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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La maman de Michel : jour d'hiver

Chapitre 1

Inceste
Bonjour je m’appelle Michel et j’ai 19 ans. Vous avez pu faire connaissance dans les épisodes précédents.
Nous sommes fin décembre et cela fait plus de 6 mois que nous avons eu une partie, Phil maman et moi ; depuis maman a essayé de convaincre Clothilde, la mère de Phil d’essayer l’expérience, en vain, Clothilde semble très ’rigide’ sur la chose. C’est une belle femme de 56 ans, châtains foncé, cheveux longs très bien faite, pulpeuse comme on dit ; quelques rondeurs mais tout en charme, une poitrine moins forte que celle de maman. Nos pères sont au boulot, ils gèrent ensemble une grosse société, nos familles sont amies depuis des lustres.
Clothilde a demandé à maman de venir l’aider à effectuer des retouches sur de nouvelles tentures qui doivent être prêtes pour Noël ; par la même occasion et sur l’insistance du père de Phil, on va changer , avec ce brave Phil, un robinet de la cuve à mazout qui est défectueux et purger les radiateurs. C’est moi qui conduis, il nous faut 10 mn pour aller chez Phil , la neige commence à tomber, dès ce matin, il n’est que 9 a.m. Maman porte un survêtement pas trop moulant et a emmené un sac avec d’autres vêtements, plus féminins, pour se changer après notre journée de travail, je me suis mis quant à moi, ma salopette de travail que j’apprécie beaucoup. Nous voilà arrivés, nous avons échangé, pendant le trajet, quelques banalités sans importance avec maman, rien d’intéressant ; bises aux dames, et au boulot ! Chacun se met à l’oeuvre, Phil et moi dans la remise ou se trouve la canalisation à réparer, et, nos mères dans la salle à manger. Une fois terminé, on monte à l’étage pour purger les radiateurs, et là alors qu’on est dans le couloir, on surprend une conversation intéressante nous parvenant de l’une des chambres.
Clothilde : - Tu te rends compte Maryse, il se masturbe dans mes culottes, elles sont maculées de sperme.
maman : - Et alors, il te mate aussi non ? Tu as du t’en apercevoir. Clothilde : - Evidemment, quand je suis dans la salle de bains, et je crois même dans ma chambre.
maman : - C’est de leur âge ma chérie, ils fantasment sur les femmes mûres. Tu devrais être contente de plaire aux jeunes.
Clothilde : - Mais c’est incroyable ça ! Tu acceptes ça ?
maman : - Tu sais, je l’ai même masturbé mon Michel. Clothilde : - T’es folle ! Et puis quoi encore !
Avec Phil on se fait un clin d’oeil, si elle savait Clothilde, tout ce que (nous) fait ma mère.
Clothilde : - Mais tu veux dire que.......
maman : - Bien sûr ma chérie, tu le fais avec ton mari non ?
Clothilde : - Oui bien sûr mais.......... là......... ce sont nos fils quand même. maman : - Tu te poses trop de questions, tu ne dois pas être sexuellement satisfaite, tu n’oses pas te lâcher. Quand tu sens le regard de ton fils qui te mate, ça ne t’excite pas ?
Clothilde : - Heuuuu.... oui, c’est vrai que ça me fait quelquechose.

maman : - La prochaine fois, masturbe-toi, sachant qu’il te mate, tu verras : ça te fera jouir.
Malheureusement Phil, cogne un radiateur avec la caisse à outils metallique et l’intéressante conversation se termine. Les femmes vont continuer leur opération ’tenture’ dans les autres chambres, en changeant de sujet de conversation. On termine vers 1 a.m. , il y a maintenant au moins 30 cms de neige dehors, on se retrouve tous dans la cuisine pour se désaltérer.
Clothilde : - Que de neige, vous avez vu ?
maman : - On ne pourra pas rentrer, qu’en pense-tu Michel ?
moi : - On attendra que la route soit dégagée, je ne conduis pas dans cette neige.
maman : - Tu peux nous héberger Clo ?
Clothilde : - Evidemment restez. maman : - Bon allez ! on va préparer un petit quelquechose à manger.
