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Maman au concert

Chapitre 3

Inceste
Le lendemain matin, comme je le fais d’ordinaire le week-end, je lui apporte un petit-déjeuner au lit. Du café, un jus d’orange, une brioche fraîche beurrée, un pot de miel, le tout sur un plateau.
Mais ce matin, son regard semble triste. Je lui demande :— Qu’est-ce qui ne va pas ?— Je ... J’ai honte pour hier soir — Pourquoi ?— Eh bien, pour tout ce qui s’est passé ...— Quand tu m’as surpris dans la salle de bain ?— Oui ça et ... même avant, j’étais dans un état second !— Moi ... j’ai beaucoup aimé cette soirée, surtout danser avec toi— J’ai remarqué ! Mais ça ne se fait pas ! Je suis ta mère !— On n’est pas obligé de le crier sur les toits, et puis, toi aussi tu aimes ça, pas vrai ?
Elle ne répond pas et porte la tasse à ses lèvres pour boire une gorgée de café. J’ajoute :— Tu as probablement eu honte que je voie ce que tu avais en main, quand tu m’as surpris dans la salle de bain ? Ça ne me gêne pas du tout que tu te fasses plaisir toute seule. Je sais que tu ne veux pas d’un autre mari, alors tu peux bien utiliser un gode si tu veux ...— Ouh là là ! Comment parles-tu à ta mère ? (Elle reprend une gorgée de café avant de me sourire).— Ce n’est qu’un jouet, c’est fait pour avoir du plaisir ! Et toi maman, tu as aussi droit au plaisir.— Tu as vraiment grandi mon fils ! Pour tout te dire, il est cassé mon jouet, normalement ça vibre. J’ai bien changé les piles, mais rien n’y fait.— Je peux te le réparer si tu veux ?— C’est gentil, mais je n’oserais jamais te demander ça ! Allez, file maintenant, laisse-moi finir mon petit-déjeuner en paix.
Je m’éclipse de sa chambre afin de respecter son intimité. Je me sens fier d’avoir su aborder un sujet aussi sensible sans bafouiller. J’acquiers d’un seul coup plus d’assurance et de confiance en moi et ça me galvanise.
Quand elle arrive dans la cuisine en peignoir, les bras chargés du plateau de son petit-déjeuner, je me précipite pour l’en débarrasser, mais elle préfère le déposer elle-même sur le plan de travail. Je profite alors de me mettre derrière elle et lui biser le cou en lui tenant la taille.
Elle soupire et me dit :— Allons Denis, sois sérieux ...— Mais ... J’aime bien te faire des câlins. Tu n’aimes pas ça ?— Si, mais ...
Je glisse la main sur sa hanche et entre en contact avec la poche de son peignoir. Sous mes doigts, je sens l’objet caoutchouté qu’elle aime utiliser ... C’est son vibromasseur en panne !— Tu as quoi dans ta poche, maman ?— Tu le sais bien !— Es-tu d’accord pour que je te le répare ? Je peux au moins essayer ?— Ça ne te dérange pas ?— Donne-le-moi, je vais y jeter un œil.
Elle se retourne vers moi et rouge de confusion, me tend l’objet. Pour plaisanter, je le porte au niveau de ma braguette et, l’agite comme si c’était mon sexe bandé.— S’il te plaît, Denis, sois sérieux !— Tu as raison, la mienne est bien mieux que ce truc !— Je t’en prie, ne plaisante pas avec ça.
Hier soir, elle m’a surpris en train de me branler et a dû constater que mon sexe est mieux proportionné que son jouet. Elle a pu également constater, lors de notre danse érotique que je pouvais être bien raide, entre ses fesses. Pour couper court à mes grivoiseries, elle décide d’aller se laver.
Dès qu’elle a tourné les talons, je porte à mes narines le faux sexe et hume le parfum qui s’en dégage. Elle a eu beau le laver, il reste une légère odeur de mouille. Je me mets à imaginer ma mère faisant entrer et sortir cette chose entre ses jambes écartées et je sens frémir mon sexe d’excitation.
