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Maman au concert

Chapitre 8

Inceste
Maman au concert - Chapitre 8
En ce lundi matin, quand j’ouvre les yeux, j’ai un moment de flottement en me demandant où je me trouve. Très vite, je réalise la chose exceptionnelle qui m’est arrivée, à savoir que j’ai pu dormir dans le lit de maman.Mon amour de mère est encore endormi. Elle me fait dos, couchée en chien de fusil.
En m’accoudant, je contemple la nuque et l’épaule qui dépasse du drap. Drap que je fais glisser délicatement pour découvrir progressivement son corps jusqu’aux cuisses.Je ne puis résister à poser ma main sur son bassin et effleurer le haut de sa fesse. Je me penche et dépose mes lèvres sur son épaule. J’aime tant le goût de sa peau que je ne peux m’empêcher de la lécher délicatement. Ma belle amante a un frisson qui lui parcourt le corps et finit par ouvrir péniblement les yeux.
Comme moi, il y a peu, elle semble émerger d’un rêve et paraît quelque peu désorientée.Tout en bécotant son cou, je me colle à elle "en cuillère" et mon érection matinale sur son derrière ne peut lui échapper, car elle me dit :
— Et bien Denis, tu es déjà en forme à ce que je constate !— Je le suis toujours pour toi, Claire !
Je l’appelle par son prénom, car en cet instant, je ne la considère pas comme ma mère mais comme ma petite amie. Non ! Pas comme une petite amie, mais plutôt ma moitié, ma fiancée ou plus simplement: l’amour de ma vie.Je ne perçois pas la différence d’âge entre cette femme et moi, non, cela n’a aucune importance, car je l’aime d’un amour total, indéfectible, absolu.
Maman glisse sa main entre nous et éprouve subtilement la dureté de mon sexe. Ses doigts fins courent sur la hampe de ma verge en effectuant de petites pressions, si sensuelles que je me sens envahi par l’excitation et me mets à souffler comme un bœuf, tant je suis troublé par cette délicate caresse.
Alors que je me recule et pivote un peu pour donner plus d’aise à la main qui me flatte le sexe, maman me donne une petite tape sur le gland, se tourne vers moi et dit:
— Allons mon chéri, il nous faut être sages, je dois me préparer pour aller au travail— Ne me laisse pas comme ça, maman! Caresse-moi encore, s’il te plaît …— Coquin va ! Après tout, il est encore tôt, j’ai un peu de temps devant moi. Veux-tu que je te masturbe ?
— Oh oui ! S’il te plaît !— Pardonne-moi d’avance si je m’y prends mal.
Maman me repousse afin que je m’allonge sur le dos, me chevauche et s’accroupit entre mes jambes écartées. Une main saisit ma verge fermement, alors que l’autre flatte mon pubis.Je ne sais pas si c’est la nuit qui lui a été bénéfique pour se libérer, mais sa technique pour me branler est digne d’une professionnelle. Tout est agréable dans ce qu’elle me fait, le rythme, la pression de ses doigts, elle y va même à deux mains par instant et n’hésite pas à me stimuler les testicules ou le périnée.
Maman me caresse si bien que je suis au paroxysme de l’excitation, mes spasmes l’alertent et quand elle ajuste sa position, c’est pour plonger la tête vers mon bas ventre et gober mon gland pour que mon premier jet de sperme lui emplisse la bouche. C’est avec une incroyable passion qu’elle me tète pour avaler la totalité de ma semence.
Elle se redresse, ramène sur sa langue, du bout du doigt, le jus qu’elle a au bord des lèvres, finit de savourer ma crème avant de dire :— Putain que c’est bon ! J’adore ça ! Je suis si heureuse de te boire mon chéri.— En plus, tu t’y prends super bien, Claire, je suis fier de toi !