Le téléphone se met à sonner, Phil va décrocher. C’est son père ; il est bloqué avec le mien sur leur lieu de déplacement, ils ne rentreront que dans deux ou trois jours si les transports fonctionnent. Entre nous, je trouve qu’ils font beaucoup de déplacements tous les deux, surtout à l’étranger, je suis sûr que ce n’est pas toujours , que ’professionnel’. Nous voilà donc bloqués, les pères , quelquepart ; et, beaucoup plus intéressant, les mamans et les fils, ici. Avec Phil on allume la cheminée du salon, c’est plus convivial, la chaudière fonctionne, les radiateurs aussi, on a bien travaillé, ça marche.
Clothilde : - Je vous laisse mettre la table, je vais me doucher.
Elle va dans la salle de bains du premier étage, tandis qu’on s’affaire dans la cuisine.
maman : - Mettez la table, je prépare le steak.
Phil : - Alors Maryse ? Vous pensez que ce sera bon... avec ma mère ?
maman : - Ne brusquons rien mon petit Phil, laisse-moi faire.
moi : - On te fait confiance m’man. maman : - C’est prêt, mettez la table, installez vous, je vais me doucher là-haut aussi et je vais parler à ta mère Phil.
On prend notre repas rapidement, déjà un peu fébriles , impatients de savoir si ’ça va être bon’ ? et, alors qu’on en termine les femmes descendent, vêtues toutes deux en jupe et chemisier, toute souriantes.
moi : - Je vais me doucher en bas, Phil.
Phil : - Bon, moi là-haut. maman : - Oh , vous avez déjà terminé, bien, on va manger nous aussi et on prendra tous le café au salon, hein ?
Clothilde : - Oui d’accord.
Avec Phil on regagne le salon où les femmes sont déjà installées, le café est prêt ; on s’est habillé en polo et pantalon jogging, décontractés. Ma mère est assise dans le sofa et Clothilde dans un fauteuil ; dès que je rentre dans la pièce, maman me fait un clin d’oeil complice, la conversation à la salle de bains, avec Clothilde a du être interessante.
Maman nous fait signe de venir nous asseoir de chaque côté d’elle, on prend rapidement notre café en échangeant quelques banalités. Elle pose discrètement chacune de ses mains sur l’une de nos cuisses, c’est le signal. Je passe un bras autour de ses épaules, doucement me penche vers elle, pose mes lèvres sur les siennes. Maman me caresse la joue et plonge sa langue entre mes lèvres entrouvertes, elle fouille ma bouche cherche ma langue , fait tourner la sienne autour de la mienne ; puis sans un mot se tourne vers Phil, prend sa tête entre ses mains et baissant les paupières l?attire contre sa bouche ; Phil enlace maman par la taille, l?attire contre lui et plonge sa langue dans la bouche offerte. Clothilde nous regarde avec je crois une certaine excitation, on dirait que ça lui fait un petit quelquechose de voir son fils embrasser sa meilleure amie, malgré ses réticences de bonne moralité.
Maman me tourne le dos en roulant des patins à Phil, je l?embrasse dans le cou et, passe mes mains autour de sa taille, remonte jusqu?à sa poitrine, empaume ses gros seins par dessus le tissu du chemisier et les caresse. J’en défais un bouton, et fais glisser ma main droite jusque dans le soutien gorge, je caresse les nichons de maman dans les deux bonnets. Phil déboutonne le reste et écarte les pans du chemisier ; je dégrafe alors le soutien gorge et fais passer les seins par-dessus. Maman se laisse faire, sa peau est blanche laiteuse, je saisis maintenant ses deux nichons que je caresse fermement, jouant à faire dresser les tetons entre mes doigts.Phil, la bouche toujours collée à celle de maman, pose une main sur l’un de ses genoux et lentement remonte, à l’intérieur des cuisses, faisant glisser la jupe en même temps. Maman écarte les jambes dévoilant sa culotte blanche, sur laquelle au niveau de la fente une tâche grisée apparaît , elle mouille.
maman : - A toi Chlo chérie.
Phil se lève alors et s?approche de sa mère.
Clothilde : - Non, je ne veux pas.Maman : - Allons ma chérie, tu es toute excitée, tu en meurs d’envie.
Phil : - Allez m’man chérie, laisse- toi aller, détends-toi !
