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Maman au concert

Chapitre 9

Inceste
Maman au concert - Chapitre 9
Alors que je m’apprête à lui narrer le moment chaud que je viens de passer avec sa sœur, maman m’interrompt d’un geste de la main et me dit en souriant:
— Inutile mon chéri, j’ai entendu ce que tu lui disais.— Tu écoutais derrière la porte ?— Oui, je voulais savoir si je pouvais entrer sans vous déranger...— Tu voulais me surprendre dans ses bras, c’est ça ?— Ne te fâche pas Denis, ce n’était pas pour te tester.— Pourquoi es-tu ici alors ?— Charlotte m’a appelée tout à l’heure, elle était déçue que tu n’ailles pas chez elle. Je lui ai donc proposé de te rejoindre à la maison.— Mais pourquoi lui proposer une telle chose ? As-tu conscience des risques ?— J’y ai pensé, dès hier soir, quand tu m’as dit que tu n’irais pas chez elle. Je me suis dit que je n’avais pas le droit de t’empêcher d’avoir d’autres relations, car c’était égoïste de ma part.— Même si je devais coucher avec tante Charlotte ?— Bien sûr ! Il faut que tu puisses te sentir libre à ton âge.— Mais... c’est toi que j’aime, maman !— Moi aussi mon chéri, je t’aime. Mais j’ai pris conscience qu’il faut séparer ce qui relève de l’amour avec un grand A, de ce qui relève du sexe avec un grand "Q".
Je réalise que je l’ai appelée "maman", mais qu’elle a mis beaucoup de tendresse en répondant "mon chéri". Ce n’était pas l’expression du sentiment d’une mère, mais plutôt d’une amante.
Elle s’amuse de sa dernière phrase qui me laisse plus que perplexe quant à ce que désire réellement maman. A-t-elle raison de me pousser ainsi à coucher avec sa sœur ? Est-ce pour me prouver son amour ?
Je poursuis:
— Mais, dis-moi Claire, pourquoi es-tu sortie plus tôt du boulot ?
— Quand Charlotte m’a appelée ce midi pour me dire que tu n’allais pas chez elle, je lui ai confié que j’avais la chatte en feu depuis ton texto où tu me demandais d’enlever ma culotte. J’ai ajouté que j’étais prête à tout pour jouir. Elle m’a rétorqué : " Viens nous rejoindre dès que tu le peux" et je me suis mise en route immédiatement. — Donc, comme tu étais derrière la porte, tu l’as croisée quand elle est sortie d’ici ? — Bien sûr ! Nous nous sommes même embrassées tendrement.— Mais où est-elle maintenant ?— Chez elle, elle m’a dit qu’elle attendrait notre appel.— Tu veux vraiment que nous y allions ?— Je souhaite mieux découvrir le plaisir... à tous points de vue. Y compris pour une expérience à trois. Car, j’ai joui avec mon fils, j’ai joui avec ma sœur, pourquoi pas avec les deux en même temps ? Tu sais, j’ai beaucoup de temps à rattraper.
Maman me surprend de plus en plus ! Comment, en si peu de temps, a-t-elle pu autant changer ? Elle est passée de femme prude à femme délurée, surtout si soudainement !
Elle semble amusée par ma perplexité. Tout en me faisant un grand sourire, elle se dirige vers la platine et lance le disque de son crooner préféré que nous avions vu en concert.Maman s’approche de moi en ondulant au rythme de la musique. Avec détermination, elle pose ses mains sur mes épaules et m’incite à m’accroupir devant elle.
Sans attendre, elle soulève sa jupe pour m’offrir le spectacle de son triangle pubien et me dit :
— J’ai la chatte à l’air depuis ce matin, tu ne peux pas t’imaginer comme j’étais excitée au bureau, j’avais même envie d’aller aux toilettes pour me faire jouir !— Pourquoi ne l’as-tu pas fait ?— Je ne voulais pas prendre le risque d’être surprise et surtout, je voulais que ça soit toi qui le fasses !
Je ne réplique pas, car j’ai déjà ma bouche collée sur son pubis poilu pour le lécher. Maman, dans un mouvement presque hystérique, se saisit de mon crâne, écarte les jambes et me plaque la bouche sur sa chatte trempée de mouille.
Elle a fait cela avec une telle vivacité que j’en suis déséquilibré et bascule à la renverse.Maman accompagne ma chute en me retenant et je finis par me retrouver allongé sur le sol.Elle ne cherche pas à me relever, mais au contraire, s’assied sur mon visage et pose les mains devant elle, elle n’a pas à attendre longtemps pour que je lui broute la chatte avec frénésie. Elle réajuste sa position en redressant le buste, mais reste bien assise sur mon visage.