Nous partons en éclat de rire et je l’attire à moi pour l’enlacer tout en flattant son derrière de la paume de la main. J’ajoute :— Dis-moi chérie, quelque chose m’intrigue quand même…— Quoi ?— Hier, tu paraissais encore timorée et là, tu sembles plus qu’épanouie. Je me trompe ?— Non, tu ne te trompes pas. Je suis amoureuse de toi Denis, tu es l’homme de ma vie, je ne pensais pas être amoureuse d’un homme un jour et il faut que ça soit de mon fils.Avec toi, je me sens libérée, prête à tout pour te satisfaire, je me sens revivre, tu me fais découvrir des plaisirs incroyables. J’ai adoré que tu me lèches, que tu me donnes la fessée, que tu me prennes le derrière, d’ailleurs c’est ce que j’aimerais refaire au plus vite, quoique j’ai encore un peu mal au cul.
Je ne sais quoi lui répondre, mes larmes coulent sur mon visage, je suis totalement ému par les révélations d’amour à mon égard que vient de prononcer ma mère. Elle a parlé d’amour avec un grand A, pas d’une relation maternelle, mais bien de la relation d’un couple aimant.
Je me sens morveux, lâche, traitre et pour me libérer, me décide à lui dire, ou plutôt à lui bredouiller :— Je dois t’avouer quelque chose…— Oui, quoi ?— Hier, quand tu étais partie dans ta chambre, Charlotte m’a sucé les doigts de façon très suggestive si tu comprends ce que je veux dire ?— Très bien, et puis ? Vas-y continue…— Sa façon de faire m’a beaucoup excité ! Plus tard, elle m’a même caressé le sexe quand tu étais dans la cuisine, et… j’ai aimé ça aussi.
Alors que je lui narre les différents détails du comportement de sa sœur à mon égard, maman reste songeuse et finit par me dire sur un ton très doux :— Es-tu attiré par ma sœur ?— Oui, je l’avoue.— Et bien, vas la voir cet après-midi si tu veux, fais comme tu l’entends.— Non, je pense que ça serait une mauvaise idée. Je t’ai dit que je n’irai pas. Je ne veux pas te tromper.— Merci mon chéri, mais si tu changes d’avis, je dois le savoir. Plus de cachotteries entre nous, d’accord ?— Oui maman. Euh… oui Claire— Bon, cette fois je vais aller me préparer, ne traine pas trop si tu as cours ce matin.— Je n’ai cours qu’à 9h, j’ai encore le temps

Toute la matinée, je rêvasse et manque d’attention pour suivre les cours. Je pense à cette relation exceptionnelle que j’ai avec ma mère, aux révélations qu’elle m’a faites, à ce que je vais inventer comme bobard à ma tante, pour éviter d’aller chez elle comme il était prévu.
A l’intercours, je lis les SMS que maman m’a envoyés, soit 5 messages brefs, mais plein d’amour comme "je pense à toi très fort" ou "J’ai envie d’être avec toi" et plusieurs fois "Je t’aime passionnément"
Je suis troublé par la passion qui nous gagne tous les deux, c’est un rêve si délicieux que je ne voudrais pas me réveiller. Prestement, avant de reprendre les cours, à mon tour je lui envoie des messages, mais plus coquins. Le dernier l’invitant à passer le reste de sa journée sans culotte.Je me sens un peu coupable de la provoquer, mais elle semble apprécier le jeu que je lui propose, car juste avant d’entrer dans la salle de cours, je reçois une photo de son sac à main ouvert, avec sa culotte roulée en boule à l’intérieur.Dès que je suis sorti, je l’appelle, mais elle me fait comprendre qu’elle est occupée avec quelqu’un à son travail, aussi je ne fais que lui chuchoter "Je t’aime" avant de raccrocher.Je reste inquiet d’avoir à contacter ma tante, mais prend la résolution de le faire au plus vite pour me libérer de ce poids sur les épaules.
