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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme

Chapitre 5

Inceste
SuiteUn homme, enfin !Naturellement, cette toute première baise avec Maman a été merveilleuse, mais lorsque éveillé durant la nuit j’y repense, il y manque un petit quelque chose. En réalité, c’est bien Maman qui m’a « baisé ». Entre les conseils prodigués par ses soins, ma tête qu’elle a écrasée contre ses seins, et son action à califourchon sur moi, je n’ai pas réalisé grand-chose. Maman m’a fait l’amour, c’est exquis, elle m’a affirmé que « j’étais devenu un homme », mais dans mon esprit, je ne le suis pas encore totalement. Avant de replonger dans le sommeil, je me promets de combler ce manque.J’écarte le rideau ce vendredi matin, et constate qu’il pleut. Et quand il pleut au Pays Basque, il pleut ! Des trombes d’eau peuvent s’abattre toute une journée. En apercevant cela depuis son lit, Maman se désole. A contrario, je jubile intérieurement. Excellent argument pour ne pas mettre le nez dehors et garder la chambre, selon l’expression consacrée.Assis nus devant la table de la kitchenette nous prenons d’abord un copieux petit-déjeuner. Maman devance alors mes vœux.
— Je suis un peu fatiguée, et avec cette météo, que faire ? Toi je ne sais pas, mais je crois que je vais me recoucher un moment. Une petite « grasse mat’ » ne me fera pas de mal. Après tout, ça fait aussi partie des vacances.
De suite, elle s’allonge à poil sur son lit, et se saisit du livre qu’elle a entamé, et dont la lecture ne progresse guère… Je m’étends sur ma couche, et commence à me tripoter doucement. M’apercevant, Valérie me moque :
— Tu n’arrêtes donc jamais, toi ! Ah, c’est beau d’être jeune !— Il faut bien que je rattrape le retard que j’ai accumulé ! plaisanté-je
Et Maman de se replonger dans sa lecture. Ah non, elle ne va pas me faire le coup de l’indifférence, pas après ce que nous avons vécu hier soir ! Dès lors, j’accentue ma branlette, poussant des soupirs d’aise, émettant de petits râles.
— D’accord, tu as gagné, j’arrive ! Dit-elle en riant et se levant d’un bond !
La revoilà agenouillée près de moi, léchant d’abord toute la hampe, puis prenant ma queue en bouche, pour la sucer voracement. Elle me libère un instant, la bouche écumante, juste le temps de me dire :
— Je n’ai jamais pu résister longtemps à une belle bite, et j’adore la tienne, ni trop petite, ni trop grosse, parfaitement adaptée à ma bouche.— Et à ta chatte !... M’empressé-je d’ajouter. J’ose même un :— Et… peut-être aussi à ton cul.— Ah non, celui-là n’a jamais été visité !
Raté, un coup dans l’eau. Mais après tout, si je peux accéder sans réserve à sa bouche et sa foune, c’est déjà formidable !...
Ceci placé, je décide de prendre l’initiative, qui c’est le mâle ici, hein ! (Je plaisante car je n’ai jamais eu le moindre penchant macho).Je fais s’allonger Maman, et, d’autorité, lui écarte les jambes. Elle affiche son habituel petit sourire amusé, mais parait heureuse de me voir prendre la direction des opérations. Avec encore un peu d’hésitation, je l’avoue franchement. Bisous affectueux sur ses pieds, ses jambes, ses cuisses, puis je plonge ma tête dans sa fourche. Si Maman demeure silencieuse durant mon cunni, sa respiration se fait plus forte, sifflante, m’indiquant qu’elle n’est pas insensible à mon broutage de minou. M’y étant peut-être un peu habitué, je trouve sa mouille meilleure qu’hier, et j’en bois le maximum, j’en ai plein la bouche, sur les lèvres et le menton. J’emprunte mon nouveau mot fétiche :
— Qu’est ce qu’elle est bonne ta cramouille, Maman !— Je suis heureuse qu’elle te plaise. Et toi, qu’est ce que tu me lèches bien ! Mais j’ai envie de toi, allez, viens sur moi, viens me baiser.
