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La maman de Michel

Chapitre 17

Inceste
La maman de Michel (17)Matinée chaude (1/2)2h+2f
Bonjour je m’appelle Michel et vous avez pu faire connaissance dans les épisodes précédents.
Nous sommes en septembre, le temps est pluvieux, je n’ai rien de prévu et je me prélasse au lit en ce samedi matin. Alors queje m’apprêtais à me rendormir, ma mère entre dans la chambre, vient vers moi avec son sourire qui en dit long ; elle porte un t-shirt long, bien décolleté en "V" , arrivant à mi-cuisses et pas de soutien-gorge, ça balance sec quand elle marche. Elle reste debout contre le lit, à ma droite, je suis couché sur le dos et je lui souris  ; elle relève mon drap et me découvre, je suis à poil ; rien que de la voir ainsi entrer dans la chambre ça m’a fait bander.
— Hum ! en forme on dirait.— Tu sais que tu m’excites beaucoup m’man.— Ton père m’a fait l’amour vite fait ce matin, il a joui et m’a laissée sur ma faim. Il était pressé, il n’a pensé qu’à lui. Tiens regarde toi-même.
Elle me saisit le poignet de la main gauche, écarte les jambes et glisse ma main sous son t-shirt,dans son entrecuisse. Je lui caresse son barbu, très dru et dense, et glisse mon majeur dans sa fente.
— Bouah ! C’est tout poisseux maman, même tes poils.— Eh oui, je te l’ai dit, c’est le jus de ton père.— Bin dis donc, il t’a mis la dose !— C’est vrai qu’il en a toujours beaucoup. Tu es tout dur mon petit chéri, tu veux que maman te suce un peu ?
Ma mère n’attend pas ma réponse, elle se penche sur ma bite, me branle puis commence à la lécher lentement, s’attarde sur le frein, langue bien à plat ; ses gros nichons pendent dans son décolleté, j’enfile ma main droite dedans et la pelote nerveusement. C’est à ce moment qu’elle embouche ma queue presque totalement, c’est chaud, humide, sa langue tourne autour du gland quand elle aspire ; je ferme les yeux et apprécie, je la doigte toujours, ma main est pleine de sécrétions gluantes, le foutre de papa mélangé à sa mouille. Elle apprécie de se faire doigter, elle pousse des grognements tout en me pompant avec application, je la regarde faire ; quelle bouche, quel savoir-faire, quelle suceuse ! Elle me caresse les bourses, m’enfile un doigt dans le cul après avoir fair deux ou trois aller-retours le long de ma raie. Je vis l’un de mes fantasmes les plus fous, doigté et sucé par ma mère, quel pied.
Tu aimes mon chéri ?Ohhh oui maman, c’est merveilleux, j’adore !J’ai envie de toi mon chéri.

Ne me laissant pas le temps de répondre, elle ôte son t-shirt en le prenant par le bas et le fait remonter par la tête. Elle m’offre ainsi la vue successive de sa touffe et de ses gros nénés, là voilà maintenant nue aussi ; elle se place à califourchon au dessus moi, me faisant face, prend ma bite en main et la dirige vers sa fente pour se l’ enfiler lentement. Elle prend appui avec les mains sur ma poitrine et se fait monter et descendre sur ma queue ; puis elle alterne avec des mouvements de bassins rotatifs, ses poils de touffe frottent contre mon pubis, il est souillé de mouille lui aussi, ça coule sur mes couilles ; c’est tellement trempé que ça fait un bruit, genre de" splash", chaque fois qu’elle descend sur ma bite. Je prends un de ses nénés dans chaque main et tellement excité, je lui malaxe à lui faire mal ; je pince ses tetons fortement. Elle ouvre grande la bouche, crie qu’elle veut jouir, que ça vient qu’elle "en peut plus". Ma mère est en train de s’envoyer en l’air sur la bite de son fils, elle est folle de plaisir, ne se contrôle plus, ce n’est plus qu’une femelle en chaleur. Mon matelas, juste habitué à mes branlettes, grince lui aussi, sous de tels assauts. Maman a les yeux qui se révulsent, elle vient.
Ahhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhhhhhhhhh !
Elle s’affale sur moi et reste ainsi quelques minutes, je la caresse tendrement sur tout le corps, la laissant apprécier ce moment. Au bout de quelques minutes elle revient à elle et colle ses lèvres sur les miennes en enfonçant sa langue dans ma bouche, je la lui aspire. Je bande toujours et suis toujours dans sa chatte inondée.
— Que c’est bon mon petit chéri, j’ai joui comme rarement, j’en avais vraiment envie.— Ouais et je crois que même les voisins ont du t’entendre jouir, t’as crié trop fort.— C’était trop bon chéri, je t’aime, tu sais.
