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Maman au concert

Chapitre 4

Inceste
Maman au concert - Chapitre 4
Ce matin, maman et moi avons franchi un pas important. J’ai pu la caresser, lui lécher la chatte. Elle-même a su franchir une barrière morale en acceptant de me masturber. Elle a encore des velléités pour me laisser la pénétrer. Si mon père n’a pas su être à la hauteur avec elle, je compte bien pouvoir l’honorer comme il se doit, malgré ses réticences.
Quand elle revient de sa chambre, elle a troqué ses habits sexy pour un jean serré et un boléro en coton à fines bretelles. Je repère vite qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. J’aime bien quand elle met ce pantalon, car il moule bien ses belles fesses.
Après un déjeuner durant lequel nous avons échangé des regards complices, je sens maman embarrassée, voire inquiète en fin de repas. Afin de la détendre, je lui propose d’aller nous promener à l’extérieur de la ville, à la campagne ou dans une forêt, comme elle souhaite. Elle accepte volontiers et c’est la forêt qui la séduit le plus.
Aussitôt dit, aussi tôt fait et nous voilà en voiture. Sur le trajet, elle tourne fréquemment la tête vers moi pour me sourire. Dès qu’il m’est possible de le faire, je prends sa main dans la mienne et ressens une chaleur intense en moi. Plus que de l’émotion, c’est plutôt un bonheur indescriptible qui m’envahit. Je me sens heureux d’être en communion totale avec cette femme, ma mère ! Je n’avais jamais ressenti une telle chose avec mes ex copines.
Après quelques dizaines de minutes de route, nous voilà à marcher dans la forêt, vers un coin à champignons que nous connaissons, même si il y a peu de chance d’en trouver à cette époque de l’année, mais ce n’est pas vraiment le but de cette balade.
Sur le sentier, je lui prends la main et nous marchons comme un couple d’amoureux. Il n’y absolument personne d’autre que nous aux alentours. Les seuls bruits que nous entendons, sont les piaillements des oiseaux dans les arbres.
Nous parcourons plusieurs centaines de mètres, quand je m’arrête subitement. Maman se retourne, me regarde intriguée, et j’ouvre alors les bras vers elle.
Elle hésite, mais vient se blottir contre moi. Je l’enlace et dépose des tas de bises dans son cou. Comme je sais que son oreille est sensible pour la mettre en émoi, je mordille et darde ma langue sur son lobe.
Je lui souffle : « J’ai envie de toi ! ».J’ai conscience d’être impudent en lui disant cela, mais elle ne me rabroue pas pour autant.
Je plonge mon regard dans le sien et elle comprend bien l’intensité de mon désir pour elle.
Nos visages ne sont qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Je lis dans ses yeux à la fois du désir et de l’hésitation.
« Ferme les yeux et laisse-toi faire» lui dis-je
Elle s’exécute, même si elle sait ce qui va se passer. Mes lèvres effleurent les siennes et elle ne proteste pas. Je bécote sa bouche pulpeuse et maman se laisse convaincre pour laisser ma langue la pénétrer. Puis la sienne s’éveille et entre alors en action.
J’embrasse ma mère passionnément ! Passion qui la gagne également !Mes mains courent sur son corps, sur ses fesses, entre ses jambes qu’elle écarte pour me laisser lui caresser la chatte à travers son jean.
Je défais le bouton de son pantalon, ouvre sa braguette et enfonce une main impatiente dans sa culotte. Je caresse sa toison et glisse un doigt dans sa fente humide. Son pantalon serré me gêne pour progresser, aussi, de l’autre main, je tente de le baisser sous ses fesses rebondies. C’est elle qui m’aide à le descendre un peu plus. D’une main, je caresse le galbe de sa croupe, de l’autre je glisse mon doigt au plus profond de son vagin.
Nos bouches ne se séparent pas, maman a mis ses bras autour de mon cou et vit le moment avec autant de bonheur que moi. Mon doigt taquin la fait réagir et tout son corps se met à trembler. Elle interrompt notre baiser pour reprendre son souffle, pose sa tête sur mon épaule, en soupirant et geignant de plaisir.
Elle prend alors l’initiative de mettre sa main sur ma braguette afin de pétrir mon sexe dur comme du bois. Je l’invite à s’en saisir après avoir ouvert mon pantalon. Elle se contente juste de caresser mon membre avec délicatesse et de l’enserrer entre ses doigts pour en mesurer la dureté.
Notre désir monte de plus en plus. Je la retourne face à un arbre, sur lequel elle prend appui. Elle sait ce que je veux faire et semble désormais en avoir envie autant que moi.
Je baisse un peu plus son pantalon ainsi que sa culotte, alors qu’elle se penche en avant pour que je puisse la prendre en levrette, debout, dans cette forêt si calme.