Alors qu’elle se prépare, j’ai tôt fait de réparer le système. Un point de soudure et l’engin est opérationnel. J’en profite pour bien nettoyer tous les composants internes et remettre les piles. L’appareil est comme neuf désormais.
Quand maman revient, je suis surpris par sa tenue. Elle porte des hauts talons, des collants à motifs, une jupe serrée, un chemisier relativement décolleté qui, en plus, laisse transparaître son soutien-gorge en dentelle.Elle s’est maquillée bien plus que d’habitude et ses longues boucles d’oreilles attirent le regard sur son cou. Assurément ce n’est pas la tenue qu’elle porte habituellement le week-end.— Tu es ravissante maman ! Tu dois sortir ?— Non, je reste ici— J’ai beaucoup de chance que tu te fasses belle pour moi.— Ce n’est pas que pour toi, j’avais envie de me vêtir comme ça... pour changer.— Tu es superbe en tout cas !— Merci mon chéri ! Tu as pu faire quelque chose pour mon ... truc ?— Oui, c’est réparé ! Va mettre de la musique et assieds-toi dans le fauteuil, j’arrive tout de suite. Sans demander la raison de ma requête, elle se tourne pour faire ce que je lui ai demandé.Je la regarde s’éloigner en fantasmant une fois encore sur le balancement de sa croupe.
Comme par hasard, elle choisit le morceau langoureux de son idole et s’assied dans le fauteuil. Je la rejoins en cachant son gode derrière mon dos et en lui recommandant de fermer les yeux. Je tourne la molette au minimum, mais dès que le gode se met à vibrer, elle ouvre les yeux et tourne la tête vers la source de bruit.
Je la gronde :— Ne triche pas, ferme les yeux — Qu’est-ce que tu vas faire ?— Détends-toi et laisse-moi faire
Elle obtempère et hoche la tête au rythme de la mélodie. Quand je pose le faux sexe sur son bras, elle a un frisson qui lui donne la chair de poule, mais garde les yeux fermés.Je fais glisser la hampe sur son épaule, puis sur la nuque. Sans m’attarder dans le cou, je reviens sur l’intérieur de son bras, fais un détour sur son aisselle et glisse le vibromasseur sur son flanc.
Elle sourit légèrement et semble apprécier ce que je fais ; car elle ne réagit pas quand je suis sur son ventre. Je remonte vers le galbe de son sein et elle se met à soupirer. Je glisse alors la hampe sous son autre sein. Elle ajuste sa posture et bombe le torse pour mieux profiter de ce massage vibrant. Je glisse progressivement vers son téton pour y faire de petits cercles avec le gland de cette fausse bite.
Je joue avec le bouton pour augmenter ou réduire le rythme des vibrations ce qui la fait tressaillir et émettre un long râle de plaisir. Elle me laisse œuvrer quand, de l’autre main, je déboutonne délicatement son chemisier tout en poursuivant alternativement mes cercles sur ses tétons qui saillent franchement à travers la dentelle de son soutien-gorge.
Maman a franchi le point de non-retour en me laissant lui peloter la poitrine. Elle ne peut prétexter une ivresse. Il est clair qu’elle assume désormais que son fils puisse lui procurer du plaisir.
Je remarque qu’elle écarte progressivement les genoux et en déduits qu’il me faut changer la zone de stimulation. Je m’agenouille près d’elle et promène l’objet sur son torse. Progressivement, je converge vers son bas-ventre. Sa jupe m’empêche d’atteindre son pubis. Aussi, toujours en promenant l’objet, je lui caresse la cuisse jusqu’au genou, puis remonte lentement en passant le gode à l’intérieur de sa jambe. Avant que je n’atteigne le bas de sa jupe, d’elle-même, maman la remonte pour me faciliter l’accès, en écartant très franchement les jambes.
