(Bonjour à tous. Pour des raisons logistiques, l’écriture de ce chapitre a pris du retard. Mais rassurez-vous, car enfin le voici ! :) Avec Maman, nous avons développé une complicité suffisamment fiable pour nous permettre certaines choses... En l’occurrence, j’ai pu prendre une initiative qui fut plutôt favorablement acceptée, à mon grand soulagement. Avez vous déjà ressenti cette envie de féconder une femme, parce que vous l’aimiez tout simplement ? Moi qui aie toujours eu soif de liberté tout en jouissant de l’existence, pour la première fois de ma vie, j’ai eu l’envie de donner une preuve d’amour à quelqu’un. Maman a fêté il y a quelques mois ses 58 ans. J’ai éjaculé avec plaisir en elle de nombreuses fois maintenant. Quand on vit des choses fortes avec une personne, il y a effectivement un lien qui se crée. Nous qui sommes soumis aux hormones naturellement produites par notre corps, nous finissons par ressentir un attachement réel envers quelqu’un avec qui on prend du plaisir. Je n’entrerai pas dans les détails. Mais je le ressens réellement désormais. Tout cela pour dire que lorsque l’on tient à quelqu’un, on est prêt à faire beaucoup de choses. Je vais alors vous raconter ce que j’ai fait pour elle très récemment. Un fantasme qui est né de nos ébats et que j’ai réalisé dans la mesure du possible avec les moyens dont je me suis procurés. (D’où le retard de cette parution.) Je vous parlais d’une position qui me plaisait beaucoup avec Maman. Celle où elle est offerte sur le dos et moi la prenant alors que je suis allongé sur le côté. Cette position m’offre une vue excitante sur sa chatte maternelle, et je me vois aller et venir en elle. Elle est bien souple ma Maman, et étant petite de taille, j’ai l’impression de me sentir géant à côté d’elle. Je disais aussi que dans cette position, je pouvais pousser sur une jambe avec ma main, tout en lui faisant une sorte de clé de jambes sur l’autre. Maman se retrouve alors complètement offerte, à la merci de son fils incestueux qui lui fourre le vagin comme un garçon capricieux. Et en bonne maman, elle se laisse faire en encourageant son jeune amant: "Vas-y mon bébé! Fais-toi plaisir ! " Ces mots sont comme un shoot d’adrénaline pour moi. Je me sens tellement aimé, tellement important dans ces instants-là! Je me sens comme celui qui compte, celui pour lequel Maman écarte ses jambes. Comme si elle me donnait la vie une nouvelle fois. C’est très difficile à expliquer. Mais j’adore vivre ça avec elle. Ma main la caresse de partout, pendant que l’autre cherche un endroit à saisir pour renforcer mon étreinte. C’est comme si j’avais envie de "retourner en elle". Ce qui est absurde, connaissant l’absence de liens génétiques entre nous. Mais dans mon esprit, c’est bien MA maman que je baise. Celle qui m’a mise au monde dans cette position même où je la prends. J’ai envie d’elle, j’ai envie qu’elle me sente, qu’elle ressente cette excitation qu’elle me procure. Et bien souvent désormais, c’est dans cette position que mon sexe expulse la semence de vie. Tout comme j’ai été conçu une trentaine d’années auparavant. Dans ce même vagin qui s’est dilaté pour me permettre d’exister. Je me plais à palper ses seins qui m’ont nourri. J’ai envie d’être partout à la fois, tout autour d’elle et en elle. J’aime ma maman. ============================================== C’est bien dans cette position qu’une idée m’est venue. Une idée très perverse qui pourrait mettre mal à l’aise certain(e)s d’entre vous. Mais je suis là pour partager avec vous des moments d’une grande excitation que j’ai vécus. Alors, ne m’en voulez pas pour la sincérité dont je vais faire preuve. Maman est une femme que je respecte, même si ma façon de la traiter n’est pas conventionnelle. Et même aujourd’hui, ce genre de relation est mal perçue. Nous sommes obligés de nous voir en cachette pour nous aimer. Mais si ces mêmes personnes qui condamnent pouvaient savoir comme c’est bon de jouir dans ces chattes de mamans. S’ils pouvaient comprendre que les femmes mûres ont encore des désirs qu’elles ont envie et parfois même besoin d’assouvir. Tout comme des hommes plus âgés ont envie de jeunes femmes qui leur rappellent leur jeunesse. Je pense que les rapports "jeunes/vieux" seraient mieux acceptés. En me voyant aller et venir en elle, je me disais qu’il y aurait bien autre chose que j’aimerais voir sortir de son vagin... J’ai alors fait