet ma mère mettait ce genre de petites culottes noires un peu sexy. Ca me faisait tout drôle de la voir portée par Carole. Ca avait quelque chose de très excitant.— Elle me va bien, n’est ce pas ? continua Carole. On a presque la même taille, avec ta mère. Elle est sexy, non ? On distingue les formes ma chatte par dessous, non ?— Oui, assez facilement.
Elle commença à se caresser à travers la culotte. Elle écarta alors le rebord de sa culotte pour pouvoir se toucher plus aisément, à l’endroit exact de son clitoris. J’imaginai alors ma mère faire le même geste. 
Lorsque j’étais plus jeune, il m’était en effet souvent arrivé de l’imaginer seule, allongée dans son lit, nue, se caresser le clitoris de la même façon. Je serais bien venu l’aider un peu. 
La vision de la vulve de Carole, déjà gonflée de désir, toute humide, ne fit que renforcer mon excitation. Elle glissa un doigt au fond de son vagin, commença de lents va et vient masturbatoires. Tout se mélangeait.. Ce n’était plus Carole j’admirais en train de se doigter, c’était bien ma mère. Elle continuait ses mouvements de masturbation, alternant délicieusement entre son clitoris et son vagin, écartant bien les chaires de son sexe pour bien m’en dévoiler l’intérieur.Je commençai à comprendre que Carole prenait elle aussi un grand plaisir à jouer à ce jeu. Se faire passer pour ma mère l’excitait elle aussi beaucoup.
— Tu crois que ta mère se caresse souvent de la sorte ? demanda t-elle doucement.— J’imagine que ça lui arrive, oui.— Ca t’excite ?— Beaucoup, oui.— Alors sors ta queue et branle toi devant maman.
J’obéis immédiatement à cet ordre impérieux. Je baissai mon pantalon et pris mon sexe déjà dur dans ma main. Je me mis à me masturber allègrement.  
— Ta queue est belle, Mathieu. Je suis sûre que ta mère l’adorerait. Je suis certaine qu’elle aimerait te sucer.— Tu crois ? ...— J’en suis sûre. 
Elle s’avança vers mon bas ventre et mit ma queue dans sa bouche. Elle commença à s’occuper de moi de façon admirable. Et je devais avouer que c’était délicieux.
J’étais depuis toujours persuadé que les mamans étaient bien placées pour faire d’excellentes fellations à leurs fils. Il faut tellement d’attention et d’amour pour faire ça bien. Et de l’expérience. Qui mieux qu’une mère pour faire découvrir ce genre de plaisir à son fils ? Ca devrait même être une obligation, un passage obligé dans l’éducation des jeunes hommes.A titre personnel, plusieurs fois j’avais rêvé que ma mère me fasse ce genre de gâterie, un soir, en venant me dire bonne nuit. Au lieu de ça elle se penchait pour me faire juste un sage baiser sur le front. Quel dommage ! Seule consolation : au moment où elle, se penchait vers moi elle m’offrait la fugace vision de ses gros nichons par l’échancrure de sa chemise de nuit. Était ce vraiment involontaire ? En tous cas c’était déjà pas mal et ça suffisait à alimenter mes fantasmes.
Pendant que Carole me suçait, je mis les mains dans ses cheveux et je les caressai. Dans mon imagination c’était la chevelure de ma mère que j’avais dans les mains. Sa douce chevelure parfumée que j’adorais caresser quand j’étais enfant. Et dans la bouche de ma maman Carole j’étais heureux. J’étais en train de perdre pied.— Ho oui c’est bon ! Je vais jouir, maman... !
Quelques spasmes et ce fut un orgasme incroyable. Je déversais mon jus dans la bouche de Carole avec délice. Et elle avala tout... Pour la première fois de ma vie, c’était comme si ma mère avait avalé mon sperme.Je mis quelques minutes avant de reprendre mes esprits.— Carole, je suis désolé. Je t’ai t’appelé "maman".— Et alors ? C’est un peu le jeu, non ? Le temps de quelques minutes je suis un peu ta maman, non ? Tu as pris ton pied ?— Oui, c’était délicieux.— Tant mieux, c’est le principal ! Tu as beaucoup joui, à nouveau. J’ai déjà vu des mecs excités par leur mère, mais toi c’est le summum.— Ca te gêne ?— Pas du tout, ça m’excite aussi beaucoup !
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Le jeu inventé par Carole devint alors une habitude. Les jours qui suivirent nous avions renouvelé maintes fois l’opération. J’étais bien conscient du caractère transgressif de ce type d’échanges, mais c’était tellement bon !Lorsque je baisais avec Carole, avec son assentiment j’imaginais que c’était ma mère que je tenais dans mes bras. Et je jouissais comme jamais je n’avais joui. J’étais au paradis.