"— Allo, Charlotte, oui c’est Julien— Oui ? Pourquoi m’appelles-tu ?— C’est pour te dire que je ne peux pas venir cet après-midi— Ah bon, pourquoi ? C’est ma sœur qui t’en empêche ?— Euh … Non … C’est … je dois réviser…— Bon, comme tu veux, à bientôt alors!"Ma tante Charlotte à du me voir rougir de confusion en m’entendant lui parler. Elle n’a pas dû croire un instant à ce prétexte futile que je viens de lui déballer en bredouillant.
Je me sens apaisé sur le chemin du retour à la maison, je marche lentement tout en rêvassant, en contemplant la nature, en pensant à ma mère que je suis si fier d’avoir libéré sexuellement.Eu égard aux progrès spectaculaires qu’elle a accomplis en deux jours, nos futurs rapports promettent de devenir explosifs. J’ai hâte d’être à ce soir pour la revoir.
C’est plus de trois-quarts d’heure plus tard que j’insère la clé dans la porte et j’ai la surprise de constater qu’elle n’est pas verrouillée. Pourtant je suis certain de l’avoir fait en partant ce matin. En pénétrant dans l’entrée, j’entends des bruits de vaisselle provenant de la cuisine.
"C’est toi maman, tu es rentrée ?"
Personne ne répond, mais les bruits cessent et j’entends claquer des talons sur le carrelage.Ma surprise est grande quand apparait, dans l’encadrement de la porte, ma tante Charlotte.Elle a un double des clés de la maison, je m’en souviens maintenant, mais c’est la première fois qu’elle fait une telle chose. Elle a pris possession des lieux sans nous prévenir, quel culot!
Voyant mon air décontenancé, Charlotte me dit :— Ne t’inquiète pas, Claire est au courant, je l’ai appelée avant de venir.— Et maman n’a pas protesté ?— Pas quand je lui ai dit que j’allais t’aider à réviser ! Appelle-la si tu veux vérifier.
Charlotte se joue-t-elle de moi à nouveau? Quel est le sens caché de sa proposition, il faut avouer qu’elle me prend à mon propre piège. Et maman dans tout ça, est-elle réellement informée de la venue de sa sœur ?Pour m’en assurer, je prends mon téléphone et découvre que maman m’a envoyé un message confirmant les dires de Charlotte."Tante Charlotte va passer à la maison. Reçois-la comme il faut et fais ce qu’il te plaît. Bisous"
Je reste perplexe que mon amour de mère puisse accepter la venue de Charlotte, connaissant les risques que cela comporte, alors qu’hier soir, elle en pleurait. Il faudra que je lui pose la question quant à ce revirement.
Charlotte a mis le paquet pour me séduire. Elle porte une robe rose légère presque transparente très décolletée qui lui arrive à mi-cuisse et qui révèle ses dessous noirs. La lisière de ses bas est très visible, tout comme sa culotte (qui doit être un string) et un soutif brodé assorti. Elle me tend les bras et me gronde:— Alors tu ne me dis pas bonjour ?— Si, si…
Après nous être fait une bise qui se veut traditionnelle, ma tante reprend :
— Tu fais une sacrée tête! Dis-moi, ça te plait tant que ça la robe que je porte ?— Euh oui… — Bon allez, viens, passons à table, c’est prêt, il reste à mettre les assiettes.— Attends, avant je veux appeler maman— Comme tu veux, je t’attends !
Je m’écarte et compose le numéro de maman. Pas de chance, je tombe sur son répondeur.Je laisse sur sa boite vocale, le message suivant :"Maman, Charlotte est ici et j’ai peur de déconner! S’il te plaît rappelle-moi au plus vite !"
Je suis troublé en parlant car, en plus de mon inquiétude quant à la suite des évènements, Charlotte me fait un sourire de séduction façon vamp. Quand elle se tourne et me fait dos, j’ai confirmation qu’elle porte un joli string. Le tissu de sa robe moule bien ses deux belles fesses, surtout quand elle se penche pour disposer les couverts sur la petite table. Elle fait comme chez elle, ouvre les placards comme si c’était les siens et moi je la laisse faire et reste sans la moindre réaction.Je me contente juste de la mater.