l’achat en ligne de deux objets dont l’un a pris beaucoup de temps à être livré. Mais une fois acquis, j’en ai fait la surprise à Maman de par l’originalité du cadeau et d’autres, de la façon de l’offrir... En effet, ce fut lors de l’un de nos ébats que j’ai décidé de les lui offrir. Le premier fut un dildo gonflable en forme d’oeuf. Le genre qui dilate les orifices bien comme il faut, une fois gonflé au max. Maman en avait déjà vu sur le Net. Mais jamais il ne lui serait venu l’audace d’en acheter un. Elle tenait trop à sa bonne réputation et faisait toujours attention à recevoir discrètement "ses invités". Maman voulut bien essayer. Je lui ai alors demandé de me laisser faire et de se détendre totalement. Après avoir bien lubrifié le dildo et le vagin par des doigts respectueux, j’ai commencé à insérer le jouet. Une fois en place, j’ai aidé Maman à se détendre en l’embrassant et en la caressant. Je refermais la main sur le pommeau de gonflage, une fois, puis deux. Et je m’assurais que Maman se sentait bien après chaque pression. Elle sentait peu à peu le dildo se gonfler en elle et repousser les parois de son vagin. Je lui caressais le clitoris et la vulve. Pour cette première fois et par mesure de sécurité, on n’a pas gonflé le jouet à son maximum. Car je voulais qu’elle puisse le faire sortir sans trop forcer sur son vagin et risquer de la blesser. En m’allongeant à côté d’elle, ma bouche près de son oreille. J’ai adoré dire: "Pousse, Maman". J’ai accompagné mes mots en passant une main sous sa jambe pour la ramener vers sa poitrine. Elle commençait à comprendre où je voulais en venir. Elle m’avait plusieurs fois fait part de son regret de ne plus pouvoir enfanter. Et bien qu’elle ne me l’ait jamais dit ouvertement, j’avais ressenti comme un message subtil à mon égard. Quand elle me disait cela, c’était toujours en me faisant une caresse sur la joue, une main dans les cheveux ou un petit bisou sur la bouche tout simplement. Cette femme si maternelle ressentait naturellement le désir d’enfanter à nouveau. Et c’était de moi qu’elle aurait voulu cet enfant. J’avoue que j’en fus très touché quand j’ai fini par le comprendre. Alors j’ai voulu qu’elle retrouve ne serait-ce qu’une partie de cette sensation. Mais contrairement à ce qu’elle aurait vécu par le passé, il n’y aurait pas de douleurs. Mais juste la sensation de s’ouvrir à nouveau pour donner la vie, sans dilatation extrême. C’est comme ça que je l’avais souhaité en tout cas. Maman a pu profiter de son jouet une bonne vingtaine de minutes avant de pouvoir le libérer. J’ai veillé sur elle durant "le travail" en l’encourageant, tout en allant regarder son beau vagin s’ouvrir. Comme on l’avait gonflé raisonnablement, Maman aurait pu l’expulser plus tôt, mais elle, comme moi, nous aimions cet instant. C’est pourquoi, au lieu de le gonfler un peu plus, je repoussais un peu le dildo pour prolonger notre jeu, provoquant une sorte de va-et-vient agréable. Maman eut un ou deux orgasmes. Car je prenais soin d’elle, en lui suçotant les seins et en stimulant la zone pelvienne. Et enfin quand elle poussa bien fort pour se libérer, une bonne giclée de cyprine suivit. Maman s’est ensuite reposée de cette forte émotion qu’elle venait d’avoir. Mais j’avais une autre surprise pour elle... En effet, j’avais acheté non pas un, mais deux cadeaux. Si vous vous demandez de quoi il en retourne, vous serez peut-être surpris d’apprendre qu’il s’agissait d’une réplique réaliste en silicone d’un nouveau-né. Et bien que je ne citerai pas de marque, je pense que beaucoup d’entre vous savent de quoi je parle. J’ai donc posé délicatement cette poupée sur la poitrine de Maman et me suis cru un court instant être devenu papa. La réaction de Maman ne fut pas extrême, car je l’avais prévenue avant que cet autre cadeau "spécial" se ferait juste après la sortie du dildo. Elle garda son calme et me lança un regard plein d’amour et de tendresse. Je venais de lui faire vivre un moment qu’elle ne pensait plus jamais connaître. Maman joua le jeu et porta la petite tête de la poupée à son sein. Des gestes symboliques d’une maternité retrouvée. J’aimais me dire que j’avais fait un bébé à Maman. Voilà jusqu’où je suis allé pour apporter un peu de bonheur à cette femme qui m’en donne à chaque fois que je vais la voir. Il me sera dur de la quitter un jour...
FIN
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
