Au matin, nous fûmes réveillées par le chant des oiseaux. Je souris à maman en l’embrassant tendrement. Nous nous levâmes pour prendre notre petit-déjeuner. Elle avait mal au cul et s’asseyait avec précaution. Nous étions samedi et je décidais d’aller en ville avec elle. J’étais en vacances, je profiterais de ma journée pour aller me balader, faire les boutiques, passer à l’appartement arroser les plantes et récupérer les godes. Elle travaillait toute la journée, nous nous rejoindrions le soir pour retourner au Beausset. Avant de partir, je donnai à manger et à boire au chien. Il pouvait se promener dans la propriété et monter la garde quand nous n’étions pas là. Il faisait chaud. Je profitais de passer à l’appartement pour me changer et mettre un short plus léger. Je mis également quelques fringues dans un sac à emporter chez ma tante même si nous vivions la plus part du temps nues. J’y glissai aussi nos godes. Je passai voir une copine et nous allâmes faire les boutiques. Le soir je rejoignis maman à l’appartement pour récupérer nos affaires et sur la route fîmes quelques courses à l’hypermarché. Nous arrivâmes presque à la tombée de la nuit à la maison de ma tante. Orky commençait à s’habituer à nous et nous fit la fête, sautant un peu partout. Le lendemain, nous passâmes la journée entre la piscine et le transat à nous faire bronzer. Derrière la maison, nous étions vraiment tranquilles et personne ne pouvait nous voir. Nues comme à notre habitude, nous ne perdions pas une occasion de nous embrasser et nous caresser. Nous étions toujours trempées d’excitation. Je ne sais pas si c’est ce qui attira Orky, mais alors que nous étions allongées sur nos transats, je sentis son museau entre mes cuisses. A moitié assoupie, cela me fit sursauter. Je le repoussai gentiment du pied. De dépit, il se dirigea vers maman qui était sur le ventre. Il fit le tour et comme pour moi, renifla son entrecuisses. Elle tourna la tête et fit comme si de rien était. Orky, ne se sentant pas repoussé, poursuivit un peu plus en léchant sa chatte à grands coups de langue. Je n’en revenais pas que maman se laissa faire ainsi. Au contraire, elle écartait un peu plus les jambes. Je regardais la scène avec étonnement. Elle se retourna sur le dos pour mieux offrir sa chatte à la langue du chien. Je voyais le bout rouge de son sexe dépasser. Sentant le plaisir monter en elle, maman me prit la main et la serrer très fort. Elle jouit ainsi rien que de se faire lécher par Orky. En rouvrant les yeux, elle vit aussi le sexe du chien tout excité. Elle me demanda de l’aider à se faire prendre par lui. Avant même que j’ai eu le temps d’acquiescer, elle se mit à quatre pattes dans l’herbe. Instinctivement, Orky vint poser ses pattes antérieures sur son dos comme il l’aurait fait pour une chienne. Subjuguée par la scène, j’osais tout de même positionner son sexe à l’entrée du vagin de maman car il faisait des mouvements dans le vide. Dès qu’il sentit cela, il poussa de grands coups de rein pour pénétrer à fond la chatte qui lui était offerte. Maman poussa un cri mêlé de douleur et de plaisir. Il la pénétrait sauvagement. Au bout d’un moment, la boule à la base du sexe d’Orky avait gonflé et le maintenait coincé au fond du vagin de maman qui jouissait. Elle se caressait le clitoris en même temps. Quelques minutes plus tard, le sexe d’Orky avait dégonflé et il sortit dans un bruit incongru. Une grande quantité de sperme dégoulina. Maman me supplia de la pénétrer avec ma main. Bien lubrifiée par le sperme et dilatée par la pénétration du chien, ma main rentra entièrement sans difficulté. Cela m’excita de la prendre ainsi à quatre pattes. Mon poing fermé la remplit. Je le faisais entrer et sortir au rythme des mouvements de son bassin. De mon autre main, je caressais son clitoris. Le sperme continuait à couler un peu. Dans un grand cri elle jouit. Je sentais les muscles de son vagin enserrer ma main. En la retirant finalement, je ne pus m’empêcher de glisser ma langue dans sa fente bien ouverte. Elle avait encore le goût de du sperme d’Orky. C’était un peu fort et différent de la mouille de maman que j’adorais boire, mais pas aussi mauvais que je le pensais. Nous nous reposâmes dans les bras l’une de l’autre. Orky semblait épuisé par la séance qu’il venait d’avoir avec maman et par la chaleur de ce mois de juillet. Après s’être léché le sexe, il s’était roulé en boule à l’ombre du parasol et s’était endormi. Je n’étais pas calmée et j’avais besoin de jouir également. Je posai ma bouche sur celle de maman. Nous échangeâmes un long baiser, nos langues jouant l’une avec l’autre. Ses mains caressaient mon corps partout. J’étais trempée par ce que je venais de voir. Je me laissais complètement faire. Maman se glissa entre mes cuisses et commença à me lécher. Je jouis une première fois rien qu’en me léchant le clitoris. Elle glissa ensuite deux doigts dans ma chatte trempée. Je m’ouvris pour la sentir en moi. Elle continua à me pénétrer ainsi en caressant mon clitoris de l’autre main. Je pris mon pied une nouvelle fois dans un grand spasme. Nous passâmes le reste de l’après-midi entre le bronzage et la piscine. A suivre...
