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Maman l'espace d'un instant

Chapitre 6

dans la continuité

Inceste
Un dimanche tout ce qu’il y a de plus simple pour un repas de famille dominical en petit comité, c’est à dire mon oncle, ma tante, mes parents et moi.
Tout commença brièvement comme à l’accoutumée par des discours sur la vie de chacun, sur la pluie et le beau temps, et plein d’autres choses du genre, quand ma mère eut l’idée géniale d’aller au supermarché du coin pour y acheter les matières premières.
Un repas bien du terroir car mes parents avaient tout bonnement décidé de faire une raclette, et franchement pour tout dire j’étais plus que ravi.
Je prends le fiston avec moi si ça ne vous gène pas lança maman.
Mon père rétorqua bien au contraire comme ça il t’aidera pour tout charger et décharger.
Rien que le mot décharger, maman me fit un léger sourire et j’ai vite compris ce que cela voulait dire, bref elle avait envie de moi, et j’avais aussi très envie d’elle, logique quand deux personnes s’aime autant.
Direction le magasin et en route ma mère me caressait continuellement ma cuisse gauche, et inévitablement une bosse se former dans mon jean, ce qu’elle avait bien évidemment deviné et surtout cherché.
Oh et bien dis donc ça réagit au quart de tour à ce que je vois, c’est mignon tout ça.
Et oui maman tu me fait de l’effet, beaucoup pour tout dire, tu es si belle et désirable, et disons bandante.
En chemin elle se gara dans un petit chemin qui menais en sous bois question de discrétion vous l’auriez bien compris.
S’il te plait baisse ton jean j’ai trop envie de te sucer, j’ai faim et j’ai soif, j’ai trop envie de ta queue ça me manque.
J’accéda donc au désir de celle qui m’avait porté durant neuf mois, et elle commença par mettre des petits coups de langue sur mon gland déjà bien humide, puis descendit sa bouche le long de ma tige pour tout gober.
Oh oui c’est bon maman tu me fait ça à merveille je suis au nirvana.

Je lui passais la main dans ces cheveux pendant qu’elle pratiquait une fellation qui ne cessais de me faire gémir, et elle y allait de plus en plus vite, et je sentais que je n’allais pas pouvoir me retenir beaucoup plus longtemps.
Et dans un cri je répandis en plusieurs jets épais dans sa bouche mon sperme qu’elle avala sans en perdre une goutte.
Ah mon fils il est toujours aussi bon ton sperme et il y en a beaucoup.
Merci maman content que cela te plaise.
Maintenant direction le magasin, le caddie se remplissait comme il se doit petit à petit, et nous arrivions à la caisse pour payer.
C’est la que ma mère me dit dans le creux de l’oreille qu’elle voulait que je fasse en elle et qui fallait faire vite pour charger dans la voiture tout ce qu’il y avait dans le caddie.
Elle téléphona à papa prétextant qu’il y avait du monde, ce à quoi il répondit pas de soucis et soyez prudent sur la route.
Mais à peine avoir raccroché, elle m’emmena dans les toilettes de ce supermarché, regard à gauche et à droite personne, ont s’engouffra dans les WC et elle enleva juste sa jupe et baissa sa culotte pendant que j’avais baissé mon pantalon, mon caleçon et que je m’étais assis sur la cuvette.
Elle me masturba un moment puis s’empala sur ma bite en effectuant de rapides mouvements, elle ouvrit son chemisier je lui tata sa poitrine, on s’échangeait quelques coups de langues.
Oh que c’est bon de se faire baiser par son fils.
Ces mots crus sortant de sa bouche me plaisait vraiment, et elle continuait à me chevaucher ainsi durant une bonne dizaine de minutes quand d’un coup elle se serra contre moi en hurlant dans mon cou pour ne pas trop se faire entendre, et ce qui devait arriver arriva, je déversa par longues saccades au fond de son vagin.
Nous reprenions la route, et environ une demi heure plus tard nous étions de retour à la maison.
Super vous avez pris tout ce qu’il faut, c’est bon alors lança papa.
Oui toutes les matières premières sont là lui répondit maman.
Silencieusement je me disait oui c’était super bon d’ailleurs de se répandre dans sa mère.
Plus tard dans la journée mes parents m’ont ramené chez moi, papa resta dans la voiture, maman voulait soit disant satisfaire un besoin naturel, mais c’était juste un prétexte pour rentrer se coller contre moi, passer ces mains partout dans mon dos et m’embrasser à pleine bouche.
Oui tout ceci est réel mais politiquement incorrect et vraiment contraire à la bonne morale, mais nous nous aimons très fort avec des sentiments sincères et surtout sans trop se poser de questions futiles et inutiles.
Voilà c’était donc un dimanche après midi finalement sympa et agréable.
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