Maman se relève et se désemplale de ma bite toujours à la verticale ; je l’ai pelotée trop fort, ses nichons sont tout rouge, on voit la marque des mes doigts. Elle se place en 69, moi dessous, me mettant sa chatte sur le visage.
— Broute-moi le minou mon chéri, je vais bien te sucer.
Une mère qui demande à son jeune fils de lui lécher la chatte, plutôt rare. C’est plein de liquide gluant, c’est écoeurant au début puis une fois que j’ai tout nettoyé et avalé, il ne reste plus que la mouille de maman, c’est délicieux. J’enfonce ma langue dans sa fente, j’alterne en lui léchant son clito que je décalotte , j’enfonce ma langue en pointe dans son cul, je salive.Elle me reprend en bouche et me pompe en experte, me glissant à nouveau un doigt dans le cul, j’en profite pour moi aussi lui en fourrer un. On se suce et on se lèche ainsi quelques minutes, je ne vais pas tarder à arriver à l’explosion ; mais elle s’arrête, ayant du s’en apercevoir. Maman change de place, se met à 4 pattes à côté de moi, se cambre au maximum, et écarte les fesses avec les mains.
— Viens chéri, prends moi le petit trou.— Mais tu es sûre ? tu veux....— Tu m’a fait jouir, maintenant tu peux .— Oh ! M’man tu es merveilleuse, je t’aime.— Ca ne t’excite pas de me prendre par derrière ?— C’est le plus gand de mes fantasmes, m’man. Tu te rends compte, enculer sa mère ! Même en rêve j’y croyais pas !— Allez, vas-y chéri, encule-moi, encule maman. Tiens ! je te donne mon cul.
Je me place à genoux derrière elle, sa rosette est grande ouverte et humide de ma salive, elle la tient bien écartée ; de la main gauche je prends sa hanche et de la droite je dirige ma bite vers son oeillet. Elle a la tête dans l’oreiller, maman est complétement écartée, offerte . Je pose mon gland sur la rondelle et lentement j’appuie avec le bassin, ça force sur le frein, puis, le gland est absorbé ; j’enfonce le reste lentement jusqu’aux couilles. J’entends un grognement, elle doit apprécier.
— Ohhhhh! M’man ça y est ! je suis tout dans ton cul.— Bourre-moi mon chéri, j’en peux plus.
Je la saisis alors fermement parr les hanches et commence un mouvement de va et vient. Elle grogne, je regarde ma bite aller et venir, c’est merveilleux, je suis en train d’enculer maman. Une fois que le trou s’est élargi, j’accélère et la lime de plus en plus en plus vite.
— Tiens ! tiens ! dans ton cul ma salope.— Oui ! Ouiiiiiii ! Encore ! encore !
Dans ces moments d’excitation extrême , on se lâche et notre language dérape ; maman aime ça. Elle se met à se branler, à se doigter par dessous, saisissant de temps en temps mes couilles en les pressant, c’est douloureux et excitant en même temps.
— Tu l’aimes ma bite dans ton cul  ?— Ouiii j’adore, bourre-moi mon chéri, encule bien ta maman chérie, je vais encore jouir.— Astique-toi m’man je vais te jouir dans le cul.— Oh ouiiii ! remplis-moi de ton bon jus.
Tout à coup le plaisir monte et on jouit tous les deux en même temps en gueulant. Je lui décharge quatre giclées dans l’anus tandis qu’elle prend son pied en se branlant le clito ; on reste un instant figés, on attend ainsi quelques minutes, couverts de transpiration. Je commence à débander et sors ma bite du cul de maman, mon foutre descend sur ses cuisses, elle se couche sur le dos et, saisissant son t-shirt, essuie le jus. Je m’allonge aussi, à côté d’elle.On se repose ainsi de longues minutes, puis maman va prendre une douche tandis que je récupère du pied que je viens de prendre avec elle. Notre grande maison est équipée d’une salle de bains à l’étage, j’entends donc maman ensuite descendre l’escalier menant au rez-de-chaussée, je prends une douche rapide et je descends, moi aussi. Maman a fait du café frais et nous le prenons à la cuisine, quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir, c’est Phil mon ami de toujours (nos pères ont fondé leur société ensemble et la dirige également ensemble depuis au moins vingt ans). et sa mère, grande copine de maman. Nous avions eu il y a longtemps une petite party à quatre, mais c’est très vieux. C’était la première fois que Phil faisait l’amour avec sa mère (dans l’un des épisodes précédents), maman avait tout organisé.
