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Maman l'espace d'un instant

Chapitre 18

un moment tendre et amoureux

Inceste
Ce jour-là chez mes parents, j’entrai dans la salle de bain et je surpris ma mère en train de prendre sa douche comme à l’accoutumée. Mais je restai un long moment scotché à la vue de sa nudité qui pourtant n’était pas une première pour moi ni pour elle. Comme papa n’était pas là pour la journée par rapport à son travail, je décidai donc de me joindre à elle en toute simplicité.Sans un mot maman prit mon sexe en main et le caressa tendrement tout en continuant sa toilette.
— Dis donc tu es en forme aujourd’hui.— Oui et c’est normal après tout-— Je ne suis pas ta maman, mais ta femme, je te l’ai déjà dit.— Pardon mon amour-— Ah, je préfère ça.
Passé cette stupide étourderie de ma part, c’est vrai que je me sentais vraiment nul, elle s’agenouilla dans la douche et me prit en bouche directement en me palpant les boules. Que c’était bon se faire accueillir ainsi, elle si délicate qui faisait ça avec beaucoup de tendresse et tout plein d’amour, j’étais vraiment au septième ciel, le nirvana sincèrement. Si bien que dix minutes après le début de sa gorge profonde, j’arrosais abondamment son gosier en plusieurs giclées abondantes et épaisses, il y en avait tellement qu’elle en a recraché un peu, mais sur ce point de vue-là, je ne lui en veux pas du tout.
— C’était bien bon mon amour. Ta semence est épaisse comme j’aime.— Tu es vraiment adepte de cette pratique, je suis ravi.— Logique, nous nous aimons sincèrement.
C’est bien vrai que cet amour interdit et politiquement incorrect était pourtant bien réel, depuis le début de notre relation cachée, mais qui restait tout ce qu’il y a de plus sincère, précieux et durable.
— Maintenant bouffe-moi le cul me dit-elle-
Sans esquisser le moindre mot, je lui obéis, elle qui était déjà collée contre la paroi de la douche. J’écartai lentement ses fesses pour y engouffrer ma langue et ainsi jouer avec son petit trou bien humide, mais mes doigts ne tardaient pas à remplacer cette dernière pour le plus grand bonheur de ma chérie.
— Sodomise-moi de suite mon bébé.
J’accédai à son désir avec deux doigts, puis trois, non sans avoir au préalable pris le soin de lubrifier avec ma salive et quelques jets d’eau du pommeau de la douche. J’y allais vraiment fort dans son anus lui arrachant des cris de douleur qui rapidement se transformaient en gémissements de plaisir. Elle allait jouir du cul sans tarder.Dans un dernier hurlement de sa part qui fit tout basculer dans un orgasme du tonnerre, elle jouit de la sorte avec quatre doigts entièrement mis dans son fondement avant l’explosion interne et interminable.Elle se retourna, et la vision de mon membre tout dressé lui arracha un petit sourire coquin.
— Tu as oublié autre chose, il me semble.
Je la pris par le bras puis la sortis de la douche pour l’allonger sur le sol de la salle de bain en lui prodiguant un cunnilingus, mon visage entre ces cuisses, elle me caressant les cheveux, plus un bruit autour de nous. Nous étions en parfaite harmonie tous les deux, une belle osmose due par la combustion de nos corps respectifs et l’amour qui nous unit.Elle se tortillait de plus en plus, j’en arrivais à penser qu’elle allait jouir à nouveau.
— Prends-moi maintenant en levrette, je ne vais plus tenir.
Contre le lavabo, je passai ma main pour faciliter le passage bien qu’il n’y en ait pas spécialement besoin.Sa vulve assoiffée accueillit volontiers mon membre en pleine érection, et nous voilà partis pour une belle séance de sexe dans laquelle je la secouais sans ménagement, je prenais grand soin d’elle. Je sentais qu’elle allait jouir comme une chienne.Je dus étouffer ses cris de jouissance tant ceux-ci étaient bruyants pour ne pas alerter le voisinage en lui mettant la main devant sa bouche, et terminai en me vidant en elle par les rythmes saccadés de mon gland qui crachait tout ce fluide d’amour dans son vagin.Soudain, deux bras m’enlacèrent, ceux de ma bien-aimée qui se collait à moi avec beaucoup de tendresse et certainement pas mal de fatigue due à notre relation intime et partagée sans jamais se poser de réelles questions.
— Tu m’as fait passer un merveilleux moment comme toujours.— Je suis le plus heureux des hommes.
Voilà, ce fut un simple moment comme il en existe pour beaucoup de couples, un instant magique mais pas seulement unique, avec un seul mot d’ordre, de l’amour et rien que de l’amour.
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