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Maman lesbienne

Chapitre 9

Inceste
Personne dans notre entourage ne se doutait des liens qui nous unissaient autres que ceux maternels. Nos voisins devaient nous trouver un peu bizarres mais nous gardions des rapports distants avec eux. De temps en temps, nous invitions des amies ou la famille à manger mais nous étions très sages et rien ne pouvait leur laisser supposer que quoi que ce soit se passer entre nous.
Nous essayions de vivre pleinement notre amour avec discrétion, même si cela nous manquait de nous prendre par la main dans la rue ou nous embrasser quand nous en avions envie. Nous ne pouvions le faire que loin de chez nous, dans les endroits ou personne ne nous connaissait. Ainsi, nous allions souvent nous balader ou faire des courses à Marseille. Parfois, il arrivait que l’on nous regarde par rapport à notre différence d’âge. Nous nous sentions vraiment libres.
Un samedi soir, nous décidâmes d’aller en boîte lesbienne pour danser toutes les deux, nous changer les idées et passer une bonne soirée. Il n’était pas envisageable d’aller à Toulon où nous connaissions la plupart des lesbiennes. Je proposai à maman d’aller à Marseille dans une boîte sympathique que j’avais parfois fréquenté. Ce n’était pas très loin en voiture. Nous nous habillâmes décontractées et sexy, pas pour draguer mais pour nous plaire mutuellement.
Nous partîmes de bonne heure pour dîner là-bas et ensuite aller en boîte. Il y avait peu de monde quand nous entrâmes. Trois couples étaient assis à des tables. Quelques filles et des homos discutaient au bar. La musique était variée et rapidement nous allâmes sur la piste nous trémousser. Cela incita les autres à faire pareil. La boîte se remplit. Nous étions un peu serrées, mais nous nous amusions sans arrière-pensée. Une fille à moitié saoule vint vers moi en essayant de me draguer. Je lui fis comprendre que j’étais accompagnée et pas intéressée. Elle insistait. Je pris alors maman par le cou et l’embrassa sur la bouche. La fille ne voulait pas comprendre et me demanda si je préférais « les vieilles ». Pour la choquer, je lui dis à l’oreille « c’est ma mère ». Elle se recula, haussa les épaules et nous traita de salopes même si elle ne nous avait pas cru.
Nous passâmes une bonne soirée durant laquelle nous ne pensions à rien d’autre qu’à nous amuser en dansant. Cela nous fit du bien de sortir un peu et voir du monde, sans être jugées pour ce que nous étions. Nous pouvions librement nous embrasser devant les autres. L’anonymat le plus total nous entourait. Nous reprîmes la route vers la maison très heureuses de notre soirée, nous promettant de recommencer.
L’été approchait. La sœur de maman nous invita un soir à dîner. Nous nous habillâmes sagement. Elle n’était pas du tout au courant de notre relation et avec son manque d’ouverture d’esprit, elle n’aurait sûrement pas toléré. Donc pas question de nous afficher devant la famille malgré notre envie de vivre pleinement notre amour. Mon oncle et mes cousins étaient là. Ma cousine, Elodie, était très coincée et sûrement pucelle. Avec mon cousin, Mathieu, nous avions trop de différences pour que je puisse avoir une discussion intéressante avec lui. Après le dîner, nous apprîmes que tous les quatre partaient en vacances pendant un mois et qu’ils avaient pensé nous confier la maison durant ce temps afin de ne pas se faire cambrioler. En plus, ils ne pouvaient pas emmener le chien, Orky, un labrador beige de quatre ans. Nous serions donc chargées de le nourrir également. Durant la période estivale, maman ne fermait pas le magasin car il y avait beaucoup de touristes. Moi, je n’avais rien de prévu pour les vacances. De plus, leur maison était entourée d’un magnifique jardin et surtout une belle piscine dont nous pourrions profiter tout à loisir. Un regard complice suffit à sceller notre décision. Nous acceptâmes bien volontiers.