Afin de lui montrer qui est le « patron », je décide de la faire languir un peu, une torture pour moi-même qui crève d’envie de lui sauter dessus !... Après sa chatte, je remonte sur elle, pour m’occuper de sa plantureuse poitrine. Que je lèche, dévore, malaxe cette fois avec virulence.
— Viens, mais viens donc, qu’est ce que tu attends, j’ai trop envie de te sentir en moi !
Dans un effort surhumain de retenue, je décide que le moment n’est pas encore venu. Je m’acharne sur ses seins, puis embrasse ses épaules, la chair tendre de son cou, sa bouche, avant de redescendre, vriller ma langue dans le creux de son nombril.
— Fabien, mon chéri, viens, prends-moi, je t’en supplie !!
Ma retenue ayant atteint ses limites, je pointe enfin mon dard à l’entrée de son con. Je repousse la main de Maman, c’est moi et moi seul qui guide ma virilité en elle. Les grandes lèvres s’écartent sous la pression de mon gland cramoisi, et je m’enfonce enfin dans son ventre, jusqu’au tréfonds.
— Aaaaah, enfin ! Je te sens bien, vas-y, baise-moi, défonce-moi.
A la missionnaire donc, je commence à m’activer dans la chatte ruisselante de Maman. Mais quelques conseils me sont encore nécessaires pour la contenter au maximum.
— Non, tu t’agites, mais c’est ta queue qui doit bouger, plus que ton corps. Ne cherche pas à aller trop vite, prend-moi à fond, ressors, replonge, allez.
Mes mouvements trop amples me font plusieurs fois quitter sa chatte. Dans laquelle je m’engouffre de nouveau, le plus loin possible. Je retrouve la sublime onctuosité de son vagin, sa chaleur. Après quelques loupés compréhensibles pour un débutant, je finis par trouver la bonne amplitude de mouvement, le bon rythme. Maman confirme de suite.
— Voilà, c’est bien, c’est parfait, tu peux commencer à accélérer.
Comment ne pas progresser rapidement, avec un tel professeur ?... Avec ma nouvelle « enseignante », je m’adonne enfin aux travaux pratiques !A présent, je pilonne Maman de plus en plus fort. Qu’elle est belle, radieuse, nue, écartelée sous moi, crucifiée, et enfilée jusqu’à la garde à chacun de mes passages. Elle m’encourage.
— Oui, comme ça, c’est trop bon, plus fort, tape, tape bien au fond !— Maman, tu es merveilleuse, je suis en toi, je te baise, tu te rends compte, je te baise !! Je vais bientôt jouir.— Jouis mon fils, jouis, donne-moi ton foutre !
L’orgasme ravage ma petite Maman. Vlan, vlan, mon sperme fuse dans son ventre, je crois dénombrer une bonne douzaine de giclées, je veux remplir Maman, la remplir comme une outre de mon jus d’homme. D’HOMME, oui, maintenant je mérite ce titre, enfin !...__________Un petit cratère étoiléLa pluie continue de tomber à sceaux ce vendredi. A présent, Maman n’en parait nullement chagrinée. Nous allons refaire l’amour une partie de la matinée. Sans presse, sans stress. Je prends très vite de l’assurance, conforté par les compliments maternels. Mes leçons se poursuivent, en testant de nouvelles positions. Exemple, la levrette. Contrairement à beaucoup d’hommes, je ne l’apprécie pas énormément. Si j’ai le plaisir de bourrer Valérie plus profondément, le plaisir de voir et entendre mon bas-ventre claquer sèchement contre ses belles fesses charnues, me manque la vue de sa poitrine ballottant en tous sens, et surtout son visage rayonnant, et ses yeux bleus charmeurs. A l’inverse, La levrette constitue une des positions préférées de Maman. Alors, souvent je la prendrai ainsi, plus pour son plaisir que pour le mien.
