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Maman lesbienne

Chapitre 5

Inceste
Maman se leva pour se préparer à aller travailler. Je restais au lit en ce samedi matin et me rendormis. Je me réveillai vers 9 heures. Toujours nue, je pris mon petit-déjeuner. Il faisait un soleil magnifique, ce qui laissait présager d’un beau dimanche pour notre pique-nique. Je pris une douche et passai ensuite un coup de fil à maman au magasin en lui promettant de passer la voir pour déjeuner avec elle le midi. Je m’habillai d’une jupe légère et d’un chemisier blanc. Je ne mis pas de culotte. Je quittai l’appartement, pris le bus et alla en ville. Je rencontrai quelques copines avec qui je pris un café. Je fis quelques courses pour moi. Il était temps de rejoindre maman.
Le magasin était bondé de monde. Je patientais près de la caisse. Maman laissa le magasin aux mains des deux vendeuses et nous partîmes déjeuner. Nous allâmes dans un petit restaurant pas très loin. Je m’assis à côté d’elle et discrètement saisis sa main sous la table pour la diriger sous ma jupe. Le bout de ses doigts frôla les lèvres de ma chatte. Cette caresse m’électrisa. Elle retira ses doigts et déposa un baiser sur ma joue. Nous déjeunâmes et retournèrent au magasin. Il y avait moins de monde. Une vendeuse prit sa pause également. Nous déposâmes nos affaires dans la réserve. Un regard vers maman et je me jetai dans ses bras pour un long baiser où nos langues se mêlèrent. Je caressais ses seins à travers son chemisier. Elle glissa sa main sous ma jupe et ses doigts fouillèrent mon intimité. Relevant ma jupe, je m’appuyais sur des cartons. Elle se mit à genoux devant moi, remplaça ses doigts par sa langue. J’appréciais cette caresse dans un lieu inhabituel et excitant. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier quand l’orgasme m’envahit. Personne ne nous avait entendues. Maman essuya son visage. Je l’embrassai tendrement, la quittai en lui donnant rendez-vous après son travail pour que nous allions faire les courses au supermarché le soir.
Je la retrouvai à la sortie du magasin et nous partîmes faire nos courses pour la semaine. Nous étions comme deux gamines, rigolant, chahutant, nous pinçant les fesses. Nous achetâmes tout l’attirail pour nous épiler, bandelettes de cire froide et crème dépilatoire, ne sachant quelle méthode privilégier. Une fois nos courses terminées, nous rentrâmes à la maison. Les courses rangées, nous dînâmes léger. Durant le repas, je posais la question qui me trottait dans la tête :— « crois-tu qu’on va continuer comme ca maman ? » ;— « franchement Chloé, je ne pensais pas qu’un jour cela nous arriverait. Vivons l’instant présent, mais j’avoue que je me sens bien avec toi ».
J’étais heureuse qu’elle ressente la même chose que moi. Je me blottis dans ses bras. La chaleur de son corps irradiait. Sa peau était douce. Je ne pus m’empêcher de caresser sa poitrine et de prendre ensuite ses tétons un par un dans ma bouche. Je l’allongeai sur la table de la cuisine. Je plaçai une chaise sous chacun de ses pieds et me glissa entre ses cuisses. J’écartai ses petites lèvres et délicatement sortis son petit bouton de son capuchon. Je mis mes lèvres autour, le léchais, le suçais, le tétais comme si ma vie en dépendait. C’était si bon et si excitant. Sa mouille coulait sur son anus. J’en profitais pour glisser deux doigts dans son petit trou. Ma langue glissait entre ses petites lèvres et remontait sur son clitoris.
Dans mon champ de vision, il y avait le panier de légumes qui n’étaient pas encore au frigo. Une belle courgette semblait m’appeler. Je me retirai quelques instants pour aller la chercher, la passer sous l’eau et l’essuyer. Maman entretenait son envie en se caressant. Je revins me placer entre ses cuisses et plaçai le légume à l’entrée de son anus. Je le lubrifiais avec la mouille dégoulinant au dessus. J’appuyai un peu plus fortement en sentis toute résistance s’estomper. Maman laissa s’échapper un léger cri de surprise mêlé le plaisir. Je continuais à lécher son clitoris tendu en faisant aller et venir la courgette entre ses fesses. Elle se pinçait les tétons en même temps. Le légume entrait entièrement dans ce boyau bien lubrifié. J’avais l’impression qu’elle était presque aussi large de ce côté-là que devant. Ma langue jointe à la courgette finit par arracher un orgasme puissant contractant tous les muscles de son corps.
Je me retirai délicatement de son anus et mis la courgette dans le lavabo. Maman récupérait doucement. Elle se releva et me prit dans ses bras. Un long baiser me fit comprendre tout le plaisir qu’elle avait ressenti. Nous allâmes prendre une douche ensemble. Ensuite nous filâmes au lit où nous nous retrouvâmes très rapidement dans notre position favorite, le 69. Cette fois-ci, j’étais au dessus. Nous nous dévorions mutuellement. Elle glissa son majeur droit dans ma chatte pour le lubrifier et remonta vers mon anus. Je n’avais jamais pratiqué ce genre de caresse, cependant j’étais trop excitée et je la laissai faire. Délicatement, elle introduisit son doigt dans mon petit trou très serré. Ce fut comme une décharge électrique un peu douloureuse mais excitante en complément de ses baisers sur mon clitoris. Je me laissais faire. Seule l’extrémité de son doigt était entre mes fesses. Au bout d’un moment ce n’était plus aussi désagréable. Je jouis la première. Mes caresses sur son clito déclenchèrent bientôt son orgasme également.
