Ce récit m’a été inspiré par l’aventure qui est arrivée à l’un de mes amis, Alain, qui habite dans une petite commune. Il m’a assuré que les faits relatés se sont réellement déroulés.C’est avec son accord que j’ai écrit ce texte.
De nouveaux voisins sont arrivés cet été, une jeune femme et ses deux enfants. La mère, de taille moyenne, brune à cheveux longs, rondelette à forte poitrine peut avoir 35 à 40 ans, les enfants sont des ados de 16 et 18 ans.Début octobre, alors que je taille les rosiers dans le jardin, la dame passe devant la porte, me dit bonjour et me demande si elle pourrait me parler de son fils qui a des difficultés au lycée, dans les matières scientifiques, elle précise que c’est Mr le Maire qui lui a dit que je pourrais peut-être l’aider, étant ancien enseignant, à la retraite depuis peu. Je lui réponds qu’on peut toujours en parler et lui propose de le faire après le repas de midi, chez moi devant une tasse de café.Elle arrive vers 14 h, je la reçois dans le salon et elle m’expose la situation de son fils qui est entré en seconde cette année. Ce garçon a 16 ans, il a déjà redoublé une fois et il a des problèmes en Maths, en Physique et en Chimie, la totale. Je lui dis que j’étais prof de maths, physique et que j’ai un bon niveau en chimie. Je pourrais donc lui donner des cours. J’aborde alors l’aspect financier, elle me dit :— Justement, sur ce plan, j’élève seule mes deux enfants, j’ai des revenus modestes, j’ai le loyer à payer, la vie est chère, le Maire m’a dit qu’avec vous, je pourrais peut-être m’arranger.— Qu’entendez-vous par s’arranger ?— Je pourrais vous rendre des petits services, vous faire le ménage, le repassage, mon fils pourrait tondre le gazon ou autre chose, si vous voulez.— Vous savez combien coûte une heure de cours particulier ?— Je ne sais pas, 20 euros !— 10 de plus, votre fils a besoin d’au moins trois heures de cours par semaines, ce qui fait 90 euros, soit 360 euros par mois ! Si l’on estime à 10 euros l’heure de ménage, cela fait 36 heures de ménage par mois, j’ai actuellement une personne qui vient 2 heures par semaine et comme vous pouvez le constater, c’est propre, tout ça n’est donc pas très sérieux, vous ne croyez pas ?— Oui, vous avez raison, mais si vous avez besoin de quelqu’un pour autre chose, n’hésitez pas à m’en parler !— Vous seriez prête à faire quoi ?— Tout ce que vous voulez.— Tout ce que je veux ? Eh bien, moi aussi je vis seul et de temps à autre j’ai des besoins qu’il me faut satisfaire, et à mon âge c’est moins facile qu’à vingt ans, alors si vous étiez compréhensive avec moi …. on pourrait effectivement s’arranger.— Quel genre de besoins ? Expliquez-moi !— Bien, je ne vais pas y aller par quatre chemins, je vous propose de donner gratuitement des cours à votre fils en échange de petites gâteries.— Que voulez vous dire ?— Vous n’allez pas me dire qu’à votre âge, vous n’avez jamais entendu ce terme imagé, employé pour parler d’une fellation !— Vous voulez que je vous suce ?— On peut dire ça comme ça, on peut parler aussi de tailler une pipe, c’est la même chose.— Vous êtes fou ! Je ne ferai jamais ça, il n’en est pas question !— Comme vous voudrez Madame, je ne vous force en rien !