Outre qu’elle ne porte pas des collants, mais des bas, elle ne porte pas non plus de culotte.La vision de la vulve maternelle dope un peu plus mon érection. Je glisse la hampe sur son autre cuisse et me dirige petit à petit vers sa chatte.
Cette fois, ses soupirs se font plus forts et elle déplace son bassin pour venir à la rencontre de l’objet. Je fais glisser la hampe sur son clitoris et elle se met à geindre, surtout que je crois avoir trouvé la bonne fréquence des vibrations.
Elle glisse sa main entre les jambes et écarte ses lèvres. Le message qu’elle m’envoie est vite compris. Je dirige le gland vers l’entrée de son vagin et entre en elle très facilement. J’y vais avec une lenteur extrême et ne fais que jouer avec la molette pour moduler la fréquence.
Je trouve à la fois la bonne profondeur et le bon rythme pour la voir se tordre dans tous les sens. J’entreprends alors de faire coulisser en elle le gode, comme le ferait un vrai pénis lors d’un rapport. Elle se contorsionne dans tous les sens, mais j’accentue à la fois la cadence et la profondeur de pénétration. Sa poitrine qui tressaute m’attire trop. Je me penche et gobe le téton à travers le soutien-gorge.
Maman me bloque la main en serrant les cuisses et se met à jouir intensément, en râlant à tout va. D’une pression réflexe de sa main sur mon bras, elle me fait sortir d’elle brusquement ce qui la pénètre et tente de reprendre son souffle, les yeux écarquillés de reconnaissance pour ce plaisir intense.
La vision de sa robe retroussée, de sa chatte poilue, du gode humide, tout me donne envie d’elle. Toujours agenouillé, je me place entre ses jambes que je tente d’écarter.— Mais Denis ! Qu’est-ce que tu fais ?— Je veux te lécher— Non, mais ça va pas !— Allez ... laisse-toi faire... J’ai trop envie
Elle me regarde avec un air étrange, mais ne résiste pas quand je lui écarte les genoux. Je donne un coup de langue au bord de son vagin et recueille de la liqueur au goût suave. Je remonte et donne un autre coup de langue sur son clitoris gonflé.
Elle sursaute, resserre ses cuisses en me pressant la tête. Même étouffé, je lèche à tout va son petit bouton charnu. Elle me pousse sur la tête en me suppliant d’arrêter.
Je cramponne ses hanches et me mets à brouter, sucer, lécher, aspirer, mordiller sa petite bite. Elle se contorsionne dans tous les sens, mais je n’abandonne pas pour autant. Elle crie :« Non, non, arrête ! » suivi de « Oui, Ouiiii, Argh ! Oh oui ! Encore ! Oui ! Oui ! »
Ses jambes s’écartent et se referment spontanément en tremblant. Je glisse les mains pour peloter sa poitrine et regrette la présence de ce soutien-gorge. Je lui suce son bouton avec une telle frénésie qu’elle finit par implorer la présence de sa mère dans son nouvel orgasme.
Quand elle reprend ses esprits ses premiers mots sont :— Mais où as-tu appris tout ça, à ton âge ?— Une de mes ex-copines aimait bien que je lui fasse ça— Ouah ! Tu te débrouilles très bien mon chéri !— Merci maman, je suis prêt à recommencer quand tu le voudras ...— Tu sais, ce n’est pas bien ce que nous faisons — Quel mal y a-t-il ?— Même si tu es un beau jeune homme, je reste ta mère !— Oui, mais avant tout, tu es une femme adorable, attirante, sexy, superbe... qui mérite d’être aimée— C’est gentil ce que tu me dis, je te plais tant que ça ? Tu n’as vraiment pas de copine de ton âge ?— Des copines de mon âge, tu plaisantes ! Elles ne t’arrivent pas à la cheville ! — Moi, je me trouve moche, j’ai un gros cul et une petite poitrine.— Tsst ! Tu es parfaite, tiens, lève-toi ...