— Bonjour Clothilde, salut Phil, justement on prend le café vous arrivez au bon moment. — Bonjour Michel, ta mère est là ?— Oui à à la cuisine, entrez.— Salut Mich’, alors ça va grand ? Ma mère devait venir, j’en ai profité pour l’accompagner, de toute façon on ne peut rien faire avec ce temps de chien.— T’as bien fait Phil, et t’as apporté le nouveau FIFA ?— Ouais, regarde, je l’ai, ch’uis dans les premiers servis, mon pote !
Pendant que nos mères papotent en cuisine, avec Phil, nous montons dans ma chambre pour tester ce nouveau jeu sur la Playstation. Il me bat régulièrement en jeu de foot mais jamais en WRC ou F1, ainsi nous avons chacun nos victoires pour nous consoler des défaites précédentes. Après environ une bonne heure de jeu, on commence à avoir soif, et, surprise, justement nos mères arrivent avec des "Coca" à la main.
— Tenez, on a pensé à vous.— Merci m’man, c’est gentil.— Merci Maryse.— Mais ça vous plaît tant que ça, de vous abrutir avec ces jeux électroniques ?— Oh vous savez Clothilde, c’est juste pour passer le temps quand il fait mauvais dehors.
Je mets le jeu sur "pause" et on entame les boissons. Nos mères se sont assises sur mon lit, derrière nous, le coin télé étant contre un mur latéral de la chambre. Nous sommes assis sur des chaises de bureau pivotantes et faisons face aux deux femmes à environ un mètre de nous. Maman porte une robe en "jean" avec boutonnière sur le devant, décoleté en "U" tandis que Clothilde est vêtue d’un chemisier tout simple et d’une jupe "droite" qui debout, arrive au dessus des genoux, cest une belle femme mûre de 50 ans, comme maman.
— Ta chambre n’est pas bien rangée mon chéri, tu sais que c’est le samedi que tu dois le faire. — Ce n’est pas grave Maryse, tu sais, c’est la même chose pour mon Phil.
Maman décide de ramasser 2 ou 3 t-shirts qui traînent sur la moquette, elle se penche pour les prendre ce qui nous laisse admirer ses cuisses et sa culotte blanche sous sa robe, puis le faisant certainement exprès, elle en ramasse un autre, cette fois penchée face à nous, laissant apparaître le dessus de ses gros nénés dans son décolleté. On se fait un clin d’oeil avec Phil, nous avons remarqué que Clothilde n’avait rien raté non plus.
— Dis-moi Maryse , il y a des toilettes ici au premier, non ?— Oui bien sûr, au fond du couloir, à gauche.— Alors Phil, ça t’a plu ?— Euh... quoi Maryse ?— Dis-donc, coquin, tu m’a bien regardé à l’instant non ?— Euh... oui bien sûr mais....— Chut ! Venez, on va faire une surprise à Clo.
C’est vrai que maman m’avait demandé de réparer le verrou du WC du premier étage, je n’en ai pas encore eu le temps. Nous nous approchons en silence et maman ouvre la porte, plaçant Phil devant elle.
— Surprise ma Clo chérie !— Mais ??
Clothilde est assise sur la cuvette, la jupe relevée jusqu’à la ceinture, sa culotte blanche sur les cuisses, elle a une touffe noire fournie comme maman, mais plus soignée, bien déssinée en V.
— Maryse t’exagères, non ?— Ecoute Clo, Phil voulait voir ça, c’était l’occasion rêvée.— C’est vrai m’man.
L’instant de surprise passé, et probablement un peu émoustillée, Clothilde commence à pisser, le jet est dense et blanc, le "Coca" a fait son effet. Maman prend l’initiative et pousse Phil à l’intérieur du WC entrant avec lui, je reste dans l’encadrement de la porte, tandis que maman et Phil se placent de trois-quarts pour me laisser la vue. Maman saisit le poignet droit de Phil et le dirige vers la fente de Clothilde, Phil ouvre la main et la plaque dans l’entrejambe de sa mère, le liquide lui coule entre les doigts. Il reste ainsi figé, personne ne parle, l’instant est magique, le jet diminue d’intensité, la pause-pipi est finie. Maman tend un ruban de papier à Phil afin qu’il s’essuie la main et prend ensuite l’initiative :
— Lèche-la Phil.