Revenant côte à côte, nous nous endormîmes la main mutuellement sur notre petit trésor.Nous avions mis le réveil à sonner de bonne heure afin de profiter de notre dimanche. Après le petit-déjeuner, nous filâmes à la salle de bain pour notre séance d’épilation. Maman prit les bandes de cire, moi plus craintive j’utilisai la crème dépilatoire que je rinçai rapidement afin que cela ne brule pas. Nous admirâmes respectivement notre travail en comparant la douceur de nos minous. C’était assez similaire et je trouvais follement excitant de toucher la chatte toute lisse de maman. J’avais hâte de la lécher. Nous préparâmes le pique-nique et décidâmes de partir en voiture dans la campagne plutôt qu’à la plage afin d’être tranquilles. Nous prîmes la voiture et remontâmes dans l’arrière-pays. Nous nous engageâmes dans un petit chemin qui aboutit dans un pré bordé d’arbres très discret et loin de toute habitation. C’était le lieu idéal. Il devait faire une cinquantaine de mètre sur cinquante. Nous sortîmes la couverture, le pique-nique, le parasol et nous fîmes le tour du pré afin de nous rendre compte si nous étions vraiment tranquilles.
Rassurées, nous nous déshabillâmes pour nous mettre en maillot de bain. Nous nous allongeâmes sur la couverture pour profiter du soleil, retirant très vite le haut. Nos sens commençaient à s’éveiller. Je caressais tendrement la poitrine de maman d’une main, ou plutôt je l’effleurais. Ses tétons pointaient vers le ciel. Je me levai pour vérifier que nous étions seules. Pas de souci de ce côté, tout le monde était à la plage. Il n’y avait que le bruit des oiseaux et de quelques cigales qui commençaient à arriver. Je retournai près de maman et enleva mon bas de maillot pour me retrouver totalement nue. Voyant cela, elle enleva le sien également. Nos minous dégagés profitèrent pleinement du soleil. Je voulais goûter son minou tout lisse. Je me glissai entre ses cuisses et commençai à la lécher avidement. C’était vraiment meilleur sans tous ces poils. Rien ne gênait ma langue dans son exploration. J’appréciais cette nouvelle douceur. Maman aussi car elle levait son bassin sous mes coups de langue. Je glissai mes mains sous ses fesses. Elle se lâcha complètement dans un cri de jouissance. Nous étions bien. Nous nous reposâmes un peu et sortîmes le déjeuner. Au menu salade de crudité, tomates, œufs et pèches. C’était vraiment agréable de manger nues au soleil. Nous buvions beaucoup d’eau avec cette chaleur et à la fin du repas j’eus envie de faire pipi. Je me levai pour m’isoler dans un coin tranquille pour cela. Maman me regarda m’éloigner quand elle me cria « attends ! ». Je me retournai, me demandant ce qui se passait. Elle se leva et courant dans l’herbe me rejoignit. Passant son bras autour de mes épaules, nous continuâmes à marcher jusqu’au petit coin que j’avais choisi. J’allai me baisser pour faire pipi et remarquai qu’elle me fixait.
— « tu ne vas pas me regarder faire pipi quand même ? » :— « et pourquoi pas ? ».
Jamais personne ne m’avait regardé dans cette posture, mais pourquoi pas en effet. Je m’accroupis et commençais. Maman se pencha et tendit la main sous le jet chaud. L’étonnement interrompît brutalement mon envie. Elle portait ses doigts à sa bouche pour goûter mon urine. Je n’en revenais pas. J’allais de surprise en surprise avec elle. Elle me demanda « cela te dérange ? ». je répondis que non. Elle s’allongea dans l’herbe et me demanda de me mettre accroupies au dessus de son visage. Intriguée je m’exécutai. Ma chatte était au niveau de sa bouche, elle me fit « vas-y ». Je compris qu’elle voulait que je fasse pipi sue son visage. Je souris et me concentra. Au moment au le jet sorti, elle ouvrit la bouche et commença à boire. Je n’en revenais pas et la fixai intensément. Je ne pouvais m’arrêter et je dus faire pas loin d’un litre. Elle ne pouvait pas tout boire vu la violence du jet, cela coulait de chaque côté de sa bouche et éclaboussait son visage. Quand j’eus fini, elle glissa sa langue dans ma chatte comme pour ne pas perdre la dernière goutte ou me nettoyer.
— « c’est bon ? » fis-je curieuse.— « oui c’est un peu entre le goût du thé et de l’eau chaude ».
Elle m’étonnerait toujours. Elle se releva et en l’embrassant je pus effectivement avoir une idée de la saveur de ma propre urine. C’était surtout de voir maman me boire ainsi qui était excitante.
A suivre...
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