Mais ce matin-là, en lui faisant l’amour avec passion, me vient une envie très forte, ou plus exactement une sensation. Celle… de lui faire un enfant. Je me garde bien de lui dévoiler mon voeu. Certains penseront que c’est perversion de ma part. Aucunement, il s’agit d’une ENVIE. Je hurle intérieurement : « Maman adorée, je te fais un enfant, je te fais un enfant, je te mets enceinte, enceinte !! » Fermant les yeux, dans ma tête je vois déjà son ventre s’arrondir, à devenir énorme, portant la vie. Et je la baise et la rebaise à n’en plus finir, avec son ventre gonflé de nos amours. Mon éjaculation sera si puissante que pas un instant je ne doute que je la mets enceinte. Mon plaisir s’en trouve décuplé, tout à la fois sexuel et mental. Une fois revenu à la dure réalité, le sentiment inverse m’envahit, un sentiment tout simplement empli de raison. Pourvu… qu’elle ne soit pas enceinte ! Car à 40 ans cela s’avère encore possible, d’autant que nous ne prenons aucune précaution. Je lui pose « innocemment » la question.
Sa réponse est catégorique, mais dans sa voix, je perçois comme un soupçon de regret.
— Non, non, sois tranquille, je prends la pilule…
Cette posture, la levrette, me permet de surcroît de découvrir son ultime trésor, demeuré caché jusque là : son petit cratère étoilé, bien visible lorsque je lui ai maintenu les fesses écartées, tout en la baisant.Mais j’évite d’évoquer cet endroit que je crois être tabou chez elle.La pluie faiblissant, nous décidons l’après-midi de sortir un peu dans Biarritz, sous parapluie et un imperméable bien peu sexy pour Maman… Je vais de surprise en surprise, lorsqu’elle me confie tout en marchant :
— J’aimerais te faire un cadeau, mon amour.— Un cadeau ? C’est gentil Maman, mais je n’ai besoin de rien.— Attends de savoir avant de refuser. Je suis certaine que ce cadeau te plaira.— Je peux savoir en quoi il consiste ?— Je veux t’offrir… mon petit trou.— Tu m’avais dit ne jamais avoir été « visitée » par là ?— Justement, je ne veux pas mourir idiote, il me faut essayer. Et ce serait merveilleux pour tous les deux que tu sois le premier « là » ! Et probablement le seul…
J’en reste bouche bée, je vais être le premier homme à qui Maman fera cadeau de son cul ! Elle me regarde en souriant.
— Alors ? Tu ne veux toujours pas de mon cadeau ? Ah, je vois que tu n’en n’est plus si sûr !...
Plutôt que de répondre par des mots, je préfère l’enlacer, et l’embrasser passionnément à pleine bouche, et ce en pleine rue, sous notre parapluie !
— Quand souhaites-tu que nous fassions cela ? demandé-je.— Tout de suite si tu veux, si tu te sens assez en forme après tout ce que nous avons fait ce matin.— Maman, je serai toujours en forme pour te faire l’amour, dis-le toi bien !...
Guère plus de 10 minutes plus tard nous voici de retour dans notre studio. Une minute supplémentaire, et Maman, impatiente, est déjà entièrement nue. Je suis prêt à me jeter sur elle, mais, elle me met brièvement en mode « pause ».
— Attends, il faut que je procède à une petite toilette, surtout pour ce que nous allons faire…
Elle disparaît ainsi plusieurs minutes dans la salle de bain, des minutes qui me paraissent durer une éternité, mais me permettent moi aussi de me mettre à poil. Marchant de long en large dans la pièce, je réfléchis. Sodomie, sodomie, d’accord, super, mais nous sommes novices l’un comme l’autre dans ce domaine, et ne disposons d’aucun lubrifiant. Si ça se passe mal, l’expérience ne sera sans doute pas renouvelée.Maman reparaît, dans sa nudité resplendissante, plus désirable que jamais. Sur son lit, nous allons recommencer à faire l’amour. Bisous de toutes sortes, fellation, cunni, et baise par la chatte, ce sera délicieux mais je ne m’attarderai pas en commentaires, pour en venir au « baptême anal » auquel nous avons choisi de procéder. Je décide d’utiliser un lubrifiant « naturel » pour préparer la rosette de Maman : ma salive. Elle reste allongée sur le dos, un coussin sous ses reins pour rehausser son bassin, ses jambes grandes ouvertes et levées très haut. Je reste quelques instants à contempler sa cramouille, encore suintante de plaisir, puis son petit trou qui me semble bien fermé. J’humecte mes doigts, et les lui passe sur l’anus, le massant d’un petit geste circulaire. Il se contracte sous mon action. Puis je me jette à l’eau, pour un acte que beaucoup refusent de faire. Je glisse mon visage entre ses fesses, embrasse son petit orifice, avant de le titiller de la pointe de la langue. Maman semble gênée… pour moi.