— Monsieur, soyez raisonnable, demandez-moi quelque chose que je peux faire.— Je suis sûr que vous avez déjà fait cela et que vous pouvez le refaire.— Mais je l’ai fait à des hommes que j’aimais !— Eh bien demandez-leurs de donner des cours à votre fils !— Tant pis, je suis déçue, je pensais qu’on pourrait s’arranger.— Il ne tient qu’à vous, Madame, vous avez exprimé votre besoin, je vous ai fait une proposition, cette proposition ne vous convient pas, si vous changez d’avis, n’hésitez pas !— N’y comptez pas Monsieur !— Eh bien tant pis, au revoir chère Madame.Et elle est repartie.Mi-novembre, la sonnette retentit, je vais ouvrir, c’est la voisine. Je lui demande si elle a besoin de quelque chose et elle me dit :— Monsieur, j’ai réfléchit à votre proposition et je pense que je n’ai pas d’autre choix que de l’accepter, les notes de mon fils sont de plus en plus mauvaises et je ne sais pas comment faire autrement.— Ah, c’est bien chère Madame, vous voilà devenue raisonnable, entrez que nous en parlions tranquillement. Je l’invite à s’asseoir dans le salon et lui dit :— Voilà ce que je vous propose, je donne trois cours par semaine à votre fils. Chacun d’une durée minimum d’une heure. Chaque cours est rémunéré par une petite gâterie. Ca ne prend pas très longtemps, un quart d’heure, vingt minutes tout au plus. Vous me sucez nature et vous prenez ma semence dans votre bouche. Je ne vous demande pas de l’avaler. Je ne vous demanderai aucun autre rapport sexuel, par contre vous m’autoriserez à vous caresser. Êtes-vous d’accord ?— Je n’aime pas trop sucer, je préférerais le faire avec un préservatif.— Ce n’est pas négociable, ça se fait comme j’ai dit ou ça ne se fait pas. Ne craigniez rien, je ne suis pas malade, voici des certificats médicaux récents.— Bon, je n’ai pas le choix, je suis d’accord. Mais lorsque mon fils aura rattrapé son retard, nous pourrons arrêter les cours, n’est-ce-pas ?— Vous pourrez arrêter les cours et donc leur règlement, quand vous voudrez. — Alors nous sommes d’accord.— Très bien, dites-moi, chère Madame, quels sont les jours et heures où votre fils serait en mesure de recevoir ses cours et quels sont les jours et heures où vous seriez en mesure de les régler ? Nous nous accordons rapidement, son fils viendra les lundi, mercredi et samedi. Elle viendra les mêmes jours pour régler les cours. Je lui dis :— Eh bien c’est parfait chère Madame, j’attends votre fils ce soir à 18 h et j’aurai le plaisir de vous accueillir par la suite.A 18 h, le gamin arrive. Il repart vers 19h15. Je dine tranquillement et vers 20h, la voisine sonne, elle me dit :— Je suis prête Monsieur. Je m’approche d’elle, passe mes mains sur ses fesses et sur ses seins à travers ses vêtements, elle a un petit mouvement de recul mais ne dit rien, puis je retire mon pantalon et mon caleçon et m’assois dans un fauteuil, jambes écartées, bite à l’air, je pose un coussin entre mes pieds et lui dis : — Allez, à genoux chère Madame, penchez-vous sur cette affaire et faites-là bien cracher. Elle s’agenouille, attrape ma bite avec sa main droite, lui fait faire quelques allers-retours pour lui donner une consistance, ouvre la bouche, la referme autour de mon gland et commence à me pomper. Elle me lèche bien et accélère ses allers-retours, puis en diminue la cadence en serrant plus fort ses lèvres, puis elle accélère à nouveau en s’aidant de sa main. Pour quelqu’un qui n’aime pas ça, elle se débrouille très bien, ma bite est bien dure et je suis obligé de me retenir pour ne pas jouir trop vite. Le contact de ses lèvres et de sa langue est très agréable et sa bouche est chaude et humide. Je regarde sa tête monter et descendre, engloutissant ma queue. Puis elle accélère à nouveau le rythme et je me laisse aller au fond de sa gorge. Elle va à la salle de bains se rincer puis en revenant me demande :— Ca vous a plu ?