Quand nous passons à table, ça me fait bizarre d’être en face d’elle, car d’ordinaire c’est maman qui est à sa place. C’est la première fois que je suis seul avec ma tante ou peut-être est-ce arrivé quand j’étais petit, mais je ne m’en souviens plus.
Charlotte a préparé un repas froid qui me met en appétit. Avant de commencer à manger, ma tante lève les bras pour réajuster le chouchou qui maintient ses long cheveux bruns en queue de cheval. Ce faisant, elle expose un peu plus sa poitrine généreuse à mes yeux fascinés.
Je manque de perdre ma respiration en plongeant mon regard dans sa gorge. Je note en sus que ses tétons sont érigés sous le tissu, ce qui a le don de m’exciter tout particulièrement. Elle me sourit à nouveau et je décèle de l’espièglerie dans son regard. Elle sait qu’elle m’allume et que j’en suis gêné.
Je finis par me détendre alors qu’elle me parle de chose et d’autres. Quand son pied touche le mien, je sursaute et replie vivement les pieds sous ma chaise, tout en m’excusant auprès de ma tante de l’avoir involontairement touchée.
Charlotte ne relève même pas, regarde son assiette, fait la moue et dit :— Avec de la mayonnaise, ça serait meilleur. J’en ai vu dans le frigo.— Attends, je vais te la donner, je suis à coté!— Non, ne bouge pas j’y vais.
Ma tante se lève contourne la table et au lieu d’aller vers le réfrigérateur, elle se campe derrière moi.Je reste tétanisé, la fourchette arrêtée entre l’assiette et ma bouche. Je n’ose plus bouger!
Deux mains se posent sur mes épaules, puis des pouces massent ma nuque.— Détends-toi mon chéri, tout va bien. Regarde ! Tu es tout crispé. Je vais te masser un peu, tu veux bien ?— Euh…Oui…Si tu veux.
Je repose ma fourchette et la laisse agir. Ses doigts fins s’activent sur mes épaules, mes bras, le haut du dos, puis le torse de plus en plus souvent. Je sens ses seins effleurer ou se presser sur mes joues ou sur l’arrière de ma tête quand elle se penche au dessus de moi.
Son parfum délicat m’arrive aux narines et ces effluves me charment. Je me sens bercé de douceur et m’abandonne à ces mains expertes. Je m’adosse à ma chaise et la laisse glisser sa main dans l’encolure de mon tee-shirt. Du bout des doigts, elle passe et repasse sur mon téton, puis caresse mon ventre jusqu’au nombril.Elle retire sa main et me demande en murmurant de l’aider à retirer mon polo. Je la laisse me mettre torse-nu pour qu’elle poursuive ses délicieuses caresses.
Cette fois, je me tiens assis droit, jambes tendues et écartées, mais ma bite tendue est écrasée dans mon jeans.
La fièvre me gagne de plus en plus! Je glisse les bras en arrière et pose les mains sur ses cuisses. Le contact de mes doigts sur ses bas m’électrise et je me mets à soupirer tant je suis ému d’en être là.Je suis en train de caresser les jambes de cette femme qui m’a si souvent accompagné dans mes rêveries érotiques et là, c’est comme un fantasme qui se réalise.
Charlotte se penche sur moi, sa bouche rejoint la mienne nos langues se mêlent. Sa main glisse sur mon ventre et se saisit de mon membre pour le pétrir à travers mon pantalon.
Et là, quelque chose d’inattendu se produit dans ma tête. Je réalise que je trompe une nouvelle fois ma chérie. Car oui, c’est maman que j’aime embrasser, c’est maman qui fait battre mon cœur, c’est pour maman que vont toutes mes pensées. Je n’ai pas le droit de succomber aux charmes de tante Charlotte !