Phil s?agenouille devant sa mère, retrousse un peu sa jupe et pose un baiser juste au-dessus du genou. Clothilde tente de repousser la tête de la main, mais Phil ne bouge pas, il pose une main sur chaque genou, maintient sa pression, multiplie les baisers sur la peau chaude, remonte lentement, redescend, glisse vers l?intérieur des cuisses, remonte encore un peu. Clothilde ne veut pas, mais trouve ça agréable, elle pousse de petits gémissements. Dans sa tête, elle lutte, sa raison refuse mais son corps en redemande. Imperceptiblement elle écarte les jambes, la langue de Phil lèche sa peau délicate. De notre place, avec maman , on peut voir le slip et la fente de Clothilde qui, pour l’instant se refuse, mais porte une trace d’humidité. Phil retrousse encore un peu la jupe, remonte ses mains, force sa mère à écarter les cuisses ; Clothilde s?agrippe aux accoudoirs du fauteuil. Elle se sent offerte, ces mains sur ses jambes et cette bouche, si haut sur ses cuisses, si près de son intimité. Le nez de Phil vient frotter légèrement le tissu de sa culotte ; il respire l?odeur de la chatte de sa mère. Clothilde rentre le ventre, gonfle ses seins, bascule le bassin en avant, relevant à peine la tête, c?est la bouche de Phil qui est maintenant en contact avec le tissu de la culotte.
Phil : - Hummm ! M’man, je veux gouter ta mouille. Ecarte ta culotte m’man, donne-moi ta chatte à lécher.
Clothilde : - Non Phil, non on ne peut pas faire ça. Maman : - Détends-toi chérie stp.
Phil n’ose pas aller plus loin ; maman intervient, et, vient s?asseoir sur l?accoudoir du fauteuil, se penche sur Clothilde et lui caresse doucement la joue. Clothilde tourne la tête vers maman qui, se penche un peu plus, pose ses lèvres sur celles de Clothilde ; maman avec la langue, insiste, écarte un peu les lèvres de Clothilde qui laisse une petite ouverture ; les langues viennent au contact l’une de l’autre ; ça y est Clothilde cède. Les deux femmes se roulent des patins, fouillant chacune leur tour la bouche de l?autre, plongeant et pénètrant plus profond pour se déguster. Maman glisse sa main gauche vers le cou de Clothilde, descend dans l?échancrure du chemisier ; en défait au passage deux boutons ; puis plonge sa main entière dans le soutien gorge de Clothilde et lui caresse les seins, les presse entre ses doigts ; sa main poursuit un long moment ses mouvements pendant que sa bouche est toujours soudée à celle de Clothilde. Maman déboutonne totalement le chemisier de Clothilde et lui dégrafe son soutien gorge ; quelle technicienne ! Elle a réussi !
Phil, profitant de la situation, glisse ses mains sous la jupe de sa mère, la remonte jusqu’en haut ; attrape la culotte au niveau des hanches et la fait descendre lentement, elle est mouillée au niveau de la fente. Enfin ! doit-il se dire, lui qui révait aussi d’enlever un jour la culotte de sa mère, c’est l’un des fantasmes que nous avons tous les deux. Clothilde souleve les fesses pour se laisser déculotter par son fils, nous dévoile sa touffe drue bien taillée en ’V’ et sa fente rose pâle. Phil renifle la culotte, puis se déshabille et se branle avec. Il est bien monté et surtout , c’est son gland qui est impressionnant car surdimensionné. Je me déshabille aussi et prends la main de Clothilde pour la poser sur ma queue. Elle est très excitée, m’empoigne la bite, le dessous de mon gland dans sa paume, son pouce dessus , et me masturbe vigoureusement. Sa main est douce, ses doigts sont fins et tous, portent une bague, ses ongles sont bien vernis en rouge ; je garde les yeux rivés sur la main de la mère de mon copain qui m’astique, le plaisir monte. Phil a relevé le soutien-gorge dégrafé de sa mère au-dessus des seins et les pelote, les masse, on sent qu’il en avait envie depuis très longtemps ; Clothilde écarte fortement les jambes, le ventre offert, ainsi déguenillées avec maman, elles font très ’salopes’.
Phil : - Ohhh ! M’man quels beaux nichons, qu’ils sont doux.
maman : - Regarde comme il est dur, ton fils chéri, Chlo, suce-le un peu maintenant.
