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Maman au concert

Chapitre 10

Inceste
Maman au concert - Chapitre 10
Après ce moment torride chez ma tante Charlotte et alors que nous sommes dans la voiture pour retourner à la maison, maman me dit :
— Ça t’a plu de pouvoir coucher avec Charlotte ?— Oui et non !— Pourquoi ? Ma sœur est douée pour le sexe, n’est-ce pas ?— Oui bien sûr ! Mais il y a quelque chose qui me gêne, j’ai l’impression qu’avec elle c’est du sexe pour le sexe ! Avec toi, c’est différent maman. Quand nous faisons l’amour tous les deux, je me sens en symbiose avec toi. Comme si nous ne formions plus qu’un ! Comme si, toi et moi, étions fondus l’un dans l’autre. Tu comprends ?— Parfaitement mon chéri. Je ressens la même chose. Mais je pensais que ça te ferait plaisir de réaliser ton rêve. — Eh bien, je te le redis, c’était très bien, mais je n’éprouve pas de sentiment à son égard. C’est toi que j’aime passionnément !— Tu es adorable mon chéri.— Tu sais de quoi que j’ai envie, là, tout de suite ?— Eh bien non !?— De t’embrasser ma chérie ! — Oh ! Mais moi aussi ! Je me gare au plus vite !
Maman et moi passons vite sur la banquette arrière pour échanger de nombreux baisers. Juste des baisers de pur amour. Enlacés durant de nombreuses minutes, nous ne parlons plus, mais cet instant de communion fait couler en moi un bien-être incroyable. Ce sentiment de malaise qui me tenaillait depuis notre départ de chez ma tante se dissipe pour faire place à une quiétude apaisante.
En arrivant à la maison, notre lourdaud de voisin accourt vers nous et cherche à discuter avec maman, surtout pour la baratiner avec l’espoir de pouvoir flirter avec elle, mais ma chérie coupe court en lui disant :
— Je suis sûre que votre dame n’apprécierait pas votre comportement, pas plus que mon chéri ici présent !
Maman me surprend encore plus quand elle me dépose une bise sur les lèvres devant le regard médusé, puis effaré du type.
Une fois à la maison, maman me dit en rigolant :

— Je crois que nous allons être l’objet de ragots dans peu de temps, mais je m’en fous !!
Je l’enlace et ma belle redevient soudainement sérieuse. Nos yeux se lient pour communiquer dans le langage secret de l’amour. Nos âmes sont tellement fusionnées que nos bouches s’unissent pour un baiser fougueux et passionné.
— Je t’aime Denis !— Je t’aime Claire !
Je suis comme sur un nuage tout le reste de la soirée. Après un plateau-repas improvisé, nous regardons ensemble un film romantique, d’abord main dans la main puis, maman s’allonge et pose sa tête sur ma cuisse. Je caresse son doux visage, ses cheveux, ses épaules, mais quand j’entends le rythme de sa respiration se modifier pour devenir plus lent et profond, je comprends qu’elle s’est endormie. Je me cale un coussin derrière la tête et m’endors à mon tour avec un bras pour l’enlacer, comme pour protéger un enfant.
Dans la nuit, ma mère chérie me réveille en me faisant un tas de bisous sur la joue, sur les lèvres, dans le cou et il me faut un moment pour réaliser que ce n’est pas un rêve.
— Viens Denis, allons nous coucher.— Je peux venir dans ton lit ?— Mais, mon amour, c’est le tien aussi, désormais !
Après une brève toilette, nous nous glissons dans les draps puis nous enlaçons passionnément.Le baiser fougueux que nous échangeons nous enflamme les sens, à tous les deux ! Mes mains courent sur le satin de sa peau, ses seins durcissent sous mes doigts. Sa douce menotte vérifie la dureté de mon sexe avant de le pétrir avec envie.
Totalement enflammée, elle me bascule sur le dos et me chevauche pour se pénétrer de mon vit en un râle de plaisir. Nos langues se lient à nouveau alors que son bassin bascule d’avant en arrière, que nos pubis s’écrasent et se frottent l’un contre l’autre, que mon gland gonflé fouille son vagin trempé.
Elle me souffle à l’oreille : " Donne-moi une fessée, frappe-moi fort !"
Dans la position dans laquelle je suis, j’ai un peu de mal à y arriver, aussi je la bascule sur le dos sans sortir d’elle, lui soulève les jambes et frappe, frappe très fort ses fesses dodues. Entre les claques que je lui assène, je pistonne son antre avec une vigueur animale. Maman gémit de plaisir alors que je la frappe de plus en plus fort, elle se pétrit les seins et se pince les tétons pour mélanger sa douleur au plaisir d’être perforée par mon membre plein de vigueur.