Je referme la bouche et échappe aux lèvres de ma tante un peu brusquement, mais suis plus délicat pour repousser la main qui me malaxe le sexe.
D’aucuns pourraient me trouver stupide de ne pas profiter de cette belle femme. D’ailleurs c’est de la surprise puis de la déception que je lis sur son visage. — Tu n’as pas envie de moi ?— Tu es très belle Charlotte, tu m’excites beaucoup, mais c’est maman que j’aime. Je ne souhaite pas la tromper avec une autre femme.— Elle t’a bien envoyé un message permettant de te dédouaner ?— Oui, c’est vrai, mais je ne suis pas sûr que c’est bien ce qu’elle souhaite. Je veux en parler avec elle, seul à seul, les yeux dans les yeux. Tu comprends ?— Ouah ! Mais tu es sacrément amoureux, on dirait ! Elle a bien de la chance de t’avoir comme mec !— Je ne veux pas lui causer de la peine.— Tu es vraiment un amour Denis!
Ce disant elle se penche à nouveau pose ses lèvres sur les miennes pour y déposer une bise et me dit :
— Tu sais que tu me plais, toi !— Mais… Pourquoi ?— Claire m’a dit que tu la baises bien. Moi aussi, je voudrais en profiter.— Il faut que je lui parle avant cela.— N’empêche que tu m’excites drôlement, tiens touche.
Elle me prend alors la main et la fourre entre ses jambes. Mes doigts entrent en contact avec sa chatte trempée. Ma tante remonte sa jupe, écarte les jambes et se penche à mon oreille et souffle en suppliant : "Branle-moi, s’il te plaît, fais ça pour moi"
Mes doigts se sont mis en action instinctivement, mon majeur en particulier qui courre le long de son clitoris gonflé. Je réalise soudainement que Charlotte me tend à nouveau un délicieux piège dans lequel je ne dois pas tomber.
Je retire vivement la main et marmonne:— Non ! Charlotte ce n’est pas bien de faire ça, je te l’ai dit :" je ne veux pas tromper la femme que j’aime "— Bon, je te comprends, tu as peur de moi. C’est ça ?— Non, c’est de moi dont j’ai peur. Je ne veux pas commettre l’irréparable ! Je dois parler avec maman avant d’aller plus loin— D’accord, fais-le vite et viens me voir quand tu seras prêt. Je saurai t’attendre… Veux-tu que je m’en aille maintenant ?— Oui, s’il te plaît… Je suis désolé, mais là, je suis trop mal à l’aise.— Je m’en rends bien compte, rassure-toi. Je vais donc te laisser. Mais rappelle-toi que c’est : quand tu veux, où tu veux!
Charlotte n’est pas renfrognée que j’ai pu la repousser, au contraire elle m’adresse un sourire et son regard est plein de bienfaisance. Au moment de partir, elle souffle sur ses doigts pour m’envoyer une bise à distance et referme la porte derrière elle.
Je reste prostré sur ma chaise à réfléchir à ce qui vient de se passer, me demandant si je ne suis pas allé trop loin ou au contraire si je ne suis pas un triple idiot d’avoir laissé filer une superbe occasion de coucher avec ma tante.
Je remets mon tee-shirt, me lève péniblement de mon siège, un peu hagard, puis vide le reste du contenu des assiettes à la poubelle. De m’activer à débarrasser la table m’aide à redescendre sur terre.Sitôt la vaisselle rangée, je souhaite appeler ma douce maman, mais j’entends la clé dans la serrure. Une bulle de colère m’envahit la tête et je crie :"Non Charlotte, s’il te plaît, va-t’en, je croyais que tu avais compris que…"
J’avale le reste de ma phrase quand je vois apparaître maman sur le seuil.— Et non! Ce n’est pas Charlotte, c’est moi!— Oh, Claire comme je suis heureux de te voir ! J’ai beaucoup de choses à te dire…
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