Ma langue s’active tantôt au bord de son vagin, tantôt sur son clitoris, suivant ce qu’elle me propose quand elle bascule son bassin. Elle ne déteste pas que ma langue s’aventure sur son anus, mais elle préfère le plus souvent que je m’occupe de son petit bouton gonflé.
Mes bras sont emprisonnés par ses jambes et je le regrette bien, car je suis dans l’impossibilité de la caresser et encore moins de lui peloter les seins. Je suce ses lèvres, aspire son clito, lèche son vagin avec appétit et maman apprécie beaucoup cette toilette intime, car ses gémissements se transforment vite en un orgasme très sonore.
Quand elle se relève pour me libérer, j’ai le visage inondé de sa cyprine. Ses premiers mots sont :
— Putain ! Comme c’était bon !— Merci, Claire.— Je remarque que tu as une sacrée trique mon chéri...— Ça ne te fait pas envie ?— Si ! Bien sûr ! Mais il faut que tu gardes des forces pour ma sœur et moi.— Tu tiens vraiment à ce que je couche avec tante Charlotte ?— Tu feras ce que tu veux. En tout cas, moi je compte sur Charlotte pour jouir.— Je ne te reconnais plus maman !— Cesse de m’appeler maman, je m’appelle Claire.— Tu as raison ma chérie, embrasse-moi...— Non, va d’abord te débarbouiller le visage, tu es trempé. Moi, pendant ce temps, j’appelle ma sœur et après, on y va !
Bizarrement, j’ai un peu la trouille d’aller chez Charlotte !
Encore plus, en arrivant, quand elle vient nous ouvrir la porte, car sa nouvelle tenue m’impressionne !Elle a troqué sa petite robe rose pour un ensemble en cuir noir :Jupe ultra-courte, boléro très décolleté et fermé par une fermeture à glissière. Elle est perchée sur des bottes cuissardes, avec des talons aiguilles qui la grandissent d’au moins 10 centimètres.Le maquillage de ses yeux lui donne un air sévère, son rouge écarlate renforce la pulpe de ses lèvres.
J’ai à peine le temps de refermer la porte que Charlotte se colle à moi et me plaque sa poitrine devant les yeux. Elle m’attrape la nuque et sa bouche se colle à la mienne. Je suis surpris par cette attitude un peu agressive, mais suis vite conquis par son baiser torride.
Alors que je pose les mains sur ses fesses pour la plaquer contre moi, elle se retourne brusquement et enlace maman pour l’embrasser tout aussi fougueusement.Ouah ! Ça commence sur les chapeaux de roue !
Charlotte fouille sous la jupe de maman et lui dit:
— Tu n’as pas remis ta culotte, c’est bien ! Je vais pouvoir te doigter plus facilement.— Mais enfin Charlotte ! Laisse-nous arriver...— Pas question d’attendre mes petits chéris, je vous servirai le thé plus tard ! Pour le moment, on baise !
Charlotte pousse maman vers le canapé et l’y fait asseoir, puis elle s’empresse d’ouvrir le chemisier et de dégrafer le soutien-gorge pour se saisir d’un sein qu’elle presse à pleine main.
Maman est subjuguée par ce qui lui arrive et moi je suis super excité par les initiatives de ma tante. Je m’approche des deux sœurs en me frottant la braguette de la paume de la main.
Charlotte a retroussé la jupe de maman, lui a écarté les genoux et sans ménagement lui a fourré deux doigts dans le vagin. Son autre main s’active à maltraiter les tétons de ma mère chérie.
— Oh non Charlotte... Non, s’il te plaît... Oh oui, oui !— Tu aimes ça que je te baise avec mes doigts, pas vrai ? — Ouiii !
Charlotte s’agenouille devant les jambes écartées de maman et s’active à faire aller et venir ses doigts dans l’antre mouillé. Elle me dit, comme si j’étais son complice :
— Sors ta bite et baise-lui la bouche !
Je n’ai pas l’intention de forcer maman, car elle en a bien assez du traitement que lui impose sa sœur. Par contre, quand je mets mon sexe à hauteur de ses lèvres, maman se jette dessus pour le sucer avec avidité. Elle tient fermement ma queue pour mieux me pomper. Et elle s’y prend plus que bien !
Quelques minutes plus tard, ses cris d’orgasme sont étouffés par mon gland qui lui obstrue la bouche. Charlotte ne laisse pas maman reprendre son souffle, car elle pose ensuite sa bouche sur le pubis et se met à lui brouter le clitoris avec sauvagerie.
Maman se tortille dans tous les sens sous les assauts de la langue de sa sœur.Charlotte, d’un signe de la main, m’invite à venir derrière elle pour la prendre en levrette pendant qu’elle broute le gazon maternel.