La vue de son fessier me fascine une nouvelle fois. Je m’agenouille et glisse ma langue pour lécher sa vulve, mais ce n’est pas chose facile dans cette position, surtout avec ses jambes coincées dans son jean. Elle ne proteste pas quand je concentre mes efforts pour lécher son anus. Elle qui ne connaissait pas l’amour buccal jusqu’à peu, en arrive désormais à gémir quand je titille son petit trou.
Qu’elle ait renoncé à ses préjugés en me laissant agir de la sorte, m’enchante et me laisse penser qu’une nouvelle vie s’offre à elle, à nous deux, en fait.
Maman me fait comprendre qu’elle m’attend avec impatience. Aussi, je me redresse et me colle à elle pour lui faire sentir ma vigueur au fond de son sillon fessier, un peu comme lors du concert qui nous a unis il y a peu.
D’une main fébrile glissée entre nos corps serrés, elle se saisit de mon sexe pour le pointer au bord de sa vulve. J’ai peine à croire qu’elle souhaite désormais recevoir le membre de son fils en elle, mais à sa façon de venir à ma rencontre, je comprends que son désir est au summum.
Elle émet de nombreux petits cris alors que je la pénètre lentement. Ses sécrétions facilitent grandement l’intromission de mon sexe dans sa chatte brûlante et serrée. Mes mains s’affairent sur sa poitrine tandis que je coulisse toujours très lentement dans son étui.
Je lui demande :— Tu aimes ce que je te fais, maman ?— Oh oui, beaucoup mon chéri ! Mais fais attention, je ne prends pas la pilule. Maintenant, va plus vite si tu veux, mon amour.
Elle se recule un peu pour être pénétrée plus à fond. Je m’active alors davantage et glisse une main entre ses jambes pour titiller son clitoris, alors que mon autre main continue à pétrir ses seins durcis. Elle tremble de tous ses membres alors que j’accélère le rythme. Elle geint, soupire et son extase monte de plus en plus, la mienne également et je fais tout pour ne pas exploser trop vite.
Quand les spasmes de son orgasme deviennent trop intenses, et que je sens le mien imminent, je me retire d’elle, sans cesser de lui caresser le bouton. Et …j’éjacule spontanément sur sa fesse, alors que sa propre jouissance résonne encore bruyamment dans les bois.Quand elle reprend son souffle, ses premiers mots sont :— Putain ! Que c’était bon !. Ce qui me surprend, car elle n’est jamais grossière d’ordinaire— On pourra recommencer alors?— Oh ça oui mon chéri ! Jamais je n’ai éprouvé autant de plaisir qu’avec toi !— Ça fait trois fois aujourd’hui, si je compte bien !— Et la journée n’est pas finie, rentrons vite à la maison. Ajoute-elle, totalement enfiévrée.
Je ne la reconnais plus, elle se comporte comme si elle découvrait les plaisirs du sexe. Ou bien est-ce le tabou de notre relation qui la transcende ainsi ? Moi, je ne vais pas m’en plaindre, ce désir secret que j’avais pour elle se transforme en une réelle passion entre nous.
Ce n’est pas si vite que cela que nous rejoignons la voiture. Le temps de nos baisers passionnés, tous les dix mètres, est responsable de cette lenteur à parcourir le chemin de retour.
Elle murmure en m’enlaçant une nouvelle fois :— Je suis si heureuse, mon chéri.— Et moi, maman, si tu savais…— Je vais t’avouer quelque chose …— Quoi ?— Depuis l’autre soir, au concert quand tu étais si serré contre moi, j’ai des tas de pensées perverses ! Je repense sans arrêt à cet homme qui faisait glisser son sexe contre mon derrière. Je savais bien que c’était toi, mais je m’imaginais que c’était un inconnu. Je ne voulais pas admettre que mon fils ait autant changé !Tu es devenu un beau garçon et j’en suis fière en tant que maman, mais j’ai aussi pris conscience de l’attirance que j’éprouve pour toi. Quand tu m’as offert ces disques, je l’ai pris comme le plus beau des cadeaux, mais maintenant, je sais que c’est toi mon plus beau cadeau. — Moi, ça fait longtemps que je pense à toi. Tu es souvent dans mes rêves les plus audacieux.— Petit vicieux, va !— Non, je rêvais de faire l’amour avec toi, sans espérer que cela fût possible un jour — Et moi, je n’aurais jamais pu imaginer éprouver autant de plaisir à refaire l’amour et il faut que cela soit avec mon fils ! Rentrons vite mais avant embrasse-moi encore !
Comment refuser une telle chose à sa mère…
FIN (peut-être ?)
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