De retour à mon appart après cette folle matinée riche en découvertes : concrétisation de mon rêve d’exhibe, contact avec la voisine d’en face, visite d’un donjon, apprentissage du lesbianisme, j’en suis encore tout excitée. Sans me culpabiliser, je sens que je deviens très accro du sexe, en route vers la nymphomanie. Cet après-midi, je dois aller faire des courses pour regarnir le frigo. Je me suis habillée très sexy. Il fait chaud j’ai mis un corsage blanc dilaté par ma poitrine soutenus par un soutien-gorge pigeonnant, minijupe à mi-cuisses, bas noirs malgré la chaleur et talons hauts. Prête à une légère exhibe. En déambulant dans les rayons, je ne regarde plus les femmes de la même façon. Si elles sont habillées léger, je m’imagine qu’elles sont aussi salopes que Suzy et les déshabille du regard. Je m’amuse à m’exciter mais pour le moment, je ne cherche pas le contact.Bruno mange au CROUS à midi, je ne l’attends que pour le repas du soir. Est-ce que je lui avouerai mon expérience de la matinée ? Au point où j’en suis dans mes rapports avec lui, je dois pouvoir le faire et peut être que ça l’excitera et pourra préparer une bonne partie de baise. J’imagine sa réaction et je le vois se caresser et bander progressivement. 14 heures je reçois un appel. C’est Bruno qui me prévient qu’il ne rentrera que très tard ce soir car il a un repas d’anniversaire chez son copain Julien. Un peu déçue, car j’imaginais déjà la scène avec mon récit d’aventure lesbienne, mon esprit se porte sur ma voisine Suzie. J’ai envie qu’elle me fasse jouir par téléphone. Je l’appelle : - « Allo Suzy ? c’est Sophie. Je te dérange ? »- « Non, pas du tout, j’étais en train de visionner les derniers enregistrements des cris de plaisir d’une de mes partenaires lors de son passage sur la sexe-machine. » C’est une femme âgée qui est accro de la baise mécanique et de l’excitation électrique.- « Ce doit être passionnant, tu peux m’en faire profiter ? »- « Donne-moi ton adresse mail, je vais t’envoyer la vidéo »- « OK. Voilà. Je vais devant mon ordi et j’attends avec impatience. »Très émoustillée, je m’installe confortablement devant mon appareil, les jambes écartées une main sur ma chatte, un gode à portée et scrute l’arrivée du mail. Il est accompagné d’un bref commentaire : “Branle-toi bien et envoie-moi une photo de ta chatte bien ouverte, qu’on voit bien ton clito.”J’ouvre la pièce jointe et sur fond musical langoureux, je découvre la “vieille” en train de se déshabiller comme si elle faisait un striptease. Peut-être âgée, mais la dame a un corps de toute beauté. Une belle poitrine aux seins lourds les jambes longues gainées de bas noirs soutenus par un porte jarretelles, pas de culotte laissant voir une abondante touffe rousse dont les poils continuent apparemment jusqu’à la raie des fesses. Suzy interpelle sa partenaire : - « Alors Amélie, tu as envie de te faire baiser par la machine ma salope ? Installe –toi bien je vais te préparer. » Amélie est maintenant étendue à plat ventre sur la banquette les jambes écartées reposant sur des étriers comme chez une gynéco. Suzy lui attache les poignets et les chevilles avec des sangles et positionne-le gode à l’entrée de sa chatte. - « Tu n’as pas besoin de lubrifiant Amélie, tes poils sont trempes et tu n’arrêtes pas de mouiller. »- « C’est que j’ai trop envie Suzy, chaque fois, je mouille déjà en venant chez toi. Je veux jouir comme une bête en rut. »Armée de sa télécommande la maitresse des lieux déclenche la machine. Les premières pénétrations sont douces puis la cadence s’accentue. Amélie commence à gémir et à se tortiller pour accompagner le mouvement.