J’ai un peu de mal à retrousser la jupe en cuir de ma tante, mais la découverte progressive de son joli cul m’excite énormément. Je lui baisse le string sous les fesses, glisse deux doigts sur sa fente pour écarter ses grandes lèvres puis me positionne pour la pénétrer.Je suis en train de vivre un rêve !Cette femme qui a tant occupé mes fantasmes s’offre à moi !
Charlotte relève la tête et s’exclame "Putain, comme tu as une bonne queue !" alors que je m’enfonce dans sa chatte. En me penchant sur elle, je saisis ses seins, mais le bustier en cuir perturbe mon sens du toucher. Je fais glisser la fermeture et Charlotte m’aide à retirer ce haut bien sexy, mais peu pratique pour lui peloter la poitrine.
La vue de son dos nu m’émoustille, tout comme presser ses beaux seins alors que je vais et viens en elle. Maman me regarde baiser ma tante et m’adresse un sourire complice. Charlotte à beaucoup de difficulté, tant je la pistonne, à manger la moule de sa sœur. Elle pose les mains au sol, à quatre pattes, et dit à maman:
— Viens, Claire, mets-toi comme moi. C’est trop bon ! Denis va te prendre à ton tour.— Oui, je crois que c’est nécessaire, car tu m’as trop incendié la chatte !— Je profite encore un peu de la bite de ton fils le temps que tu te mettes en position.— Oh mais... je suis prête... dans dix secondes.

Les deux femmes parlent si librement que j’en suis surpris. Surtout maman, elle se révèle totalement affranchie de ses préjugés. Très rapidement, elle me tend son derrière en se mettant à quatre pattes près de Charlotte.Je change de partenaire et entre sans problème dans la chatte trempée de ma bien-aimée.Maman pousse un soupir quand je m’enfonce. Je la tiens par les épaules pour la prendre en levrette.
Charlotte se colle à nous, puis d’une main caresse un sein de maman et de l’autre glissait entre mes jambes, me flatte les testicules. Sa caresse sur mes couilles est délicieuse, et je sens également son pouce qui fait des petits ronds sur ma rosette. Ça m’excite terriblement !
Je me penche au-dessus du dos de maman et lui quémande un baiser difficile à échanger tant que je m’active en elle. J’interromps brièvement mon pistonnage pour permettre à nos bouches de s’unir.Charlotte profite alors de mes fesses offertes par ma nouvelle position pour se consacrer uniquement à me lécher l’anus. Elle le fait si bien que je cesse de bouger pour apprécier cette caresse si particulière.
Très vite, un doigt remplace sa langue pour m’envahir. Ma tante l’enfonce profondément en moi et me masse l’intérieur avec douceur. Elle imprime un mouvement alternatif, lent au début puis de plus en plus puissant, m’incitant à la fois à coulisser dans le vagin de ma mère chérie, mais aussi à m’empaler sur son doigt fouisseur.
Comprenant que j’aime particulièrement ce qu’elle me fait, Charlotte entreprend de me mettre un deuxième doigt et de me sodomiser avec beaucoup de conviction !Je ne suis plus maître de mes sens et surtout de mon orgasme ! À tel point que j’éjacule avec force dans le fourreau maternel.Maman ne m’en fait pas reproche, car elle est trop occupée à jouir une nouvelle fois en cherchant à se pénétrer au maximum sur ma bite gonflée.
Tante Charlotte cesse de me stimuler et sort ses doigts de mon derrière pour dire :
— Vous êtes adorables tous les deux ! Ne bougez pas, je vais chercher quelque chose pour vous essuyer.
Alors que ma tante s’éloigne, maman, en sueur et exténuée se couche sur le dos, et moi, je m’allonge près elle et l’embrasse avec fougue. Après quoi, je lui souffle à l’oreille :
— Je t’aime Claire !— Moi aussi mon chéri ! — Je... Je suis désolé d’avoir éjaculé en toi, je n’ai pas pu me retenir.— Je ne t’en veux pas ! D’autre part, la sensation est différente, je te sentais grossir en moi et c’était génial !— Mais... il y a un risque que...— Je ne suis plus contre le fait que tu jouisses en moi.— Tu ne cesses de m’étonner ma chérie !
...
Nous passons ensuite un long moment, à bavarder tous les trois, totalement à poil. Nous parlons essentiellement de cul et de sodomie en particulier. Ma tante, ainsi que ma mère disent adorer cela, en me regardant fixement ! Toutes les allusions faites par les deux femmes ne manquent pas de me pimenter l’esprit et de me redonner de la vigueur.
Charlotte trouve le moment propice pour dire: " Et si maintenant nous allions dans ma chambre".
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