Quand sa jouissance pointe et que les contractions de son vagin m’emprisonnent, je fais tout pour ne pas exploser mon plaisir, mais c’est elle qui attrape mes fesses pour me pousser au plus profond de son antre. Elle désire que j’inonde sa grotte de ma semence, ce que je fais en un râle rauque. ...
Dès le lendemain, en début d’après-midi, Charlotte débarque à la maison. Elle n’a pas fait comme d’habitude, elle n’a pas appelé au dernier moment pour nous prévenir de son arrivée ! Par contre, elle a beaucoup insisté sur la sonnette.
Il se trouve que je me régalais en dévorant le minou maternel. J’ai le visage encore plein de mouille quand je vais ouvrir à ma tante, après avoir sommairement enfilé mon slip. Elle me saute au cou et voyant l’état dans lequel je suis, s’empresse de me lécher le menton avant de m’embrasser fougueusement. Je n’ai pas le temps de refermer la porte qu’elle saisit mon sexe encore tendu pour le malaxer entre ses doigts.
Elle me souffle à l’oreille :
— Oh putain ! Baise-moi vite ! Je n’en peux plus !— Attends un peu, je ...— Non Denis, baise-moi, encule-moi si tu veux, j’ai besoin de ta queue, vite !!!!
Maman arrive au même moment, vêtue de sa robe de chambre, les cheveux en bataille et demande :
— Eh bien Charlotte ? Que se passe-t-il ?— C’est Denis ! Il m’a si bien baisée hier que je n’arrête plus d’y penser. J’ai beau me masturber avec tous mes godes, rien n’y fait !!— Et c’est de mon chéri dont tu as besoin ?— Oh oui !!! C’était génial hier !
Je me demande si ma tante n’en rajoute pas un peu, mais je décèle dans son regard qu’elle dit vrai et mon égo en tire une grande fierté ! Je me sens tel le coq dans la basse cour !Je bombe le torse, rigole et dis en plaisantant, sur un ton qui se veut hautain :
— Mesdames, nous allons regagner la chambre afin que je puisse vous honorer.
Si je dis cela sans me prendre au sérieux, les femmes l’entendent autrement et s’empressent de trottiner dans le couloir qui mène à la chambre en piaillant comme des donzelles !
Maman s’allonge sur le lit, genoux écartés alors que Charlotte se déshabille en deux secondes. Elle est venue sans sous-vêtements tant elle devait être soucieuse de ne pas perdre de temps !Alors qu’elle s’allonge près de maman, je lui dis :
— Charlotte, tu vas t’occuper de Claire et la lécher comme il faut.— Oui, oui, tout de suite !!!
Quand je vois Charlotte, la tête entre les jambes de sa sœur, agenouillée et son beau cul en l’air, je suis surexcité. J’adore ce spectacle lesbien !!Je me place derrière ma tante, lui attrape les hanches et m’enfonce dans son fourreau sans ménagement. Elle gémit, mais continue à faire tourner sa langue sur le clitoris de maman.Ma douce chérie apprécie beaucoup et se contorsionne de plaisir.
Je donne des coups secs pour perforer l’antre de Charlotte et la coquine adore cela ! Je lui attrape les seins, les malmène, pince ses tétons et reprends ma saillie brutale !La pauvre tressaute sous mes coups de boutoir, geint de bonheur et quand maman arrive à l’orgasme, Charlotte ne se maîtrise plus et hurle sa jouissance alors que ma semence gicle en elle....
Les semaines suivantes, maman et moi vivons comme un vrai couple d’amoureux. Nous sortons au cinéma, au restaurant, nous promenons main dans la main dans les rues de la ville. Bien entendu, nous sentons des regards réprobateurs des gens dits "bien pensants", ce peut être de certains passants ou bien le voisinage qui cancane sur notre compte, mais rien ne nous touche, tant nous sommes sur un petit nuage, ma maman chérie et moi.
Nous voyons Charlotte au moins une fois par semaine. Ce peut être tantôt chez elle, tantôt chez nous. À chaque fois, nos séances sont torrides. Elle nous apporte toute son expérience et profite de la nôtre. ...
Un soir, alors que j’étreins ma chérie dans le salon en regardant la télévision, nous voyons aux informations régionales qu’un concert de son crooner préféré va avoir lieu dans une ville assez proche de la nôtre. Immédiatement maman trépigne à l’idée de le voir à nouveau sur scène. Moi, ce type je ne l’aime pas trop, je le trouve trop imbu de sa personne, mais c’est le souvenir de la façon dont maman et moi nous sommes rapprochés qui me fait le tolérer.Tant lors du concert, qu’après, lors de nos danses par exemple, ce rapprochement si intense de nos corps a été possible grâce aux mélopées de ce charmeur de femmes.