- « C’est bon Suzy ! plus vite, plus fort, envoie des décharges électriques. »C’est alors qu’Amélie se tord sur la machine, accentuant la pénétration de la queue factice. Elle pousse des cris de douleur masochiste, sa respiration est haletante.- « Envoi le jus Suzy, je sens que je vais jouir. »La dose de liquide doit être importante car ça déborde au fur et à mesure des jets saccadés.Dans un cri rauque, Amélie a un dernier spasme et se raidit sur la machine. C’est alors le calme après la tempête. L’image disparaît.Pendant tout le visionnement, je n’ai cessé de me caresser. Ma touffe et mes doigts sont trempes. J’ai joui deux fois et j’ai envie de recommencer avec un gode. Troisième orgasme.Le temps a passé très vite. Je m’offre une frugale collation en regardant le télé et vais me coucher de bonne heure. Je ne suis pas complétement rassasiée, avant de m’endormir j’imagine qu’à son retour, je me laisserai bien baiser par Bruno.En plein sommeil, je suis réveillée par le claquement de la porte d’entrée.- « C’est toi Bruno ? »- « Oui maman, je t’ai réveillée ? »- « Oui mais ce n’est pas grave, j’ai le sommeil léger. As-tu passé une bonne soirée ? »- « Oui, la mère de Julien avait bien fait les choses, nous étions dix, nous avons bien bu. Nous étions joyeux garçons et filles mais j’ai pu renter sans problème. »- « Si tu veux, tu peux venir me raconter ta soirée je te raconterai ma journée pleine d’événements. Viens avec moi »- « Dans ton lit ? »- « Oui déshabille-toi il fait encore très chaud. »- « Mais il n’y pas d’orage !!! » Nous partons d’un fou rire commun. - « Allez, viens que je te raconte. »Bruno se glisse très affectueusement à côté de moi sans me découvrir. Le contact avec sa peau éveille en moi un désir que je ne laisse pas paraître. - « Alors petite maman que t’est-il arrivé ? »- « Eh bien voilà : Hier après notre folle nuit, j’ai dû être traumatisée par mon attitude incestueuse et j’ai fait un rêve bizarre où tu me prenais pour ta soumise me violait dans l’appartement et m’imposait de m’exhiber sur le balcon. En fait c’était si bon qu’en me réveillant, après avoir préparé nos petits déjeuners et ton départ à la Fac, j’ai eu envie de m’exhiber comme dans mon rêve.Toute nue, la voisine d’en face m’ayant aperçu s’est mise à se déshabiller comme en réponse à mon exhibe. Elle semblait avoir un corps splendide avec des formes bien prononcées. Je ne sais pourquoi, pour la première fois j’étais excitée par le corps d’une femme.Elle m’a fait signe de descendre dans le hall, m’a proposé de la suivre chez elle. Dans l’ascenseur elle a commencé à me caresser et je me suis trouvée embarquée dans une partie de baise lesbienne. Ce fut torride !»Sans dire un mot, Bruno avait posé une main sur ma cuisse et entreprenait de jouer avec les poils de ma chatte. Je sentais que je mouillais autant par l’évocation de mon aventure que par la chaude présence dans mon lit. Je posai une main sur son corps pour constater une imposante érection. - « D’incestueuse, madame Sophie est devenue gouine ! Bientôt tu voudras te faire prendre dans une partouse ? »- « Je ne sais pas mais je crois que je deviens nympho. Baise-moi, baise ta mère, j’ai envie de ta bite partout dans moi. »- « Viens on va baiser sur le balcon, ça te rappellera ton aventure. »Dans la nuit juste éclairée par un lampadaire de la rue, nous faisons l’amour bestialement d’une façon totalement débridée. J’aurais aimé que Suzy puisse nous voir mais je lui raconterai demain. Après un bref repos, Bruno se lève pour revenir dans sa chambre je remarque qu’il a toujours une belle érection.- « Bruno, ta queue est si belle que j’ai envie de la prendre en photo comme ça quand tu seras absent je pourrai la contempler et m’exciter. »- « Telle que je t’ai découverte très salope, tu te branleras avec. »- « ça te dérangerais ? tu me jugerais mal ? »- « Tu plaisantes ! avec tout ce que j’ai découvert de toi pour mon plus grand plaisir, tout ce qui peut te faire du bien me convient. Mais dit donc, ta voisine, Tu crois que je pourrais la baiser ? »- « Je ne sais pas. Je lui ai parlé de nos rapports mais elle m’a dit qu’elle était plutôt portée sur les femmes avec des godes ceinture même si quelques fois, se faire fourrer par une vraie belle queue la tente. Elle a installé un donjon dans son grand appartement où elle s’offre des parties de plaisir avec ses partenaires féminines. Je pourrai essayer de lui en parler je lui montrerai cette magnifique bite qui me fait jouir. »- « Je te fais confiance, une partie à trois chez elle pourrait être très jouissive. »Sur cet échange, Bruno rejoint sa chambre et la nuit se termine dans un profond sommeil.Ce matin, après le départ de Bruno, je prends des photos de ma chatte, de mon clito bien dressé et de mes seins comme me l’a demandé Suzie. Je lui fais un SMS en y joignant la photo du sexe de mon amant de cette nuit. La réponse ne tarde pas.- « Ma vidéo t’a-t-elle plu ? merci pour tes photos. Si c’est la bite de ton fils, mon dieu qu’elle est belle, j’aimerais bien me faire fourrer. »- « Bonjour Suzie, torride ta vidéo je n’ai pas arrêté de me branler. Maintenant que tu m’as donné le goût des femmes, j’en redemande et j’aimerais bien connaître Amélie, peu importe son âge, elle semble avoir un corps très excitant comme le tien.Quant à mon fils Bruno, je lui ai raconté notre rencontre et il aimerait bien te « fourrer » comme tu dis. Nous pourrions nous rencontrer dans ton donjon et pourquoi pas avec Amélie. C’est à toi de décider. Je t’embrasse entre les cuisses. »- « Je vais contacter Amélie et je te donne des nouvelles. Moi aussi, je te bouffe la chatte. »
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