Le jour du départ arrivé, maman travaillait, je me rendis donc chez eux pour récupérer les clés et les quelques recommandations d’usage. La maison se trouvait au Beausset, à proximité du Castelllet. Elle était isolée et entourée d’une haute haie permettant d’être tout à fait tranquilles. Ils partirent tous les quatre en voiture, me laissant seule avec le chien. Il était assez calme avec cette chaleur. Il préféra rester au frais dans le garage. Maman devait me rejoindre le soir après le travail. Mon oncle et ma tante nous avait laissé la chambre d’amis à disposition si nous voulions rester dormir. J’allais m’y déshabiller et fis le tour ainsi nue avant de me plonger dans la piscine. Quel délice de pouvoir ainsi en profiter librement. En sortant de l’eau, je m’allongeai sur un transat et m’endormis un peu au soleil. Je préparais une salade lorsque maman arriva. Elle sourit quand elle me vit nue dans la cuisine. Elle alla prendre une douche et me rejoignit dans le plus simple appareil aussi pour dîner sur la terrasse.
Nous plongeâmes ensuite dans la piscine. Je pris maman dans mes bras et l’embrassa passionnément. Ma langue s’insinua dans sa bouche, se mêlant à sa langue dans une danse érotique qui nous fit excita encore plus. Nos mains caressaient nos seins. La chaleur du soleil était encore présente en cette période où il ne se couchait pas avant vingt-deux heures. Je demandai à maman de s’asseoir sur le rebord de la piscine, les jambes pendantes dans l’eau. Je m’installai entre ses cuisses et ma bouche se colla à son coquillage humide. La langue fouilla son intimité. J’aimais tellement le goût de sa chatte et la faire jouir ainsi. Elle faillit tomber dans l’eau lorsqu’elle atteignit l’orgasme. Je sortis de l’eau.
Le chien était sorti de la fraicheur de son garage. Il nous regardait en remuant la queue. Je ne sais pas s’il avait compris ce que nous avions fait, mais avec son odorat surdéveloppé il avait dû sentir nos effluves sexuels. Ma tante m’avait dit qu’elle le nourrissait deux fois par jour, le matin et le soir. Il était donc l’heure pour lui de passer à table. J’allais chercher le paquet de croquettes dans la cuisine et remplit sa gamelle dans le garage. En passant à côté de lui, il en profita pour me renifler les fesses. Je repoussai son museau d’une petite claque en le traitant d’obsédé. Je rejoignis maman sur la terrasse. Nous avions laissé nos sex toys à l’appartement, nous nous promirent de les ramener car nous comptions bien profiter de la maison durant tout le mois de juillet.
Nous nous allongeâmes sur la pelouse, maman sur moi tête-bêche. Nos langues fouillaient nos chattes. Nos clitos étaient gonflés d’excitation. Mes doigts se glissèrent entre les petites lèvres de maman. Sa mouille coulait dans ma bouche. Ma main pénétra aisément entièrement dans sa vulve trempée. Je refermais les doigts. Mon poignet était enserré par ses muscles vaginaux. Je sentais les doigts de maman s’insinuer dans mon vagin. Sa main finit par se retrouver toute en moi. Nos mains entraient et sortaient de nos chattes de plus en plus vite. Nous gémissions de plaisir. Je jouis en première, suivie par maman.
Après quelques instants de répits, en rouvrant les yeux, mon regard se posa sur son anus entrouvert. Je retirai ma main détrempée de son vagin et remonta quelques centimètres plus haut. J’insérais un doigt puis deux, dans son petit trou. Surprise par cette caresse, elle retira la main de ma chatte et s’appuya sur ses coudes. Je léchais son clitoris en doigtant son cul qui se dilatait un peu plus. J’en profitais pour mettre un troisième doigt, les faisant entrer et sortir, les tournant. Pour entrer ma main entière dans son cul, je n’eus pas besoin de replier mes doigts à l’intérieur de son rectum. Elle gémit, mais me demanda de continuer à baiser son cul avec toute ma main bien profondément. En restant en elle, je me déplaçai pour me placer derrière elle. Cela me permit de lui caresser le clito de l’autre main. J’hallucinais de faire l’amour à maman ainsi. Je la fis jouir très fort, ma main enserrée dans son anus en frottant son clitoris amoureusement. Je retirai ma main de son cul. Je n’ai pas apprécié d’avoir de la merde collée sur mes doigts et je les lavais rapidement. Nous prîmes une douche, filâmes au lit pour un sommeil réparateur.
A suivre...
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