Lorsque Carole allait voir ma mère elle revenait avec des affaires à elle. J’étais persuadé qu’elle lui empruntait tout ça sans lui dire. Elle s’habillait comme elle, mettait le même parfum qu’elle. Lorsque je la voyais ainsi vêtue, j’avais directement envie d’elle.Pour renforcer l’effet, Carole alla même jusqu’à arrêter de s’épiler. Son minou devint poilu, et ressemblait de plus en plus à celui de ma mère. (elles sont châtain clair toutes les deux). Je caressais affectueusement cette douce toison, puis écartais les lèvres de sa vulve, persuadé que c’était la vulve maternelle que j’explorais. Je descendais alors mon visage, approchais ma bouche, et me mettais à le lécher affectueusement. Le nez enfoui entre les chaires humides du sexe de Carole, je rêvais à celui de ma mère. Son jus était il aussi goûteux, aussi légèrement salé ?
La tête me tournait à force de la lécher, aspirer ce suc féminin, maternel. J’y passais un temps infini.Je me redressais ensuite et venais m’installer au dessus de Carole pour la pénétrer.Dans le feu de l’action, je lançai des "Ho Maman, c’est bon ! " et elle répondait "pour moi aussi, c’est bon, mon coeur. Délicieux". Emporté par mon désir, persuadé que c’était avec ma mère que je baisais, je bandais comme un fou.
Nous rentrions ainsi assez souvent dans ce jeu de rôle où les personnages de Carole et de ma mère se mélangeait de plus en plus.Carole se mettait dans sa peau le temps de l’amour, et j’en arrivais à les confondre.
Un soir alors que j’étais déjà au lit, Carole pénétra dans notre chambre juste vêtue d’une petite nuisette très sexy. Elle était en soie bleue, avec des petites dentelles un peu partout, plutôt courte. Carole m’avait prévenu qu’elle avait trouvé cette pièce de lingerie dans un des tiroirs de ma mère, et que j’allais beaucoup aimer ça. En effet j’étais ravi : je me souvins que ma mère la mettait souvent lorsque j’étais enfant, puis adolescent.
— Coucou mon chéri. Maman vient te dire bonne nuit. Tu aimes ma nuisette ?— Oui beaucoup.— Tu sais quoi ? Je n’ai pas de culotte dessous.— Ha ?— Tu veux que je te montre ?— Ho oui, maman, je veux bien !
Carole enleva alors sa nuisette. Et je vis son sexe.— Tu es si belle !— Merci mon chéri. Je suis tellement heureuse de te faire plaisir ! Laisse maman s’occuper de toi.
A nouveau elle me fit une fellation incroyablement délicieuse. Suite à quoi elle s’offrit à moi avec toute la douceur dont une mère est capable.Carole était impeccable dans son rôle de mère aimante, attentionnée mais aussi un brin autoritaire. Comme une vraie maman. C’est elle qui commandait, donnait les règles, et elle n’hésitait pas à me gronder si je ne suivais pas ses instructions. Et moi je ne savais vraiment plus où j’en étais. J’étais parfois tellement persuadé que c’était elle, ma mère, qui était dans mes bras, qu’en ouvrant les yeux j’étais presque surpris de voir Carole.
Dans mes délires, c’était bien son vagin que j’avais pénétré, et c’était en elle, ma maman d’amour, que j’avais joui, lâché tout mon sperme chaud. Plusieurs fois je l’avais sodomisée même, et là c’était le summum. Quel jeune homme peut se vanter d’avoir plusieurs fois sodomisé sa propre mère ?
Après la jouissance, heureusement (ou hélas ?) Carole redevenait ma compagne. Je m’inquiétais cependant d’être devenu aussi dépendant de ce jeu, de ce délicieux plaisir d’inceste par procuration.
— Carole. On devrait arrêter ça. Parfois lorsqu’on fait l’amour je ne pense plus du tout à toi. Je pense juste à ma mère. Ca me fait peur.— Mais c’est justement ça qui est intéressant ! — Oui, mais ce qui m’inquiète c’est que j’ai parfois l’impression de la désirer plus que toi.— Et alors ? Je ne vois pas où est le problème. Une maman c’est unique, irremplaçable. C’est normal de l’aimer beaucoup, la chérir plus que tout au monde. Et quoi qu’il en soit, moi aussi ça m’excite énormément.
Si dans ce jeu tout le monde prenait son pied, alors pourquoi pas ?
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La suite le 14/15 décembre si tout va bien... 
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