Dès le lendemain, les places sont réservées, ainsi que l’hôtel où nous dormirons à l’issue du spectacle qui aura lieu dans une dizaine de jours...Dans les jours qui précèdent, maman se déchaîne littéralement lors de nos ébats ! Elle n’est plus la femme timorée d’avant et innove à chacun de nos rapports. En particulier, elle me demande très souvent de lui donner la fessée avant de la saillir façon "cosaque" !
Le soir du concert, bien évidemment nous sommes au premier rang et je me complais à me coller à elle comme lors de la première fois. Ma coquine de mère n’hésite pas à me malaxer la braguette alors que je l’enlace. Elle fait fi de la foule qui nous entoure, car le public essentiellement féminin est accroché au timbre grave de leur crooner adoré.Moi, je bande dur sous les caresses, désormais expertes, de ma chérie, j’ai envie de la prendre sur place, mais nous aurons toute la nuit à venir pour cela !
À la fin du spectacle et avant le premier rappel, un gars passe entre la scène et nous et distribue à quelques femmes, dont maman, un bristol. Malgré la pénombre ambiante, nous lisons que c’est une invitation à une séance de dédicace privée après le concert.Maman est hyper-contente d’avoir ce privilège, moi un peu moins, car je suis pressé de rejoindre notre chambre d’hôtel !
Il va y avoir deux longs rappels avant que la salle ne se vide et que ne restent que les quelques élues. Le silence revenu, le type qui avait distribué les invitations nous réunit et se présente comme être l’agent du chanteur avant de nous inviter à le suivre.Tel un troupeau, nous le suivons à travers un dédale de couloirs avant d’arriver devant la loge du "messie".
Deux femmes passent avant nous et sortent ravies d’avoir pu faire un "selfie" avec l’artiste et disposer d’un autographe qui vaut de l’or pour elles. Quand vient notre tour et que je m’apprête à accompagner ma chérie, l’agent me barre le passage, me signifiant que seule ma mère peut accéder au royaume de ce dieu vivant.J’en suis contrit, voire vexé, mais maman m’adresse un signe de la main et un sourire pour me rassurer.
Rassuré ? Non je ne le suis pas, car Claire passe trop de temps dans cette loge, bien plus que les deux femmes précédentes. J’ai l’impression qu’une éternité s’écoule, même les autres groupies s’impatientent !
Enfin, quand la porte s’ouvre sur ma douce et tendre, je la vois sortir la tête haute, arborant un grand sourire de satisfaction. Le plus étonnant pour moi, c’est quand elle se débarrasse avec dédain de son autographe en le jetant au-dessus de son épaule avec une expression de mépris !!
C’est quand nous sortons de l’enceinte de spectacle pour retrouver l’air libre, que maman me dit :
— Eh bien, je crois qu’il a eu une bonne leçon !— Que veux-tu dire maman, que s’est-il passé là bas ?— Ce connard (sic) voulait que je passe la nuit avec lui. Il m’a fait du charme, beaucoup de charme !— Mais pourquoi as-tu repoussé ses avances, tu avais là une occasion exceptionnelle ! (Je le dis à contrecœur, mais je veux lui paraître large d’esprit) — D’abord parce qu’il n’avait que l’envie de me sauter et surtout que je suis trop bien avec toi.— Et tu lui as dit non ?— Il m’a dit que tu pouvais te débrouiller tout seul pour cette nuit et qu’il me ferait connaître une nuit d’amour exceptionnelle en échange.— Bien sûr, ça m’aurait embêté que tu acceptes !— Rassure-toi quand je lui ai dit "Mais, mon bon Monsieur, il est hors de question que je délaisse mon fils, c’est un si bon amant que personne ne peut rivaliser avec lui", il est resté comme deux ronds de flan je crois qu’il doit encore être en train de réfléchir à cette révélation, hi hi... — Mais pourquoi as-tu refusé ? Même si ça me fait plaisir de t’entendre dire de telles choses !— Tout simplement parce que j’ai compris que ce type m’a considérée comme on le fait d’un mouchoir jetable, du genre "je te baise et tu te casses !". De plus sa remarque à ton propos m’a particulièrement offusquée. Je n’ai pas du tout admis son comportement. J’ai toujours eu horreur des gens qui se croient supérieurs.— Je ne m’inquiète pas pour lui il trouvera une autre femme !— Je crois quand même que c’est moi qu’il voulait ce soir.— Je te crois volontiers ! Tu es si adorable ma chérie !— Retournons vite à l’hôtel, cette soirée m’a trop chauffée, j’ai trop envie de toi, mon fils chéri !!
FIN
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