— C’était parfait chère Madame, vous sucez très correctement, j’ai pris beaucoup de plaisir à jouir dans votre bouche qui est très accueillante ! Pour quelqu’un qui n’aime pas faire ça, vous vous débrouillez très bien !— Merci Monsieur, donc à mercredi, mon fils sera chez vous à 14h, pour ma part, je ne pourrai pas passer avant 20h30 - 21h.— Je vous attendrai avec impatience, chère Madame, à propos quel est le prénom de votre fils ?— Grégoire, mais tout le monde l’appelle Greg.— Et le vôtre ?— Moi, c’est Flora.— Très bien Flora, à mercredi.Le mercredi, le cours se passe bien et comme prévu, vers 21 heures, arrivée de Flora :— Bonjour Monsieur, je suis à votre disposition.— Appelez-moi Alain, bonjour Flora, j’ai envie que vous me suciez allongé sur un lit, je verrai mieux votre bouche engloutir ma bite et c’est un spectacle dont je ne me lasse pas. Je l’emmène dans la chambre à coucher et lui demande de se déshabiller afin que je puisse caresser ses seins, ses fesses et son minou, pendant qu’elle officie. Elle accepte si cela règle 2 heures de cours. Je lui réponds que c’est d’accord et qu’elle n’aura pas à venir samedi. Elle dégrafe son jean qu’elle retire avec son string, sa chatte est très poilue, des poils bruns, frisés, doux au toucher. Elle retire son pull et son soutien-gorge, elle a vraiment de très gros seins qui paraissent encore plus gros une fois libérés. Ce n’est pas Miss France, bien sûr, mais elle a des atouts !Je caresse ses seins et ses fesses, qui sont bien fermes, c’est très agréable !— Vous avez des seins énormes Flora, quelle est la taille de votre poitrine ?— En soutien-gorge, je mets du 100 D. J’ai aussi de grosses fesses.— C’est vrai, on peut dire que vous avez de beaux air-bags !Elle entame la fellation et j’admire le jeu de sa bouche sur ma bite. Elle me suce lentement, profondément, elle travaille bien avec sa langue. Je doigte son minou, jusqu’à y faire rentrer les cinq doigts, je chatouille son clito qui durcit rapidement, elle semble être très sensible, elle mouille bien. Ses poils sont très doux, quelle toison, une véritable forêt ! Puis je lui mets un doigt dans le cul, elle écarte un peu plus les cuisses, j’en mets un second, puis un troisième, qui rentrent sans difficulté. J’en déduis que la voisine est habituée à se faire enculer ! Avec un cul pareil, ça ne m’étonne pas ! Entre temps elle a accéléré ses vas et viens et je suis au bord de l’explosion lorsqu’elle m’enfonce, elle aussi, un doigt dans le cul, ne pouvant plus me retenir, je me vide dans sa bouche en râlant.— Flora vous êtes une sacrée suceuse, je ne parviens pas à me retenir très longtemps avec vous !— Je suis heureuse que ma façon de tailler les pipes, comme vous dites, vous plaise Alain.Notre marché continue jusqu’à la fin décembre, lorsque Flora m’apprend que les résultats de Greg sont bien meilleurs et ne nécessitent plus de cours particuliers. Je lui dis que je regrette déjà ma fellatrice mais que je suis heureux pour Greg.Mi avril, Flora revient me voir, les résultats de Greg sont moins bons, elle aimerait que je lui donne à nouveau quelques cours.— Bien sûr Flora, ce sera avec le plus grand plaisir ! Nous reprenons les cours les mêmes jours aux mêmes heures. Elle me demande également si je pourrais donner quelques cours de maths à sa fille qui est en troisième et va passer en seconde à la prochaine rentrée, 1 heure par semaine le mercredi après son frère.— Je ne peux rien vous refuser Flora, mais ça va faire beaucoup de petites gâteries.— C’est vrai, mais je pourrai vous en faire totalement nue, qui comptent pour 2, si vous voulez.