Clothilde se lève, tenant sa jupe relevée sur le ventre, écartant les jambes, Phil à genoux commence à lui lécher la chatte toute humide, un léger filet de pisse coulant encore sur la cuisse gauche, il le récupère d’un coup de langue habile. Clothilde gémit et ferme les yeux en tenant la tête en arrière. Maman, excitée, la prend par les cheveux et la ramenant à elle, pose sa bouche sur la sienne, tandis que de l’autre main, elle déboutonne le chemisier de Clothilde. Maman continue, ôte le chemisiser, ainsi que le soutien-gorge et pelote les nichons en forme de banane de Clothilde, ils sont moins gros que ceux de maman. Les caresses sur les seins sont douces et tendres, comme savent le faire les lesbi, très bandant comme spectacle. Les baisers sont fougueux, les langues jouent, tournent l’une autour de l’autre, puis s’enfoncent dans les bouches où elles sont aspirées. On est tous très excités.Phil qui s’est déhabillé, s’assied sur la cuvette, bite verticale, sa mère qui lui tourne le dos, la lui prend en main entre ses cuisses et la dirige vers sa fente pour se l’enfiler. Dès que le gland touche les lèvres elle pousse un petit gémissement, elle s’apprête maintenant à s’asseoir sur la bite de son fils. Elle est légèrement penchée en avant ses nénés pendent sous elle mais Phil s’empresse de les prendre en main et de les peloter en jouant avec les têtons, les taquinant des doigts. Dès que Clothilde est bien enfoncée sur la bite de son fils, elle commence à lentement monter et descendre dessus s’appuyant des mains sur les genoux ; maman déboutonne le haut de sa robe, sort ses gros nénés par dessus son soutien-gorge et les prenant chacun d’une main par dessous, les tend à Clothilde qui gémit et qui a accéléré le mouvement. La mère de Phil tête alors à chacun leur tour les seins de maman, d’abord tendrement puis avec plus d’insistance. Il n’y a plus de place pour moi dans ce WC exigu, je reste donc dans l’encadrement de la porte, je me colle quand même à maman, de dos, je m’agenouille entre ses jambes en lui relevant sa robe, j’ai le nez sur sa culotte mais également sur la bite mouillée de Phil enfilant la chatte de sa mère, je trique dur, je me relève et me déshabille vite fait ; je déboutonne ensuite tous les boutons de la robe de maman et lui dégrafe son soutien-gorge. Debout derrière elle je saisis sa culotte avec les index par l’élastique sur les hanches et lentement, frottant ma bite durcie sur son corps, sa raie, je descends , tout en accompagnant ce mouvement, la culotte sur ses cuisses, ses jambes et ses pieds. Ca y est, nous sommes tous les quatre à poil. La chatte de maman est toujours aussi merveilleuse, les lèvres sont roses, humides d’excitation et sa touffe bouclée et drue sur laquelle je passe mes doigts me fait triquer dur. Maman se cambre un peu, cette fois, en s’appuyant sur les épaules de Clothilde qui gigote toujours sur la queue de son fils en râlant de plaisir.
— Embrasse-moi Maryse !
Maman ne se fait pa prier et se remet à rouler des patins langoureux à Clothilde, m’offrant ainsi sa croupe. Je n’en peux plus et j’enfonce ma bite dans sa chatte, maman écarte un peu plus les jambes pour mieux se faire pénétrer. Je la saisis par les hanches et commence à la limer fougueusement tandis que tout en l’embrassant, Clothilde lui pelote les nichons.Nous sommes, avec Phil, en train de baiser en même temps nos mères, c’est merveilleux, même en rêve je n’osais imaginer ça.
— J’en peux plus Phil chéri, je viens ! Je viens ! Ouiiiiiiiiii ! Ahhhhhhh !
Presque instantanément Phil jouit aussi, lâchant tout son foutre dans la chatte de sa mère.Clothilde qui commence à avoir des crampes se relève, nous obligeant, maman et moi à nous arrêter car, il n’y a pas de place dans ce WC. Du foutre coule sur ses cuisses et sur les couilles de Phil, Clothilde nettoie d’abord la bite de son fils puis sa chatte avec le papier. nous sortons tous dans le couloir.
— Allons dans la chambre d’amis.— Tu as raison Maryse, j’ai besoin de récupérer un peu. Tu m’a fais découvrir quelquechose de merveilleux.— Alors Phil ?— Baiser avec sa mère, c’est extra Mich’, la tienne avait raison, même pas en rêve, le truc !— En plus elles sont bien foutues, pour leur âge, hein ?— Tu l’as dit mon pote. Je vais récupérer tous les vêtements, ça leur fera plaisir.— Mich chéri ? Tu nous amène des boissons stp !— D’ac m’man, je descends, "Coca" pour tout le monde ?— Ouais Mich’, pour ma mère juste de l’eau pétillante !
Je prépare un joli plateau avec les "Coca" en bouteilles verre et une "Perrier" pour Clothilde. Je prévois les glaçons même si les boissons sont déjà fraîches, les quatres verres et le joli plateau avec bordure (pour éviter de tout foutre par terre en montant l’escalier). Avec tout ça, j’ai débandé mais je reste sur ma faim, je ne peux pas rester comme ça, il faut que je termine, que je foute une giclée à ces coquines. Allez, je monte servir tout ça.
............ à suivre ............
Histoire 17Episode 2/2 => décembre 2008
bracounet@caramail.com
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