Nous nous relevons tous les deux et je lui enlève son chemisier, puis dégrafe son soutien-gorge et fais courir mes mains sur ses seins enfin nus. Je les trouve magnifiques et le lui dis.
Je passe derrière elle et baisse la fermeture de sa jupe que j’emmène au sol.
Maman est nue devant moi, vêtue uniquement de ses bas et escarpins. Je tourne autour d’elle en admirant chaque partie de son corps.— Tu es la femme parfaite à mes yeux !— C’est ce que tous les garçons disent de leur mère— Tu n’es pas que ma mère, tu es une femme qui me trouble, tiens regarde !— Mais ... tu bandes encore !
Je prends sa main et la pose sur ma bosse, elle tente de résister, comme effrayée, mais ses doigts se referment brièvement sur ma queue avant de se retirer lentement.— Non ! Il ne faut pas ...— Ne me laisse pas comme ça !— Je ... Je ne suis pas douée pour faire ça ...— Laisse-moi t’apprendre alors.
Je ne lui laisse pas le loisir de réfléchir que j’ai déjà quitté mon pantalon. Je la guide vers le canapé et baisse mon boxer alors qu’elle s’assied près de moi. Elle regarde ma queue bandée avec appréhension. Je la rassure tout en lui prenant la main pour qu’elle la pose sur mon membre.
Résignée, elle serre ses doigts sur ma verge et entame un va-et-vient hésitant.Même si elle est maladroite pour me masturber, le fait que ce soit maman qui le fasse ça me submerge de plaisir. Je n’arrive pas à y croire, je l’ai masturbée, léchée et maintenant c’est elle qui me branle, quel moment incroyablement magnifique !
Je lui donne quelques petits conseils pour bien placer sa main et rapidement sa technique s’améliore. Si bien que je ne puis plus résister à éclabousser mon torse de jets puissants. — Nous ... Nous n’avons pas le droit de faire ça— Et pourquoi ? Nous sommes majeurs et en plus tu m’as fait éprouver un plaisir incroyable, tu es vraiment douée !— Ah bon vraiment ? Ton père disait que j’étais nulle au lit, c’est d’ailleurs pour ça qui m’a quittée pour aller vivre avec une de ses maîtresses.— C’est papa qui était nul ! Ton problème, c’est que tu te dévalorises. Tu te trouves moche alors que tu es sublime ! Tu as peur de ne pas être à la hauteur pour satisfaire un homme, alors que tu vois bien le résultat sur moi.— C’est la première fois que j’y arrive. Ton père n’attendait qu’une chose de moi, c’était que j’écarte les jambes.— Il ne s’intéressait pas à ton plaisir ?— Jamais ! Jamais il n’a fait ce que tu as fait tout à l’heure avec ta bouche. Il ne pensait qu’à lui et me reprochait d’être frigide. — Tu as prouvé le contraire, tu sais jouir et plusieurs fois de suite !— Tu sais, pour éprouver du plaisir, j’ai remplacé les hommes par un vibromasseur. C’est ma sœur qui me l’avait offert après mon divorce. — Et je te l’ai réparé, mais si tu veux, tu peux m’utiliser à la place. — Tu voudrais que je couche avec toi ? Ça ne va pas, non !— Tu es encore coincée ! J’espère bien te faire changer d’avis ! Je serais un bon professeur si tu veux progresser ...
Elle ne répond pas, se lève, ramasse ses affaires et s’éloigne vers sa chambre.
J’ai conscience que si je veux atteindre mon objectif, il est important de ne pas la brusquer. Il est clair qu’elle a un comportement paradoxal, elle cherche à m’allumer en portant des vêtements sexy et en même temps a peur d’aller trop loin avec moi. Malgré tout, elle a franchi un grand pas, aujourd’hui.
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