— Oui, avec plaisir, j’aime beaucoup caresser vos fesses, vos seins et votre minette, on pourrait peut-être aussi prévoir des pénétrations qui compteraient pour 3, si vous voulez, bien sûr.— J’accepte, mais avec des préservatifs.— Bien évidement chère Flora. Je m’en occupe. Alors Greg vient demain, passez demain soir tout de même, il y a longtemps que je n’ai pas profité de vos talents buccaux. Mais ne vous dérangez pas pour les 2 cours suivant, vous les réglerez avec le troisième. Comment se prénomme votre fille ?— Jessica, on l’appelle Jess. A demain Alain.— A demain Flora.Le cours de Greg se passe bien. Lorsqu’il part, j’attends sa maman avec impatience, il y a plus de 3 mois qu’elle ne m’a pas pompé !Un coup de sonnette, j’ouvre la porte, Flora entre, et me dit : je suis prête Alain. Je l’entraîne dans la chambre et lui demande de dégrafer son jean pour me laisser caresser son minou poilu. Je m’allonge sur le lit, elle baisse son pantalon et son string et commence à me sucer. Je passe ma main entre ses cuisses et trouve son clito dans la forêt. Avec quelques caresses, il durcit très vite et elle commence à mouiller, elle est vraiment sensible, un de ces jours, il faut que je lui fasse un cunni. Pendant ce temps elle a bien travaillé et je suis déjà sur le point de venir, je n’essaie même pas de me retenir et je me répands dans sa bouche. Quel bonheur, elle suce vraiment bien !Le mercredi, je reçois Greg à 14h, puis Jessica arrive à 15h20, elle a un faux air de sa mère, en plus jeune, elle est brune comme sa maman, beaucoup plus mince, des petits seins agressifs, qu’on voit pointer à travers son pull, des fesses déjà bien rondes, très agréables à regarder, elle a aussi un très joli visage avec de beaux yeux marron. Son cours se déroule normalement.Le soir, Flora passe en rentrant du travail pour voir si ça s’est bien passé. Je la rassure, Greg, sans problème, toujours pareil et Jessica a très bien admis le principe du cours.— Bien Alain, vous êtes sûr de pouvoir attendre samedi ?— Oui Flora, samedi j’aimerais vous prendre toute habillée, en levrette, pourriez-vous mettre une jupe ou une robe ? Et bien entendu pas de collant, j’aimerais avoir un accès direct à votre féminité !— Pour vous faire plaisir, je mettrai une jupe Alain, je viendrai en début d’après-midi, vers 14h.-C’est parfait, à samedi Flora.Samedi, 14h10, Flora arrive, elle porte une jupe corolle assez courte sous laquelle je passe immédiatement une main attirée irrésistiblement par ses fesses. Elle ne porte pas de culotte, je caresse un peu son fessier en passant un doigt dans sa raie, je bande comme un jeune cerf découvrant une biche, j’ai envie de la prendre tout de suite, je l’emmène dans la chambre et lui demande si elle accepterait un 69, elle est d’accord si je me mets dessous. Elle pose ainsi son minou et ses fesses sur mon visage et se couche sur moi pour avaler ma bite. Je recherche son clito dans la forêt qui le protège, ma langue se fraye un chemin dans la jungle, j’ai des poils partout mais je le trouve et entreprends de le caresser avec ma langue et mes lèvres, je m’aperçois qu’il aime être sucé, Flora mouille énormément, sa cyprine dégouline sur mon visage, j’accélère mes succions, je sens ses muscles se crisper, ça n’arrête pas de couler, une partie dans ma bouche, elle pousse des petits cris et soudain stoppe sa fellation, pendant son orgasme, puis elle reprend ses esprits et me dit :— C’était super, vous voulez me prendre ? J’aimerais sentir votre bite bien bandée dans ma chatte et même dans mon cul si vous voulez. Je me retourne, l’embrasse dans le cou et lui dis :— Je vais vous prendre en levrette.Aussitôt elle se met à quatre pattes et remonte sa jupe sur son dos, je remarque alors qu’elle porte des bas auto-fixant.