Chlotilde : - Vous m’excitez, tous les trois, vous me rendez folle. Mais je ne peux ..., non je ne peux... maman : - Mettez-vous là , les garçons !
Ma mère nous désigne un endroit entre la table basse et les fauteuils ; elle prend Chlotilde par la main et tandis qu’on reste debout, nos mères s’agenouillent devant nous. Elles ont toutes les deux, le chemisier ouvert , le seins hors du soutien-gorge, elles sont très excitantes. Comme promis on laisse maman prendre l’initiative, jusqu’à présent, elle a bien réussi.
Clothilde : - Mais non Maryse.... je ne peux pas......je ne vais tout de même pas .....
maman : - Faire une gâterie à ton fils ? Détends-toi ma chérie, tu n’es pas excitée ? Moi je suis trempée. Clothilde : - Bien sûr que ça m’excite, mais......
Maman pose une main sur l’épaule de Clothilde et se remet de nouveau à lui rouler des patins, l’autre main est passée sous la jupe de Clothilde et on imagine très bien qu’elle est en train de la doigter. Avec l’index de la main posée sur l’épaule de son amie , elle fait signe à Phil de s’approcher ; il place son gland contre la joue de sa mère ; maman, tout en continuant à la doigter, cesse de l’embrasser, lui prend le menton et tourne brutalement le visage de Clothilde vers le gland énorme et luisant de son fils chéri. Clothilde ouvre grande la bouche, yeux ouverts, fixant Phil, qui immédiatemment y enfonce sa bite d’un coup de reins. Avec maman on attend la suite, je trique dur, je ne me branle pas car je jouirai tout de suite. Le couple reste quelques secondes ainsi immobile, puis Phil délicatement prend la tête de sa mère à deux mains et commence à lui imprimer un rythme lent ; Clothilde prend la bite de son fils en main et le masturbe, lui caresse les bourses, tandis que de l’autre main , elle se doigte maintenant elle-même sous sa jupe.
Clothilde : - Oh mon dieu Phil , quel engin !
Phil : - Humm oui m’man, continue, suce-moi ; que c’est bon !
Toujours agenouillée, Clothilde s’enfonce deux doigts dans la chatte, s’astiquant énergiquement. Elle pompe Phil avec application, la bite est luisante de salive.
maman : - Oui ! Oui ! Voilà, fais-toi jouir ma chérie, profite du moment, suce-le bien ton Phil.
Avec maman on prend place dans le canapé, on se sourit et on contemple le spectacle ; on est contents, on a enfin réussi à décoincer la mère de Phil qui maintenant taille une bonne pipe à son fils. Tout en matant, maman enllève son chemisier et son soutien-gorge, me saisit la bite et me branle lentement, je me tourne un peu vers elle et lui pelote les nichons ; j’ai une trique terrible. L’excitation est telle chez nos amis que cela ne dure pas longtemps Clothilde jouit en se doigtant entraînant son fils dans l’orgasme. Maman s’arrête brusquement de me branler.


Clothilde : - Ah ! Je jouis ! Je jouis ! Mon dieu, je jouiiiiiiiis !!!
Elle s’est agrippée fermement à la bite de Phil en se fourrageant la chatte, il vient lui aussi.
Phil : - Ouiiiiiiii je te gicle m’man ! J’te gicle ! Tiens ! tiens !
Il se crispe sur les cheveux de sa mère qui ouvre grande la bouche langue sortie, très chienne ; Clothilde embouche ce gros gland et se prend les giclées de Phil au fond de la gorge, elle avale tout très fébrilement, continue à le branler pour vider ses bourses, elle l’aspire jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Tout comme moi Phil vient de réaliser l’un de ses fantasmes, se faire sucer à fond par sa mère. Tous les deux transpirent et restent un instant immobiles, profitant de ce bonheur.
Clothilde : - Mon dieu, comme j’ai joui ! Si un jour on m’avait dit que j’aurai un si violent orgasme en me doigtant et tout en suçant mon fils en même temps, j’aurai crié ’au fou !’ ; c’est incroyable !
maman : - Tu vois, vous avez pris votre pied tous les deux, c’est magnifique non ? Phil : - Merci Maryse, sans vous je n’aurai jamais pu réaliser ce truc, vraiment merci.
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(stop/encore ?)
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