— Oh Fabien, c’est bon ce que tu me fais, mais tu n’es pas obligé, c’est très spécial !...
Pour toute réponse, je me mets à laper le petit cratère, le tremper de salive, sans la moindre retenue, l’hygiène de Maman en cet endroit scabreux étant irréprochable. Le joli petit anus fripé finit par s’entrouvrir, et j’y insinue ma langue, le plus loin possible. Maman émet de petits soupirs de satisfaction.
— Allez, viens prendre mon cul. Mais s’il te plait, sois doux !— Es-tu vraiment prête ?— Je le crois, mais il faudrait que je te lubrifie aussi, je vais te sucer un peu.
Elle me pompe deux bonnes minutes, puis extrait de sa bouche ma bite sur laquelle elle a plus qu’abondamment bavé.Nous reprenons la pose initiale, me voici au-dessus de Maman, posant mon gland sur le petit trou toujours vierge, mais plus pour longtemps. Craignant encore de la faire souffrir, je lui propose de commencer par lui mettre un puis deux doigts.
— Non je ne veux que ta bite à cet endroit ! Allez, vas-y !
Je repositionne donc mon gland, et commence à pousser. Je franchis les sphincters avec peine, Maman grimace de douleur.
— Tu as mal ? Tu veux que j’arrête ?— Oui, j’ai un peu mal, mais ce n’est rien, continue.
De fait, une fois cette résistance franchie, je suis le premier surpris de voir ma bite s’engouffrer facilement dans ses fesses, comme aspirée par son rectum. Je n’en reviens pas, mon pubis se trouvant maintenant plaqué contre son entrejambe ! Me voici en elle à fond, à mort, dans son intimité ultime ! Comme soulagée, le passage étant fait si je puis dire, Maman me sourie affectueusement.
— Maman, je suis dans ton cul, dans ton cul, c’est pas croyable ! Que ressens-tu ?— Une drôle d’impression, celle de me sentir remplie, celle…— Celle ?— Oh, pardonne-moi l’expression bien peu glamour, celle d’une énorme envie de… tu vois ce que je veux dire ! Je te rassure, il n’en est rien !... Allez, maintenant bouge, bouge dans mon cul. Va le plus loin possible dedans !
Je commence donc à sortir et entrer de ses entrailles sur un rythme doux mais régulier. Délicieuse sensation pour moi. C’est encore plus chaud que le vagin. Moins mouillé, mais très doux, lisse, et par-dessus tout… très serré !
— Oh Maman, comme je t’aime, comme c’est bon de t’enculer !— Continue mon grand, encule-moi, encule-moi !...
Malgré ce commentaire hard, je pense que je prends plus de plaisir qu’elle.C’est alors que je vois perler quelques larmes coulant des yeux bleus de Maman. Des larmes de joie ? D’émotion ? De douleur ? Hélas, il s’agit bien de ces dernières.
— Mon chéri, finis-toi rapidement, je t’en prie.
Je tringle alors le cul maternel un peu plus fort, et m’y déverse enfin, à longs traits. De suite je me penche sur elle, pour lui couvrir le visage de baisers.
— Tu aurais du me dire plus tôt que tu souffrais, j’aurais stoppé !— Non, il le fallait, nous devions aller au bout, ce n’est rien. Tu as bien joui ? Apparemment oui, tu m’as rudement rempli les fesses, j’ai senti tes nombreux spasmes dans mon fondement. Moi je n’ai pas eu d’orgasme, mais ne t’inquiète pas, ce sera pour une prochaine fois !...
Ainsi il y aura donc une prochaine fois ? Yesssssssss !!...A suivre…
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