— Vous êtes habillée super sexy Flora aujourd’hui, ça change des jeans !J’enfile un préservatif et j’investis sa chatte lentement, sans aucun mal. Une fois tout au fond d’elle, j’entame des séries d’allers-retours lents puis de plus en plus rapides, je l’entends haleter et pousser des petits cris de plus en plus rapprochés, il semble que le traitement lui convienne, elle dit :— J’te sens bien …. T’es tout au fond …. Baise-moi fort …. Oui, comme ça …. Ah …. Je viens …. Je viens …. Plus vite …. Ah ! C’est bon …. Continue …. Ah .. Ah .. Ah .. !J’augmente la cadence, je cogne à chaque fois contre son utérus, tout à coup elle se crispe et part en criant dans un orgasme apparemment plus fort que le premier.— Ah, vous m’avez bien baisée, j’ai bien jouis, j’en ai encore des frissons !— Je suis heureux que ça vous ai plu. Vous me finissez à la bouche ou je vous sodomise Flora ?— Prenez mon cul, vous allez aimer, j’ai un gros cul mais je suis assez étroite. Elle se remet en position et je lui mouille l’anus avec sa cyprine et un peu de salive, elle me demande si je n’ai pas de lubrifiant, malheureusement …Je change de préservatif et me place sur sa rosette, ma bite est bien dure et entre sans trop forcer dans son étroit conduit. J’avance très lentement, quelques minutes plus tard, je suis planté dans son cul jusqu’à la garde. C’est excellent, je ne bouge plus, j’adore, puis je fais quelques allers-retours, elle s’est penchée en avant, tête dans les draps, ce qui fait saillir son gros cul, elle me dit que c’est bon, j’accélère mes mouvements et sans l’attendre, je décharge en râlant. Quelques instants plus tard, je sors, j’embrasse ses fesses et donne un coup de langue à son anus et à son minou toujours mouillé. Je lui passe une serviette pour s’essuyer et lui dis :— C’était super Flora, vous êtes formidable, j’aime beaucoup votre cul, il est très accueillant, comme vos autres orifices d’ailleurs et en plus, bien serré, très agréable à pénétrer !— Et moi j’aime bien votre bite, j’aime bien les longues bites qui me fouillent profondément ! En plus, vous bandez bien pour un vieux ! Mais, ça fait combien de temps que je suis là ?— Plus d’une heure, vos enfants vont se demander ce que vous faites.— Nous avons discuté de choses et d’autres pour se connaître un peu mieux ! N’est-ce-pas ?— Oui, parfaitement. Cette séance vaut au moins 4 heures de cours !— Si vous voulez, Alain. Et elle me tend ses lèvres entrouvertes, je l’embrasse et nos langues s’emmêlent.— Maintenant qu’on se connaît mieux, on peut se tutoyer Flora ?— Oui, bien sûr, Alain.— Bonne soirée Flora, tu ne vas pas me croire mais j’ai encore envie de toi !Elle sourit, passe sa main sur ma braguette et dit : — En effet, tu n’arrêtes jamais de bander ?— Je bande seulement quand je te vois !— Flatteur ! Et elle part rejoindre ses enfants.Nos relations continuent jusqu’à la fin de l’année scolaire. Elle me propose de concocter pour chacun de ses enfants une petite révision générale pendant la dernière quinzaine des vacances, avant la reprise des cours. J’accepte bien volontiers, elle me propose aussi, dans le cas où j’aurais une petite envie ou un gros besoin pendant les vacances de ne pas hésiter à l’appeler. Je serais alors redevable d’un ou plusieurs cours, selon mon appétit ! Je lui dis que je prends bonne note de sa proposition et que je n’hésiterai pas à faire appel à ses services !
