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Maman l'espace d'un instant

Chapitre 15

combustions multiples des corps

Inceste
Aujourd’hui je me sens d’humeur très coquine et je pense que maman également, de plus nous nous retrouvons rien que tous les deux dans la maison familiale pour toute la journée. Je ne sais pas pourquoi, et je ne saurai expliquer ce qui me provoque ces bouffées de chaleur mais je pense que c’est simplement le désir ultime de notre amour.
Tiens il est que 09 heures et maman est toujours à son petit déjeuner, elle qui à son habitude est déjà sur les chapeaux de roues depuis un bon moment, cela ne lui ressemble pas du tout.C’est tout naturellement que je la couvre de bisous et la prend dans mes bras pour l’emmener dans la chambre après qu’elle ait terminé son chocolat chaud et son croissant, mais dans son regard de toute évidence elle en avait envie aussi, sa se ressentait.
Je l’embrassai tendrement et fis descendre mes mains sur ses fesses, je ne vous cache pas que l’excitation était bien avancée, en effet j’étais bien dur et mon gland légèrement humide, j’étais pressé de passer à l’acte.Je lui demandai directement de me sucer puis elle s’exécuta sans dire un mot et m’a accueillie dans sa bouche chaude et profonde. J’étais debout devant le lit et elle assise dessus en train de me pomper vigoureusement, mon Dieu que c’était divin. Mais maman cessa tout mouvement et me dit une chose qui me bouleversa un peu car sans que ce soit la première fois, là c’était sans parole.En une fraction de seconde elle avait enlevé sa nuisette et s’était mise en position levrette, ce qui me donnait une belle vue sur son anus.— Oh oui encule moi de suite mon fils chéri— Oui maman tu vas prendreJe léchai tout d’abord son petit trou histoire de bien lubrifier, puis mon pouce à l’intérieur pour faire le passage, et des gémissements sortaient de la bouche de ma mère.
Je bandais très fort et c’est tout naturellement que mon sexe pénétra son anus calmement, j’aimais me sentir en elle dans son petit trou, et elle aimait ça également. Il me vint alors l’idée d’accélérer la cadence car j’avais envie de l’entendre gémir, mais au contraire ce sont des hurlements et des cris terribles qui sont sortis de sa bouche. Ce n’était pas la douleur mais bel et bien du plaisir qu’elle avait de se faire pénétrer de la sorte.
Je me penchai donc un peu plus en avant pour accentuer la profondeur de la sodomie, ce qui eut un effet détonant.Elle m’invita à continuer puisque je m’y prenais bien, je fis tourner ma bite au fond de son anus, je lui caressais ces cheveux d’une main. Je sentis sa défaillance arrivée petit à petit c’était inévitable, je m’engouffrais de plus en plus en plus vite, j’étais également au bord de mes dernières forces.Je saisis ces fesses en appuyant une ultime fois au fond d’elle.— C’est bon mon amour je vais jouirMaman n’en pouvait plus et dans un final somptueux je semai cet épais et abondant jus d’amour au plus profond de son anus.Une fois terminé, elle me demanda de m’allonger sur le canapé et me retira ma chemise.— Je t’aime mon fils— Moi aussi maman je t’aimeElle ouvrit son vagin en m’invitant à le lécher, ce que je fis naturellement, elle se tortillait en me caressant les cheveux.— Maintenant baise-moi la chatteSans rien dire mon sexe se présenta à l’entrée de son intimité, et à peine le gland passé, des cris se faisaient entendre.Je me frayais un chemin sans mal, nos deux corps ne faisaient plus qu’un. Je la besognais ainsi une bonne demi-heure dans cette position avec ces jambes autour de mon dos ce qui donnait le tempo et la cadence à nos mouvements.— Maman je vais pas tarder à venir— Encore je t’en supplie c’est trop bonSeulement peu de temps après mon sperme se répandit au fond de son ventre dans un flot continuel de cris et d’orgasmes.Effectivement c’est vraiment ça, elle avait bien raison car c’est de l’amour avant tout. Ni une vague amourette ou une simple passade, une relation amoureuse comme il en existe tant d’autres.Nous avons passé le reste de la journée à faire l’amour huit fois, deux fois sur le sol de la cuisine, une fois sur la grande table du salon avec à chaque fois maman à califourchon sur moi, et un double bonheur dans l’atelier de papa sur son plan de travail en levrette.Le reste se passa au calme sur le lit conjugal pour trois ultimes moments de bonheur intense, mais cette fois c’est moi qui étais sur elle. Chaque rapport c’est terminé par une éjaculation dans le vagin, quoi de plus normal entre vrais amoureux.Bien évidemment entre temps nous avons mangé le midi, faut bien prendre des forces. D’ailleurs le repas était vraiment excellent, un réel plaisir là également. Maman est une superbe cuisinière, elle en connait des recettes.Je voyais l’heure tourner, autant l’un que l’autre on savait que le temps était maintenant compté puisque papa devait arriver d’un instant à l’autre. Et il ne savait pas que j’étais là, ou du moins que j’allais passer.Oui, il était déjà 17 heures à la pendule de la cuisine ou tous les deux nous étions à se parler calmement.Avant de partir, maman me colla à la porte d’entrée, baissa mon short et mon boxer et me pompa docilement jusqu’à ce que sa bouche soit remplie et qu’elle déguste pour le mieux ce nectar d’amour.Ah c’est franchement beau l’amour d’une mère.
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